Une Africaine me vide les couilles.

Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

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J’accepte donc de le suivre, car j’ai super envie de niquer en ce moment. Ma meuf a ses règles, et elle refuse tout contact. Je ne tiens pas plus de deux jours sans baiser… On se rend donc dans cette boîte spécialisée, et il faut bien le dire, je suis quasiment le seul blanc de la salle. Autant dire que sur la piste de danse, je me fais vite alpaguer par deux ou trois Africaines. J’en choisi une et je la prends par la main. Je l’emmène dans les chiottes. J’ai envie de niquer là, tout de suite. Je sens déjà ma queue se durcir. Il y a un peu plus de lumière dans les toilettes et je me rends compte que cette black est loin d’être dégueulasse. Elle a un corps magnifique, une grosse bouche et des yeux de chipie. Elle se met à genoux toute seule, comme une grande, sans que je n’ai rien à demander.

Sa peau est d’un noir profond, c’est assez excitant de se taper une Africaine, une vraie, et pas une métisse comme d’habitude.
Elle me prend la queue dans sa bouche, et je la vois complètement disparaître derrière ses grosses lèvres pleines de rouge à lèvres. Je ne pensais pas qu’une blackette pouvait sucer aussi bien. A vrai dire, pour être franc avec vous, c’est la meilleure fellation de ma vie. Je vous conseille vraiment de vous taper une noire. Bref, cette black me suce comme une déesse dans les chiottes tamisées d’une boîte de nuit. Nous nous cachons à peine, la porte est entrouverte, et des fêtard passent par-là et nous voient. Certains mecs me lancent même des encouragements, car apparemment, c’est un peu la pute de la boîte. Il paraît qu’elle adore se la prendre dans le cul, alors je lui demande de se lever et de me présenter sa rondelle.

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C’est moi qui me mets à genoux et je commence à lui lustrer le trou de balle avec la langue. Y a pas à dire, une black, ça sent fort du cul. Mais c’est trop bon de pouvoir lui lécher la raie. Son cul est vraiment tout noir, c’est impressionnant. Il n’y a qu’au goût que je peux localiser son petit trou. Cette odeur de cul finit de me faire bander, je me lève et décide de lui enfoncer mon dard au plus profond de sa boîte à caca. Je n’ai malheureusement pas bu assez de verres pour tenir assez longtemps, et l’étroitesse de son cul a raison de mon endurance. Au bout de quelques coups de bite dans ses fesses noires d’Africaine, je commence à gicler. Elle pousse un petit cri « Non pas dans le cul », et je sors vite pour me finir sur ses fesses sombres et dodues. Je me souviendrai longtemps de cette sortie nocturne, et je remercie encore mon pote de m’avoir fait découvrir les charmes de l’Afrique!

Coquine topless se fait baiser dans un un parc !

J’ai pour habitude en été de descendre de mon studio pour me rendre dans un square tout prêt de chez moi. Il y a là un petit parc vraiment sympathique. Je l’aime bien. Il est un peu isolé du grand boulevard, il y a beaucoup d’arbres, et tout ceci me permet de pouvoir faire un peu de bronzette topless. J’ai des formes, je suis une bonne vivante, et j’ai du mal à sortir mes gros nichons bien lourds à la plage ou dans une piscine publique. Ce n’est pas que je suis complexée, loin de là, mais j’ai l’impression que tout le monde me regarde moi et ma forte poitrine. Bref, j’arrive au parc, et je me rends dans mon petit coin secret pour faire du topless.

Des salopes aux gros seins en manque de queue, ça existe !!

J’étale une serviette je sors mon téléphone et je mets de la musique. J’enlève le haut de mon soutif et je m’installe tranquillement. Mes tétons se durcissent immédiatement sous la chaleur du soleil. Je suis bien, mais je sens déjà que je transpire un peu dans la raie de mes seins. Ils sont si gros qu’ils se pressent l’un contre l’autre. Alors que je fais le vide dans ma tête et que j’essaie de profiter de cet instant de détente dans cette ville de fou, j’entends un petit bruit dans les buissons sur ma gauche.

J’ai mes lunettes de soleil mais je peux très bien voir qu’un mec est en train de se branler en me regardant. Le salaud! Il doit être sacrément en manque. Il n’a pas l’air dégueulasse en plus, et surtout, cette queue paraît si grosse! Je l’invite à venir. « Allez, sors de là, viens! ». Il s’exécute tout de suite et se présente devant moi, la queue en main et la demi-molle. Je commence tout de suite à lui embrasser la queue sans me soucier si une personne pouvait nous surprendre. C’est vrai que c’est risqué, mais bon, il faut vivre! Et puis ça fait un moment que je ne me suis pas pris un bon machin dans la chatte! Je le suce un peu, mais j’ai trop envie de me faire pénétrer.

Je me mets sur le dos et lui demande un missionnaire voluptueux. Il vient sur moi et me fourre sa queue au fond. Ça glisse bien, je mouille à fond. Il a les couilles épilées, et je les sens s’aplatir sur mes lèvres à chaque fois qu’il me pénètre. J’écarte les cuisses au maximum et je lui prends les fesses dans mes mains. J’aime sentir le cul musclé d’un homme monter et descendre pour me limer. Pendant qu’il me baise, je vois au loin des gens passer sur le chemin.

Ils regardent dans notre direction et je me rends bien compte qu’ils savent ce que nous faisons. Mais ça ne me dérange pas plus que ça, bien au contraire, je mouille encore plus! Il y va si fort qu’on peut entendre le claquement humide de ses couilles. J’aime cette baise à l’horizontale. Cet inconnu me nique vraiment bien, je prends mon pied et je sens des contractions de plaisir m’envahir le corps.

Topless, enculée dans un parc, je rêve !

Je lui demande alors de venir dans mon cul pour se finir. Il me sodomise immédiatement dans la même position. Mon cul serré est meurtri par cet engin si conséquent, mais le plaisir est plus fort que la douleur. Il me dit qu’il va gicler, je l’encourage alors à tout me foutre dans les fesses, comme la chienne que je suis. Je sens alors mon trou de balle se remplir à ras bord de son jus épais et tiède. Il pousse un râle qui a dû alerter tout le voisinage. Moi aussi je crie, nous jouissons en même temps. C’est vraiment bon le sexe en plein air, je le conseille à tout le monde. Et si vous voyez dans un parc une belle nana topless qui prend le soleil, venez lui dire un petit bonjour, on ne sait jamais…

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Des inconnus se branlent sur moi…

Mon mari est vraiment un sale petit pervers. Thomas et moi sommes mariés depuis bientôt 15 ans. Notre vie sexuelle était devenue lassante, mais mon homme a commencé à m’initier à l’exhibition. J’aimais de plus en plus montrer mes seins et ma chatte poilue dans des lieux publics devant des inconnus pendant que mon chéri se branlait la tige dans le pantalon.

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Nous rentrions ensuite à la maison pour baiser toute la nuit comme deux animaux en chaleur. Ce petit jeu me plaisait bien, mais Thomas voulait que j’en fasse encore plus. Un soir, après le travail, il me demande d’enfiler une tenue de petite salope pour sortir boire un verre. Je m’exécute aussitôt et nous prenons la route en voiture. Je me rends bien compte que nous ne nous dirigeons pas vers le centre-ville. Nous prenons l’autoroute pendant plusieurs kilomètres. Je lui demande ce qu’il se passe, et en guise de réponse, il fourre sa main entre mes cuisses et commence à me baiser avec ses gros doigts d’ouvrier. Le stress disparaît lorsque je sens la main de mon homme me fouiller la vulve de cette façon, comme si je n’étais que son objet.

Je mouillais assez fort lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour camion. Il gare la voiture dans un coin du parking, et avant même que le moteur ne soit coupé, quatre ou cinq bonhommes surgissent de derrière les buissons. Je prends un peu peur, mais Thomas me rassure en me doigtant avec encore plus de fermeté. Ma fente mature dégouline et je tâche le siège passager.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais ces inconnus ont tous la queue en main. Ils sont venus là pour se branler sur moi, et je crois que je vais recevoir une sacrée dose de sperme. Mon mari ouvre les fenêtres en grand et m’ordonne de lui pomper le dard. Je me jette sur sa saucisse et commence à le piper comme je sais si bien le faire.

Des inconnus se branlent sur moi !

J’essaie de gober son machin jusqu’au fond mais j’ai des hauts le coeur. Les inconnus pervers sont là, tout autour, et je peux les entendre se branler avec frénésie, comme des bêtes. Je ne sais pas ce qu’ils me feraient si mon mari n’était pas présent… Cette idée que tous ces chauffeurs en manque me violent et abusent de mes trous me donne une soudaine envie de monter sur la queue de mon homme. Je m’assois donc sur lui et m’enfile sur sa tige jusqu’aux fondations. J’adore toujours autant les premiers allers-retours, lorsque ma vulve est encore légèrement serrée. Mais ça ne dure pas très longtemps, car Thomas est un vrai bourrin, et il me détruit rapidement la chatte avec ses puissants coups de bite. Je suis là, sur ce parking glauque. Il fait nuit noire, et je suis en train de me faire bombarder la foufoune par mon homme sur la banquette arrière alors que des inconnus totalement dingues et flippants se branlent la nouille sur moi. Je devrais avoir peur, mais je suis tellement salope que je me sens comme un poisson dans l’eau. Plusieurs mecs se mettent à me jouir dessus, surtout sur les fesses, et mon mari ne tarde pas lui aussi à me remplir le sexe de sa semence crémeuse. Je me lance et décide de finir les trois derniers à la bouche, comme une vulgaire pute de quartier. Une fois satisfait, tout ce petit monde disparaît dans la pénombre. Je ne sais pas ce que mon homme me réserve pour la prochaine sortie, mais ça risque de mal tourner…

Ma voisine est une femme fontaine

Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.

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J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.


Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.

Ma voisine ? Une femme fontaine !!

Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!

Vendeuse de soutifs

Dès ma puberté, je me suis passionnée pour le mode et les accessoires féminins. Avec, d’aussi loin que je me souvienne, une prédilection pour la lingerie fine, que j’ai toujours tenue pour le comble de la féminité. Les jolies dentelles, les formes de soutien-gorges, les différentes façons d’échancrer une culotte m’ont toujours fascinée.

C’est donc tout naturellement que, vendeuse, j’ai essayé d’obtenir des places dans des boutiques spécialisées en lingerie affriolante. Aujourd’hui, j’y suis arrivée : je suis assistante de la directrice d’une boutique dans un des plus beaux quartiers de Paris, boutique de ma marque de dessous féminins préférée.

A la recherche d’un plan cul mateur/voyeur ?

Je suis donc la seconde dans le magasin. La seule haut dessus de moi, c’est Nadège, une super bourgeoise de la quarantaine qui en impose. Port de tête haut, visage rayonnant malgré les premières rides qui commencent à apparaître, phrasé clair et charmant, la belle Nadège a également un atout que je lui envie particulièrement : un magnifique 95D de tour de poitrine.

Car oui, c’est bien là mon drame : passionnée que je suis par les soutifs, je ne fais qu’un pauvre 85A, de tout petits nichons qui n’atteignent que difficilement le bonnet B quand je prends un peu de poids. Bien entendu, j’ai accès à tous les soutien-gorges pigeonnants et autres push-up qui me permettent de faire illusion, mais tout de même : je complexe sur ma petite poitrine.

Des complexes, Nadège n’en a aucun : une vie professionnelle au top, une féminité assumée et joyeuse, un mari canon, friqué et cultivé, ma directrice a tout pour elle. Jamais, d’ailleurs je n’ai rêvé de prendre sa place, tant elle assure, professionnellement parlant. Voilà trois ans que je bosse pour elle, jamais je ne l’ai vue faire la moindre erreur.

Moins aussi je suis une bonne professionnelle, je crois. A part un petit vice caché : il m’arrive très souvent de regarder derrière le rideau quand une belle cliente vient essayer nos dessous. N’y voyez pas malice : j’adore voir une belle lingerie sur un beau corps de femme. Mais, c’est ce que je croyais en tout cas il y a encore une semaine, je suis totalement hétéro.

Il y a une semaine, donc, Nadège me convoque dans son bureau. S’y trouve la directrice, donc, et une amie à elle, cliente régulière du magasin. Toutes les deux me font les gros yeux. « Madame Martin est venue se plaindre de vous, ma petite Jeanne, et je lui en sais gré ». Elle laisse passer un temps, pour profiter de ma déconfiture. « Elle vous accuse de reluquer les clientes dans les cabines d’essayage. Cela est parfaitement inacceptable. Vous êtes un excellent élément, alors expliquez-vous ».

Morte de honte, je bredouille. J’essaie d’expliquer que ça n’a rien de libidineux, juste de l’admiration pour les modèles de la marque et pour les femmes mieux roulées que moi. Pascale, la jeune et svelte cliente, en rougit d’aise. Nadège, quant à elle, semble toujours furibarde. « Alors, vous ne pensez pas à mal ? Et si on vous faisait la même chose ? ». Je reste interdite.

Exhibée devant deux belles femmes

Nadège et Pascale me fixent toutes les deux. Puis, un sourire sadique se dessine sur le visage de ma patronne. « Très bien, alors, essayons ! ». Elle se retourne vers son bureau et trouve un ensemble soutien-gorge string, comme par hasard à ma taille. « Et bien, tenez, essayez, ici et maintenant ».

Terrorisée, je m’exécute et me retrouve en petite tenue devant les deux bourgeoises. Je m’apprête à enfiler le string au dessus de ma culotte, comme c’est l’usage. Mais Nadège voit les choses autrement : « enlevez tout, ça sera plus probant » m’ordonne t-elle. Me voici entièrement nue, avec mes petits seins ridicules, devant ces deux belles plantes qui se rincent l’œil d’un air moqueur.

« Vois-tu, Pascale, c’est le nouveau tissu dont je te parlais, hier, au sauna ». Nadège s’approche de moi et effleure de la paume de la main le soutien-gorge que je viens d’enfiler. Pascale l’imite sans aucune gêne, caressant même mon mont de vénus par dessus le string. Je sens leurs mains partout sur moi, sans que, bientôt, il n’y ait plus besoin de l’alibi du « tissu ».

Et voilà qu’elles m’embrassent un peu partout sur le corps, me pelotent et, finalement, me déshabillent à nouveau. Bientôt, nous sommes toutes les trois nues à nous rouler sur la moquette du bureau. Non seulement je me laisse faire, mais je prends un plaisir insoupçonné à faire l’amour à ces deux femmes. J’aime leur odeur, le satiné de leur peau, leurs formes !

Depuis cet épisode, toutes mes idées sur moi-même se sont envolées. Je ne sais plus très bien qui je suis. J’ai juste envie qu’elles recommencent à abuser de moi, la petite employée modèle, toutes les deux, et le plus tôt possible. Et, désormais, je sais que je m’intéresse autant aux dessous féminins qu’à ce qu’ils renferment de trésors de volupté.

Jeune beurette doublement baisée en bord de mer

Marseillaise, Fatima est née en Tunisie, c’est une jeune beurette comme on dit. Ça fait déjà un mois qu’elle a soufflé sa vingtième bougie et, elle est plus belle que jamais.
Cette universitaire aime bien les balades au bord de la mer. Quand elle n’est pas avec une bande de copains, c’est aux côtés de sa meilleure amie Julie qu’elle se promène. Elle adore marcher pieds nus pour profiter du sable chaud, il n’y qu’en été qu’on peut ressentir ça et, nous sommes justement au mois de Juin.
Cette année, elle a trouvé du travail à temps partiel sur une plage, un boulot qui lui plaît bien car, telle une sirène, elle adore les bruits des vagues, observer le coucher du soleil et le vent estival.
Un samedi matin, la jolie plagiste de 20 ans, dans son maillot de bain, installe le matériel, aidée par d’autres jeunes dynamiques, enjoués et insouciants qui travaillent avec elle. Ils s’amusent bien, font des blagues et parlent sans tabou. Pas très loquace sur sa vie intime, elle cache à tout le monde ses fantasmes, elle en a un peu honte.
En effet, Fatima rêve de faire l’amour avec deux mecs musclés dans une cabane près de la mer. Déjà qu’elle est très coincée, comment fera-t-elle pour se retrouver avec deux keums, toute seule ?

Jeune beurette avide de sensations

La jeune beurette Elle a un petit ami qui n’est vraiment pas son genre. C’est juste pour passer le temps, un mec sympa, boulanger, peu élégant et aussi coincé qu’elle. Même s’ils « font l’amour » souvent, elle n’a jamais droit aux préliminaires, pourtant, elle adore le cunnilingus. Et quand elle propose de lui faire une pipe ? Le mec devient tout rouge, oppose un refus, ce qui offusque souvent Fatima.
Sa vie de couple n’est donc pas un rêve mais, elle ne songe jamais aller voir ailleurs car, c’est une magrébine respectueuse des principes religieux.
Sa tenue de travail est un maillot de bain deux pièces, putain ce qu’elle est bandante dans cet uniforme composé d’un haut super mini et d’un boxer bien moulant. Ses fesses se dessinent à la perfection et sa poitrine, 85B, a l’air de prendre du volume chaque seconde qui passe.

Ce jour de week-end, Fatima vient de prendre sa pause, il est 11 heures et, elle siffle un jus de coco, les pieds croisés, assise sur une table. Elle porte des lunettes de soleil et elle regarde ses collègues, nager, marcher papillonner et draguer.
Ses écouteurs aux oreilles, la musique retentit à fond quand elle sent une main chaude toucher son épaule. L’effet de surprise la fait sursauter et, lorsqu’elle se retourne, notre jolie maghrégine remarque une ombre imposante érigée devant elle. Elle ôte ses lunettes et, c’est un beau black qui a l’air d’avoir avalé une armoire, qu’elle aperçoit.

Elle se lève pour le contempler de la tête aux pieds, il est vraiment impressionnant, ce n’est pas son type mais, toutes les femmes rêvent d’un homme aussi robuste, même pour une minute de plaisir.
Elle lui demande alors ce qu’il veut et, le jeune coquin de lui dire qu’il la trouve très jolie et qu’il aimerait discuter avec elle.
Continuant la conversation, il confie à Fatima qu’il est photohraphe et qu’il aimerait bien la prendre pour model. Il continue en disant qu’il avait loué un appartement du côté est de la plage et qu’il voulait bien lui faire faire un casting, moyennant quelques euros, bien sûr !

La jeune beurette phocéenne réfléchit quelques instants avant d’accepter.
Ils marchèrent alors pour regagner le côté est où était confortablement installé notre coquin.
Aucune trace ne montre que c’est un professionnel de la photo, Fatima soupçonne un traquenard, se pose quelques questions avant de lui dire qu’elle n’était plus intéressée.
Le mec la supplie de rester, avouant qu’il avait juste envie d’être avec elle et, d’ailleurs, pour lui montrer sa bonne foi, il sort une liasse d’Euros qu’il met dans la main de la maghrégine.
Ces espèces sonnantes la désarment.

Fatima : Maintenant, on fait quoi ?
Gérard : Je veux juste te voir nue, que tu me fasses un striptease.

Beurette vénale

Tous ces billets méritaient bien une petite gâterie !
Alors qu’elle commençait à se déhancher, le mec a pris son smartphone pour filmer. En plus, il a mis en fond sonore, une musique chaude pour la motiver. La jeune beurette commence à se déchaîner jusqu’à ce que la sonnerie retentisse.

Gérard : C’est certainement le concierge, ne bouge pas je reviens tout de suite.

Entre alors un autre beau mec, métis, musclé, torse nu. Toute honteuse, Fatima ne peut cacher les billets qu’elle tient dans sa main.
Mais ces mecs sont des pros, ils ont l’air de ne pas être à leur premier coup. En effet, Gérard va proposer un nouveau deal à son invitée : « Maintenant que nous sommes deux, on peut t’ajouter de l’argent pour te regarder, ça ne fera pas de mal « .
Se sentant humiliée mais excitée en même temps, la beurette de 20 ans n’a pas dit non. La musique relancée, elle va recommencer ses déhanchements façon orientale.

Les deux coquins se levèrent pour demander gentiment à Fatima de sucer leurs bites. A cet instant, elle pensa à son fantasme en se demandant pourquoi ne pas en profiter pour le réaliser.

Une bonne partouze avec des doubles pénétrations et du sperme à bouffer pour la rebeu.

Une panthère noire attaque !

Ses yeux noisette, son sourire parfait, ses lèvres séduisantes, son teint noir laquée sur une peau douce… Une vraie panthère noire… Tout chez cette jeunette de 25 ans était attirant, même sa voix était si sexy. De ma vie, j’avais rarement vu une femme aussi exotique et excitante. Son sex appeal était incroyable et à mesure que je lui prenais des clichés dans des positions subversives, mon pénis n’arrêtait pas de prendre des coups de sang et je faisais de mon mieux pour dissimuler son agitation à travers le bermuda que je portais. J’allais définitivement perdre le contrôle lorsqu’elle se mît en levrette pour que je prenne des images en gros plan de son cul rebondissant mis en valeur par un string magnifique assorti d’un soutif. Puis, elle se changea pour la huitième fois et se vêtit d’une autre lingerie coquine. Je pris encore des clichés pendant une demi-heure environ.

La séance terminé, Roseline, c’est ainsi que s’appelait ma « panthère », vint voir, en lingerie de charme, toutes les photos que j’avais prises et ensemble nous sélectionnions les meilleurs. Pendant que nous accomplissions le tri, elle posa, de manière anodine sa main par-dessus mon épaule gauche, moi étant assis et elle debout. Ce touché me donna un frisson qui me traversa le corps de la tête au pied avant de se focaliser sur mon sexe qui allait définitivement se mettre à tanguer comme une perche.

Mon hôte avait bien remarqué la bosse au niveau de la braguette, je l’entendis sourire. J’avais honte de moi, honte de ne pas pouvoir me contrôler. Mais, il faut dire que c’était bien la première fois que je faisais des photos aussi sexy avec une bombe sexuelle.
En fait, Roseline, consciente de son corps de rêve et de son postérieur irrésistible, s’était monté un business, à la demande d’un blogueur de site de charme, consistant à lui fournir des photos coquines pour animer son site. Elle envisageait aussi de monter un booking pour poser pour des marques de lingeries fines.

Le fait de me faire démasquer par Roseline, fit tomber toute l’excitation qui m’ébranlais. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux. Lorsque nous finîmes le tri, je l’entendis me dire qu’elle était prête pour la suite.

– La suite ? Quelle suite ?
– J’avais aussi besoin de prendre des photos nu, à refiler à un client qui paie gros. Ça m’étonne que tu aies cet air étonné, pourtant je crois te l’avoir dit.
– Visiblement tu as omis de me le dire.
– Allez s’il te plaît Louis, fais pas ton ronchon.
– Ok, c’est bon on le fait.

Évidemment que j’avais envie de la voir à poil, mais en même temps, j’aurais aimé éviter car je sentais bien que je n’allais pas être indifférent à la vue de son corps dans le plus simple appareil.
Elle opta pour une photo de son vagin en gros plan, en premier. Elle prit ensuite son index et se l’enfila dans la vulve, là encore j’en pris une image, puis une autre aussi excitante que la première. Je gaulais si fort que j’en avais mal.

Je baise ma panthère

– Tu ferais mieux d’enlever ton short et te mettre à poil comme moi, tu transpireras moins et je crois que ton pénis aurait besoin de prendre l’air.
Je me mis en effet à poil, et j’avoue que j’en étais soulagé car je n’avais plus à me dissimuler. Nous reprîmes la séance et mon phallus était au garde à vous permanent.
– C’est flattant de voir que je fais autant d’effet à un homme. Approche mon beau…

Je m’avance et elle me chope le pénis pour me tailler une pipe emblématique en gorge profonde. A la suite, je m’en vais m’engouffrer entre ces cuisses pour lui lécher la crémouille à pleine langue et voyant qu’elle en hurle de plaisir, je fourre deux doigts dans son minou tout en continuant de jouer avec son clito. Elle se tortille de plaisir en couinant et bientôt elle allait m’inviter à lui servir mon popol. Chose que je fis avec joie. Je la pénétrais d’abord en douceur, mais ce n’était pas à son goût, elle me demanda d’y mettre de l’intensité, alors je la culbutais sans lui faire de cadeau. A sa réaction, c’était bien ce qu’elle aimait. Elle a aussi aimé se prendre mon éjaculation dans la poire.
Juste après cette baise, cette coquine me réclama un rabais de 30 % sur mes prestations… Quelle malign, ma panthère noire !

Gang-banguée dans une secte naturiste

Ma meilleure amie m’avait convaincue d’intégrer sa meute de naturiste. C’était une femme d’une trentaine d’années comme moi, et nous partagions tellement de choses sauf sa passion pour le naturiste. Pudique, je n’osais pas franchir le cap, pourtant ça m’attirait vraiment. Surtout que je ne suis pas du genre à garder mes fringues quand je suis seule chez moi.
Elle me présentait à sa meute constituée d’une dizaine de personnes de tout âge confondu. La plus jeune personne avait 22 ans et le plus vieux, 60 ans.
Ils trouvèrent les mots juste pour me mettre à l’aise et leur accueil fut si chaleureux que ma timidité disparu spontanément.

Je faisais à présent partie de la meute mais il ne me restait plus qu’à rencontrer le mâle alpha qui était absent pour des raisons professionnelles. J’allais finalement faire sa rencontre quelques jours plus tard à la plage, nous étions tous réunis à poil. Lorsque je le vis, je compris pourquoi il était l’alpha, d’abord, il avait la plus grosse teub de tous les mecs, elle faisait au moins 15 cm au repos, ensuite, il était charismatique et séduisant.
Sur le coup j’ai été séduite par sa personnalité. Ce jour là, il m’accorda une attention toute particulière, étant donné que j’étais à l’honneur. Il tenait un discours doux et attentionné à mon égard, sa voix me charmait autant que ces paroles. Je me sentais acceptée et désirée. Ce beau gosse avait trouvé les mots justes pour me mettre sous son emprise. Si bien que lorsqu’il commença à me caresser, je le laissai faire, puis il me déposa un baisé sur le cou, me doigta avant de me faire un cunnilingus.
Quand je me mis à lui pomper le zob, il doublait de volume en quelques secondes pour se transformer en une bite imposante de 25 cm environ.
La teub monstrueuse allait quitter ma bouche pour se rabattre sur mon minou. J’ai eu chaud à la pénétration, car c’est bien la première fois que ma chatte recevait une telle décharge. Une fois bien dilatée, je ne ressentais plus que du plaisir qui allait me garantir des orgasmes bien fort.
Pendant que je me faisais lustrer sur la plage, les autres membres du groupe, eux s’était aussi mis à s’envoyer en l’air. C’était une grosse orgie. J’aperçus mon amie entre deux gaillards à leur tailler des pipes.

Baisée puis gang-banguée !

Un autre mâle vint me donner sa trique à pomper pendant que le master me refaisait le portrait vaginale. Sans me demander mon avis, ce dernier me pénétra au cul à sec. Je ne vous raconte pas la douleur ! Son gros pénis dans mon cul m’arracha de vigoureux cris. Très vite tous mes trous se bouchèrent de bites, une dans le cul, une dans la chatte et une dans la bouche. Tous les mecs vinrent tour à tour me fourrer comme une catin.
Il pleuvait des bites de partout au point où j’arrivais plus à me concentrer sur ce qui se passait réellement autour de moi. Mais encaisser tous ces glands me fit avoir plusieurs orgasmes.
A mesure que cette baise se prolongeait, mon corps recevait de plus en plus de sperme. J’en avais partout et même dans les cheveux.
Lorsque les mecs se retirèrent tous, les femmes y compris mon amie vinrent me lécher le clitoris et les seins. Comme c’était bon. Gang-banguée par tous ces chauds lapins…
Tous se mirent à me féliciter, le mâle alpha en premier car j’avais réussi mon rite initiatique, je faisais à présent parti de la famille. Il me rappela que le credo du groupe était : « partage, sans tabou ». L’orgie se poursuivit avec les autres nanas, moi, j’avais besoin d’un peu de repos pour récupérer.

Libertins et bisexuels

Mon mari et moi sommes libertins. Et ça dure depuis plus de dix ans. En fait, nous avons commencé autour de nos vingt-cinq ans, dans l’espoir d’un plan à trois avec une nana, car je suis un peu bisexuelle. Et nous y avons pris goût.

Je sais bien que ça ne parle pas aux personnes fidèles en couple, mais nous sommes plutôt de la catégorie des libertins softs. Nous faisons des plans à trois et à quatre, c’est vrai, mais nous n’allons pas plus loin  : pas d’orgies incroyables, pas de trucs complètement délirants.

Un jour, un couple d’amis – ils le sont devenus par la suite, en fait, c’était notre premier rencart – nous a donné rendez-vous dans un coin à voyeurs de la région. Sur place, nous avons coquiné dans leur grande voiture alors que, derrière la vitre, se bousculaient les paysans (libertins ?) du coin qui voulaient être aux premières loges pour assister à notre partouze.


J’ai adoré  ! Le fait de me sentir observée pendant que le mec d’une autre me suçait les seins, pendant que je partouzais joyeusement avec mon mari et un autre couple, ça m’a littéralement transportée. Malgré l’inconfort du sexe à quatre dans une voiture, je mouillais comme une petite folle  !

Alors, naturellement, j’ai voulu réessayé. Mon mari, lui aussi, était partant  ! Malheureusement, ce vendredi après-midi là, l’autre couple n’était pas disponible, et nos autres connaissances libertines ne voulaient pas essayer le trip exhibitionniste.

N’écoutant que notre courage – ou plutôt notre libido – nous sommes donc partis tous les deux dans le coin à voyeurs. Une fois sur place, Alexandre a coupé le moteur. Il y avait là quatre ou cinq autres véhicules. Très vite, je me suis retrouvée seins nus, avec la bouche de mon mari qui me faisait pointer les tétons. L’atmosphère était à la limite du glauque, mais j’étais très excitée.

Les voyeurs ont commencé à se mettre en place. Hélas, notre voiture n’était pas aussi spacieuse que celle de nos amis de sexe et nous ne pouvions pas nous ébattre comme nous l’aurions voulu. Mon mari a sorti sa pine, et je l’ai sucé, là, devant tous ces mecs inconnus. L’un d’eux a tapé à la vitre. Il semblait vouloir nous dire quelque chose.

Libertins en goguette

Nous nous sommes lancés et avons décidé d’ouvrir les portières, trop heureux d’avoir un peu plus d’espace. J’ai continué à pomper mon homme, tandis que des mains, de l’autre côté, se baladaient sur mes fesses. Le type qui avait frappé à la vitre me pelotait les seins. Tout ce beau monde se branlait sans pudeur devant nous. Toutes ces bites m’excitaient.

Puis, la main du voyeur est descendue de ma poitrine aux couilles de mon mari. Ce dernier a eu un mouvement de recul. Il n’est pas homophobe, non, mais cela l’a surpris. Le voyeur m’a complimenté sur mes seins, et a fait de même sur la bite de mon chéri.

Il est allé jusqu’à demander  : «  je peux le goûter  ? ». Je n’en croyais pas mes oreilles. D’autant moins qu’il a joint le geste à la parole, et m’a remplacé sur la queue raide de mon homme. Lui ne disait rien, il se laissait faire. J’ai regardé le sexe de cet homme inconnu. Il était plus petit que celui de mon chéri, mais très large, très raide. J’ai tendu la main, et je l’ai branlé pendant qu’il suçait Alexandre.

Mon mari suce un mec en extérieur

Puis je me suis penchée vers l’oreille de ma moitié et lui ai demandé  : «  ça te plairait de le sucer  ? J’adorerais te voir faire une pipe à un homme…  ». Alexandre est toujours partant quand il s’agit de me faire plaisir, sexuellement parlant. Mais là, il a eu plus qu’une hésitation. Et puis il a regardé le vit de l’inconnu, qui coulissait entre mes doigts. Elle était belle, sa pine, bien plus que son propriétaire.

Dans un lent mouvement, Alexandre s’est tendu vers l’engin et, après un temps de suspens, l’a finalement pris en bouche. Le gars, trop heureux d’être ainsi turluté, est reparti vers mes seins et je suis parvenue à force de contorsions à reprendre le sexe de mon mari en bouche.

Le tableau que nous formions devait être assez incroyable  ! Moi, j’étais dans un état d’excitation ultime. Le mec qui s’ingéniait à me caresser le clitoris, par derrière, a du s’en rendre compte très vite. J’avais toujours rêvé de voir deux hommes se sucer l’un l’autre et là, c’était mon mari qui creusait les joues sur une bite.

Et oui, messieurs, vous qui vous précipitez sur les films de lesbiennes, sachez que certaines femmes, elles aussi, aiment voir deux hommes se faire quelques mamours libertins  !

Première fois avec des échangistes

Je n’aurais jamais cru que cela pouvait se passer comme ça, dans les clubs échangistes. Et pourtant ce n’était pas faute de m’être renseignée auparavant, depuis le temps que mon mari et moi parlions du fait de nous lancer – enfin ! à plus de 50 ans – dans le libertinage. Je pensais qu’on s’isolait dans une alcôve avec un autre couple et qu’on partouzait à quatre. Je me suis aperçue que ce n’était pas toujours ainsi que les choses se passaient.

Quoi qu’il en soit, nous étions enfin décidés. J’avais commandé une tenue libertine qui mettait en valeur mon opulente poitrine et nous sommes donc allés, pour la première fois, dans un club échangiste. Première surprise : il y avait plein de jeunes, de 20 ans, de 30 ans. Seconde surprise : les alcôves étaient vides, tout ce beau monde se pelotait sur la piste de danse. Le paradis des échangistes…

Troisième et dernière surprise, mais non la moindre : malgré mon âge avancé, le décolleté de ma tenue coquine attirait l’œil de pas mal de jeunes gens. Jusqu’à ce qu’un charmant couple nous aborde. Ils ne devaient pas avoir trente ans. Lui, un petit minet, assez grand, très beau, me souriait tout en passant son regard de mon visage à mes seins. Elle, une petite bombe blonde, de jolis petits seins à croquer, qui se montrait très tactile avec mon mari.

Malgré l’écart d’âge, c’était eux qui savaient. Eux qui dirigeaient les événements. Ils nous ont guidés jusqu’aux coins-câlins du club. Mais, à mon grand étonnement, ils ne nous ont pas conduits jusqu’à une pièce fermée, mais sur un immense lit à baldaquins où, manifestement, ils avaient leurs habitudes.

Tout a commencé de façon soft. Il a joué avec mes seins et avec ceux de sa petite amie, mon mari l’imitant maladroitement. Puis elle a sorti la bite de la braguette de mon homme, et s’est mise à se masturber de la main droite et à le branler de la main gauche. J’ai fait de même.

Un attroupement de quelques jeunes couples s’est fait autour du grand lit. Du regard, ou d’un simple geste de la main, la jeune blonde libertine attirait vers elle les couples qui trouvaient grâce à ses yeux. Très vite, nous nous sommes retrouvés à six couples – douze personnes ! – serrés sur ce lit qui, décidément, n’était pas si grand que ça !

Au début embarrassée, je me suis laissée aller au plaisir de toutes ses mains et toutes ses bouches qui me frôlaient, me touchaient, me caressaient à des endroits de mon corps que, jusqu’ici, je n’avais confiés qu’à mon mari. Quant à lui, il était en train de se faire sucer par une jeune maghrébine de 35 ans environ, qui le prenait en fond de gorge, et il pelotait en même temps les fesses d’une grande brune de 30 ans maximum, qui en léchait une autre.

Orgie d’échangistes !!

Moi, j’avais des sexes d’hommes et des seins de femmes à ma disposition. Un jeune gars très mignon avait planté sa tête entre mes cuisses et me suçotait le petit bouton. J’en suçais un autre, puis un autre, je ne savais plus où donner de la tête. Pendant plus d’une heure, il n’y eut aucune pénétration.

Mais j’avais joui déjà trois fois ! J’étais épuisée… J’ai fait signe à mon mari de quitter le lit. Nous sommes allés boire un verre. Ensuite, nous sommes retournés vers le grand lit, où le premier couple était encore affairé à jouir et à faire jouir. Mais les participants n’étaient plus les mêmes. Certains couples mélangistes – c’est ainsi qu’on appelle cet autre passe temps des échangistes, je l’apprendrai par la suite – avaient quitté la bataille, d’autres étaient venus en renfort.

Nous hésitions à revenir dans la mêlée, pas certains d’y être encore conviés. La petite blonde ne nous laissa pas longtemps en plan, nous faisant comprendre que nous étions toujours les bienvenus. Tout le monde caressait, embrassait, suçait tout le monde, les hommes et les femmes, bien entendu, les filles entre elles aussi.

Toute la nuit, nous avons alterné entre cette gigantesque partouze et le bar, où nous devions reprendre des forces de temps à autre. Le jeune couple, quant à lui, n’a pas arrêté de toute la nuit. C’est aux aurores que la patronne du club échangiste nous a fait comprendre qu’il était temps pour elle de fermer. Le jeune libertin a alors éjaculé sur mes seins offerts, la petite blonde a fait jouir mon mari dans sa bouche et a tout avalé.

Il m’arrive de penser parfois que tout cela n’était qu’un rêve, mais nous retournons presque tous les samedis dans ce club, et les choses sont toujours aussi coquines.