Mon mari bande à nouveau

La giclée de sperme a atteint d’abord mon visage, puis est retombée sur mon seins. Cela faisait tellement longtemps que je ne m’étais pas trouvée sous le feu d’une telle éjaculation. La sensation chaude du foutre de mon mari sur la peau m’a laissée pantoise… et heureuse.

Lui, il était là, encore fièrement dressé devant moi, un air satisfait au visage. Longtemps qu’il ne m’avait pas baisée aussi bien, aussi fort, aussi intensément. Longtemps, à vrai dire, que je n’avais pas joui sous ses coups de bite, qu’il avait demi-molle depuis des années.

C’était le réveillon. Nous avions mangé des huîtres pendant toutes les fêtes, ce qui expliquait peut-être – sans doute même – la puissance de son éjaculation. Mais pour le reste… Nous avions un peu bu, ce qui, vous en conviendrez, mesdames, ne facilite pas les performances sexuelles de ces messieurs, habituellement.

Non, tout tenait dans le pouvoir de ce petit bout de caoutchouc – ou de je ne sais quoi – qui tenait la bite et les couilles de mon mari comme enserrées. D’ailleurs, malgré son orgasme, il bandait encore bien. Un cockring, comme me l’avait dit la vendeuse du sexshop où j’avais trouvé l’accessoire. Au début, quand elle me l’a tendu, m’expliquant ses vertus, j’ai souri.

Et puis, devant l’instance et la force de conviction de la jeune femme, je l’ai acheté. Nous avions décidé, mon mari et moi, de nous offrir des étrennes coquines, histoire de relancer notre vie sexuelle un peu endormie, pour ne pas dire moribonde.

En cette Saint-Sylvestre, il ouvert mon cadeau et n’a pas tout de suite compris. Il venait de m’offrir un jeu de dés coquins, rien de bien folichon. Je lui ai expliqué comment placer le cockring. Il est parti aux toilettes pour essayer.

Et quand la soirée s’est terminée, nous sommes rentrés chez nous. Dans la chambre, ça a été un vrai festival de sexe. D’abord, mon mari bandait dur et droit. Et moi, la vision de son membre à la vigueur retrouvée, ça m’a fait mouiller illico.

Une pipe, un cunnilingus et un 69 plus tard, je me retrouvais à quatre pattes sur le lit, attendant que mon homme fasse son office. Quand il m’a pénétrée, j’ai cru retrouver les sensations de ma jeunesse. Bien remplie, jusqu’au fond, par un membre viril en parfait état de marche. Il a commencé de longs et amples mouvements de va-et-vient, j’ai senti son gland taper sur le fond de mon vagin et j’ai cru défaillir.

Cela faisait tellement longtemps qu’il ne m’avait pas baisée ainsi. Mais sans s’affoler, sans crainte apparemment de perdre de sa superbe, il m’a fait changer de position. Il m’a niquée de toutes les manières possibles et imaginables, lentement ou plus rapidement, amplement ou plus vigoureusement.

On s’est pris, pendant toute la nuit, pour des stars du X. Oui, toute la nuit. Car en plus de rendre à ma sa bite la vigueur de ses vingt ans, le cockring eut pour effet de la rendre aussi plus endurante et, dira t-il plus tard, plus sensible. Bref, il bande et c’est le pied total, en d’autres termes. Et pour lui, et pour moi !

Etrangement, quand j’ai joui pour la cinquième fois de la nuit, alors que l’aube approchait, j’ai pensé à la petite vendeuse de sextoys qui m’avait conseillé ce jouet. J’ai eu envie de l’embrasser, de la remercier, pour tout le bien qu’elle avait fait à ma vie sexuelle et à mon couple.

Baisée par mon homme qui re-bande !

D’ailleurs, le surlendemain, je suis retournée dans le love-shop. Avec mon mari, cette fois. Et, avec une impudeur que je ne me connaissais pas, j’ai tout raconté à la belle des exploits érotiques de mon chéri, qui écoutait gêné. Elle n’a pas eu l’air plus surprise que ça. Tout au plus jetait-elle des coups d’œil au pli du pantalon de mon homme, qui en fut manifestement très flatté.

Heureuse d’avoir pu nous aider, la gentille vendeuse nous a alors conseillé toute une gamme de cockrings, mais aussi d’autres jouets dont je ne soupçonnais pas l’existence, pour lui, comme pour moi. Alors qu’elle devait avoir vingt ans de moi que moi, elle a joué avec nous le Pygmalion du désir. Et nous, on écoutait avec envie.

Depuis, nous revenons souvent au sexshop pour que notre coquine nous conseille sur les nouveautés, nous raconte ses propres expériences avec les accessoires qu’elle nous vend régulièrement. Il n’y a qu’un tout petit problème : depuis que nous la connaissons, elle et sa boutique, nous ne pensons plus qu’à faire l’amour, mon mari et moi.

Nous qui nous étions encroûtés au dernier degré, nous sommes devenus comme de véritables bêtes de sexe, toujours en chaleur et en rut. Il bande comme je mouille matin et soir. Nous pensons même à l’échangisme, c’est vous dire ! Peut-être aura t-elle des conseils à nous donner sur le club à choisir. Et peut-être voudra t-elle nous y accompagner ?

Travesti par ma femme

J’aime ma femme et je ne lui refuse rien. Quand ce jour là elle m’a demandé si j’étais près à tout pour lui offrir une belle journée, j’ai dit oui, comme d’habitude. Je n’ai pas eu à le regretter, même si, par biens des aspects, la journée a été parfois éprouvante.

Marianne m’a transformé en travesti. Elle avait tout prévu, une tenue excitante et un programme bien défini. D’abord elle m’a habillé et maquillé, dans notre chambre. Pour mieux m’humilier, elle l’a fait devant le miroir du grand placard qui meuble la pièce. Elle m’a enfilé des habits de cochonne ; comme si ça ne lui suffisait pas de me voir en femme, elle a tout fait pour que je ressemble à une traînée, presque à une pute.

En sortant de la maison, je marchais tant bien que mal sur les talons déjà hauts qu’elle avait choisis pour moi. Je portais une robe assez courte qui laissait voir mes jambes bien au-dessus des genoux. La robe était fendue sur le côté si bien que, lorsque je m’asseyais, le haut de mes cuisses apparaissait et les curieux pouvaient voir le début de mon slip de femme. En haut, un décolleté plongeant du plus bel effet complétait le tableau. Un chemisier cachait mes bras mais son col était suffisamment ouvert pour que l’on puisse voir la naissance de mes seins, des postiches  fixés sur un soutien-gorge dont on pouvait deviner le liseré de dentelle.

Nous sommes allés faire des courses ensemble dans un supermarché d’un quartier populaire. J’avais honte de me sentir observé à chaque instant, dévisagé, scruté de la tête aux pieds. Dans la lumière crue des néons, nul ne pouvait ignorer ma condition de travesti. J’ai trouvé ce moment de la journée tellement humiliant.

Vidéo porno du récit Travesti par ma femme

A midi nous avons mangé au restaurant, sur une terrasse. C’est là que des hommes mataient mes cuisses. Je tirais de temps à autre sur ma robe pour cacher ce qui pouvait l’être, mais aussitôt que je lâchais le tissu, mes cuisses réapparaissaient. Je crois que j’ai troublé plus d’un voyeur au cours du repas et que certains ont dû passer une bonne soirée avec leur femme.

L’après-midi nous avons fait du shopping. Le pire moment pour moi a été celui où ma femme m’a entraîné dans une boutique pour y acheter de la lingerie. La vendeuse n’a rien osé dire et nous a laissé nous amuser dans la cabine d’essayage. J’ai essayé des sous-vêtements terriblement sexy et ça m’a excité énormément. A un moment Marianne a appelé la jeune femme pour qu’elle nous conseille. A sa demande la fille s’est hasardée à passer ses doigts le long de la culotte de dentelle que je portais. Ce n’est pas allé plus loin mais j’ai trouvé ça si troublant que je bandais comme un cerf dans le petit slip.

En début de soirée, nous nous sommes arrêtés dans un bar à cocktails. Là, dans la pénombre, je me suis fait draguer par deux jeunes hommes qui pensaient sincèrement avoir à faire à deux cochonnes en manque de sexe. Marianne a finalement mis fin à ce jeu qui devenait risqué en leur dévoilant la supercherie. Ils se sont enfuis presque en courant.

En sortant du bar, ma femme avait encore une idée derrière la tête. Pour ma part, je n’avais qu’une seule envie : rentrer chez nous et la baiser comme jamais. Ca ne s’est pas passé comme ça. Je vous raconterai ma nuit de travesti avec Marianne prochainement.

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

>> Clique ici pour de bonnes cochonnes qui ont envie de sexe <<

Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.