Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

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La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Il m’a donnée à ses copains

« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous ».

Karim s’en va, il me laisse à ses copains, deux gaillards de son immeuble que je connais un peu car ils sont toujours fourrés ensemble tous les trois. Il vient de me baiser et me laisse encore dégoulinante de son foutre, sur le sol de sa chambre.

Brandon et Mourad s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une étudiante de bonne famille venue de la ville voisine.

J’ai trop joui avec Karim pour me révolter. Je suis un sac à foutre et j’ai encore envie d’être baisée comme une chienne, soumise, humiliée et possédée. Je relève mon cul comme pour inviter les deux mecs à me prendre. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds.

Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul, celui-là même que Karim vient de quitter. Il prend un peu du foutre qui s’en écoule, le mélange à ma mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin.

Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe, très large mais un peu court. Il me distend complètement la bouche, me fouille dans tous les recoins.

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J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Karim tout à l’heure. J’espère que mon enculeur sera tout de même assez à l’étroit pour bien jouir. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue.

Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que le jouet des deux copains de Karim, leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.

Arrive un moment où Mourad quitte ma bouche pour venir se coller sous moi. Il enfile sa verge dans ma chatte. Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration est une nouveauté pour moi et m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la chambre de Karim et doivent parvenir jusqu’aux oreilles des voisins à travers les minces cloisons de l’appartement. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les deux amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.

A moitié évanouie, je  ne peux m’empêcher de remercier en pensée le gentil Karim qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.