Baiser une beurette ? Ca c’est fait :)

Je n’ai pas la prétention de dire que j’enchaîne les meufs et que je suis un niqueur hors pair, mais cette histoire vraie est un peu une sorte d’encouragement pour tous les mecs qui on envie de baiser une beurette. N’ayez pas peur de vous prendre un vent, ces petites arabes sont de vraies chiennes en chaleur. Samia est une collègue de travail. Une petite stagiaire qui a débarqué dans mon bureau il y a un mois. J’ai tout de suite flanché en voyant son gros boule bien bombé.

Clique ic pour des rebeus bien chiennasses…

Elle faisait des manières de fille prude et innocente, mais j’ai vite vu qu’elle observait souvent ma bite dans mon jean. Ça fait longtemps que j’ai envie de baiser une beurette, et j’ai vu là une occasion en or de réaliser mon fantasme. Un soir, alors que tout le monde était déjà parti des locaux, il ne restait que moi et Samia. Je prétexte un retard sur un dossier important pour lui demander une demi-heure de son temps. Elle accepte. Elle portait comme à son habitude un petit legging noir qui lui moulait parfaitement le bas du corps. Je pouvais bien deviner sa chatte joufflue et toute sa raie du cul. Elle portait un voile, mais ça ne m’empêchait pas de bander pour elle. Je crois d’ailleurs que c’est comme ça que tout a commencé, elle s’est aperçue de la grosse bosse de mon jean. Elle a fait les gros yeux en me demandant ce que c’était. Je lui ai dit que j’allais lui montrer si elle me promettait de ne rien dire à ses frères.

Elle accepta en rigolant du cliché raciste que je venais de faire. J’ai alors fermé la porte à clé, et j’ai déballé ma queue. Je n’ai pas une bite énorme, mais quand je bande, je bande! Ma queue dure et pleine de veines lui a tapé dans l’oeil. Elle s’est jetée dessus, pour mon plus grand plaisir. J’étais étonné que cette beurette pratiquante accepte si facilement de me pomper, au bureau en plus, mais elle m’a avoué qu’elle était grave en manque de cul. Elle a commencé à me sucer maladroitement, mais je sentais que ce n’était pas la première queue qu’elle avait en bouche. Je sens encore sa langue me longer la tige des couilles jusqu’au casque. Putain quel bonheur de se faire bien piper par Samia la beurette musulmane. Elle me suce la queue tout en gardant son niqab, comme dans les films de cul. Je prends mon pied et savoure le moment. Elle fait des bruits de succion et me bouffe complètement l’engin. Je suis déjà à deux doigts de gicler et lui demande de se calmer.

Enfin je baise une beurette !!

Je veux baiser une beurette sur mon bureau, le fantasme absolu. Je lui demande de se foutre dessus en levrette. Je lui baisse le legging et la culotte d’un seul coup. Son boule énorme mais ferme est là, devant moi. Je prends ma queue en main, bien à la base, puis je plaque mon gland sur l’entrée de sa petite chatte sans poil. Sa peau bronzée et son odeur me font bander encore plus dur. Je pousse un grand coup et me retrouve complètement fiché en elle, jusqu’à la garde. Il n’y a que mes burnes qui sont dehors. Je sens bien qu’elle mouille et je commence à la limer fermement en la maintenant par les hanches. Son gros fion fait des vagues à mesure que je la pilonne. Mais l’excitation l’emporte, et après seulement 5 minutes de baise, je lui lâche tout au fond de la grotte. Elle me remercie pour cette baise rapide, réajuste son voile et son legging puis quitte le bureau d’un air naturel. Quelle salope!

Baise avec mon prof dans un bureau

J’aime Marc, mon prof. Il m’attire et c’est plus fort que moi, même s’il est mon prof ! Tout de lui me plait, nous avons 17 ans de différence d’âge. Si vous plongez dans ses beaux yeux bleus et sa charpente charnelle digne des vieux géants d’antan, vous comprendrez tout le désir qu’il puisse susciter. Un weekend pendant le printemps, je lui demandais de m’expliquer une partie du cours dont je n’avais pas la maitrise, et il acquiesça.

> Rencontre des bonnes salopes infidèles <

Nous nous retrouvions seuls un après-midi dans une salle isolée, afin qu’il m’explique ce fameux chapitre sur la comptabilité analytique dont j’avais peine à comprendre. J’avais une petite jupe qui mettait en valeur mes belles jambes, imaginez par vous-même, en dessous, je ne portais pas de culotte, sur moi j’avais à peine un tee-shirt sans soutien-gorge, car dans ma tête je m’attendais à avoir une vraie partie de sexe. C’était déjà ça dans mon for intérieur. Je vous épargne les détails de ses caractéristiques sensuelles, mais pendant qu’il m’expliquait ce cours, à vrai dire ma tête rêvait de sa bite. Je feins de ne pas trop comprendre ce qu’il me disait en m’approchant de plus bel vers lui, je sentis la douceur de sa senteur, m’enivrer comme une drogue, j’étais obnubilée par lui et perdu dans ce qu’il me disait.

D’un geste incongru, je plaçais ma main sur sa joue et très doucement, je me mettais à le caresser, ce qui ne le choquât pas, il me laissa faire. Je pris courage et je continuais à accentuer ma caresse sur ses deux belles joues.

– Que veux-tu me dit-il ?
– Je te veux toi depuis toujours tu m’obsèdes lui dis-je.
– Hum, seras tu assez discrète et moins jalouse ma petite Katie ?
– Laisses moi juste te croquer et la suite on verra rétorquais-je.

C’était dans un bureau de permanence, il n’y avait quasiment personne à cette heure, en dépit des agents de sécurité qui se trouvaient en bas. Je déboutonnais sa chemise avec désinvolture, un par un, il me laissa faire. Je découvris alors sa poitrine lisse, je commençais par sucer ses seins lentement, je sentais qu’il gémissait mais n’était pas assez expressif à ce sujet, je descendis sur son nombril avec calme, j’ouvris son jean et découvris sa grosse bite qui se raidissait. Il me la fallait dans ma bouche, je l’avalais avec peine tellement qu’elle était longue et grosse. Je la voulais en moi, après cette pipe, il faut préciser qu’il était assis sur une chaise. Je m’assis dessus cette bite qui avait un peu de peine à trouver la profondeur de ma chatte, avec un peu d’effort quoi que douloureux, elle s’enfouit en moi toute entière. Imaginez ma joie !

Mon prof me fait jouir…

J’allais et revenais doucement pour prendre du rythme, avec des mouvements saccadés que j’entamais, vint un orgasme qui boucha mes oreilles, je me sentais toute trempée. Quelle sensation !

– Enlèves moi ça petite salope me dit mon prof !
– J’ai envie de te sucer tout le corps.
J’obéis telle une petite fille à qui on donnait un ordre solennel, je laissais ainsi apparaitre mon corps nu dans cette petite salle un peu sombre. Il me souleva et me plaça avec adresse sur le petit bureau qui s’y trouvait, écarta mes jambes, enfonça ses deux gros doigts qui commencèrent à explorer ma chatte avec des va et viens rapides, tout de moi était en chaleur. Après, il retira ses doigts et posa sa langue sur mon clitoris en le léchant doucement, comme s’il était en train de m’infliger une punition extrême. Oh mon Dieu ! Là j’étais perdue, inondée par un océan de plaisir, je perds la vague, j’étais au ciel, des gémissements sans fin sortaient de moi, j’avais des mains immobiles. Je ne pouvais pas le toucher, et ce qui augmentait mon excitation, je ressentis des crampes partout, je le suppliais de me pénétrer, je le voulais plus encore moi. Et sur ce bureau, il souleva mes pieds, enfonça sa grosse bite que je reçu avec joie au fond de mes entrailles. Il partait et revenais en moi à la vitesse d’un train, je n’étais plus moi, j’étais ailleurs, puis survint un orgasme comme jamais, avant de le sentir jouir en moi fortement. Il se cloua sur moi, un petit baiser à la bouche. Nous restions immobiles. Le désir assouvi, l’amour dans le cœur.

Baise à l’hôpital

J’aime le sexe d’une façon maladive, j’ai 27 ans un physique attrayant, 1,68 m pour 60 kilos. Je travaille dans un hôpital à Lyon comme anesthésiste. Richard c’est mon boss, car il est le chef de département de chirurgie, je passe presque mes heures de services avec lui, selon notre planning. Richard est un homme attirant, intelligent et riche en plus célibataire à 40 ans. Un soir où on prenait notre garde, la salle de permanence était assez calme car elle est sous un angle un peu isolée. Autour d’un café nous causions de tout et de rien.

> Rencontre des bonnes salopes <

Arriva le déclic. Je ne compris comment je fis attirée vers lui, un baiser sur ses lèvres ; je me mis à le caresser directement sa bite.
Ma réponse fut des caresses encore plus accentuées sur sa verge cachée sous son pantalon, il se laissait faire et je menais la partie. Je descendis son froc et lui administra une bonne dose de branlette pour mettre en alerte sa bite qui se raidissait au fil du temps que je la suçais. C’était formidable de la ressentir au fond de ma gorge. Sa bite se faisait saliver pour faciliter la pénétration. Je me déshabillais rapidement et là toute nue, je lui demandais de commencer par m’enculer. Sans hésiter, je lui donnais mon derrière en levrette sur la moquette de la salle, il commença par m’enserrer l’anus.

Son sexe fini par trouver son chemin, et il commença à se mettre en action. J’avais comme l’impression qu’un train marchait sur mes entrailles, tellement que Richard devenait de plus en plus électrique. Ma jouissance était à son apogée, de plus en plus mon anus s’ouvrait à cause de l’orgasme que j’atteignais. Il sorti sa bite de mon anus, doucement posa sa langue sur mon clitoris, et commença à la titiller pour augmenter mon excitation.
Après quelques minutes acharnées sur mon clitoris qui se raidissait. Il s’allongea et me demanda de m’assoir sur sa grosse verge bien raide, je l’enserrais dans ma chatte toute mouillée, je montais et descendais sur elle, avec une technique dont j’ai seule le secret, ses mains appuyant mes fesses, se promenant partout, je jouissais à nouveau sous la pression du plaisir qui envahissait mon corps. J’avais l’impression de voler, d’être sur un autre monde. D’un coup, il me renversa, me prit en missionnaire les jambes en l’air, je subissais la pression de son sexe si viril qui cognait mon col d’utérus. J’aime bien cette sensation que cela me fait, il suçait mon cou, pinçait mes tétons, me donnait des claques sur mes joues, je ne pouvais plus, je devenais folle de plaisir. Je gémissais comme une chienne, je jouissais encore et encore. Je ne comprenais pas comment il trouvait assez d’énergie, pour tenir assez longtemps sur moi comme il le faisait, c’était sensationnel.

Orgasme à l’hôpital

Ma chatte en feu et mon anus déjà ouvert ne demandaient qu’une chose qu’il éjacule son sperme entre mes deux trous à son choix. Ma respiration devenait de plus en plus rapide, je criais de bonheur, j’avais envie d’arracher son dos, je le serrais fort, car je ne voulais plus qu’il me quitte. Il immobilisa mes mains, mon excitation devint encore plus forte. Je suis perdu dans cette posture de soumission, il partait et revenait en moi encore plus rapidement, c’était le feu en moi, une chaleur étrange mon cerveau ressentait des crampes, mon corps tremblait de joie, c’était à la limite divin, plus que magique, je jouissais de toutes mes forces. Il retira sa queue de ma chatte et me demanda de la sucer. J’avalais ses couilles, je suçais avec gourmandise sa bite, des allers retours dans ma bouche, il se crampa, je pinçais ses seins, je le suçais davantage jusqu’à ce qu’il put jouir dans ma bouche, un liquide chaud et salé que j’avalais avec plaisir. Il me rhabillait avec joie. A la fin, j’ai eu droit à un « t’es fantastique ma Ketty, j’aurais besoin d’une bonne dose de toi chaque jour comme calmant » lol. Je souris et pris la direction des vestiaires pour prendre une douche. Ce fut une soirée mémorable.

Une stagiaire qui chamboule tout

Tu vveux baiser une jeune salope ?

Avocat de renom, Andy est un beau mec de 41 ans. Il est marié, fidèle à sa femme, une bourgeoise parisienne qui lui a tout donné, qui a fait son succès en lui ouvrant plusieurs portes.

Sa secrétaire étant en congé, le maître a décidé d’accorder, comme d’habitude, un stage à un étudiant pour remplacer Julie, une femme de 52 ans avec qui il a travaillé pendant de longues années. À chaque fois que sa particulière prend des vacances, elle est toujours remplacée par un jeune homme, pour éviter que son patron, homme marié et sensible au charme féminin, ne soit perturbé. Mais cette fois, les données vont changer, ce sera une jeune demoiselle de 25 ans, en cinquième année de droit, qui sera acceptée grâce à son excellent CV.
Les premiers jours, il a fallu lui montrer quoi faire, comment classer les dossiers et, comment rédiger quelques textes administratifs.

Intelligente et perspicace, elle a très vite impressionnée Andy qui ne pouvait plus se passer d’elle.
Lilianne est de type brune, mince, des yeux marron-clairs et une poitrine de taille 90B. On ne saurait laisser un Don Juan enfermé toute la journée avec une demoiselle aussi attirante.

Au début, le patron semblait ne pas s’intéresser à l’étudiante. Au fil du temps, les compliments naissaient et s’accumulaient. La stagiaire se rendait au travail désormais avec des tenues provocantes, elle était sexy et super sympa, on aurait dit qu’elle tentait de séduire Andy.

Un matin au bureau, Julie apparut désarçonnée, presqu’avec des larmes aux yeux. Interpellé, l’avocat s’est approché pour en savoir plus.

Andy : Que se passe-il Julie ? Pourquoi t’es en larmes, allez, dis moi tout !
Julie : Tout va bien monsieur, je, je, je…
Andy : Oui, vas-y, je t’écoute, n’aies crainte.

Enlaçant Julie dans ses bras, caressant ses cheveux pour la calmer, une forte envie de l’embrasser envahit l’avocat qui ne résista pas. Commençant par des bisous à la joue, il remontait ensuite vers les lèvres de la stagiaire qui se laissait faire. Tous les deux se roulaient des patins avec passion, s’enlançaient fortement et, les mains baladeuses d’Andy se glissaient sous la jupe en soi de Julie qui ferma subitement ses jambes et repoussa l’avocat.
D’un air gênée, elle resta silencieuse avant de reprendre la conversation.

Julie : Désolée, je ne peux pas !
Andy : Je comprends, mais dis moi au moins ce tu as…
Julie : Je me suis disputée avec mon mec, on s’est séparé hier après plusieurs années ensemble.
Andy : Qu’est ce qu’il t’a fait ce morveux ?
Julie : Il m’a juste dit que je parlais trop de toi et ça l’a rendu furieux.
Andy : C’est vrai que tu parles souvent de moi ? mais, je ne comprends pas…
Julie : Je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour, tu l’as pas remarqué ?
Andy : Moi aussi tu m’as plu dès que je t’ai vu Julie, maintenant, qu’est ce qu’on fait ?
Julie : Mais, t’es un homme marié et, ça me gêne de…

La stagiaire est une chaudasse

Ne lui laissant pas terminer la phrase, Andy l’embrassa de nouveau et cette fois, c’est elle qui a pris les choses en mains. Après quelques secondes de flirt, elle a introduit ses mains dans le pantalon de l’avocat pour lui tailler une pipe torride. Ses belles lèvres se frottaient au pénis du maître, qui durcissait. Continuant de sucer Andy, Julie le fixait du regard, comme une vraie lionne affamée, elle bouffait les couilles, puis le déshabillait pour lécher son anus.
Le quadragénaire était aux anges, il demandait à sa belle étudiante de continuer. Comme elle sait y faire !
Impuissant devant ce spectacle que lui offre cette cochonne, il se laisse faire. Une fois sa trique bien dure, Julie se lève pour s’asseoir sur son phallus qu’elle introduit dans sa chatte, il la sentait super humide et chaude.
Elle se déhanchait, l’embrassait, lui léchait les nichons, c’était excellent !
Elle n’avait pas encore fini de montrer ce dont elle est capable que le téléphone sonna. Voyant le numéro de sa femme qui s’affiche, Andy, refusa de décrocher mais, Julie ne l’entendait pas de cette oreille. C’est une coquine qui a des idées hallucinantes.
Elle décroche et met le combinet à l’oreille de l’avocat qui entama la conversation. Pendant ce temps, Julie ne s’arrêta pas de chevaucher son pénis. Déconcerté, Andy la repoussa violemment et, Julie se retrouva allongée sur les carreaux.
La conversation téléphonique se termina après deux minutes et, lorsque l’avocat revint à Julie, elle s’était déjà rhabillée et, avait pris son sac pour s’en aller.

Andy : Mais qu’est ce que tu fais ?
Julie : Je m’en vais, j’ai trop honte, je ne pourrais plus travailler ici, ni te regarderais après ce qui vient de se passer.
Andy : Mais, mais, Ju, Ju…

Pendant qu’il essayait de la convaincre, elle claqua la porte et disparu à tout jamais.

Un maçon black venu réparer le plafond du bureau

Tu veux aussi une expérience une lesbienne ?

Cela faisait plusieurs années qu’Alexandra occupait les bureaux du cinquième étage d’un immeuble parisien. Alors qu’elle avait pris ses fonctions, cette niçoise de 32 ans n’avait jamais fait de travaux de réaménagement comme le lui avait conseillé son prédécesseur.  » Mademoiselle, vous devez absolument revoir le plafond qui est dans un piteux état ! ».

Fière allure, belles jambes, une forte poitrine, des cheveux noirs et lisses, personne ne pouvait passer à côté de cet ancien top model sans marquer un arrêt pour admirer sa beauté et son charisme. D’ailleurs, des bruits de couloir racontent que le directeur général de la multinationale lui a confié ce post de responsabilité à cause de leurs relations intimes : ce vieux gâteux richissime et pervers n’a décidément pas de scrupule devant une belle femme !

Un matin, alors qu’elle classait quelques dossiers, elle a levé la tête vers plafond qui laissait échapper des gouttes d’eau. Catastrophée, elle s’est rappelée de la consigne reçue quelques années auparavant, à sa prise de fonction. Diantre! Elle a tout de suite appeler sa secrétaire et lui a recommandé d’appeler un maçon séance tenante.

Dépêché par une société très connue de la place, un expert plombier a rappliqué deux heures plus tard. Quel homme impressionnant ! Type africain, une voix rauque et des muscles saillants qui se dessinent sous son uniforme sexy, il mesurait au moins 1m90. Il était jeune et séduisant, mais un peu trop décalé dans ses manières : le banlieusard par excellence quoi !

Alors que tout le monde dans l’entreprise léchait les bottes de la responsable, ce mec ne la traitait, d’entrée de jeu, ni plus ni moins, que comme son égal.

La secrétaire : Toc toc toc !
Alexandra : Entrez !
La secrétaire : Voici Coulibaly, le plombier envoyé par P SARL.
Alexandra : Ha ok, faites le entrer Julia.

Avec sa trousse de travail dans la main gauche, le plombier tendit sa main droite à Alexandra qui rougit car, il lui serra la pince un peu trop fort. Elle fit sa timide, n’osa pas le regarder dans les yeux avant de continuer la conversation.

Alexandra : Si je vous ai fait venir, c’est pour réparer le plafond de mon bureau, il coule depuis combien de temps, je n’en sais strictement rien. Veuillez jeter un oeil monsieur.
Coulibaly : Hé, appelle moi Couly, c’est pour les jolies dames comme toi !

Il érigea son escalier et grimpa au niveau du plafond.

Coulibaly : Hé ma belle, ils sont complètement pourris vos installations ! Bon, je vais d’abord m »occuper du plafond et ensuite je ferais un diagnostique global si tu veux bien.
Alexandra : Oui, effectivement, j’en aurais besoin, mais dans l’urgence, occupez vous d’abord de moi.
Coulibaly : Que je m’occupe de toi ?
Alexandra : Heu, que que…

Le plombier redescendit de ses escaliers puis, s’approcha d’Alexandra qui avait pris le soin de fermer la porte de son bureau. Bien heureusement car, ce vicieux sans scrupule a approché ses lèvres de celles d’Alexandra pour lui rouler une pelle.
Recevant une baffe hyper molle en guise réponse, il a compris qu’il avait affaire à une proie facile. Couly a relancé et cette fois, avec insistance, en introduisant ses doigts sous la jupe très courte de la responsable.
Il a ensuite pris la main d’Alexandra pour lui faire sentir sa trique. La coquine a tout de suite lâché du lest devant l’énorme pénis dur du plombier africain.
Robuste, imposant, il l’a facilement soulevé pour la faire asseoir sur la table, sans retirer sa petite culotte. Le lascar lui a asséné des coups de bite pendant une minute et avec une très forte pression, avant de faire de pisser tout son sperme dans la chatte d’Alexandra.

Coulibaly : Hé ben voilà ! Je peux maintenant commencer le boulot tranquille ! Au faite, c’est quoi ton prénom encore ?

La pauvre Alexandra sortie honteusement du bureau et demanda à la secrétaire de garder un oeil sur le maçon black pendant qu’elle sera absente.

La secrétaire scandinave est une lesbienne

Tu veux aussi une expérience une lesbienne ?

Monika est une jolie femme, elle a tout ce qu’il faut pour plaire, les portes lui sont ouvertes grâce à sa beauté et elle ne l’ignore pas.
De corpulence svelte, cheveux blonds et épais, yeux bleus et lèvres pulpeuses, c’est une scandinave qui habite à Monaco depuis quelques mois seulement et, qui y a trouvé un travail comme assistante dans une agence de publicité appartenant à une richissime femme d’affaire.

À 27 ans, elle est très ambitieuse et, tous les moyens, selon elle, sont bons pour parvenir à ses fins. Non seulement elle a le physique parfait, mais elle sait jouer avec les circonstances et les situations.

Son bureau voit fréquemment la visite de la patronne : deux à trois fois par semaine. Cette bourgeoise quadragénaire est très pointilleuse, elle demande toujours des comptes à tous ses collaborateurs.

Ayant menée une enquête, Monika a appris qu’elle était célibataire et lesbienne. Le libertinage, elle en connait un rayon ! C’est peut être ce qui va lui offrir des opportunités.

Un mercredi, comme d’habitude, on annonce l’arrivée de la baronne Kelly qui ne manquera pas de faire un tour dans le bureau de Monika.

Sachant jouer avec ses atouts physiques et son côté un peu débridé, notre scandinave lesbienne décide de jouer le grand jeu. Sexy et plus séduisante que jamais, voilà comment elle se présente. Irrésistible, elle ne pourra pas passer inaperçue aux yeux de sa patronne.

Il est midi et, on frappe à sa porte. Monika se lève, elle courre ouvrir pour ensuite inviter Miss Kelly à prendre place. Femme de caractère qui ne marche pas ses mots, la patronne demande tout de suite à rentrer dans le vif du sujet. Monika sort les derniers dossiers et, se lève pour expliquer leurs avancés. Sa jupe est extrêmement courte, on aperçoit ses bas quasi transparents et, elle a déboutonné sa chemise pour exhiber sa belle poitrine naturelle.

Quelques papiers en mains, elle jette des regards séducteurs à la patronne en lui expliquant, en détail, le travail qu’elle a abattu durant les derniers jours, elle est super brillante cette scandinave ! D’habitude, Miss Kelly ne faisait pas plus de 30 minutes dans le bureau de Monika, mais cette fois, ça fait 45 minutes que les deux coquines discutent. La conversation, au bout du compte, est devenue plus amicale que professionnelle.

En regardant sa montre, Miss Kelly remarque que le temps avait lourdement filé, alors, elle a donné rendez-vous à Monika pour la prochaine visite en lui notant qu’elle avait aimé la discussion. Avant de sortir, notre assistante a eu droit à un bisou très proche des lèvres. Le premier coup est marqué !

Lesbienne scandinave prête à baiser…

La deuxième et dernière visite de la semaine se déroule le vendredi. Notre allumeuse a mis les bouchées doubles. Plus sexy que jamais, elle a préparé un speech de bienvenu à la baronne qui entre dans le bureau vêtue d’une robe moulante exposant ses petits tétons.

Monika : toujours aussi radieuse, je ne résiste pas au charme d’une si jolie femme, désolée…
Miss Kelly : tu sais Monika, moi aussi je ne résiste pas à ton charme, j’ai beaucoup pensé à la dernière fois, ta compagnie était si agréable que j’en suis restée séduite.

Joignant la parole à l’acte, la baronne attrape Monika par les cheveux et l’embrasse langoureusement. Bien évidemment, la réponse à son flirt se fait avec la même hardiesse. Comme elles sont sauvages nos deux coquines !
Dominatrice, Miss Kelly projette son assistante sur le canapé du bureau, elle retire son string avant de la déshabiller complètement. Monika se laisse lécher les nibards, puis la foufoune, elle est complètement épilée cette cochonne !

La baronne fouille dans sa sacoche et retire un gode-ceinture avant de retourner l’assistante. Après une longue séance de pénétration, la baronne détache son sextoy et l’enfile à Monika qui va s’en servir majestueusement.
La patronne adore la levrette, surtout la sodomie alors, c’est à quatre pattes qu’elle demande à son assistante de la prendre comme une chienne.
Une heure vient de passer, le corps nu et radieux de Monika est allongé pendant que la baronne la regarde toujours avec la même envie. Elle lui avoue être tombée sous son charme depuis la première fois.

Les petites coquines vont continuer dans l’appartement luxueux de la baronne : une victoire pour cette scandinave ?

Moi, mariée, devenue femme infidèle lors d’une partouze au bureau

Nous sommes lundi matin et je me trouve dans mon bureau, toute en larme et animée par un sentiment de souillure, de trahison et d’humiliation, moi femme mariée, moi femme infidèle.. Je ferme les yeux et je revois la scène qui s’est passée le vendredi, en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi retrouver ma famille. Mon époux avait réservée une surprise pour mon anniversaire et j’avais hâte de rentrer pour voir ce qu’il avait concocté pour mes 40 ans.

Mariée à l’âge de 25 ans avec Julien, qui en avait 32 à l’époque, je lui avais promis fidélité éternelle, amour et soutien, contre vents et marées, pour le meilleur comme pour le pire. Nous avons toujours vécu dans l’entente et l’amour, nous avions surmonté des hauts et des bas et, il faut souligner que les « bas » étaient bien rares.

Quelques mois après mon mariage, je fus embauchée comme assistance de direction dans la société dirigée par le meilleur ami de mon époux, Henry. Sous sa houlette, j’ai toujours eu des traitements de faveur qui rendaient parfois jaloux mes collègues.

Henry et moi discutions beaucoup, quand on n’est pas planché sur un dossier épineux de l’entreprise où il prêtait toujours une attention particulière aux conseils et suggestions que je lui faisais, nous rigolions, parlions de tout et de rien et surtout, aimions chambrer mon Julien qui est le roi des bourdes.

Cette entente était amicale et courtoise, il m’a fait aimer l’entreprise, mon intégration a été tellement facile que j’ai eu l’impression, dès les premiers mois, d’y avoir toujours travaillée.
Henry n’était pas marié, il était juste en couple avec Mélanie, une fille qui n’aimait que s’amuser, elle ne songeait pas à fonder une famille. Cette situation le rendait instable et, il me demandait conseil à chaque fois, ma réponse était toujours catégorique :  » tu devrais aller voir ailleurs « .

Cependant, Henry ne pouvait pas se passer d’elle, elle était enjouée, belle, avait un humour inégalable et toujours opportune ; sa personnalité attachante et instable était comme une drogue pour ceux qui l’approchaient, elle était une mauvaise  » fréquentation  » mais irrésistible.

Femme infidèle baisée en trio au bureau

Un soir alors qu’on dînait tous les trois ( mon époux étant en voyage ), cette diablesse fit des suggestions qui m’ont gênées au plus haut point, j’étais tellement embarrassée que j’en devenais toute rouge.

En effet, elle suggérait une soirée arrosée qui finirait par une partouze. Diantre! Moi la super catho, moi dont on a toujours enseignée la vertu, comment pouvait-elle oser ?
En face, je voyais le regard tout aussi gêné d’Henry qui a tout fait ensuite pour réinstaurer une ambiance moins crispée.

Cette suggestion déclencha une envie de trahison, mais, je repoussais cette idée qui me hantait désormais mais qui faisait mouiller ma petite culotte. Il suffit que je ferme un oeil pour commencer à penser, à imaginer des scènes horriblement érotiques où Mélanie me caresse la chatte tandis qu’Henry m’embrasse avec ses lèvres fines. Quand je revenais à moi, le sentiment de culpabilité m’envahissait et, je jurais d’éteindre à jamais ce fantasme sordide qu’avait stimulée cette sotte.

Revenons à ce vendredi après-midi en entreprise. Il faisait assez tard, presque tout le monde était parti, Henry et Mélanie m’avaient fait une petite surprise en venant me rejoindre dans mon bureau, une bouteille de champagne et trois verres en mains, pendant que Julien m’attendait à la maison.

Je me laisse aller à une baise en trio

Mélanie fit éclater le champagne, s’approcha de moi et me roula une pelle par surprise. C’était tellement agréable que je l’embrassa aussi, sous le regard coupable et endiablé d’Henry. Me prenaient-ils pour une femme infidèle ?

C’était parti, allais-je atteindre le point du non retour ? Mélanie avait, en tout cas, l’air de s’y connaître. Je ne sais pas comment ses doigts ont fait pour toute atterrir dans mon vagin qu’elle titillait pendant qu’Henry avait déjà déboutonné ma chemise, je sentais ses mains douces sur mes seins qui durcissaient.

Moi, j’ai participé en dézippant la braguette d’Henry pour lui faire une branlette, puis une fellation, pendant que sa copine ne cessait de faire passer sa langue entre mes cuisses.
Nous avons baisé pendant une trentaine de minutes avant qu’ils ne m’abandonnent toute seule au bureau. En larmes, en pensant à mon Julien. J’étais devenue une femme infidèle…

Assistante sur un tournage porno

A l’époque, j’étais étudiante à Paris, dans une grande école de cinéma, que certains d’entre vous reconnaîtront sans doute. En dernière année, la direction des études nous imposait un stage d’un mois dans une société de production, ou sur le tournage d’un film. Facile à trouver, pour celles et ceux qui ont du piston. Mais pour moi, rien que la recherche de ce stage s’est avéré une vraie galère.

Finalement, j’ai trouvé quelque chose. Rien de bien intéressant, mais suffisant pour valider mon cursus et obtenir mon diplôme. Quand j’ai parlé de mon stage à mes copains d’école, ils ont bien rigolé. Et pour cause : j’étais embauchée comme assistante sur un tournage porno. Oui, un film x.

Mais attention. Je ne vous parle pas d’un petit film style amateur tourné avec des smartphones. Non. J’allais travailler sur la dernière production porno à gros budget d’un magnat du sexe sur pellicule. Mon stage allait se dérouler dans une immense villa de la côte, où j’allais bien entendue être nourrie, logée et – je ne le savais pas encore – baisée.

Première impression du tournage porno : contrairement aux apparences, les stars du X sont des gens bien élevés, pour la plupart cultivés et qui s’intéressent à autre chose qu’à leur bite. Je parle ici des hommes, car les nanas, venues le plus souvent des pays de l’Est ou d’Amérique latine ne parlaient pas un broc de Français, ou même d’Anglais, ce qui limitait carrément la conversation.

Mon travail consistait à encadrer les équipes, à engueuler les maquilleuses corps qui rechignaient à la tâche, à m’assurer de la luminosité des prises, à recalibrer certains éléments techniques… Finalement, c’était intéressant. Intéressant et sympathique, car j’ai vite sympathisé avec Édouard, un hardeur de la trentaine, avec qui nous discutions cinéma d’auteur entre deux prises.

C’était toujours étrange. Nous parlions des théories de Resnais ou de Truffaut quand débarquait le réalisateur, qui annonçait la prochaine prise dans cinq minutes. Édouard avalait une pilule supposée lui donner le braquemart et se branlait tout en continuant la conversation avec moi. Et la pilule faisait son effet. Quelle gaule ! Belle, bien droite, bien veinée, bref, sans défauts. Et je ne vous parle pas des proportions !

Puis il s’en allait tringler une petite bombe tchèque ou brésilienne, lui éjaculait dessus et revenait discuter avec moi des mérites comparés de chacun des films de la Nouvelle Vague. Au début, ça me laissait un peu de marbre, tout ça. Mais, à force de me rapprocher de mon beau hardeur, j’ai fini par lui trouver beaucoup de charme.

Je flashe sur l’acteur d’un tournage porno

Oui, et alors, me direz-vous ? Son métier consistait à niquer de véritables beautés, des filles gaulées comme des déesses – et jolies, en plus ! – pourquoi se serait-il intéressé à un petit boudin dans mon genre, si ce n’était pour une certaine stimulation intellectuelle ?

N’empêche que, un soir, alors qu’il avait passé presque toute la journée à enculer une splendide blonde hongroise, Édouard est venu frapper à ma porte. Nous n’avions pas pu discuter de toute la journée, la hardeuse ayant accaparé toute son attention. J’ai invité mon ami à entrer. Sans façon, il s’est assis sur le bord de mon lit et nous avons causé un peu.

Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes retrouvés à nous rouler des pelles et à nous peloter, allongés tout habillés sur la couverture de mon lit. Quand les choses allaient devenir sérieuses, Édouard a pris congé, manifestement gêné. J’ai du me masturber toute la nuit, pour libérer la tension sexuelle qui s’était accumulée en moi depuis deux semaines.

Le lendemain, nous avons fait comme si de rien n’était. Entre deux relectures de scénario avec Natasha, une poupée russe aux seins naturels et gigantesques, j’ai continué à discuter avec mon hardeur, que je trouvais décidément super beau. Au repas du soir, il m’a glissé à l’oreille : « je peux venir te voir, ce soir ? ». J’ai accepté.

Mais cette fois, pas question de le laisser repartir ! Je me suis habillée (ou déshabillée, c’est selon) d’une nuisette empruntée à une des actrices et je l’ai attendu, allongée là, sur le lit, offerte. Quand il est finalement arrivé, il est venu directement se coucher auprès de moi, m’embrassant fougueusement à pleine bouche.

Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un acteur porno savait aussi bien embrasser, caresser, lécher que mon bel Édouard. Une véritable exultation des sens ! Puis, sans toucher à ses fameuses pilules qui le faisaient bander, il a enfilé une capote, et il m’a prise comme dans le tournage porno du matin, mais en douceur, avec tact et toucher. Il s’est insinué en moi. Sa bite était énorme, je n’avais jamais été pénétrée comme ça.

Nous avons fait l’amour toute la nuit. J’avais l’impression d’être devenue une star du X d’un tournage porno. Sans avoir dormi, Édouard a repris son train-train le lendemain, avec une scène où il devait se faire pomper par deux nanas en même temps, puis les baiser à tour de rôle !

La stagiaire aux gros nichons

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

Je ne saurais vous dire à quel point mon travail est rébarbatif. Mais, vous savez ce que c’est, il faut bien vivre. Et même dans ce job ennuyeux au possible – mais plutôt bien payé – les jeunes diplômés se bousculent pour décrocher le Saint-Graal : un CDI !

Sabrina mis toutes les chances de son côté, et je vais vous dire comment. Régulièrement, la boite prend une nouvelle fournée de stagiaires en fin d’études. Elle annonce combien de postes sont disponibles à la fin du stage. Cette année, il n’y a qu’un job pour douze stagiaires, vous imaginez le loto. Au bout des trois, ce sont les collaborateurs de l’entreprise qui jugent de l’opportunité de retenir telle ou telle candidature, après que chacun des stagiaires ait fait le tour de chacun des services.

Dans mon secteur, nous avons commencé par Sabrina et deux jeunes gars. Mais d’emblée, la blondinette stagiaire a tiré son épingle du jeu. Compétente, certes, mais aussi bandante en diable. Je vous fais le topo : petite blonde, un peu ronde, juste ce qu’il faut, avec des énormes seins qui défient la gravité, un cul à l’avenant, un sourire enjôleur. La bombasse, quoi.

Tous les mecs du serveur la reluquaient cette stagiaire gironde. Et les femmes… aussi ! Il faut dire que Sabrina savait se mettre tout le monde dans sa poche, en sympathisant avec ces dames, et en faisant rêver ces messieurs. Au départ, nous l’avons tous cru ingénue. Elle se penchait, laissant bailler ses énormes mamelles pour les uns, tendant son gros cul tout aussi appétissant pour les autres.

Mais, un jour que j’étais parti aux toilettes – qui sont communes aux hommes et aux femmes, dans notre société – je suis tombé nez à seins sur Sabrina, qui se refaisait une beauté. Je l’ai complimentée sur son travail, l’air de rien. Je ne m’attendais pas à une telle réaction :  » oh, tu sais, ça me fait tellement plaisir que tu aies remarqué mon travail. Tu sais, je fais mon possible pour te plaire. Pour moi, tu es l’âme de cette entreprise ! « .

Et la blondinette de me coller, manifestant l’envie que je la prenne dans mes bras, à l’américaine. Je l’ai donc serrée contre moi, et la rondeur de ses gros nichons contre moi a fait le reste. En mois de deux, j’ai senti une gaule terrible monter dans mon caleçon.

La blonde s’en est aperçue et, plutôt que de s’offusquer, que de crier au harcèlement sexuel, m’a poussé dans une des cabines de chiotte et a refermé derrière nous. En deux temps, trois mouvements, je me suis retrouvé la bite à l’air et, tout aussi vite, dans la bouche de la donzelle. Je n’ai même pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait !

Les gros nichons de la stagiaire

Sabrina m’a sucé comme jamais on ne m’avait sucé, titillant du bout de la langue, creusant les joues, salivant sur la totalité du zob. Moi, pendant ce temps là, j’avais pris ces gros nichons à pleines mains, jusqu’à les faire sortir de leur abri. La stagiaire m’a d’ailleurs fini en cravate de notaire, branlant ma queue entre ces deux obus.

Le lendemain, pas peu fier, j’ai saisi la première occasion pour raconter cette aventure à mes plus proches collègues. Ah ça, je peux dire qu’ils ont bien rigolé ! Tous avaient eu leur tour avec Sabrina la nympho : Gilles s’était fait pompé dans l’ascenseur, Damien l’avait sautée chez elle en la raccompagnant après le travail, le vieux Gilbert avait eu droit à une branlette discrète à son poste de travail et même Sarah, la goudou de service, avait pu profiter des charmes de la stagiaire !

Stagiaire et vraie nympho !

Non, Sabrina n’était pas avare de ses charmes, et plus les jours passaient, plus elle s’habillait de façon sexy. Certains vendredis, pour le  » friday wear « , elle passait des tenues dignes de clubs échangistes ! Pendant les trois semaines que Sabrina a occupé les locaux, nous avons tous pu jouir de sa présence, une, deux, trois fois pour certains : avec Gilles, nous l’avons même partouzée dans le local des femmes de ménage.

Puis elle nous a quitté, pour découvrir les autres branches de la boite. Chaque jour, nous revenaient des échos des exploits érotiques de la mignonne. Non seulement elle baisait avec les hommes, mais aussi avec toutes les femmes avec qui elle sentait quelque chose de possible. Et ce, en réussissant l’exploit de ne froisser personne !

Nous n’avons pas su tout de suite si Sabrina agissait ainsi par pur opportunisme, pour être certaine d’être choisie à l’issu de son stage ou par vraie passion pour le sexe, mais, vous vous en doutez bien, c’est elle qui, parmi les douze stagiaires, a décroché la timbale. Toujours est-il que, depuis qu’elle a signé son CDI, elle baise toujours autant avec tous les collaborateurs du service. Et je ne suis pas le dernier à en profiter !

Mon patron est un gros cochon

Mon patron est un salaud, un cochon de la pire espèce. Je m’en doutais depuis un bon moment et j’avais été prévenue par plusieurs de mes collègues, mais là, j’en suis certaine. Et l’aventure qui m’est arrivée avec lui il y a quelques jours n’est pas pour rien dans mes certitudes !

Au départ quand j’ai été engagée dans cette société de ventes par correspondance, en tant qu’assistance, j’ai cru que la réputation du bonhomme était plus liée à une attitude générale qu’à de réelles pratiques. Ce n’est qu’à la fin de ma période d’essai que j’ai compris ce qu’il en était.

Je vous présente d’abord le personnage. Richard, c’est son prénom, est un petit bonhomme à la quarantaine bedonnante. Moche, pour ne pas dire pire, il transpire constamment. Au moindre effort, sans doute en raison de sa masse adipeuse, il sue comme un bœuf. Vous voyez un peu le tableau, un gros cochon…

Ajoutez à cela qu’il reluque toutes les femmes avec un air libidineux, la plaisanterie graveleuse au bord des lèvres, vous comprendrez qu’il n’a rien, mais alors rien du tout d’un Don Juan. Pire ! Ce gros porc a sur son bureau toute une collection d’articles qui nous sont revenus, tous dans le genre porno. Le pire d’entre eux est un énorme fleshlight que tout le monde le soupçonne d’utiliser régulièrement, là, sur son lieu de travail.

Il y a quelques jours, donc, j’ai été convoquée dans le bureau de Richard. Ma période d’essai prenait fin, et je craignais pour mon job. Je m’étais habillée un peu sexy, ce matin là, histoire de mettre toutes les chances de mon côté.

J’arrive donc dans le bureau du boss. Il est en sueur. Il touche du bout du doigt son sextoy. J’ai un haut le cœur en le voyant faire et en imaginant sa bite dedans, et tout ce qu’il a pu y laisser. Berk ! Richard me salue rapidement, le nez dans ce qui doit être mes fiches d’évaluation. Je sais qu’elles sont bonnes, c’est ma tutrice d’entreprise qui me l’a dit.

« Voilà qui n’est pas exceptionnel, mademoiselle, vos évaluations sont mitigées » affirme t-il pourtant. Je suis estomaquée de son culot. Mais il continue : « à ce stade, je ne sais pas si je peux vous garder avec nous ». Il agite ses doigts sur le fleshlight. C’est écœurant.

Je ne sais pas quoi lui répondre. Il ne se décourage pas pour autant. Je le vois pianoter sur son ordinateur. Tout à coup, des bruits de baise en surgissent. Il est en train de regarder un porno, là, devant moi, ce salopard ! Richard saisit son fleshlight et le laisse disparaître sous son bureau.

Il me fixe droit dans les yeux et, l’air de rien, commence à se branler devant moi. Je n’en reviens pas. Je suis dégoûtée, mais, en même temps, j’admire son cran. « Peut-être pourriez-vous me prouver que vous pouvez vous rendre vraiment utile ici ? ». Il me met au défi.

Non seulement j’ai vraiment besoin de ce taf, mais en plus je dois dire que la situation me met dans un état assez particulier. Je m’approche de lui, fais le tour du bureau et arrive à portée de ses grosses paluches. Il passe sa main moite sous ma jupe et saisis mes fesses. Il se masturbe toujours. Je me laisse faire.

Sa main vient vers ma chatte. Elle doit déjà être un peu humide, elle aussi. Mais cela ne l’intéresse pas plus que cela. « C’est bien, maintenant, mets-toi à genoux, ma petite » me dit le cochon. Je m’exécute. J’ai le nez quasiment collé à son masturbateur. Il en sort sa pine.

Un énorme gland, une hampe large, très droite, asse courte mais épaisse, se dressent devant moi. Sans hésiter, je l’entoure de mes lèvres et lui, vicieux, m’enfonce sa queue jusqu’au fond de la gorge. Il sent bien meilleur que ce que j’aurais pensé. Et me voici en train de creuser les joues et de jouer de la langue autour de cette bite à l’odeur de vanille. J’aime plutôt ça. Il a glissé ses mains sous mon haut, dans mon soutif, et me pelote les seins pendant que je le pompe.

Je pompe la queue de ce gros cochon

Au bout de longues minutes à me limer la bouche en me pinçant les tétons, Richard se met à grogner. Il décharge au fond de ma gorge, en m’ordonnant de tout avaler. Je me réajuste un peu puis je prends la direction de la sortie, en m’entendant dire que, bien entendu, mon contrat d’embauche sera validé par ses soins.

Étrangement, je ne me sens même pas mal d’avoir accepté cette pipe en échange d’un job. Au contraire, je suis même un peu excitée. Que les petits patrons qui lisent mes lignes ne se sentent pas encouragés à agir ainsi, mais je crois que, même si mes jours dans la boite sont désormais assurés pour un bout de temps, je retournerai bientôt sucer la bite épaisse du patron.