La vengeance de ma femme

J’ai trompé ma femme, pour la première fois en plus. On était à une soirée entre potes, et une meuf est venue me draguer. Elle n’était pas spécialement belle, en tout cas loin du niveau de ma femme, mais je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai cédé à sa demande de la ramener chez elle. Puis je suis monté. Je n’aurai jamais dû, car ce qui devait arriver arriva, nous avons niqué comme des bêtes. Je l’ai revue au moins pendant quatre mois, à raison d’une fois par semaine. Mais je n’ai pas fait assez gaffe, et un soir, ma chérie a décidé de fouiller mon téléphone.

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Elle est tout de suite tombée sur un sms cochon de la part de l’autre salope. Nous avons beaucoup discuté, et elle a décidé de me pardonner. J’ai vraiment eu de la chance. Enfin, c’est ce que je pensais, car tout ceci n’était qu’une grosse mascarade. En effet, ma petite femme adorée était beaucoup plus maligne que je ne le pensais. Mais je ne le savais pas encore, et je faisais tout pour la reconquérir. Je pensais que ça marchait bien, car elle paraissait si heureuse des attentions que je lui apportais tous les jours. Des fleurs, des restaurants, des bijoux, des robes… J’étais presque ruiné, mais au moins j’avais récupéré ma petite chérie que j’aimais tant. Sauf qu’un soir, alors que je rentrais du travail comme d’hab, Nathalie n’était pas à la maison.
Il y avait un mot sur la table: « Je ne suis pas là ce soir, monte dans la chambre, il y a une surprise pour toi sur le lit ». Interloqué mais pas trop inquiet, je monte donc dans la chambre pour voir ce qui m’attend. Je rentre dans la pièce, et rien de particulier ne me saute aux yeux. Sur le lit a-t-elle dit? Ah oui, effectivement, il y a une cassette posée sur la couette. Sur le flanc, il y a une étiquette « pour mon chéri ». Je rigole, pensant à un vieux film de vacances et je mets la bande dans la magnéto. Je clique sur play et le film commence. Je peux voir ma femme devant l’objectif, dans une tenue vraiment indécente.

Elle se trémousse devant la cam et s’effeuille progressivement pour finir sur le lit, les cuisses écartées et la chatte bien visible. Je commence à bander doucement, quelle belle salope de me faire une surprise comme ça. Elle aussi commence à se masturber, un doigt, deux doigts puis trois finissent au fond de sa vulve charnue et juteuse. Je sors mon sexe et me branle amplement en fixant l’écran et voyant ma femme se faire du bien sur notre lit conjugal. Mais tout à coup, un mec apparaît à l’écran. Quoi? Mais? Je ne comprends pas, enfin si, je comprends maintenant. C’est sa vengeance pour ma tromperie d’il y a quelques semaines. Le mec en question est un collègue de taf à ma femme que je déteste particulièrement. C’est un arabe de la trentaine qui me soule à chaque repas d’entreprise. Je suis fou en voyant ça car le gars a son chibre dehors, et il possède un étron gros comme un lampadaire. Ma femme se tourne vers l’objectif: « C’est pour toi mon chéri, pour le mal que tu m’as fait, pour m’avoir prise pour une conne, maintenant c’est lui qui va me prendre et bien comme il faut! ». Elle fait ensuite un clin d’oeil puis se tourne vers le service trois pièces de son partenaire pour commencer à lui prodiguer une fellation dantesque.

Sa vengeance ? Se filmer en train de me tromper !

Elle lui tient fermement la hampe puis lui aspire le bout, passant et repassant encore et toujours sa petite langue infidèle tout le long de cette énorme verge, et jusqu’aux couilles. Elle l’avale en entier, et son visage angélique devient rouge sous le manque d’oxygène. Elle se fait ensuite enculer sauvagement puis prendre la chatte dans toutes sortes de poses vraiment osées. Les burnes du rebeu claquent fort sur la raie de ma femme. J’ai les yeux remplis de larmes, et ma queue est devenue toute molle. Le pire, c’est que cette salope prend vraiment son pied et joui plusieurs fois sous les assauts pervers de son collègue de travail. En plus, il n’arrête pas de lui manquer de respect en lui pinçant les nibards, en lui crachant dessus et en lui claquant le cul avec violence. Au lieu de lui intimer d’arrêter, elle lui demande de la sodomiser et de la frapper encore plus fort, puis ce queutard lui recouvre le visage de son sperme gluant. Elle vient ensuite devant la cam avec la tronche pleine de foutre et fait un bisou sur l’objectif. L’enregistrement s’arrête là. Faites attention, les femmes sont d’un machiavélisme implacable…

Le mec de ma copine…

Je n’avais pas autre choix que de le faire… Je vous explique : Thomas. 26 ans, beau gosse est le mec de ma meilleure copine. J’en avais un peu marre qu’elle me parle toujours des exploits sexuels de son mec, limite je n’y croyais pas, le style : étalon, bien monté, endurant, imaginatif, tactile etc. Il fallait tenter le coup, pour vivre cela. Un soir sachant qu’il est concierge pour un ensemble d’immeuble près de Bagnolet, il travaillait de nuit ce jour-là. Je rentrais dans l’immeuble et je tombais pile sur lui. Le bol.

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– Bonsoir Thomas dis-je, je passais dans le coin et j’ai voulu te faire un coucou.

– Bonsoir Anna, quelle surprise agréable ! Je ne pensais pas te voir seule ce soir.
Il me parlait avec une décontraction un peu déconcertante, l’immeuble était calme et nous étions aux alentours de 23 h.
– Tout le monde est rentré. Veux-tu une bière pour te désaltérer ?
– Oui dis-je !
Causant au tour d’un pot, c’était le début de l’hiver et je suis assez frileuse, il me fallait une seconde chaleur en dehors du chauffage qui alimentait l’immeuble. La discussion prit une autre tournure, car nous étions seuls et tout le monde était déjà rentré. Thomas a un point faible c’est le sexe, je lui dis assez directement ce que je pensais au fond de moi.


– Thomas, je me sentais seule et je ne savais pas où aller, alors pour ce soir c’est toi mon plan sexe, s’il te plait ne me dis pas non.
– Je m’y attendais dit-il, bienvenue dans mon royaume je vais te servir.

Baisée par le mec de ma copine !

Il me prit brusquement, m’entraina sur les marches de l’escalier et m’intima l’ordre en me disant : assoies toi là. J’exécutais, il me déshabilla vite fait comme s’il voulait gagner le temps.
Et fit de même, nous étions là nu sans caresse, ni préliminaires, il écarta mes jambes en cherchant un passage forcé dans ma chatte, il l’introduisit, en fauchant la barrière de sa résistance. J’avais de la peine à contenir sa bite qui rabotait mes entrailles avec une force exquise pour m’entraîner dans le plaisir que voulait m’offrir ce macho de Thomas. Peu à Peu, le plaisir s’installait, une pression cérébrale tourbillonnait en moi des questions sans réponses.
Nus dans escalier ! Et s’il y avait quelqu’un qui descendait ? Puis l’idée devient plus claire. Un filet de cyprine féroce sortait de ma chatte qui devenait tellement trempée. Il le remarqua.
– Hein salope t’es toute mouillée là, maintenant tu vas voir ce que suis capable de faire aux petites allumeuses de ton genre. Retourne-toi, je vais t’enculer sale chienne.

Il passe au petit trou…

Du maitre à l’esclave son ordre me soumit à sa volonté, je me retournais, là il ouvrit mes fesses en tapotant d’abord les deux côtés, soudain je sentis sa langue explorer tous les contours de mon anus, ses doigts dans ma chatte, ce mec savait ce qu’il faisait. Je miaulais de plaisir, j’étais aux anges sur ces marches, d’un coup un peu habile, il me pénétra par mon petit trou, qu’il mit à feu avec ses va et vient torrides, je n’en pouvais plus, je devenais sa chienne, j’avais le plaisir nécessaire entre vanille et hardcore, j’étais sa chose à cet instant-là. Un second orgasme amplifia mon plaisir, et nous jouîmes au même moment. Il retira sa quéquette de mon anus en tapotant encore plus fort sur mes fesses.
– Salope, ma petite salope Anna j’aimerai qu’on le refasse d’une façon mieux arrangée, mais t’a mérité ce que tu voulais petite perverse.
Je souris, et me rhabillais avec joie comme si je venais de gagner un trophée. C’était sensationnel.

Campeuse démontée par un pote

Sarah est allé camper avec un couple de potes au fin fond de la forêt. Elle-même est pour l’instant célibataire, mais pas question de rester à la maison pour le weekend, et autant profiter du soleil et du camping. Ses amis Léo et Sandra aiment sortir dans la nature boire des bières et manger des saucisses au coin du feu, et lorsqu’ils proposent à Sarah de les accompagner, elle accepte tout de suite. Ils arrivent sur un coin bien tranquille, à l’écart de la route et à l’abri des regards indiscrets. Il fait bientôt nuit et ils montent les tentes. C’est alors que Sandra s’aperçoit avoir oublié les bières.

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Elle laisse donc son mec et sa meilleure amie seuls pendant qu’elle retourne en ville pour chercher de quoi picoler un peu. Sarah se change dans la tente et Léo en profite pour jeter un coup d’oeil à travers la fermeture éclair. Il découvre le cul de sa pote en string et il ne peut pas s’empêcher de sortir discrètement sa verge et de se masturber. Sarah se sent observée et se retourne d’un coup, surprenant ainsi le mec de sa copine en train de se branler le poireau sur elle. La jeune campeuse est un peu gênée vis-à-vis de son amie, il s’agit tout de même de son mec.

Mais l’envie de sucer une queue est trop forte, et Sarah indique au voyeur opportuniste de venir la rejoindre dans la tente.
Elle passe sa langue sur ses lèvres en guise de lubrifiant puis enfourne la grosse tige veineuse de Léo jusqu’au fond de la gorge. Léo lui prend les cheveux et lui baise littéralement la tête comme un forcené. Sarah devient rouge comme une tomate et ses yeux se remplissent de larmes. Les veines de son cou ressortent sur le côté et on voit bien qu’elle est au bord de l’asphyxie, pourtant le connard continue de lui bourrer le fond de la bouche. Il met des grands coups de reins dans sa gorge et lui fait un vrai curage des amygdales. Sarah commence à regretter d’avoir invité le mec de sa copine dans sa tente pour jouer au docteur.

démontage en règle pour la campeuse !

Mais c’est trop tard, Léo est en pleine érection, et il n’est pas question pour lui de s’arrêter à cette simple pipe, aussi violente soit-elle. La salope tend donc sa croupe bien en l’air pour faire un bon doggystyle. Léo s’embroche comme un repris de justice dans cette moule si tendre et juteuse. Sur chaque coup de burin, les grosses burnes du mec viennent percuter le clito de la belle Sarah qui commence enfin à prendre son pied. Il ne faut pas traîner, car Sandra ne va pas tarder à revenir avec les bières. Le type s’empresse d’enculer Sarah un petit peu puis il finit de se vider les couilles dans la bouche de la belle. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Il faut maintenant aérer la tente, car ça sent drôlement le cul là-dedans!

Jeunes et chauds du cul !

Il y a quelques mois – en fait pas loin de deux ans – je me suis retrouvé au chômage. Autant vous dire que, à mon âge, j’avais peu de chances de retrouver quelque chose d’aussi motivant que mon précédent poste : bien payé, intéressant avec de vraies possibilités de développement, aussi bien professionnel que personnel.

J’ai finalement décroché un entretien d’embauche dans une start-up. C’est l’une des patronnes qui m’a reçu. Une jeune femme d’à peine 25 ans, dont j’aurais presque pu être le père ! Melinda, belle rousse aux corps gracile et sexy, m’a tutoyé d’emblée. Elle a jeté un coup d’œil rapide à mon CV, puis m’a interrogé sur mes motivations.

Je me suis senti tout de suite mal à l’aise. Apparemment, elle était dans la moyenne d’âge de l’équipe, j’allais vite passer pour le papy de la bande, à condition bien entendu d’être retenu, ce qui n’était pas joué d’avance. Mes motivations ? Quand tu auras 50 berges, une maison à payer, une famille à nourrir, tu ne te poseras plus ce genre de questions, ma belle !

Je la baratine un peu, elle n’est pas dupe et me sourit d’un air moqueur. Elle m’explique sa conception de la vie d’une entreprise : chacun doit se sentir libre, ne doit pas hésiter à prendre l’initiative, se sentir proche de ses collègues, qui ne doivent pas rester de simples collègues… Bref, tout le charabia des nouvelles boites de petits bourges qui pensent devenir les maîtres du monde.

Bref. Je repars avec la certitude d’avoir échoué. Sauf que, cinq jours après, Alex, que je comprends être le petit ami de Melinda, me téléphone et me demande si je suis toujours dispo. Tu parles que je le suis ! Sauf que si je veux le job, il faut que je rapplique dans l’heure et que je me mette au boulot, pour débuguer une de leurs applications.

Quarante minutes plus tard, je suis sur place et je règle le galimatias informatique en quelques clics. Toute l’équipe est aux anges. Il y a là Melinda, Alex et trois autres petites nanas et autant de mecs : Cindy, Samira, Joana, Christophe, Désiré et Jipé. Je comprends assez vite que tous vont par paires, autrement dit par couples.

Je suis embauché, et je m’adapte assez bien à cette bande de jeunes qui, je dois bien le reconnaître, sont hyper brillants et efficaces dans leur boulot. Quand l’un d’eux coince sur un code, il file dans la salle de relaxation, propose un ping-pong à un de ses collègues, ou encore un baby-foot ou une partie de flipper.

Trop chauds les petits jeunes !

Ça a l’air cool, mais on bosse vraiment dur, sans compter les heures. Et, il fallait bien que ça arrive, je coince à mon tour sur un problème posé par la patronne, j’ai nommé la sexy Melinda. A deux jours de la fin de ma période d’essai, avouez que je n’ai pas de bol. La rouquine vient me voir, en me demandant si j’arrive à me dépatouiller avec le code qu’elle m’a demandé.

Je dois bien lui avouer que non. Je cale complètement. La boss doit remarquer ma panique, doit voir le stress et l’angoisse dans mes yeux. Dans un large sourire, elle me propose d’aller me poser quelques minutes dans le canapé de la salle de relaxation. Elle m’y accompagne et s’assure que je suis dans les meilleures conditions pour faire le vide, pour mieux repartie plus tard à l’assaut du bout de code récalcitrant.

Me relaxer, tu parles ! Elle se place à genoux, face à moi et ouvre ma braguette. Je me fais tailler une pipe par une jeunette de 25 piges qui, de surcroît, n’est autre que ma patronne. Merde, Alex débarque dans la salle de repos. Il va me tuer, c’est sûr ! Non, même pas : le jeune entrepreneur plaisante avec nous, pendant que sa femme me suce la bite ! C’est, pour le moins déconcertant !

J’ai trouvé la boite parfaite. Vous avez un problème ? Vous stressez à cause du boulot ? Rien de tel qu’une bonne baise pour vous remettre sur pied et repartir à l’assaut du boulot ! Régulièrement, Samira me demande si je veux bien lui masser les épaules, parce qu’elle s’est coincée le dos en bossant. Et, régulièrement, je me retrouve à la baiser sur le fameux canapé. Elle repart d’attaque pour quelques heures d’encodage.

Et c’est ainsi que tout se règle dans la start-up. Ils auraient du s’appeler les bonobos ! Dans une semaine, Melinda a prévu une soirée intégration pour fêter ma titularisation dans l’équipe. Ça se passera chez elle et Alex, et j’ai cru comprendre que ce genre de soirées se terminait souvent en partouze.

Une seule question se pose à moi : vais-je oser y emmener ma femme ?

Je dresse les femmes infidèles

Les sites de rencontres de sexe, c’est tout un poème. Trop d’hommes, pas assez de femmes infidèles, pas évident de s’y faire une place au soleil quand on est comme moi, ni beau, ni moche. Mais j’ai développé une technique de drague qui correspond assez à ma personnalité et à mes fantasmes et qui, je dois dire, a plutôt porté ses fruits jusqu’à présent. Bien sûr, je me prends quelques râteaux, plus souvent qu’à mon tour, à vrai dire, mais j’ai un certain succès, surtout auprès des femmes mariées infidèles (sans doute le résultat d’un sentiment de culpabilité).

Je vous donne mon truc  ? Allez, c’est parti, mais je vous préviens, il faut quand même oser. Alors que, comme tout le monde, à mes débuts sur ce genre de sites, je me la jouais homme respectueux des envies de ces dames, à l’écoute de leurs désirs, en tout bien tout honneur et tout le tralala, j’ai décidé d’adopter une attitude beaucoup plus direct. Je leur dis  : «  je cherche une femme à transformer en salope, qui soit prête à devenir ma chienne, pour un plan cul ou pour une relation suivie  ».

Et évidemment, plus d’une m’envoie bouler, me blackliste, me traite de tous les noms… Ce sont les risques. Certaines même préviennent leurs copines que je suis infréquentable. Ce qu’elles ne savent pas, c’est que, ce faisant, elles jouent plutôt les rabatteuses pour moi. Ça n’arrivait jamais avant, mais j’ai maintenant des demandes spontanées de tchat.

Pendant le dialogue, je dis à la femme, ou à la fille (j’en ai rencontré de moins de 25 ans, majeures, je précise!) ce que j’attends d’elle. Une parfaite docilité. S’il y a des choses qu’elle refuse (sodomie, douleurs,…), elle doit me le préciser d’emblée car, ensuite, si nous nous rencontrons, elle devient ma chose. Croyez-le ou non, mais ça marche  !

Je me suis acheté une panoplie de parfait dominateur  : menottes, cravache, gag-ball… Et je reçois ces dames – ou je vais chez elle – en tenue de maître BDSM. Récemment, je suis allé chez une jeune femme mariée de 29 ans, une superbe rousse, gaulée comme un top-model, qui s’apprêtait à tromper son cher et tendre pour la première fois. J’ai exigé qu’elle m’attende entièrement nue, à quatre pattes, le cul tourné vers la porte d’entrée.

J’ai sonné à l’interphone, elle m’a ouvert. J’ai pris l’ascenseur, et, une fois sur le palier, j’ai poussé la porte de son appartement. Elle était effectivement en position de levrette, les fesses tendues vers moi. J’ai exigé  : «  écarte plus les cuisses, je ne vois pas assez ton cul  ». Elle a obtempéré. Je l’ai félicitée en lui collant une bonne claque sur la fesse gauche. Elle m’a dit merci. J’ai claqué la fesse droite.

J’ai joué ensuite avec son boule, sa chatte et même ses seins. Elle râlait de honte et de plaisir mêlés. J’avais une de ces triques. Du coup, j’ai sorti ma bite de la braguette, et je lui ai enfoncé au fond de la gorge. Elle a sucé, péniblement certes, mais docilement.

«  C’est la première fois que tu fais ça, salope  ?  ». Elle a fait oui de la tête. «  Ton mari ne risque pas de rentrer  ?  ». Non. Je l’ai fait e relever, tout en lui indiquant de poser ses mains sur sa tête. Ses yeux étaient embués de larmes, dues à la succion en fond de gorge. J’avais ses jolis petits nibards à ma disposition. Je les ai tirés, pincés, claqués et elle me laissait faire.

J’ai passé mes doigts entre ses lèvres du bas. Elle était trempée. Il était temps pour moi de prendre ce qui m’appartenait  : sa chatte  ! Je l’ai faite se retourner et je l’ai baisée ainsi, debout, elle appuyée contre le mur. Quand l’envie m’en a pris, j’ai changé d’orifice et j’ai tenté de lui prendre l’anus. Mais elle a eu trop mal, elle m’a supplié d’arrêter.

Dresseur de salopes infidèles

Je ne suis pas un vrai sadique, et encore moins un violeur. Je suis retourné dans sa chatte, mais je l’ai sautée encore plus sauvagement qu’auparavant. Elle gueulait comme une chienne, sans se soucier du bruit pour les voisins. Tout en la ramonant, j’ai attrapé son entrecuisse pour jouer avec le clitoris. A un moment, n’y tenant plus, ses jambes se sont dérobées et elle est tombée au sol. J’en ai profité pour lui offrir une petite douche de sperme à ma façon.

Celle-ci me recontacte régulièrement pour que je vienne la démonter. D’autres se contentent d’une fois. D’autres encore voudraient être mes salopes infidèles régulières. Voilà donc comment un mec moyen s’est constitué un petit harem de chiennes en chaleur. Je ne vous dis pas de reproduire cette méthode, à chacun son trip. Mais sachez-le, messieurs, les fantasmes féminins sont souvent plus enfouis que les nôtres.

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !

La maîtresse de mon fils

Mon fiston vient d’avoir 6 ans. L’âge de tous les possibles. Il apprend à compter, à lire, à écrire, il se fait de nouveaux copains et de nouvelles copines à l’école. Mais surtout, il a une maîtresse très gentille, très douée pour l’enseignement et, surtout, très canon… A mes yeux en tout cas.

Madame Martineau doit avoir la trentaine – ou quelque chose comme ça – et elle enseigne au CP depuis ses débuts (c’est elle qui me l’a dit) dans l’Education Nationale (on comprendra ici que j’ai changé son nom, pour préserver son anonymat). Estelle, c’est son prénom, est une petite rousse aux yeux verts, qui ne se dépare jamais d’un chemisier blanc et d’une jupe noire que tous les papas, comme moi, ont bien du mal à quitter des yeux.

Il faut dire que la maîtresse a des jambes splendides, malgré sa relative petite taille. Quant à sa poitrine, je n’en parle pas ! Ou plutôt si : deux magnifiques obus qui tirent sur le tissu de son chemisier blanc et qui, on le verra plus tard, ont même un peu tendance à faire sauter un bouton ou deux à l’endroit même où c’est intéressant, si vous voyez ce que je veux dire.

C’est à la première réunion parents / professeurs que je me suis rendu compte de la beauté de l’institutrice. J’étais placé légèrement en biais face à elle, et ma femme m’a trouvé incroyablement concentré sur ce qui se disait. En réalité, je n’ai pas retenu un traître mot de la réunion. J’étais fasciné par le petit trou, formé par un bouton défectueux, dans le chemisier de madame Martineau, et qui me laissait contempler le haut de sa poitrine, rehaussée par un soutien-gorge blanc.

Quand la question s’est posée d’élire les représentants de parents d’élèves, je me suis vu lever la main, à la grande surprise de mon épouse, et de moi-même. J’ai été élu (les volontaires ne se bousculent pas au portillon), ce qui me permet de passer du temps avec la belle rousse.

Depuis quelques temps, nous nous rapprochions, réunion après réunion. Et que je te bouscule dans l’embrasure d’une porte, et que je te frôle dans les couloirs de l’école, etc… Mais ce qui est arrivé mardi dernier, alors que nous étions tous les deux dans sa classe, avec mon rejeton, m’a laissé sans voix.

Oui, la prof de mon gosse me faisait des avances, à peine dissimulées !
C’est rare de voir un papa si impliqué dans la vie de l’école. Pour tout dire, je trouve ça très séduisant, chez un homme. Dommage que mon mari ne soit pas aussi impliqué que ça dans l’éducation de nos enfants.
J’ai tenté de bredouiller quelque chose. Il en est ressorti, bien malgré moi, que, avec une institutrice aussi belle, on ne pouvait que se sentir impliqué.

Madame Martineau a embrayé, alors même qu’elle rougissait de mes compliments :
Si vous voulez des précisions sur mes méthodes d’apprentissage de la lecture, je serais ravie de vous voir en tête-à-tête, peut-être chez vous, quand votre enfant est au centre de loisirs ?
Que vouliez-vous que je réponde ? J’ai accepté, étant libre le mercredi après-midi.

Rendez-vous coquin avec la maîtresse de classe

Le lendemain donc, Estelle s’est pointée à la maison. Elle n’était pas en tenue de travail. Elle avait troqué son chemisier et sa jupe contre un jean et t-shirt. Je me suis vite aperçu qu’il n’y avait pas de soutif en dessous, car ses tétons pointaient.

De but en blanc, elle a attaqué. Affirmant qu’elle était une épouse fidèle, qu’il n’était pas dans ses habitudes de coucher avec les parents de ses élèves… Ses intentions étaient claires. Les miennes aussi. Et pourtant, nous avons eu bien du mal à nous lancer. C’est là qu’elle a proposé un jeu. Elle m’a donné des exercices de maths à faire, à l’oral. Pour chaque bonne réponse, elle retirait un vêtement, pour chaque mauvaise, c’était à moi de me déshabiller.

Les exercices étaient du niveau CM2, autant vous dire qu’elle s’est retrouvée à poil avant moi. J’ai pu regarder à loisir le pubis poilu, et roux, de l’institutrice. Une beauté. Puis, je me suis lancé à l’assaut, dévorant son con odorant et humide.

Elle a fini de me déshabiller et nous avons baisé toute l’après-midi. J’ai adoré ce moment. J’avais envie de la revoir. Mais la belle maîtresse n’avait pas les mêmes intentions que moi. Elle m’a donné une photo d’elle entièrement nue, dans une position salace et m’a dit ceci :
Je préfère que nous en restions là. C’était super, je ne veux rien gâcher avec de la routine. Je te demande de rester discret sur ce qui s’est passé, et de ne plus chercher à me voir seul à seule.
J’étais tout penaud.

Ce week-end, un papa de CE2 m’a dit qu’il possédait une photo de la maîtresse de CP qui ne me laisserait pas de marbre. Elle m’avait menti, et utilisé.

Ma belle-soeur est une salope

Par Gérard, 48 ans.

Mon frère cadet a épousé une belle femme, ma belle-soeur donc. Le genre de nana qu’on remarque tout de suite, tant par son physique avantageux que par sa gouaille, qui est devenue légendaire dans la famille. Christine est une grande gueule, pas le genre à se laisser marcher sur les pieds, pas le genre non plus à se laisser impressionner par qui que ce soit.

N’empêche… Un jour que je devais passer apporter pour mon frère un colis qui m’avait été livré par erreur, j’ai frappé à sa porte. Personne n’a répondu. J’ai collé mon oreille, pour entendre si quelqu’un était là. Et j’ai entendu les cris d’une femme – Christine – qui gueulait de plaisir. Mon frère était au boulot, ça ne pouvait pas être lui avec elle.

J’ai décidé d’entrer dans la maison. En montant les escaliers qui conduisent à l’étage, vers la chambre de mon frère et de ma belle-sœur, je me suis tout imaginé : le facteur, un beau black, un petit gros. Tout, sauf ça.

Là, devant mes yeux, se tenait un énorme gangbang. Ils étaient bien une douzaine à sauter Christine, cette salope, qui prenait son pied comme une dingue, un plug anal planté dans le fondement. En me voyant, un des gars a du croire que j’étais un des invités. Il m’a fait signe de rentrer plus avant, en me disant : « mieux vaut un bon coup à dix qu’un mauvais coup tout seul ! ».

J’étais éberlué, d’autant que Christine n’avait toujours pas remarqué ma présence, trop occupée à pomper en fond de gorge une énorme bite tout en se faisant ramoner le vagin – et maintenant le cul – en double-pénétration. J’ai même pu m’éclipser avant qu’elle ne se rende compte de ma présence.

Mais je suis revenu le lendemain. Cette fois, Christine était seule. Sereine, elle m’a invité à rentrer. A peine assis sur le canapé, impatient de triompher de cette salope infidèle, je lui ai tout dit de ce que j’avais vu la veille. Elle eut l’air d’être choquée par mes révélations, mais pas plus que ça, en fait. Elle m’écoutait, en se penchant vers moi, découvrant ses deux appâts à mon regard.

Ni une, ni deux, je lui ai fait comprendre qu’il fallait me faire plaisir si elle ne voulait pas que je raconte tout à mon propre frère. Nous sommes montés à l’étage et là, une partie de baise intense m’attendait.

Je l’ai prise par tous les trous. D’abord la bouche : elle m’a montré ses talents pour la gorge profonde. Ensuite la chatte : elle m’a prouvé qu’elle n’était pas si large que ça, malgré les énormes membres qu’elle engloutissait parfois. Enfin le cul : elle s’est mise à quatre pattes devant moi, en me suppliant de lui faire mal et de la bourrer comme la dernière des putes.

Belle-soeur et véritable chienne de baise

Pour finir, Christine m’a pris en bouche et m’a pompé le dard jusqu’à ce que je lui éjacule au fond de la gorge. Elle a tout avalé. Une vraie traînée… Et puis, on a remis ça, chaque jour, pendant presque une semaine. Jusqu’au jour où je ne l’ai pas trouvée seule. Encore une fois, cette chienne se faisait démonter en gangbang, mais par trois mecs seulement.

Elle a voulu que je participe et j’ai accepté. Elle me faisait tellement bander. Elle a même exigé de moi et d’un de ses amants que nous la baisions en double pénétration anale, son cul étant bien ouvert par le port régulier du plug. Une première pour moi, peut-être pas pour elle.

Quand tous ses amants sont repartis, après s’être vidés les couilles dans la bouche de ma belle-sœur, elle m’a pris à part et a ouvert un petit tiroir de la table de nuit, du côté du lit manifestement dévolu à mon frère. Elle en a sorti une pile de photos de cul, du genre hyper pornographique, qui prouvaient sans l’ombre d’un doute que non seulement son mari savait tout de ses partouzes en pleine journée, mais qu’il y participait lui aussi, parfois.

« Tu vois, nous sommes libertins et ton frère me laisse baiser avec qui je veux, quand je veux… par contre, ce qu’il ne sait pas, c’est que son propre frère essaie d’abuser de sa femme… ». Je fus pris de panique. Elle a continué : « ne t’inquiètes pas comme ça, je ne vais rien lui dire, à condition que, à ton tour, tu fasses tout ce que je te demande. Je te sonne, tu viens, tu me baises quand je veux, dans la position que je veux, et où je veux ! ».

J’étais coincé. Comment avouer à mon frangin que je baisais sa femme ? Comment avouer le chantage que je lui avais fait ? Depuis, j’accepte tout de la part de Christine, les moindres délires, les moindres envies, les pires cochonneries. Voilà comment je suis devenu l’objet sexuel, l’esclave érotique de ma salope de belle-sœur.

Je trompe mon mari via un sextoy

Par Lison, 40 ans.

Oui, je suis une femme fidèle. Et pourtant, depuis quelques temps maintenant, j’entretiens une relation extra-conjugale avec un collègue de bureau. Mais cet homme ne m’a jamais touchée, en tout cas pas depuis que nous sommes amants adultérins. Vous ne comprenez pas ? Je vais vous expliquer.

Voici maintenant dix ans que je suis mariée. Je file le parfait amour avec mon époux. Il me comble de bonheur, m’a fait deux enfants magnifiques. Bref, je n’ai jamais eu envie  » d’aller voir ailleurs « , comme on dit vulgairement.

Sauf que, il y a trois mois, un nouveau venu a fait son apparition dans ma vie, et singulièrement dans ma vie professionnelle. Il se prénomme Jacques, il a le même âge que moi et nous avons fréquenté la même université. C’est mon amour de jeunesse. Nous avons été amants, et même bien plus que ça, pendant deux longues années, à l’âge où une relation d’un mois ressemble déjà à un engagement.

Quand il a été engagé par mon supérieur hiérarchique direct pour m’épauler dans mes tâches quotidiennes, j’ai été littéralement bouleversée. Et la suite m’a montré que lui aussi. Nous ne pouvions pas nous croiser sans éprouver une profonde gêne, mêlée d’attirance et de culpabilité. Plusieurs fois, nos mains se sont frôlées. Semant le trouble dans nos têtes.

Au fur et à mesure des semaines qui s’écoulaient, il est apparu évident que nous ne pourrions pas tenir plus longtemps, sans que nos corps n’aient trop envie l’un de l’autre. Jacques est marié, tout comme moi, et je sais qu’il tient à rester droit, tout comme moi. C’est là qu’il a eu une idée merveilleuse, quoi que, à bien y réfléchir, plus que dangereuse.


Un jour, j’ai trouvé dans le tiroir de mon bureau un petit coffret. Je l’ai ouvert, aussi discrètement qu’il m’était possible, comme si je sentais qu’il y avait là matière à s’alarmer. J’y ai trouvé un petit objet rose parme, en forme d’œuf. J’ai cherché du regard Jacques dans la pièce, qui m’a souri légèrement, avec un air entendu.

Une fois rentrée à la maison, j’ai pu inspecter la chose. Ça m’avait tout l’air d’être un de ces sextoys auxquels je ne connaissais rien. J’ai poursuivi mon inspection, pour m’apercevoir qu’il devait s’agir d’un œuf vibrant. Après une recherche sur internet, je me suis même aperçue qu’il s’agissait d’un œuf vibrant, télécommandable à distance.

Le lendemain, une fois mon mari parti au travail, je suis parvenue à m’introduire le dit sextoy dans mon intimité. Je suis partie au bureau ainsi, me demandant ce qui allait advenir de moi. La matinée s’est passée, sans que rien ne se produise. Puis l’heure du déjeuner est arrivée. Certains collègues se sont dirigés vers la cafétéria de l’entreprise.

Le sextoy télécommandé me fait jouir

Jacques a prétexté un travail à finir d’urgence, j’ai prétendu ne pas avoir faim, être un peu indisposée. Malheureusement, un stagiaire de l’open space avait lui aussi du pain sur la planche. Ça n’a pas empêché Jacques d’oser. D’un coup, d’un seul, l’œuf s’est mis à vibrer entre mes cuisses. Entre le mouvement de l’engin en moi et le fait de savoir qui le commandait, je me suis sentie toute chose.

Une sensation de bien-être s’est emparée de mon bas-ventre. J’ai tenté de dissimuler mon émoi, car j’étais précisément en face du poste de travail du jeune étudiant. Rien n’y a fait, l’orgasme est monté progressivement de mon vagin à mon ventre, s’est emparé de mes seins, de mon cerveau lui-même et j’ai joui, aussi silencieusement qu’il était possible.

Pendant tout ce temps, Jacques m’a observée. Et il semble y avoir trouvé son bonheur puisque, régulièrement, à n’importe quel moment de la journée, je suis prise de tremblements dans mon ventre. Je m’isole alors comme je peux, et je jouis de la main même de mon amant, qui ne me touche pas.

Ce petit objet, ce « sextoy », a instauré une gigantesque complicité entre nous et même si nous ne consommons pas notre relation, je sais que nous sommes amants. Mais je n’en ressens plus aucune culpabilité. Ou plutôt si, une : j’ai envie d’aller plus loin avec Jacques, voici de quoi je parlais s’agissant de la dangerosité de ce jeu.

Désormais, je ne suis plus certaine de rien et certainement pas de résister à l’appel des sens qui se manifeste au plus profond de moi (le sextoy ;)) depuis que mon amour de jeunesse est réapparu dans ma vie. Bien entendu, mon mari ignore tout de mes agissements, et c’est peut-être bien cet état de fait qui me procure le plus de plaisir.

Le meilleur ami de mon fils

Par Yvette, 54 ans.

Je sens sa bite vigoureuse taper au fond de moi. Jamais je n’aurais du attendre aussi longtemps, jamais je n’aurai du laisser passer ma vie sexuelle. C’est trop bon. La peau douce de Benoît glisse contre la mienne. Il est en sueur, moi aussi. Je sens sa poitrine contre mes deux gros seins lourds, mais je sens surtout son membre viril au plus profond de mon vagin.

Je m’appelle Yvette, j’ai 54 ans, et j’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, dont mon fils, André, et de mon mari Claude. Il y a peu de temps, je me suis aperçue que Claude avait des aventures assez régulièrement. Oh, rien de sérieux, rien de bien grave, m’a t-il affirmé, mais tout de même, j’ai eu bien du mal à m’en remettre.

Et puis, mon fils a invité un de ses amis à venir passer le week-end dans notre maison de compagne. C’est là que j’ai surpris Benoît, le copain en question, fouillant dans la table de nuit de mon mari où celui-ci conservait d’anciennes photos de moi dans le plus simple appareil. Vous savez, ces vieilles photos instantanées que faisaient les couples désireux de s’encanailler, avant l’arrivée massive du numérique.

Quand il s’est retourné et qu’il m’a vue, toute habillée et avec 20 ans de plus, le jeune homme s’est mis à rougir. Je n’ai pas voulu en faire un drame et j’ai préféré plaisanter sur le temps qui passe, et qui rend les femmes moins désirables. Il m’a dit que, au contraire, il me trouvait plus belle que jamais. Un tourbillon s’est emparé de nous, il s’est jeté sur moi, me couvrant de baiser.

En quelques minutes, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus sur le lit et c’est là qu’il a commencé à me prendre. J’étais folle de désir pour ce jeune corps, pour cette jolie bite, pas très grosse, mais indécemment tendue et raide, celle du meilleur ami de mon fils… Il me l’a enfoncée entre les cuisses, et j’ai manqué de peu un premier orgasme. La maison était déserte, mais pour peu de temps.

Mes enfants et mon mari allaient rentrer dans les minutes à venir. Il fallait faire vite. Benoît m’a baisée en missionnaire, jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Il m’a ensuite demandé de me mettre en position de levrette et, malgré ma gêne de lui exposer ainsi mes grosses fesses de quinquagénaire vieillissante, j’ai accepté.

Maintenant, il me baise comme une chienne et, malgré son petit sexe, il arrive à vraiment me défoncer le vagin. Je jouis encore. Mais j’ai peur. Peur d’être surprise par mon mari ou pire, par l’un d mes enfants. Imaginez André me surprenant en si fâcheuse posture en compagnie de son meilleur ami !

La queue du meilleur ami de mon fils

Je me dégage de l’emprise de Benoît. Mais je ne veux pas le laisser comme ça. Je lui fais ce qu’adore mon mari : je prends son vit entre mes deux seins et je le branle vigoureusement. A chaque fois que son gland ressort de mes deux obus, je lui passe un coup de langue sur le frein.

Il va jouir à son tour. J’avais oublié comment les hommes giclaient, à vingt ans ! Il m’en met partout ! Sur les seins, bien sûr, mais jusqu’à mon visage, et même une goutte atteint mes cheveux. Je suis tremblante, souillée de sperme, le corps couvert de sa transpiration et de la mienne.

Il file dans la chambre des garçons, pour prendre une douche. Moi, je ne sais plus par quoi commencer. Oui, la salle de bains. Je m’y précipite, après avoir ramassé mes vêtements, jetés négligemment au sol, sur la moquette de la chambre.

Je ferme la salle de bains à clé. Je me regarde dans le miroir : j’ai le visage plein de sperme. Une douche, vite ! Avant que tout le monde ne rentre ! L’eau coule sur mon corps, et me lave, dans tous les sens du terme. Mais les images de notre étreinte me reviennent une à une en mémoire.

Là, sous le jet puissant de la douche, je me masturbe, jusqu’à atteindre mon troisième orgasme de la journée. Quand je reprends mes esprits, j’entends que ma famille est rentrée. Je me sèche, me rhabille prestement et je sors de la chambre.

Je retrouve mon mari et mes enfants qui rangent les courses, tandis que Benoît, le meilleur ami de mon fils les y aide. Il est beau comme un cœur. J’ai encore envie de lui. Je ne me souvenais plus de la fougue et de la douceur de la peau des garçons de son âge.

Après tout, si mon mari couche avec des petites jeunes, j’ai bien le droit, moi aussi ! Il faudra que je recommence… avec Benoît, s’il en a toujours envie. Ou avec d’autres : mon fils a beaucoup d’amis !