Une étudiante bien vicieuse

Je me prénomme Laura et je suis une jeune étudiante de 19 ans, en première année de fac de droit. Je dois vous avouer que les études ne sont pas ma préoccupation principale dans la vie. Personnellement, ce que j’apprécie plus que tout, c’est le sexe. Déjà bien plus jeune je matais des films pornos sur l’ordinateur familial en cachette, quand mes parents n’étaient pas là. Le soir, dans ma chambre, il m’arrivait de regarder des DVD cochons pour m’exciter et je me masturbais parfois pendant des heures dans mon petit lit avant de finir par trouver le sommeil.

L’époque où je me faisais jouir toute seule est terminée, maintenant  je ne manque pas de partenaires sexuels. Je fais l’amour avec des hommes, avec des femmes, parfois même avec les deux en même temps. Si vous êtes d’accord, je vais vous raconter quelques-uns de mes souvenirs de baise les plus inoubliables. Je reviendrai de temps à autres pour vous tenir au courant de mes aventures sexuelles. Il m’en arrive tant et de tellement variées. Quand elles ne se produisent pas toutes seules, je m’arrange pour les susciter.

Avant d’être majeure, je baisais déjà avec des petits copains, mais pas si tôt que ça quand même. J’ai été déviergée juste avant mes 17 printemps par un copain de mon frère du même âge que moi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais vraiment eu envie de multiplier les aventures avec des hommes plus âgés que moi mais j’avais décidé, à contrecœur d’être raisonnable car j’avais un peu peur de les embarrasser si leurs relations avec une fille mineure venaient à être connues dans leur entourage.

Alors, je laissais libre cours à mes fantasmes en m’imaginant faire l’amour avec des amis de mon père ou des professeurs et je me masturbais toute seule en imaginant la grosse bite qu’ils cachaient sous leur pantalon. Ca me faisait toujours beaucoup mouiller de m’imaginer agenouillée devant l’un d’eux, occupée à téter leur gros bout tout en leur flattant les couilles comme je l’avais vu si souvent faire par des actrices pornos dans les vidéos  que je matais dans le secret de ma chambre comme une étudiante bien vicieuse…

Vidéo porno du récit Une étudiante bien vicieuse

Ma défloration s’est déroulée le plus naturellement du monde et dans les meilleures conditions. En fait, pour être honnête, je n’étais déjà plus réellement pucelle, le beau godemichet que je m’étais fait livrer par correspondance en profitant des congés de mes parents pour le recevoir discrètement avait déjà fait le travail depuis un bon moment.  J’adorais me l’enfourner dans la chatte, le faire glisser longuement entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il me fasse jouir. Je le mettais moins souvent dans mon cul, mais c’était toujours en feuilletant une revue pornographique cachée sous les draps. Je le faisais coulisser longtemps  dans mes orifices jusqu’à ce qu’il me fasse enfin jouir dans un long feulement de bonheur.

Antoine, le garçon qui m’a niquée pour la toute première fois était loin d’être un amant exceptionnel, mais c’est une chose que j’ai réalisée seulement bien plus tard, en baisant avec des hommes d’expérience, ceux-là même qui nourrissaient mes fantasmes de lycéenne puis d’étudiante depuis plusieurs années.  Je lui suis tout de même reconnaissante de m’avoir fait l’amour en y mettant autant de sensualité que de conviction et. Et oui, vous verrez, il m’arrive parfois d’être plus romantique qu’on ne pourrait le croire au premier abord.

Après le passage de ce cap nécessaire, j’ai encore fait l’amour quelque fois avec Antoine mais ce n’était décidement pas mon type d’homme et notre histoire s’est arrêtée assez vite.

Ensuite, j’ai  connu deux autres jeunes camarades de lycée, tous mineurs comme moi. J’avais hâte de ne plus être limitée dans le choix de mes partenaires. Dès que mes 18 ans ont été là, je me suis mise à rechercher des partenaires plus mûrs, plus disposés à assouvir avec passion mes fantasmes et mes désirs les plus inavouables de jeune fille. Ca a été le début d’une période faste pour moi, période qui se prolonge encore aujourd’hui et dont je viendrai vous conter les péripéties à l’occasion si vous le voulez bien.

Ma première pipe

Ca y est, c’est fait. Cela faisait longtemps que j’en rêvais mais l’occasion ne s’était jamais présentée jusqu’alors. Il faut dire que je suis encore jeune. Je viens tout juste d’avoir 19 ans. Je suis mignonne et attirante mais pas forcément toujours très à l’aise avec les garçons. J’ai eu peu de petits copains dans mon adolescence,  deux ou trois tout au plus et nous ne sommes jamais allés bien loin en matière de sexe.  Quelques caresses, des petites soirées câlines assez sages finalement, jusqu’à mon récent dépucelage par Thomas, un maître assistant de la fac où j’étudie depuis un an.

Thomas, c’est aussi un très bon professeur de baise. Doux mais ferme il sait ce qu’il veut et ce dont j’ai besoin. De nous deux, c’est toujours lui qui dirige la manœuvre et j’en suis satisfaite car il sait comment me faire jouir. J’ai déjà beaucoup appris avec lui et je suis sûre qu’il a encore beaucoup de choses à me faire découvrir. En tout cas, il en est une pour laquelle l’affaire est entendue. Ce soir j’ai taillé ma première pipe.

Nous étions chez Thomas, en train de nous caresser sur le canapé de son salon. La soirée s’annonçait torride mais elle le fut en fait bien au-delà de mes attentes. Nous étions déjà presque entièrement dévêtus quand Thomas se leva brusquement, prit la télécommande posée sur la table basse et alluma sa télé. Aussitôt, une vidéo démarra.

On y voyait une fille, agenouillée devant un homme assis dans un fauteuil. Ils étaient entièrement nus tous les deux. La nana caressait d’un geste précis et enveloppant le gros membre dressé de l’homme. Thomas me demanda de me placer comme elle mais de telle manière que je puisse continuer à regarder les images qui défilaient à l’écran. Puis, il exigea que j’applique à son sexe le même traitement que la jeune vicieuse faisait subir à celui de son partenaire. Je compris où il voulait en venir en voyant la fille poser ses lèvres sur le bout du gland de l’homme. Je m’exécutai avec douceur et application puis je me mis à répliquer ce que je voyais sur la télé.

Vidéo porno du récit Ma première pipe

Ma bouche s’ouvrit pour laisser passer la tête de la queue. Avec mes mains je caressais les boules velues de Thomas, comme le faisait la fille avec les couilles de son amant.  Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de passer ma langue sur le bout du vit de mon prof. Je ne voyais pas à l’intérieur de la bouche de l’actrice porno mais j’imaginais qu’elle en faisait autant de son côté. Le liquide qui s’écoulait lentement de la verge excitée de Thomas avait bon goût. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire.

C’est alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres le long de la hampe veineuse qui me remplissait.  Thomas me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de lui. Je voulais le faire jouir, sans penser à moi. En élève appliquée, je savais qu’il me rendrait au centuple le plaisir que j’allais lui donner.

Thomas devait être fort excité par la situation aussi. Il savait que j’étais novice en la matière car je le lui avais avoué peu de temps auparavant. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir. Bonne fille, je me forçai à garder sa semence en bouche puis à l’avaler.

Nous avons recommencé encore deux fois ce petit jeu dans la soirée. Thomas, un peu plus maître de ses émotions se montra charmant et un excellent professeur. Il m’apprit comment bien faire jouir un homme avec la bouche et je crois que j’ai pris goût à la fellation.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.