Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.
Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.
Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?
Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.
Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.
L’étudiante studieuse devient perverse…
La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.
Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.
Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.
Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.
Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.
Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.