La stagiaire, ma femme et moi, 1ère partie

Lydie la stagiaire promenait ses grosses fesses rondes et sa lourde poitrine dans tout le bureau depuis déjà un mois, et tous mes collègues continuaient à se retourner sur son passage comme si elle venait d’arriver. Moi, en mec marié, amoureux et fidèle, je m’efforçais de ne pas (trop) remarquer la jupe courte et le décolleté plongeant de notre stagiaire.

Je n’avais absolument pas à rougir devant ma femme. Je me tenais à l’écart de toutes les conversations scabreuses et souvent salaces de mes collègues à propos de la bimbo de service qui, de toute façon, avait sans doute 25 ans de moins que moi, normal pour une stagiaire… Dire qu’elle me laissait de marbre aurait été exagéré, c’est certain, mais je résistais dignement et fermement à la tentation.

Ce que je ne pouvais pas savoir, c’est que Lydie allait me harceler sexuellement. Pourquoi moi ? Je l’ignore. Toujours est-il qu’un soir, dans le parking de la boite, ma vie sexuelle allait basculer du tout au tout.

J’étais en train de rentrer, quand une petite voix m’interpella : « Serge, attends-moi s’il te plait ». C’était Lydie. Je ne pus m’empêcher de remarquer, sous la boucle blonde qui descendait jusqu’à sa poitrine que ses tétons pointaient. « Les bus sont en grève, tu pourrais me ramener chez moi, s’il te plait ? ».

 

Comment refuser ce petit service à une collègue, à une jeune femme en détresse et de surcroît, à une telle charmeuse ? Je lui fis signe de s’installer à droite et je pris la direction de la sortie. Après m’avoir indiqué le chemin à emprunter, la jeune blonde s’ouvrit à moi des commentaires qu’elle avait surpris à son sujet, alors qu’elle était aux toilettes.

Elle semblait vraiment peinée par le fait que tous nos collègues rêvaient de la baiser. Je lui dis la vérité : que si elle ne voulait pas faire bander tout le monde, il lui fallait adopter une tenue, si ce n’est plus stricte, en tout cas plus classique. Là, la conversation prit un tour nouveau : « mais toi, je ne vois bien que tu ne me regardes pas comme un morceau de viande, tu n’es pas gay pourtant ? ».

La stagiaire me brancherait-elle ?!?

Non, je n’étais pas gay. Et sa main gauche, qui venait de se poser sur ma cuisse, tout prêt de ma queue, pouvait s’en apercevoir. Je venais d’avoir une érection automatique, le genre de bandaison incontrôlable qui survient sans crier gare. J’ai retiré sa main, gentiment mais fermement.

Lydie n’osa plus rien dire pendant le reste du trajet. Mais, une fois arrivés en bas de chez elle, elle tenta quand même de me proposer de monter boire un verre. Fou que j’étais. J’ai accepté. J’ai garé ma voiture devant chez elle et j’ai emboîté le pas de ma stagiaire dans les longs escaliers qui conduisaient à sa chambrette du septième étage.

Comme hypnotisé par son cul rebondi, mais pas trop large, qui balançait devant moi à chaque marche d’escalier, j’ai suivi la stagiaire jusque devant sa porte. Je ne m’obéissais plus à moi-même. Pourtant, dans un dernier sursaut, juste sur son palier, je lui dis : « non, c’est pas une bonne idée, je vais rentrer ».

La bimbo-stagiaire m’a alors retenu par la main et m’attiré tout contre son corps et a posé ses lèvres sur les miennes…

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Ma première sodomie

Il y avait dans l’atmosphère de la chambre quelque chose de troublant, un parfum d’interdit, qui me mettait dans tous mes états. Je sentais son souffle court qui sifflait à mes oreilles. Il a saisi mes petits tétons entre ses pouces et, de l’autre main, a bloqué mon épaule pour la ramener vers lui. Je ne sentais plus que sa bite, qui me paraissait tout à coup énorme, glisser le long de ma raie culière.
J’allais vivre ma première sodomie. J’étais à la fois morte de peur et terriblement excitée à cette idée. Toujours aussi brusque, il me fit basculer en avant, lui tendant ainsi mes deux fesses, offertes, femelles, fragiles, prêtes à la sodomie…

Il ne se départait jamais de cette froideur, que ne trahissait que sa respiration mal maîtrisée, excité qu’il devait être à l’idée de dépuceler un jeune anus. Je sentis un doigt humide s’insinuer dans ma raie, pour venir masser mon petit trou en guise de préparatif à la sodomie. Il m’ouvrait un peu, et surtout il lubrifiait mon cul. Il me fit mettre à quatre pattes et posa sa longue queue sur mon boule. D’une main, il la dirigea vers l’entrée de mon cul. La brûlure fut intense, brutale, insupportable. J’avais l’impression qu’il me déchirait, que je ne m’appartenais plus à moi-même. Mais cette sensation ne dura pas bien longtemps.

Il s’enfonça d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur avait disparu. Elle avait été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sentais bien. Mieux que bien, j’avais le sentiment d’avoir attendu ce moment toute ma vie.
Il resta un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à sa pine dans mon cul. Pas de doute, cet inconnu qui me faisait vivre ma première sodomie n’en était pas, lui, à sa première expérience anale. Il savait y faire. Et quand il commença ses mouvements de piston entre mes fesses, ce fut presque un soulagement pour moi. J’en avais envie. J’en avais besoin. Tout en me niquant, avec des mouvements amples – et profonds – de ses reins, il me saisit par les fesses, pelotant, malaxant et caressant mes deux doudounes.

Puis il accéléra le rythme, m’arrachant de petits gémissements incontrôlables, qui s’échappaient de ma gorge par à-coup, et qui couvraient ses propres râles de bête en rut. Il revint à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accéléra de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul.
Il me fit me retourner. Là, il avait pleine vue sur mes petits seins, qu’il tritura un long moment avant de planter à nouveau sa queue entre mes fesses. J’appréhendais cette nouvelle intromission, je craignais qu’elle ne me déchire à nouveau. Mais l’inconnu savait ce qu’il faisait. Il entra dans mon anus sans coup férir.

Une fois bien au fond de moi, il saisit mes jambes, pour les placer au dessus de ses épaules. Dans cette position, l’angle ouvert, sa sodomie se faisait plus profonde encore. Cette fois, il n’était plus question de m’épargner.  L’inconnu se mit à me baiser, comme le rustre qu’il était. Sous lui, je pouvais voir son visage se déformer, je pouvais constater le plaisir qui l’envahissait. J’avais devant moi un animal sauvage venu chercher son du.
Et j’aimais ça. Alors, je fus presque déçue quand il se retira à nouveau. La bite tendue vers moi comme une arme menaçante, il lâcha à longs jets son sperme, qui vint atterrir sur mes seins, et même sur mon visage. Je devais avoir l’air de la pire des garces ainsi maculée, les cuisses ouvertes et le cul béant, dévasté par la sodomie…

Il se releva, s’habilla prestement et s’en alla comme il était venu. Je n’ai plus jamais entendu parler de lui.

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Exhibée à la webcam par mon mari

Je suis prête à tout pour garder l’amour de mon mari. Richard est beaucoup plus âgé que moi et il me comble à tous les niveaux, matériellement, intellectuellement, sexuellement. J’ai 24 ans, c’est vrai que je pourrais être sa fille. Blonde, les cheveux mi-longs, je prends soin de mon corps pour pouvoir le satisfaire encore longtemps. Mais surtout, quand il est question de sexe je cède à tous ses caprices de mâle pervers.

C’est pour ça que je suis devant cette webcam ce soir. C’est plus qu’une webcam d’ailleurs. Richard a un ordinateur dernier cri équipé du meilleur matériel. La qualité obtenue est bluffante. Ce doit être un vrai régal pour les voyeurs qui m’observent depuis leur salon, la bite à la main.

Sur les conseils de Richard, sur son ordre devrais-je dire, j’ai quitté mes vêtements. Je porte une simple combinaison de nylon trouée aux fesses et  à la chatte. Deux autres petits orifices laissent passer les tétines de mes seins, percées chacune d’un anneau, une autre concession aux exigences de mon homme.

 Ca fait déjà une demi-heure que je suis devant la caméra à me tripoter pour des gens que je ne vois pas. Richard me l’a interdit. Il dit que comme ça c’est plus excitant. J’ai juste le droit d’entendre les remarques des hommes, mais aussi des femmes qui me matent.

« Vas-y suce le bout de tes seins, tire dessus avec tes lèvres, mords-les un peu ! » me lance une voix plus toute jeune.

Je m’exécute alors qu’une autre m’ordonne de me caresser la chatte. Je dois me lever, mettre un pied sur la table où est posé l’ordinateur et écarter mes lèvres vulvaires  pour que le gars puisse « voir à l’intérieur ». Puis je dois y mettre un doigt, deux, trois, presque la main entière.

Une femme me demande de me tourner, de faire voir au public « mon gros popotin ». C’est vrai que mes fesses sont amples et que ma taille fine les fait bien ressortir. Je me tourne, exhibe mon cul.

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« Maintenant, mets-un doigt dedans ! » me lance la même voix féminine. J’entends des hommes qui ricanent. « Oui, oui, doigte-toi le cul ! »

C’est facile, ma main vient juste de sortir de ma chatte, elle est toute trempée et, pour être honnête, mon cul a l’habitude de ce genre de visite, et même de bien d’autres calibres. Pour faire plaisir à mes voyeurs et voyeuses, je tire sur une de mes fesses avec ma main restée libre, je m’ouvre du mieux que je peux pour qu’ils puissent voir mon trou. Mon doigt tourne d’abord autour de ma rondelle, je reprends du jus à la source de ma chatte, m’en oint l’anus. Mon doigt entre, je fais du zèle, j’en mets deux ; ils entrent, ils sortent, ils entrent, ils sortent… Ca me fait jouir, c’est la première fois de la soirée mais sans doute pas la dernière. Richard me l’a dit, ce soir il a donné rendez-vous à tout son carnet d’adresse pour voir « Sa petite salope qui se touche gratuitement sur le web. »

Gouine et soumise

« Avance, rampe à nos pieds ! Oui, comme ça, c’est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. »

Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd’hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c’est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l’occurrence.

« Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite ! »

Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l’autre jouant avec ses seins.

J’étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l’entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu’à ma chatte. La brune gironde s’est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras. Je savais ce qu’elle attendait de moi et j’ai devancé son appel en allant coller mes lèvres à la fente juteuse de son sexe. La rousse à la peau laiteuse s’est glissée sous moi et a commencé à me sucer les seins alternativement. Je crois que la blonde, de sa main demeurée libre, lui fouillait la vulve car j’entendais des clapotis obscènes dans mon dos.

« C’est bien, qu’elle vous fasse jouir, c’est pour ça que je l’entretiens. Et faites-moi jouir aussi avec votre spectacle excitant de gouines en chaleur. Ca me fait couler entre les cuisses. »

Ma maîtresse aimait bien dire des saletés en se branlant. J’en rajoutai un peu de mon côté, contente de lui faire plaisir avec mes mots crus :

« Ah maîtresse, merci de me donner ainsi à vos amies. J’aime qu’elles se servent de mon gros cul de gouine, qu’elles touchent ma chatte et mes seins. Mais ce que j’aime le plus, c’est goûter ce bon jus chaud qui me coule dans la gueule. »

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Je ne mentais pas, j’adorais sentir sous ma langue et sur mes lèvres la mouille de la brune. Celle-ci avait pris ma tête entre ses mains et tirait dessus comme si elle avait voulu se l’entrer toute entière dans le vagin.

Tout à coup, j’ai senti quelque chose d’humide se poser entre mes fesses. C’était la langue de la blonde qui me lapait tout le long de la fente. De mon clito jusqu’à mon petit anneau. Un peu plus tard, elle s’est concentrée sur mon cul en me fourrant un godemichet dans la chatte puis, peu après, elle a fait l’inverse. Ça me rendait folle.

Pendant qu’elle me taraudait la vulve, la rousse y a mis sa bouche. Le gode me pistonnait, m’écartait les lèvres et les lèvres de la rouquine me tétaient le bouton. C’était divin.

Quand ma maîtresse a joui la première fois, ça a été le signal de l’orgasme pour tout le monde. Le salon était empli de gémissements et de petits cris plaintifs mais ce n’était qu’un début, une sorte de mise en condition. Ma maîtresse reprit rapidement ses esprits et la maîtrise de la situation :

« Bon, maintenant qu’elle a joui une première fois, cette gouinasse va pouvoir s’occuper de nous correctement. Il faut quand même qu’elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n’en a pas fini avec nous… »

Enculé par ma maîtresse

Ça fait longtemps que je trompe ma femme avec des maîtresses de passage. Je n’ai jamais voulu me lier véritablement avec l’une d’entre elles, préférant expérimenter avec chacune des sensations nouvelles. J’en change à peu près tous les 6 mois, quand j’ai fait le tour de leurs possibilités. Ça fait partie du « contrat » dès le départ. Je ne cherche pas le grand amour, que je connais déjà  avec mon épouse, juste des moments d’une rare intensité sexuelle, ceux qu’elle ne peut pas me donner, la faute sans doute à son éducation. Les femmes que je déniche par petites annonces ou sur des sites de rencontre le savent et, croyez-moi, ça me permet de vivre des expériences inoubliables.

Sandrine a 42 ans, dix ans de plus que mes 32 ans. J’aime les femmes plus âgées que moi car elles sont sexuellement épanouies, surtout celles que je vise. Avec Sandrine j’ai été gâté. L’autre jour, grâce à elle, j’ai pu découvrir combien j’aimais jouir par le cul, bien rempli par le gode fixé à ses hanches.

Je savais déjà que j’étais sensible de l’anus car j’adore quand une femme y fait passer le bout de ses doigts, voire y entre une ou deux phalanges. J’aime aussi quand les plus perverses me lèchent le trou avec leur langue douce et vicieuse. Mais avec Sandrine j’ai franchi un nouveau palier.

Elle m’a fait jouir comme jamais en me prenant par derrière. Non contente de me pistonner à grands coups de gode-ceinture, elle m’insultait, me traitant d’enculé et de petite pute. Je ne sais pas des mouvements coulissants du manche de plastique dans mon rectum ou des mots orduriers qu’elle prononçait ce qui m’a le plus fait jouir.

Déjà en la voyant se préparer, ferme et déterminée, je bandais comme un âne. Elle m’avait prévenu que j’aurais droit à un traitement de faveur ce jour là. J’ignorais de quoi elle voulait parler jusqu’au moment où elle a sorti la bite artificielle du petit sac de cuir où elle se trouvait. Ma queue s’est redressée en un éclair. Il faut dire qu’elle m’avait longuement préparé le cul avant ça et que je n’avais pas complètement débandé en attendant qu’elle recommence à s’occuper de moi.

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D’un geste autoritaire elle m’a fait comprendre que je devais m’agenouiller devant le lit de la petite chambre d’hôtel que nous occupions. Elle a glissé un coussin sous mes genoux, s’est mise devant moi pour me faire sucer la queue qui allait me prendre.  Revenue derrière moi, elle a vérifié avec ses doigts si mon petit trou était encore assez humide des caresses buccales qu’elle lui avait prodiguées juste avant.  Puis elle a posé le gland factice sur mon œillet et s’est mise à pousser lentement mais fermement pour m’ouvrir.

L’introduction du gode a pris quelques instants. Ça n’a pas été aussi douloureux que je le craignais. Pour me détendre, Sandrine flattait ma queue qui était toujours plus raide sous mon ventre. J’avais l’impression d’être une chienne prise par son mâle.  Ce sentiment troublant devint encore plus fort quand le membre de plastique fut tout entier logé en moi et que ma maîtresses entama le long mouvement de va-et-vient qui me fit tant jouir.

Je suis maintenant devenu un adepte convaincu de la sodomie passive. A tel point que je suis prêt à satisfaire tous les caprices de mon amante. Demain, je dois être offert à son mari et, pour ma plus grande honte, je bande rien que d’y penser.

Exhib dans les bois

Vous allez dire que je suis une garce et vous aurez bien raison. J’adore le sexe sous toutes ses formes et je ne me prive d’aucun des plaisirs qu’il peut m’apporter. J’aime jouir et faire jouir les hommes, parfois les femmes qui partagent ma couche ou des endroits plus insolites. J’ai de la chance car mon homme accepte toutes mes perversions, mieux, il les encourage. Il faut dire qu’il en profite aussi largement. Il n’est pas exclusif et aime me partager  à l’occasion. Je crois qu’au fond il aime bien me voir heureuse, en train de faire l’amour avec mes partenaires. C’est son petit plaisir à lui.

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Nous avons une passion commune pour l’exhibitionnisme depuis le début de notre relation. Sans me vanter, je suis assez mignonne et les regards masculins se portent trop souvent sur moi pour que ce soit un hasard. J’ai des formes rebondies mais je ne suis pas grosse, j’ai juste le cul un peu rond et surtout de bons gros nichons qui plaisent aux hommes autant qu’aux femmes.

Hier soir nous sommes allés dans un petit bois que nous savons fréquenté par des voyeurs et des voyeuses. J’ai mis ma tenue la plus provocante. Je me faisais un peu l’effet d’une pute en me regardant dans le miroir, avec ce petit top très échancré, la mini-jupe assortie et les bas résilles qui habillaient mes jambes, terminées par deux bottines en cuir. Ça m’a presque donné envie de me caresser. J’étais déjà très chaude.

Arrivées en bordure du petit bois, nous sommes restés dans la voiture. Il y  avait déjà du monde et je craignais de déclencher une émeute en sortant dans mon accoutrement. Nous avons avancé le véhicule jusqu’à une petite clairière en empruntant un chemin boueux. Puis mon mari a coupé le moteur.

J’ai abaissé le dossier de mon siège et je me suis mise à me caresser, les pieds posés sur le tableau de bord, cuisses largement ouvertes. Puis j’ai commencé à me masturber doucement en poussant de petits gémissements sonores.  Mon homme était sorti du véhicule après avoir légèrement abaissé les deux fenêtres de sorte qu’on pouvait m’entendre à quelques mètres. Il s’est approché de deux ou trois gars et je le voyais à travers le pare-brise qui leur parlait en désignant notre voiture.

Très vite, trois hommes se sont approchés. L’un d’eux tenait une femme presque aussi provocante que moi par la main. Quand ils ont été assez près pour bien me voir, j’ai sorti un nichon par le col de mon haut et j’ai pris le téton dans ma bouche. J’ai sucé ma tétine vicieusement en relevant ma jupe pour bien leur montrer comme je me branlais.

Le petit groupe était tout près de la voiture et ne pouvait rien ignorer des attouchements que je me prodiguais. Les gars ont sorti leurs queues et ont commencé à se caresser. Celui qui était avec la fille l’a poussée sur le capot assez brutalement. Son visage était à quelques centimètres du mien. Elle a posé sa bouche sur la vitre en sortant la langue, comme pour m’exciter encore plus. L’homme s’était mis à la pistonner en levrette.

Mon mari a dû comprendre  que je n’aurai pas mon compte avec cette petite exhib rapide. Il s’est approché du véhicule, a ouvert toutes les portes et a lancé aux voyeurs :

« Allez-y, elle est à vous ! Cette grosse salope a besoin de se faire baiser. Elle est là pour vous faire jouir, profitez bien de son gros cul et de ses nichons ! »

Mon amant m’expose devant des pervers

Je suis nue, entièrement nue et perchée sur les escarpins que Jean-Louis m’a demandé d’enfiler en début de soirée. Il a bien précisé que je ne devais rien porter d’autres, à l’exception cependant de mes bijoux, une chaînette à la cheville droite et deux gros anneaux passés à travers les pointes de mes gros seins un peu pendants.

J’ai  48 ans et mon corps, même s’il n’est plus de prime jeunesse, reste désirable. Tout au plus le poids des ans a-t-il un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose dire, que Jean-Louis me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.

A la recherche d’une femme mûre offerte ?

Maintenant, je suis debout dans le salon. Jean-Louis est là, assis dans le canapé, accompagné de deux autres hommes que je ne connais pas, un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant les trois copains mais je sais que si je résiste, la colère de Jean-Louis sera terrible. Il faut dire aussi que je me sens un peu excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon homme prend la parole d’un ton qui n’admet aucune réplique :

« Tourne-toi pour montrer tes fesses à nos amis, qu’ils voient ton gros cul ! »

J’obtempère aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :

« T’as raison Jeannot, elle a un bon gros cul juste obscène ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »

Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me reluquant.

Jean-Louis se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’attrape par l’un des anneaux qui ornent ma poitrine et tire un peu dessus pour faire bouger mon sein.

« Et ça, vous le voyez, ce gros nichon à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »

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J’obéis encore, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le tétin pour le faire bien durcir. Quand j’arrête, il pointe outrageusement vers le duo de branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.

« Hé, regarde Jean-Louis, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »

Mon homme passe sa main entre mes jambes et les remonte vers sa bouche. Il suce ses doigts.

« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées. Approchez les gars, je crois qu’il va être temps de s’en occuper maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme jamais. »