19 ans, suceuse de papis dans un bar tabac

Je suis une jeune fille de 19 ans. J’aime la vie, m’amuser, sortir dans les bars, comme toutes les jeunes filles de mon âge. Je vais souvent dans un petit bar tabac PMU du centre du village. Je ne sais pas pourquoi j’aime me rendre dans cet endroit, mais on rigole bien ? Il y a toujours deux habitués, des vieux de 60 ans, qui me regardent avec un peu trop d’insistance. Je vais au bar comme tous les jours après les cours.

Tu veux baiser une jeune salope ?

Il n’y a pas grand monde aujourd’hui, hormis les deux vieux poivrots qui sont en train de siroter un verre de rouge. Ils sont déjà bourrés, et le patron doit quitter les lieux pour chercher une livraison urgente. Il confie les clés à son pote, un des deux bonhommes. Merde, je me retrouve seule avec eux. En même temps, je l’ai bien cherché. Tout de suite, le plus vieux se lève et se dirige vers moi en sortant sa queue. Il a un zizi d’une taille honorable. Il me dit: « maintenant qu’on est seul, tu vas nous sucer et nous vider les couilles petite pute ». Oh, du calme les gars. Ils me regardent méchamment, je ne veux pas de problème, alors je me baisse et j’attrape la pine du gars.

Elle sent fort, mais je dois le sucer, je suis obligée de le faire. Je n’ai que 19 ans, et je suis en train de pomper un vieux gars pendant que son pote nous regarde en se branlant. Je suis tombée bien bas… Sa bite a vraiment un sale goût, j’ai beaucoup du mal à aspirer plus loin que la moitié, mais je fais l’effort d’aller au plus profond de ma gorge.
Je tousse et je me retiens plusieurs fois de gerber. Je décide de prendre ma bouteille de Despé et de la verser sur son gland. Mmmmmmmh, maintenant, c’est bon! Le deuxième bande maintenant et veux aussi que la jeunette lui pompe le bout, ce que je fais tout de suite. Je ne lâche pas la première, je la tiens bien en main, comme le manche d’un avion.

19 ans, et pompeuse de papis !

J’ai les deux vieilles tiges dans mes petites mains, et je les suce à tour de rôle. Les papis m’insultent et me mettent des gifles. Je les regarde avec un air de chienne obéissante. Je sors la langue à fond et je claque les glands dessus, comme dans les films de cul. Je pompe très bien, et le premier ne tient pas le choc et commence à me jouir sur le visage. Il m’en fout partout, même dans les yeux. Son sperme est dégueulasse. Ça me dégoûte d’avoir sa purée de couilles sur ma gueule et dans ma bouche, mais il faut finir le boulot avec le deuxième. Je l’aspire encore plus fort et plus vite. Je ne veux pas trop trainer, je dois faire mes devoirs. Je prends ses vieilles baloches en main et je les presse doucement tout en lui léchant le bout de la queue. Son chibre gonfle d’un coup et il se met à me jouir dessus. Comme son collègue, il me recouvre de liqueur de couilles. Les deux grands-pères sont repus et me demandent de me barrer, ce que je fais aussitôt. Je rentre chez moi et je m’essuie la tronche avant que mon père ne rentre du boulot, je veux rester sa petite princesse de 19 ans, il ne faut pas qu’il me voie comme la pute que je suis réellement…

Prise comme une chienne dans le train

Je dois dire que je n’ai pas choisi la voie de la facilité. Je suis chef de projet dans une grosse société de marketing, et mon lieu de travail se trouve à 100 bornes de chez-moi. C’est donc en train que je me rends au boulot tous les matins. Au début, j’avais du mal à supporter les autres voyageurs ainsi que l’ambiance générale d’une rame de TER.

Tu veux rencontrer une cougar bien chienne ?

Mais au bout du compte, je me suis aperçu que c’était bourré de petites meufs bien gaulées. Pour la plupart étudiante, elles suivaient une partie du trajet avec moi, et à force de les voir, il y a une belle petite brunette qui m’a tapé dans l’oeil. Au fil des voyages, j’ai remarqué que cette jeune salope me lançait des regards assez appuyés. A force de la voir me reluquer ainsi, je ne me suis pas non plus gêné pour le faire, et c’est avec délectation que je posais mon regard sur son putain de boule. Un cul d’enfer, bien rond et ferme, légèrement sortant, tout juste de quoi faire bander un impuissant. La chienne portait uniquement des leggings ultras moulants, et c’était aisé pour moi de deviner qu’elle ne portait que des strings. Je pouvais également imaginer sa raie étroite séparant ses deux grosses fesses de jeunette. Elle devait avoir le cul tout blanc avec un trou bien foncé en arrière-plan. J’adore ce type de fion, et à force de la mater, j’ai commencé à avoir envie d’y foutre mon nez.

Un jour, elle était debout juste devant moi, se tenant à une barre, coincée entre deux voyageurs. Son fiacre bien tendu était juste à quelques mètres de moi, et je pouvais presque sentir son odeur. Une trique d’enfer me fila une crampe à la queue. La belle s’est retournée en jetant un regard vers mon entre-jambes. Elle a fait les gros yeux en voyant ma bosse devenir une vraie montagne. Je suis devenu rouge comme une pivoine et me suis rendu illico aux chiottes pour me soulager. Je ne pouvais plus tenir.
J’ai déballé le matos pour me masturber, mais la brune m’avait audacieusement suivi. Elle toqua à la porte, et sans réfléchir, j’ai ouvert. Elle se jeta immédiatement sur ma béquille pour me prodiguer une grosse pipe dégueulasse et baveuse. Putain qu’est-ce qu’elle pompait bien. Mon gland lui chatouillait le fond du gosier, mais elle avalait encore plus loin, presque jusqu’aux burnes. Une pulsion bestiale a pris le contrôle de mon corps, et j’ai relevé la belle pour la retourner et la plaquer fermement contre la paroi. J’ai saisi l’élastique de son legging et de son string en même temps pour les baisser jusqu’aux genoux.

Prise comme une chienne

Son boule était tendu devant moi, et j’y ai plongé ma teube sans ménagement. Je voulais simplement l’enculer, la souiller et lui détruire le fion. Elle était prise comme une pute. Mon gros gland violacé se fraya un chemin jusqu’au fond de son rectum, et une fois bien fiché dedans, j’ai commencé à la limer comme un ramoneur professionnel. Je donnais de grands coups, du plus fort que je pouvais, et la petite étudiante salope couinait faiblement. Le chiotte a vite commencé à sentir le cul. Toute cette ambiance salace ainsi que cette sodomie brutale sur une jeune fille eurent raison de moi, et après quelques va-et-vients en profondeur, j’ai senti l’orgasme monté à pleine puissance. Je suis sorti de son étui pour me finir sur ses magnifiques fesses bien lisses. J’ai tartiné sa raie avec du foutre bien chaud, et j’étais assez fier de moi. Je ne sais pas si la salope a eu le temps de jouir, mais son trou du cul était béant comme un gouffre sans fond…
Nous avons repris nos places l’air de rien, et depuis ce jour, il m’arrive de l’enculer dans les chiottes avant d’arriver au bureau de bonne humeur.

Jeune beurette doublement baisée en bord de mer

Marseillaise, Fatima est née en Tunisie, c’est une jeune beurette comme on dit. Ça fait déjà un mois qu’elle a soufflé sa vingtième bougie et, elle est plus belle que jamais.
Cette universitaire aime bien les balades au bord de la mer. Quand elle n’est pas avec une bande de copains, c’est aux côtés de sa meilleure amie Julie qu’elle se promène. Elle adore marcher pieds nus pour profiter du sable chaud, il n’y qu’en été qu’on peut ressentir ça et, nous sommes justement au mois de Juin.
Cette année, elle a trouvé du travail à temps partiel sur une plage, un boulot qui lui plaît bien car, telle une sirène, elle adore les bruits des vagues, observer le coucher du soleil et le vent estival.
Un samedi matin, la jolie plagiste de 20 ans, dans son maillot de bain, installe le matériel, aidée par d’autres jeunes dynamiques, enjoués et insouciants qui travaillent avec elle. Ils s’amusent bien, font des blagues et parlent sans tabou. Pas très loquace sur sa vie intime, elle cache à tout le monde ses fantasmes, elle en a un peu honte.
En effet, Fatima rêve de faire l’amour avec deux mecs musclés dans une cabane près de la mer. Déjà qu’elle est très coincée, comment fera-t-elle pour se retrouver avec deux keums, toute seule ?

Jeune beurette avide de sensations

La jeune beurette Elle a un petit ami qui n’est vraiment pas son genre. C’est juste pour passer le temps, un mec sympa, boulanger, peu élégant et aussi coincé qu’elle. Même s’ils « font l’amour » souvent, elle n’a jamais droit aux préliminaires, pourtant, elle adore le cunnilingus. Et quand elle propose de lui faire une pipe ? Le mec devient tout rouge, oppose un refus, ce qui offusque souvent Fatima.
Sa vie de couple n’est donc pas un rêve mais, elle ne songe jamais aller voir ailleurs car, c’est une magrébine respectueuse des principes religieux.
Sa tenue de travail est un maillot de bain deux pièces, putain ce qu’elle est bandante dans cet uniforme composé d’un haut super mini et d’un boxer bien moulant. Ses fesses se dessinent à la perfection et sa poitrine, 85B, a l’air de prendre du volume chaque seconde qui passe.

Ce jour de week-end, Fatima vient de prendre sa pause, il est 11 heures et, elle siffle un jus de coco, les pieds croisés, assise sur une table. Elle porte des lunettes de soleil et elle regarde ses collègues, nager, marcher papillonner et draguer.
Ses écouteurs aux oreilles, la musique retentit à fond quand elle sent une main chaude toucher son épaule. L’effet de surprise la fait sursauter et, lorsqu’elle se retourne, notre jolie maghrégine remarque une ombre imposante érigée devant elle. Elle ôte ses lunettes et, c’est un beau black qui a l’air d’avoir avalé une armoire, qu’elle aperçoit.

Elle se lève pour le contempler de la tête aux pieds, il est vraiment impressionnant, ce n’est pas son type mais, toutes les femmes rêvent d’un homme aussi robuste, même pour une minute de plaisir.
Elle lui demande alors ce qu’il veut et, le jeune coquin de lui dire qu’il la trouve très jolie et qu’il aimerait discuter avec elle.
Continuant la conversation, il confie à Fatima qu’il est photohraphe et qu’il aimerait bien la prendre pour model. Il continue en disant qu’il avait loué un appartement du côté est de la plage et qu’il voulait bien lui faire faire un casting, moyennant quelques euros, bien sûr !

La jeune beurette phocéenne réfléchit quelques instants avant d’accepter.
Ils marchèrent alors pour regagner le côté est où était confortablement installé notre coquin.
Aucune trace ne montre que c’est un professionnel de la photo, Fatima soupçonne un traquenard, se pose quelques questions avant de lui dire qu’elle n’était plus intéressée.
Le mec la supplie de rester, avouant qu’il avait juste envie d’être avec elle et, d’ailleurs, pour lui montrer sa bonne foi, il sort une liasse d’Euros qu’il met dans la main de la maghrégine.
Ces espèces sonnantes la désarment.

Fatima : Maintenant, on fait quoi ?
Gérard : Je veux juste te voir nue, que tu me fasses un striptease.

Beurette vénale

Tous ces billets méritaient bien une petite gâterie !
Alors qu’elle commençait à se déhancher, le mec a pris son smartphone pour filmer. En plus, il a mis en fond sonore, une musique chaude pour la motiver. La jeune beurette commence à se déchaîner jusqu’à ce que la sonnerie retentisse.

Gérard : C’est certainement le concierge, ne bouge pas je reviens tout de suite.

Entre alors un autre beau mec, métis, musclé, torse nu. Toute honteuse, Fatima ne peut cacher les billets qu’elle tient dans sa main.
Mais ces mecs sont des pros, ils ont l’air de ne pas être à leur premier coup. En effet, Gérard va proposer un nouveau deal à son invitée : « Maintenant que nous sommes deux, on peut t’ajouter de l’argent pour te regarder, ça ne fera pas de mal « .
Se sentant humiliée mais excitée en même temps, la beurette de 20 ans n’a pas dit non. La musique relancée, elle va recommencer ses déhanchements façon orientale.

Les deux coquins se levèrent pour demander gentiment à Fatima de sucer leurs bites. A cet instant, elle pensa à son fantasme en se demandant pourquoi ne pas en profiter pour le réaliser.

Une bonne partouze avec des doubles pénétrations et du sperme à bouffer pour la rebeu.

Une stagiaire qui chamboule tout

Tu vveux baiser une jeune salope ?

Avocat de renom, Andy est un beau mec de 41 ans. Il est marié, fidèle à sa femme, une bourgeoise parisienne qui lui a tout donné, qui a fait son succès en lui ouvrant plusieurs portes.

Sa secrétaire étant en congé, le maître a décidé d’accorder, comme d’habitude, un stage à un étudiant pour remplacer Julie, une femme de 52 ans avec qui il a travaillé pendant de longues années. À chaque fois que sa particulière prend des vacances, elle est toujours remplacée par un jeune homme, pour éviter que son patron, homme marié et sensible au charme féminin, ne soit perturbé. Mais cette fois, les données vont changer, ce sera une jeune demoiselle de 25 ans, en cinquième année de droit, qui sera acceptée grâce à son excellent CV.
Les premiers jours, il a fallu lui montrer quoi faire, comment classer les dossiers et, comment rédiger quelques textes administratifs.

Intelligente et perspicace, elle a très vite impressionnée Andy qui ne pouvait plus se passer d’elle.
Lilianne est de type brune, mince, des yeux marron-clairs et une poitrine de taille 90B. On ne saurait laisser un Don Juan enfermé toute la journée avec une demoiselle aussi attirante.

Au début, le patron semblait ne pas s’intéresser à l’étudiante. Au fil du temps, les compliments naissaient et s’accumulaient. La stagiaire se rendait au travail désormais avec des tenues provocantes, elle était sexy et super sympa, on aurait dit qu’elle tentait de séduire Andy.

Un matin au bureau, Julie apparut désarçonnée, presqu’avec des larmes aux yeux. Interpellé, l’avocat s’est approché pour en savoir plus.

Andy : Que se passe-il Julie ? Pourquoi t’es en larmes, allez, dis moi tout !
Julie : Tout va bien monsieur, je, je, je…
Andy : Oui, vas-y, je t’écoute, n’aies crainte.

Enlaçant Julie dans ses bras, caressant ses cheveux pour la calmer, une forte envie de l’embrasser envahit l’avocat qui ne résista pas. Commençant par des bisous à la joue, il remontait ensuite vers les lèvres de la stagiaire qui se laissait faire. Tous les deux se roulaient des patins avec passion, s’enlançaient fortement et, les mains baladeuses d’Andy se glissaient sous la jupe en soi de Julie qui ferma subitement ses jambes et repoussa l’avocat.
D’un air gênée, elle resta silencieuse avant de reprendre la conversation.

Julie : Désolée, je ne peux pas !
Andy : Je comprends, mais dis moi au moins ce tu as…
Julie : Je me suis disputée avec mon mec, on s’est séparé hier après plusieurs années ensemble.
Andy : Qu’est ce qu’il t’a fait ce morveux ?
Julie : Il m’a juste dit que je parlais trop de toi et ça l’a rendu furieux.
Andy : C’est vrai que tu parles souvent de moi ? mais, je ne comprends pas…
Julie : Je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour, tu l’as pas remarqué ?
Andy : Moi aussi tu m’as plu dès que je t’ai vu Julie, maintenant, qu’est ce qu’on fait ?
Julie : Mais, t’es un homme marié et, ça me gêne de…

La stagiaire est une chaudasse

Ne lui laissant pas terminer la phrase, Andy l’embrassa de nouveau et cette fois, c’est elle qui a pris les choses en mains. Après quelques secondes de flirt, elle a introduit ses mains dans le pantalon de l’avocat pour lui tailler une pipe torride. Ses belles lèvres se frottaient au pénis du maître, qui durcissait. Continuant de sucer Andy, Julie le fixait du regard, comme une vraie lionne affamée, elle bouffait les couilles, puis le déshabillait pour lécher son anus.
Le quadragénaire était aux anges, il demandait à sa belle étudiante de continuer. Comme elle sait y faire !
Impuissant devant ce spectacle que lui offre cette cochonne, il se laisse faire. Une fois sa trique bien dure, Julie se lève pour s’asseoir sur son phallus qu’elle introduit dans sa chatte, il la sentait super humide et chaude.
Elle se déhanchait, l’embrassait, lui léchait les nichons, c’était excellent !
Elle n’avait pas encore fini de montrer ce dont elle est capable que le téléphone sonna. Voyant le numéro de sa femme qui s’affiche, Andy, refusa de décrocher mais, Julie ne l’entendait pas de cette oreille. C’est une coquine qui a des idées hallucinantes.
Elle décroche et met le combinet à l’oreille de l’avocat qui entama la conversation. Pendant ce temps, Julie ne s’arrêta pas de chevaucher son pénis. Déconcerté, Andy la repoussa violemment et, Julie se retrouva allongée sur les carreaux.
La conversation téléphonique se termina après deux minutes et, lorsque l’avocat revint à Julie, elle s’était déjà rhabillée et, avait pris son sac pour s’en aller.

Andy : Mais qu’est ce que tu fais ?
Julie : Je m’en vais, j’ai trop honte, je ne pourrais plus travailler ici, ni te regarderais après ce qui vient de se passer.
Andy : Mais, mais, Ju, Ju…

Pendant qu’il essayait de la convaincre, elle claqua la porte et disparu à tout jamais.

La meilleure amie de ma fille

Par François, 49 ans – Non, je ne suis pas un vieux pervers. Je ne regarde pas de porno sur internet, je ne trompe jamais ma femme… Tout juste si je reluque un peu les belles femmes dans la rue. Et pourtant, il m’est arrivé une drôle d’aventure récemment, à propos d’une copine de fac de ma fille aînée. Sa meilleure amie donc, une certaine Lætitia, est une belle blonde qui s’est révélée assez allumeuse à mon égard, mais pas seulement.
Je suis donc le père de deux enfants : une fille, qui a 20 ans et qui fait des études de médecine et un fils de 17 ans qui est encore au lycée. Ce dernier, quand Lætitia est arrivée à la maison a senti les yeux qui lui sortaient de la tête. Quelle belle plante !

Jolie, sans plus, mais surtout gaulée comme une star du X : gros seins ronds, peau bronzée, blonde comme les blés, taille fine, fesses rebondies… Tout pour faire tourner la tête à un ado de 17 ans… Et, du même coup, à un vieux croulant comme moi. D’autant que la belle blonde, la meilleure amie de ma fille, donc, portait une tenue digne des robes des libertines.

Ma fille avait invité sa condisciple pour le week-end, histoire de réviser ensemble leurs examens, tranquilles, à la campagne. Et dès le premier dîner, j’ai senti que quelque chose d’incroyable allait m’arriver. Déjà, je dois bien avouer que j’étais troublé par la présence de la bimbo, d’autant plus que celle-ci, en plus d’être bandante au possible, se montrait intelligente et drôle, avec un sacré sens de la répartie.

Nous avons donc dîné tranquillement, il est vrai en arrosant bien de plusieurs bouteilles de vin le poulet rôti qu’avait préparé ma femme. Et quand le dessert est arrivé, j’ai senti un pied me toucher, sous la table. Pas de doutes possibles, c’était le pied de Lætitia, assise en face de moi. J’ai cru d’abord à une fausse manœuvre, puis, devant l’obstination de son pied à se promener le long de ma jambe, j’ai du me dire qu’elle draguait mon fils.

J’ai regardé la jeune femme. Elle a plongé son regard dans le mien. C’était certain désormais : elle était en train de m’allumer, discrètement, en présence de ma femme et de mes deux enfants. J’ai voulu lui faire arrêter son petit jeu, mais comment faire, sans la mettre dans un embarras indescriptible.

Puis nous sommes partis tous nous coucher, sauf les filles qui devaient plancher sur une question médicale à laquelle je ne comprenais rien. Avec ce que nous avions bu, je leur souhaitais bon courage. Le lendemain encore, un samedi, elles se sont consacrées à leurs chères études, avec, pour perspective de sortir, le soir venu, dans une boite de jeunes de la région.

La meilleure amie de ma fille est une bombe

Vers 18h, alors que ma fille était partie faire quelques courses avec mon épouse, Lætitia débarquait mon atelier. J’en ai fait tombé le marteau que je tenais à la main, qui a atterri directement sur mon pied. « Oh pardon, » me dit-elle, « je ne voulais pas vous effrayer ! ». Elle porte une superbe tenue de simili cuir, du genre sexshop, qui moule à merveille son corps de rêve, sans compter le décolleté impressionnant qu’elle arbore.

Tu parles que j’ai eu peur… Elle est surtout absolument sexy dans cette tenue. Et là voici qui se jette à mes pieds dans l’entreprise incroyable de me soulager de la chute du marteau. Je suis affreusement gêné, mais je laisse mes yeux traîner quand même un peu du côté de la vue plongeante que j’ai sur ses seins, que je peux reluquer presque comme si elle était topless.

En se relevant, l’amie de ma fille s’appuie à ma jambe et, comme par hasard, sa main frôle ma braguette. Elle est maintenant face à moi. Elle a vu la détresse dans mes yeux. Elle est la prédatrice, je suis la proie. Elle pose ses lèvres sur les miennes, sa poitrine opulente se colle à la mienne. Dans un long baiser, elle parvient à m’enlever ma chemise.

Pourvu que mon fils ne débarque pas maintenant. Je suis entièrement nu maintenant. Les gros seins de Lætitia sont sortis, comme deux diables de leur boite, de la robe en faux-cuir. Je relève la fausse jupe, elle n’a pas de culotte. Je découvre une chatte épilée de près, un véritable petit abricot, tendu vers moi.

Tout à coup, elle me paraît bien jeune, bien innocente, mais j’ai trop envie d’elle. Je vais la baiser là, sur l’établi, dans les cris d’extase qu’elle retient pour ne pas alerter le fiston. Elle sait y faire. Elle mord mon oreille et agite son bassin en tout sens pour profiter au mieux de la pénétration.

Je suis en train de baiser la meilleure amie de ma fille. Elle a trente ans de moins que moi, mais c’est elle qui mène la danse.

Une étudiante perverse dans les toilettes d’un train

Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.

Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.

Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?

Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.

Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.

L’étudiante studieuse devient perverse…

La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.

Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.

Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.

Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.

Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.

Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.







Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Il m’a donnée à ses copains

« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous ».

Karim s’en va, il me laisse à ses copains, deux gaillards de son immeuble que je connais un peu car ils sont toujours fourrés ensemble tous les trois. Il vient de me baiser et me laisse encore dégoulinante de son foutre, sur le sol de sa chambre.

Brandon et Mourad s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une étudiante de bonne famille venue de la ville voisine.

J’ai trop joui avec Karim pour me révolter. Je suis un sac à foutre et j’ai encore envie d’être baisée comme une chienne, soumise, humiliée et possédée. Je relève mon cul comme pour inviter les deux mecs à me prendre. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds.

Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul, celui-là même que Karim vient de quitter. Il prend un peu du foutre qui s’en écoule, le mélange à ma mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin.

Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe, très large mais un peu court. Il me distend complètement la bouche, me fouille dans tous les recoins.

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J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Karim tout à l’heure. J’espère que mon enculeur sera tout de même assez à l’étroit pour bien jouir. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue.

Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que le jouet des deux copains de Karim, leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.

Arrive un moment où Mourad quitte ma bouche pour venir se coller sous moi. Il enfile sa verge dans ma chatte. Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration est une nouveauté pour moi et m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la chambre de Karim et doivent parvenir jusqu’aux oreilles des voisins à travers les minces cloisons de l’appartement. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les deux amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.

A moitié évanouie, je  ne peux m’empêcher de remercier en pensée le gentil Karim qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?