La stagiaire aux gros nichons

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Je ne saurais vous dire à quel point mon travail est rébarbatif. Mais, vous savez ce que c’est, il faut bien vivre. Et même dans ce job ennuyeux au possible – mais plutôt bien payé – les jeunes diplômés se bousculent pour décrocher le Saint-Graal : un CDI !

Sabrina mis toutes les chances de son côté, et je vais vous dire comment. Régulièrement, la boite prend une nouvelle fournée de stagiaires en fin d’études. Elle annonce combien de postes sont disponibles à la fin du stage. Cette année, il n’y a qu’un job pour douze stagiaires, vous imaginez le loto. Au bout des trois, ce sont les collaborateurs de l’entreprise qui jugent de l’opportunité de retenir telle ou telle candidature, après que chacun des stagiaires ait fait le tour de chacun des services.

Dans mon secteur, nous avons commencé par Sabrina et deux jeunes gars. Mais d’emblée, la blondinette stagiaire a tiré son épingle du jeu. Compétente, certes, mais aussi bandante en diable. Je vous fais le topo : petite blonde, un peu ronde, juste ce qu’il faut, avec des énormes seins qui défient la gravité, un cul à l’avenant, un sourire enjôleur. La bombasse, quoi.

Tous les mecs du serveur la reluquaient cette stagiaire gironde. Et les femmes… aussi ! Il faut dire que Sabrina savait se mettre tout le monde dans sa poche, en sympathisant avec ces dames, et en faisant rêver ces messieurs. Au départ, nous l’avons tous cru ingénue. Elle se penchait, laissant bailler ses énormes mamelles pour les uns, tendant son gros cul tout aussi appétissant pour les autres.

Mais, un jour que j’étais parti aux toilettes – qui sont communes aux hommes et aux femmes, dans notre société – je suis tombé nez à seins sur Sabrina, qui se refaisait une beauté. Je l’ai complimentée sur son travail, l’air de rien. Je ne m’attendais pas à une telle réaction :  » oh, tu sais, ça me fait tellement plaisir que tu aies remarqué mon travail. Tu sais, je fais mon possible pour te plaire. Pour moi, tu es l’âme de cette entreprise ! « .

Et la blondinette de me coller, manifestant l’envie que je la prenne dans mes bras, à l’américaine. Je l’ai donc serrée contre moi, et la rondeur de ses gros nichons contre moi a fait le reste. En mois de deux, j’ai senti une gaule terrible monter dans mon caleçon.

La blonde s’en est aperçue et, plutôt que de s’offusquer, que de crier au harcèlement sexuel, m’a poussé dans une des cabines de chiotte et a refermé derrière nous. En deux temps, trois mouvements, je me suis retrouvé la bite à l’air et, tout aussi vite, dans la bouche de la donzelle. Je n’ai même pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait !

Les gros nichons de la stagiaire

Sabrina m’a sucé comme jamais on ne m’avait sucé, titillant du bout de la langue, creusant les joues, salivant sur la totalité du zob. Moi, pendant ce temps là, j’avais pris ces gros nichons à pleines mains, jusqu’à les faire sortir de leur abri. La stagiaire m’a d’ailleurs fini en cravate de notaire, branlant ma queue entre ces deux obus.

Le lendemain, pas peu fier, j’ai saisi la première occasion pour raconter cette aventure à mes plus proches collègues. Ah ça, je peux dire qu’ils ont bien rigolé ! Tous avaient eu leur tour avec Sabrina la nympho : Gilles s’était fait pompé dans l’ascenseur, Damien l’avait sautée chez elle en la raccompagnant après le travail, le vieux Gilbert avait eu droit à une branlette discrète à son poste de travail et même Sarah, la goudou de service, avait pu profiter des charmes de la stagiaire !

Stagiaire et vraie nympho !

Non, Sabrina n’était pas avare de ses charmes, et plus les jours passaient, plus elle s’habillait de façon sexy. Certains vendredis, pour le  » friday wear « , elle passait des tenues dignes de clubs échangistes ! Pendant les trois semaines que Sabrina a occupé les locaux, nous avons tous pu jouir de sa présence, une, deux, trois fois pour certains : avec Gilles, nous l’avons même partouzée dans le local des femmes de ménage.

Puis elle nous a quitté, pour découvrir les autres branches de la boite. Chaque jour, nous revenaient des échos des exploits érotiques de la mignonne. Non seulement elle baisait avec les hommes, mais aussi avec toutes les femmes avec qui elle sentait quelque chose de possible. Et ce, en réussissant l’exploit de ne froisser personne !

Nous n’avons pas su tout de suite si Sabrina agissait ainsi par pur opportunisme, pour être certaine d’être choisie à l’issu de son stage ou par vraie passion pour le sexe, mais, vous vous en doutez bien, c’est elle qui, parmi les douze stagiaires, a décroché la timbale. Toujours est-il que, depuis qu’elle a signé son CDI, elle baise toujours autant avec tous les collaborateurs du service. Et je ne suis pas le dernier à en profiter !

La toubib lesbienne aux petits nichons

Par Claire, 32 ans.

A chacun – et chacune – son fétichisme. Moi je fantasme sur les docteurs. Tous les docteurs. Le seul cabinet médical où mon imagination ne me joue jamais des tours, c’est chez le gynéco. Là, la situation est trop glauque pour émoustiller ma libido. Mais sinon, n’importe quel toubib qui me drague a ses chances.

Ce que j’ignorais, c’est que je mouillais aussi pour les doctoresses. Je suis pourtant libertine depuis une dizaine d’années et, en dehors de quelques papouilles entre nanas, je n’ai jamais rien fait avec une autre femme. Jusqu’à ce jour étrange où j’avais rendez-vous avec mon médecin généraliste. Rien de grave, juste une visite de routine et quelques petits bobos.

J’y vais donc, le cœur plein d’entrain et la foufoune en délire. Attention, je n’ai jamais rien fait avec lui, ni avec aucun médecin dans l’exercice de ses fonctions, mais rien que l’idée, le fantasme, suffisent à me mettre en joie. Sauf que là, patatra ! La secrétaire médicale m’annonce que le docteur est en congés et qu’il sera remplacé par son ancienne interne,  » une jeune femme très bien  » m’assure-t-elle.

Contre mauvaise fortune bon cœur, je m’installe dans la salle d’attente, pleine à craquer. J’essaie de tromper l’ennui avec une pile de magazine, mais rien n’y fait. D’autant que je suis très déçue de ne pas voir mon médecin préféré.

Au bout de plus d’une heure, c’est à mon tour. La secrétaire me conduit jusqu’au cabinet où m’attend une grande meuf brune, très élancée, plutôt timide, mais assez belle tout de même. Elle n’a pas trente ans. Elle m’invite à m’asseoir.

Après quelques minutes d’entretien, elle me dit :  » déshabillez-vous, s’il vous plaît « . Habituellement, cette simple phrase me fait mouiller. Là, attendez voir… Oui, ça fonctionne toujours ! Je me mets en petite tenue et elle m’ausculte. Elle a les mains très douces, elle est très délicate. Mais c’est qu’elle m’exciterait, la coquine ! Surtout quand elle se penche vers moi : sa blouse baille et me laisse voir ses petits nichons, car elle n’a pas de soutien-gorge.

Je suis en feu. Je suis encore plus excitée qu’avec lui. Moi qui n’aime pas vraiment les femmes, ça me fait bizarre. Et pourtant, j’ai envie d’elle. Je décide de jouer mon va-tout. Je me plains de douleurs aux seins, ce qui est vrai. Elle prend un air sérieux, presque grave.

 » Vous pourriez retirer votre soutien-gorge, si ça ne vous dérange pas ? « . Tu parles, que ça ne me dérange pas ! C’est parti, elle me palpe les nichons, à la recherche d’une quelconque anomalie. Au bout de cinq minutes, qui m’ont fait pointer les tétons, elle semble rassurée.  » Non, je ne constate rien d’anormal. Je peux vous prescrire une mammographie, mais je n’en vois pas l’utilité, sincèrement… « .

Elle me demande si j’ai ses douleurs depuis longtemps. Depuis toujours, en fait, par périodes.  » Ça arrive souvent chez les femmes qui ont une belle poitrine comme la vôtre ! « . Je la remercie du compliment. Elle ajoute, en baissant la tête vers sa blouse :  » moi, je n’ai pas ce genre de problèmes, malheureusement… « . Elle rigole.

La bonne blague ! Si elle savait à quel point, à cet instant précis, j’ai envie de lui téter, ses petits bonbons. Et elle, il me semble qu’elle reluque mes tétons tout pointus. Puis elle me fait signe de me rhabiller. Elle me prescrit deux-trois broutilles homéopathiques, une pommade pour mes seins et on se quitte bonnes amies, si je puis dire.

Toute la semaine suivante, je n’ai cessé de penser à cette visite médicale, aux petits seins de la doctoresse, à sa blagounette sexy en diable. J’en ai même parlé à une amie libertine, qui m’a posé tout un tas de questions sur la fameuse toubib. Comment elle était physiquement, son âge, la couleur de ses yeux… Au bout de l’interrogatoire, elle s’exclame :  » ah ! Mais oui ! C’est Anna ! « . Je regarde ma copine avec des yeux de merlan frit.

Elle m’explique qu’elle la connaît bien, que c’est une gouine, une de ces filles un peu déjantées qui traînent les clubs échangistes à la recherche de couple dont le mari est candauliste et qui veut voir sa chérie baiser avec une autre femme.

Je n’en crois pas mes oreilles. Alors, ces allusions, sa blague, sa douceur à caresser mes seins ? D’urgence, il faut que je reprenne rendez-vous, non pas avec mon médecin habituel, mais avec elle ! Je vais appeler le cabinet, expliquer que mes énormes nibards me font horriblement souffrir, que je veux voir une femme-docteur, que c’est intime et tout ça.

Et là, c’est certain, on va s’envoyer en l’air entre femmes sur la table d’auscultation !







Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.