Une Africaine me vide les couilles.

Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

Des femmes attendent un homme pour baiser, clique ici

J’accepte donc de le suivre, car j’ai super envie de niquer en ce moment. Ma meuf a ses règles, et elle refuse tout contact. Je ne tiens pas plus de deux jours sans baiser… On se rend donc dans cette boîte spécialisée, et il faut bien le dire, je suis quasiment le seul blanc de la salle. Autant dire que sur la piste de danse, je me fais vite alpaguer par deux ou trois Africaines. J’en choisi une et je la prends par la main. Je l’emmène dans les chiottes. J’ai envie de niquer là, tout de suite. Je sens déjà ma queue se durcir. Il y a un peu plus de lumière dans les toilettes et je me rends compte que cette black est loin d’être dégueulasse. Elle a un corps magnifique, une grosse bouche et des yeux de chipie. Elle se met à genoux toute seule, comme une grande, sans que je n’ai rien à demander.

Sa peau est d’un noir profond, c’est assez excitant de se taper une Africaine, une vraie, et pas une métisse comme d’habitude.
Elle me prend la queue dans sa bouche, et je la vois complètement disparaître derrière ses grosses lèvres pleines de rouge à lèvres. Je ne pensais pas qu’une blackette pouvait sucer aussi bien. A vrai dire, pour être franc avec vous, c’est la meilleure fellation de ma vie. Je vous conseille vraiment de vous taper une noire. Bref, cette black me suce comme une déesse dans les chiottes tamisées d’une boîte de nuit. Nous nous cachons à peine, la porte est entrouverte, et des fêtard passent par-là et nous voient. Certains mecs me lancent même des encouragements, car apparemment, c’est un peu la pute de la boîte. Il paraît qu’elle adore se la prendre dans le cul, alors je lui demande de se lever et de me présenter sa rondelle.

Tu veux baiser ? Elles aussi ! Clique ici !

C’est moi qui me mets à genoux et je commence à lui lustrer le trou de balle avec la langue. Y a pas à dire, une black, ça sent fort du cul. Mais c’est trop bon de pouvoir lui lécher la raie. Son cul est vraiment tout noir, c’est impressionnant. Il n’y a qu’au goût que je peux localiser son petit trou. Cette odeur de cul finit de me faire bander, je me lève et décide de lui enfoncer mon dard au plus profond de sa boîte à caca. Je n’ai malheureusement pas bu assez de verres pour tenir assez longtemps, et l’étroitesse de son cul a raison de mon endurance. Au bout de quelques coups de bite dans ses fesses noires d’Africaine, je commence à gicler. Elle pousse un petit cri « Non pas dans le cul », et je sors vite pour me finir sur ses fesses sombres et dodues. Je me souviendrai longtemps de cette sortie nocturne, et je remercie encore mon pote de m’avoir fait découvrir les charmes de l’Afrique!

Intello sodomisée au musée…

Je ne pensais pas pouvoir un jour raconter un truc du genre. Et pourtant, ça m’est bien arrivée, à moi, la grosse intello de service. Je me vois comme intelligente, mais je pense que j’ai mon charme. Je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, autant dire que mon expérience sexuelle est très basique, et que je n’ai jamais rien fait dans un lieu autre que mon lit.

> Tu veux te faire une intello ? <

Je suis une femme de 31 ans tout à fait classique qui adore passer son temps dans les expositions d’art. J’adore la peinture, la sculpture et tout ce qui touche aux arts de la Renaissance. Une intello on va dire ! Il y avait une exposition ce jour-là dans un musée pas très loin de mon travail. En sortant du bureau, je me suis rendue sur les lieux. J’ai pas mal tourné pour trouver une place de parking, puis je me suis garée, j’ai remis un peu de rouge à lèvres, et je me suis dirigée vers l’entrée. Un gardien type agent de sécurité black et bien musclé était posté là. Il fouillait les sacs des visiteurs, vigipirate oblige. En croisant son regard, j’ai tout de suite senti un frisson me remonter le long des cuisses et des petits papillons dans le bas-ventre. Je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, je fantasmais sur les blacks depuis pas mal de temps, mais une fille dans mon genre n’ose jamais faire le premier pas, encore moins dans un lieu public et avec un agent de sécurité en poste. J’ai lâché un petit sourire niais en lui présentant mon sac à main. Il n’a bien entendu rien trouvé de suspect, et je suis rentrée. C’est à ce moment que j’ai cru sentir une main épaisse me frôler les fesses. Je n’avais pas rêvé, le vigile venait de me toucher le cul. Quel pervers.
Il devait avoir une sacrée queue, aussi imposante que sa musculature, eh oui tout de suite, le fantasme et les stéréotypes ! Je me plaisais à m’imaginer des ébats avec lui tout en flânant dans les galeries pour observer les tableaux. Ma fesse était encore chaude tellement cette main m’avait serré le cul. Je sentais bien que ça me faisait mouiller. A force de penser à ça et d’essayer de cacher mon excitation, je me suis complètement égarée dans les nombreux couloirs du musée. J’étais maintenant dans une section du bâtiment assez sombre, loin de l’exposition ouverte aux visiteurs. Je commençais à flipper, car j’étais vraiment perdu, quand tout à coup, je me suis retrouvée plaquée contre le mur par une force puissante.

Intello enculée au musée !

Mon coeur a démarré à fond à cause de la peur, mais en tournant légèrement la tête, je me suis rendue compte que c’était le vigile qui m’avait tout simplement suivi et qui allait maintenant faire de moi sa petite chose. Personne ne pouvait nous surprendre dans cet endroit reculé. C’était une sorte d’agression sexuelle, car il ne m’a rien demandé, mais j’ai décidé de me laisser totalement faire, parce que c’est ce dont j’avais envie tout au fond de moi: me faire bourriner par un black à grosse bite. Il a vite fait de me baisser le pantalon et le tanga pour que je me retrouve cul nu contre ce mur. J’ai senti un gros machin se faufiler dans ma raie. Ça devait être son gourdin. Il était chaud et large. Il n’a même pas pris le temps de me chauffer un peu qu’il enfonça sa torpille dans mon fondement. Ouch! Quel enfoiré, il est là à m’enculer contre un mur comme si je n’étais qu’une petite pute. Il commence des va-et-vient longs et puissants. Il m’encule comme un sagouin et moi je prends mon pied. Je sens ses lourdes burnes pleines de sperme me claquer sur les fesses à chaque coup de reins. Mais j’ai le fion si serré que le grand black forceur ne peut pas tenir très longtemps avant de cracher sa semence. Je sens rapidement mon trou du cul se remplir de jus chaud et collant. Il sort son sexe de mes entrailles et disparaît aussitôt, me laissant là, le cul plein de foutre et le froc baissé jusqu’aux chevilles.
Quel goujat !

Ma première baise dans un club libertin

Mon mari me chauffe depuis des semaines avec son idée de faire de l’échangisme. Je ne suis pas trop pour ce genre de plan, mais à force de me répéter la même chose tous jours, il a réussi à exciter ma curiosité. Ce soir, c’est le grand soir. Il a réservé une table dans un club et me promet une soirée d’enfer. Je sors ma lingerie fine, mes porte-jarretelles, ma robe de soirée et mes talons hauts. Il me complimente sur ma tenue et nous montons en voiture. Sur le chemin, nous faisons une petite pause coquine. J’ai soudainement envie de pomper mon homme pour me déstresser un peu. Il sort son sexe et je me charge rapidement de le purger. J’avale tout et je me remets du rouge à lèvres puis nous reprenons la route.

Tu cherches une partenaire libertine ? Clique ici !

Nous sommes enfin au club et je repère tout de suite un grand black. Mon mari me fait signe que c’est ok pour lui. Je n’ose pas faire le premier pas, mais le black voit bien que je le reluque et il débarque à la table. Mon mari quitte la scène et monte à l’étage. Je suis seul avec ce bel étalon, mais je perds un peu mes moyens. Le vicelard a déjà une main sous ma jupe et il passe son gros doigt le long de ma fente. Si ses doigts sont si imposants, son noeud doit être bien pire. Je pose ma main sur son paquet pour en avoir le coeur net, et la bosse est juste impressionnante. Mon mari est un enfant à côté de ce truc. Je passe sous la table et je tente de le sucer, mais j’ai du mal. Je dois presque me déboîter les mâchoires pour avaler l’engin. Je me contente de lui piper le gland, c’est déjà pas mal. Des voyeurs sont déjà autour de la table avec d’autres couples, et tout le monde se masturbe. Je suis l’attraction de la soirée, la petite nouvelle qui va en prendre plein les trous.

Empalé comme une salope…

Je me sens souillée et salope. Le black me dit que mon mari est en train de baiser une jeunette à l’étage. Je lui grimpe alors dessus j’écarte mon string et je m’assois sur sa perche. Il y a au moins dix personnes qui se branlent autour de nous. J’adore ça, je découvre de nouvelles sensations et je mouille grave. Je m’étonne d’arriver à rentrer complètement sa verge dans ma chatte, mais ça glisse bien et je coulisse dessus comme une chienne en chaleur. Je me pose parfois sur ses grosses couilles pour récupérer un peu tout en lui roulant des pelles, puis je le rebaise à nouveau. Je sens des mains d’inconnus se poser sur mon cul, et même des doigts me rentrer dans l’anus. Je suis livrée à tous ses pervers et j’aime être l’objet sexuel d’une foule en manque.

Baise déchainée dans le club libertin

Plusieurs mecs se branlent bien et me gicle sur les fesses. C’est à cet instant que je jouis pour la première fois. On change ensuite de position. Je me mets en levrette contre la table et je suce des mecs dans la pénombre pendant que le black se cale dans ma raie. Il m’encule fort et j’ai un peu mal, mais je m’accroche à la moindre queue qui passe devant ma bouche pour détourner mon attention du lampadaire planté dans mon derrière. La soirée se finit en douche de sperme et je peux mettre ma belle robe à la poubelle! C’est dommage mais ça valait vraiment le coup de vivre cette expérience.

Ma baise avec une superbe black

Salut à tous, je suis François, un mec de 35 ans. Je suis assez à l’aise avec les femmes, mais j’ai toujours eu peur de m’engager, du coup je préfère enchaîner les plans culs. Le soir, je vais souvent rôder sur un site de rencontre, et c’est là que j’ai rencontré Yamina, une superbe black un peu plus jeune que moi. Elle ressemblait vraiment à l’africaine typique, black de chez black, avec des gros nichons et un cul super rebondi.

Tu cherches une rencontre hard avec une JF black de ta région ?

Le soir même, elle était devant ma porte. J’ai eu du mal à voir son visage dans la pénombre du palier, tellement elle était black, et je l’ai invité à entrer pour se mettre à l’aise. Elle était mignonne comme tout. Sa bouche pulpeuse me donnait déjà des idées cochonnes. Nous nous sommes installés sur le canapé pour boire un coup tout en discutant. Avant même que je ne finisse mon verre, la black salope était à genoux entre mes jambes. Elle me baissa le jeans et le slip sans aucun ménagement, dévoilant ainsi ma queue à moitié bandée.

Pompé par cette superbe black !

Elle me saisit la hampe fermement pour commencer à me branler lentement. Je voyais son visage juste derrière mon engin, je n’avais qu’une envie: que mon chibre disparaîsse dans sa grosse bouche d’africaine. Elle a commencé à me faire des bisous sur la tige, de plus en plus baveux. Elle ouvrit les lèvres et avala entièrement mon noeud jusqu’à la garde. Yamina était assurément une experte en pipe, car elle me pompa comme une déesse pendant près d’une heure.
Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas gicler. C’était trop bon d’avoir cette black faire l’aspirateur sur mon sexe. Je voulais maintenant moi aussi lui donner du plaisir, mais Yamina ne voulait pas me lâcher la pine. Je lui ai donc proposé un petit 69 pour faire plus ample connaissance. Elle se positionna avec son gros fion sur mon visage. Sa chatte était black à l’extérieur et rose à l’intérieur, quel délice. Ça sentait un peu l’africaine mais je suis allé au charbon sans me poser de questions et je l’ai enculée et baisée avec ma langue.

Je voulais la niquer, je ne tenais plus. Je me suis mis sur le dos, et la superbe black en manque, super chienne à présent, est venue se ficher sur mon drapeau. Elle a commencé à dandiner du cul sur ma grosse torpille, relâchant le rythme de temps à autre pour repartir de plus belle. Elle coulissait bien sur mon chibre et commençait déjà à pousser des cris comme une hystérique en pleine crise. C’est le moment que j’ai choisi pour la foutre sur le ventre et venir lui péter la chatte par-derrière. Son gros fion me faisait bander encore plus fort, et cette levrette à plat fut un véritable plaisir. Je la tamponnais comme jamais. J’étais essoufflé, mais je continuais d’y aller encore plus fort, plus vite et plus loin. Sans pouvoir me contrôler, j’ai chopé un orgasme de dingue à m’en tordre les orteils. Je n’ai même pas eu le temps de me retirer pour lui inonder les fesses, et j’ai tout lâché à l’intérieur de sa petite chatte exotique. Je ne portais pas de capote et c’était encore meilleur de sentir sa vulve vibrer sous mes lampées de foutre. Nous avons encore baisé deux ou trois fois cette nuit-là, puis Yamina, ma première superbe black, est rentrée chez elle.

Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

Tu cherches une rencontre hard avec une JF black de ta région ?

Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Un maçon black venu réparer le plafond du bureau

Tu veux aussi une expérience une lesbienne ?

Cela faisait plusieurs années qu’Alexandra occupait les bureaux du cinquième étage d’un immeuble parisien. Alors qu’elle avait pris ses fonctions, cette niçoise de 32 ans n’avait jamais fait de travaux de réaménagement comme le lui avait conseillé son prédécesseur.  » Mademoiselle, vous devez absolument revoir le plafond qui est dans un piteux état ! ».

Fière allure, belles jambes, une forte poitrine, des cheveux noirs et lisses, personne ne pouvait passer à côté de cet ancien top model sans marquer un arrêt pour admirer sa beauté et son charisme. D’ailleurs, des bruits de couloir racontent que le directeur général de la multinationale lui a confié ce post de responsabilité à cause de leurs relations intimes : ce vieux gâteux richissime et pervers n’a décidément pas de scrupule devant une belle femme !

Un matin, alors qu’elle classait quelques dossiers, elle a levé la tête vers plafond qui laissait échapper des gouttes d’eau. Catastrophée, elle s’est rappelée de la consigne reçue quelques années auparavant, à sa prise de fonction. Diantre! Elle a tout de suite appeler sa secrétaire et lui a recommandé d’appeler un maçon séance tenante.

Dépêché par une société très connue de la place, un expert plombier a rappliqué deux heures plus tard. Quel homme impressionnant ! Type africain, une voix rauque et des muscles saillants qui se dessinent sous son uniforme sexy, il mesurait au moins 1m90. Il était jeune et séduisant, mais un peu trop décalé dans ses manières : le banlieusard par excellence quoi !

Alors que tout le monde dans l’entreprise léchait les bottes de la responsable, ce mec ne la traitait, d’entrée de jeu, ni plus ni moins, que comme son égal.

La secrétaire : Toc toc toc !
Alexandra : Entrez !
La secrétaire : Voici Coulibaly, le plombier envoyé par P SARL.
Alexandra : Ha ok, faites le entrer Julia.

Avec sa trousse de travail dans la main gauche, le plombier tendit sa main droite à Alexandra qui rougit car, il lui serra la pince un peu trop fort. Elle fit sa timide, n’osa pas le regarder dans les yeux avant de continuer la conversation.

Alexandra : Si je vous ai fait venir, c’est pour réparer le plafond de mon bureau, il coule depuis combien de temps, je n’en sais strictement rien. Veuillez jeter un oeil monsieur.
Coulibaly : Hé, appelle moi Couly, c’est pour les jolies dames comme toi !

Il érigea son escalier et grimpa au niveau du plafond.

Coulibaly : Hé ma belle, ils sont complètement pourris vos installations ! Bon, je vais d’abord m »occuper du plafond et ensuite je ferais un diagnostique global si tu veux bien.
Alexandra : Oui, effectivement, j’en aurais besoin, mais dans l’urgence, occupez vous d’abord de moi.
Coulibaly : Que je m’occupe de toi ?
Alexandra : Heu, que que…

Le plombier redescendit de ses escaliers puis, s’approcha d’Alexandra qui avait pris le soin de fermer la porte de son bureau. Bien heureusement car, ce vicieux sans scrupule a approché ses lèvres de celles d’Alexandra pour lui rouler une pelle.
Recevant une baffe hyper molle en guise réponse, il a compris qu’il avait affaire à une proie facile. Couly a relancé et cette fois, avec insistance, en introduisant ses doigts sous la jupe très courte de la responsable.
Il a ensuite pris la main d’Alexandra pour lui faire sentir sa trique. La coquine a tout de suite lâché du lest devant l’énorme pénis dur du plombier africain.
Robuste, imposant, il l’a facilement soulevé pour la faire asseoir sur la table, sans retirer sa petite culotte. Le lascar lui a asséné des coups de bite pendant une minute et avec une très forte pression, avant de faire de pisser tout son sperme dans la chatte d’Alexandra.

Coulibaly : Hé ben voilà ! Je peux maintenant commencer le boulot tranquille ! Au faite, c’est quoi ton prénom encore ?

La pauvre Alexandra sortie honteusement du bureau et demanda à la secrétaire de garder un oeil sur le maçon black pendant qu’elle sera absente.

Jeune couple africain baise avec leur riche propriétaire

Marleine est une bourgeoise qui a investi dans l’immobilier. Au centre de Paris, elle est propriétaire de plusieurs immeubles de standards différents. Ayant confié la gestion à une agence, elle passe souvent faire des visites pour voir l’état des lieux de ses investissements. À 59 ans, elle est veuve et sa vie sexuelle est un trou noir. Après avoir visité plusieurs plateformes de rencontre, elle n’a jamais trouvé quelqu’un qui correspond à son profil, il faut dire que son rang social ne lui permet pas de voir n’importe qui. Dans un de ses appartements, vit un jeune couple africain. Le mari ayant perdu son job tout récemment, la femme n’a pas un revenu assez conséquent pour supporter la charge locative.

Cela fait donc trois mois qu’ils n’ont pas payé le loyer et, l’agence a décidé de porter plainte. Mais avant, l’avis de la proprio s’impose.

Elle et le couple ce sont donc donnés rendez-vous un samedi matin pour en discuter, sans la présence des agents immobiliers. Un règlement à l’amiable est toujours envisageable car, notre bourgeoise déteste les tribunaux, surtout pour de telles affaires qu’elle considère comme du menu fretin.

Il est 10 heures, toujours aussi ponctuelle, Marleine arrive et sonne au bas de l’immeuble quand elle entend la voix de Fatou l’épouse, qui lui demande de monter.

Quelques minutes plus tard, elle est accueillie par Fatou qui lui offre un café d’entrée de jeu.
Assis tous les deux sur le grand canapé, ce jeune couple africain écoute religieusement la proprio, qui leur fait la génèse de sa fortune. Elle dit avoir travaillé dur avec son époux, qui malheureusement est décédé, pour construire et acheter tous ces biens immobiliers. Le couple africain écoute attentivement…

Marleine : Je suis une femme d’affaire et je ne pourrais accepter un tel comportement de la part de mes locataires. Il faut impérativement que nous trouvions un terrain d’entente car, les tribunaux, j’en ai une sainte horreur !

Le mec, Jean, est un malgache, type métis, 30 ans, bel homme, grand et séducteur et, sa femme est une black d’origine sénégalaise, bien foutue, une belle poitrine et des lèvres pulpeuses. Fatou est agée de 28 ans, elle a acquis la nationalité française et travaille comme assistante de direction dans une petite société de fruits et légumes.

Le couple africain va se taper la mature !

Après plusieurs explications et supplications, la proprio est restée bouche bée pendant quelques minutes.

Avec une voix polissonne, elle rompt le silence :

Marleine : Et si on je vous proposais quelque chose de très inhabituelle ?

Elle fixe Jean qui lui retourne un regard coquin en lui disant :

Jean : Tout ce que vous voudrez madame, nous sommes prêts à tout pour ne pas aller être expulsés.
Marleine : Je vous laisserai encore trois mois à condition que vous me fassiez une petite gâterie.

Alors qu’elle s’apprêtait à opposer un refus, Fatou fit stopper subtilement par son époux qui lui souffla ensuite quelques mots à l’oreille.

Jean : J’ai compris et nous sommes d’accord.
Marleine : Alors, qu’attendez-vous pour commencer ?
Jean : Humm, elle est coquine la proprio ! Ne vous en faites pas, nous sommes sur la même longueur d’onde !

Toute honteuse, Fatou ne comprenait pas ce qui arrivait, elle était obligée de suivre son époux dans tous ses faits et gestes. Un vrai joueur, il a l’air d’avoir l’habitude de ce genre de situation.

Première queue black pour la proprio

Il se mit donc à embrasser sa femme en fixant Marleine des yeux. Le pervers galoche pour rendre la chose un peu plus cochonne. Il glisse ses mains sous la mini-jupe de Fatou puis, la doigte pendant qu’il déboutonne sa chemise. Elle a une grosse poitrine qui fait baver la dame.
Jean tire sa muse par la main afin que tous les deux rejoignent la proprio pour la faire participer.
À son tour, Fatou la franco-sénégalaise se montre libertine, elle galoche avec Marleine pendant que Jean introduit sa tête entre ses cuisses.
Toute mouillée, ça faisait longtemps que cette bourgeoise n’avait joui de la sorte, quel pied !
Jean sort son pénis et le montre à Marleine qui sera tout de suite impressionnée par sa taille et sa grosseur.  » je peux la sucer ? « , demande-t-elle avec excitation.  » elle est à toi « , lui répond Jean.

Avec son accent à la fois africain et français, Fatou dit à Marleine : « Elle est à toi, mais laisse moi prendre les testicules ».
Une double turlutte qui amènera le veinard à baiser sa proprio et sa femme pendant une trentaine de minutes.

Grâce à cette journée, ils ont eu droit à 5 mois gratuit avec une visite mensuelle de Marleine la gourmande. Fatou est devenue moins coincée et… tout le monde est content !

Une vendeuse sexy écarte les cuisses pour du cash !

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

Un mercredi aprèm, je traînais dans un centre commercial Parisien à courir les boutiques de sac à main dames dans l’espoir de dégoter le sac parfait à offrir à ma sœurette pour son anniversaire qui avait lieu le jour même. Après avoir fait deux boutiques, j’entrais dans la troisième où je fus chaleureusement accueilli par une ravissante vendeuse, métisse, d’environ 23 ans, arborant un sourire magnifique. Il m’était très difficile d’être indifférent au charme de cette demoiselle.
Je lui exprimais mon besoin, et elle me présentait ces plus beaux produits. A chaque fois qu’elle se retournait, je ne pouvais pas me retenir de reluquer son buste en sablier parachevé d’un gros cul qui m’excitait à mort. Mon pénis était en feu et en plus nous étions seuls, ça ne pouvait que me donner des idées perverses.

Elle me recommanda fortement un sac de marque valant 1700 euros que je choisis sans rechigner. Vu comment j’étais emballé par elle, j’aurais même pu lui acheter un éléphant si elle me l’avait proposé. Pendant qu’elle m’encaissait, j’étais encore troublée par l’envie persistante de la fourrer sur le coup, je réfléchissais alors à un moyen de la séduire. Et sans que je ne comprenne réellement ce qui se passe, je lui fis la proposition de lui payer 2000 euros cache si elle acceptait un plan cul sur le champ. C’était vraiment déplacée de ma part, je sais, mais cette nana méritait bien que je prenne bien ce risque. De toute façon, je n’avais pas l’intention de lui lâcher la grappe si elle n’acceptait aucune de mes propositions.
– Pour qui me prenez-vous franchement, une pute ? Avec cette somme vous avez largement de quoi vous louer les services d’une escort girl monsieur.
– Loin de moi l’idée de vous prendre pour une pute, je m’en excuse. En fait, vous êtes le genre de femme sur qui je fantasme et 2000 euros ce n’est pas rien, pour quelques minutes de plaisir… et je suis certain que c’est plus que ce vous touchez en un mois de salaire.

Je branche « cash » la vendeuse

Je sentais bien à son attitude qu’elle était sur le point d’accepter mais sa morale faisait bloc, alors je me mis à la rassurer de ma bonne foi et de mon silence de tombe. Ça en valait la peine, plus qu’elle allait accepter ce petit plan de folie.
La vendeuse coquine ferma boutique pour quelques minutes, et nous allions nous engouffrer dans la réserve de stock. Lorsqu’elle se mit à poil, oh putain, elle était meilleure que ce que je m’imaginais. Sa peau était si délicate et douce, ses seins si fiers et si consistants et son cul était un joyeux. Cette cochonne enflamma ma bite rien qu’à la vue de son corps splendide. J’allais donc m’empresser de lui foutre mon phallus dans la bouche histoire qu’elle éteigne l’incendie qu’elle avait causée. Elle me pipait avec une ardeur digne d’une salope en chaleur, je crois bien que j’avais tiré le gros lot. Je profitais de sa fougue pour lui défoncer la gueule avec des coups de bites profonds, j’étais tellement brutale qu’elle m’interrompit, et quand je retirais ma queue de sa bouche elle toussa à tout va !

J’inonde la bouche de la vendeuse

Ensuite, elle posa ses coudes sur une table se trouvant dans la pièce où nous étions, écarta les jambes et je me glissais dans sa foufoune truffée de cyprine avant de lui asséner, aussitôt, de violent va-et-vient qui lui arrachait immédiatement des cris, je suppose de douleur. Mais je n’en avais rien à faire qu’elle ait mal, tout ce qui m’importais c’est prendre mon pied. J’éprouvais un plaisir fou à mater ses fesses galbées s’agiter dans tous les sens à mesure que j’intensifiais le rythme de pénétration.
Au moment de jouir, je lui demandais de me tailler une pipe à nouveau, et sans la prévenir je me vidais les couilles dans sa bouche en tenant bien sa tête pour l’empêcher de se retirer. Elle n’apprécia pas du tout mon geste, car elle avait avalé tout mon sperme et aurait souhaité que je jouisse dans un mouchoir. Il fallait bien que j’amortisse mon gain ! C’est sur cette note désappointée qu’on se séparait.

Décoratrice d’intérieur défoncée par un client peu loquace

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

Décoratrice d’intérieur défoncée farouchement par un client peu loquace
L’envie d’être autonome financièrement et professionnellement m’emmena à démissionner de mon emploi, généreusement payée, pour me lancer à mon propre compte dans un domaine qui me passionne, la décoration d’intérieur. Hélas, quelques sept mois après avoir créée mon entreprise, j’allais vite faire face aux réalités de entrepreneuriat. En effet, les prévisions escomptées n’étaient pas au rendez vous, il me fallait absolument conquérir une plus large clientèle pour maximiser mon profit, et solder les fournisseurs qui s’impatientaient. Un matin je reçus un coup de fil un monsieur qui avait consulté une de mes annonces et souhaitait en conséquence louer les services d’un décorateur pour l’embellir. Nous prîmes rendez-vous le même jour au alentour de 16 H à son domicile. Cette offre ne pouvait pas mieux tomber, mais bon je ne m’emballais pas tout de même car rien n’était encore conclu.

J’arrive chez lui, je sonne, une domestique vient m’ouvrir et m’installe dans un salon en m’indiquant que son patron prend une douche. Quelques minutes plus tard, le monsieur, d’une cinquantaine d’années se présente en peignoir. Il me propose une tasse de thé et nous rentrons dans le vif du sujet. Je l’écoute religieusement exprimer ces attentes, puis je lui suggère des propositions, croquis à l’appui, et une liste de shopping, bien sûr tout cela après avoir procédé à la visite intégrale de la maison. Mais avant de conclure le contrat il souhaite, dit-il, me poser quelques questions.
– Dites moi, vos affaires marches bien ?
– Honnêtement pas vraiment, je suis dans une phase critique qu’il me faut absolument surmonter en redressant mon chiffre d’affaires sinon, je serai bien contrainte dans cinq mois tout au plus de déposer le bilan.
– Ne vous décourager pas, l’échec et la difficulté sont des passages obligés en matière entrepreneuriat. Moi-même j’ai connu de tels moments dans mes débuts d’entrepreneurs. Aujourd’hui, mes activités génèrent un CA de 15 millions d’euros par an. A ce propos, j’ai acheté un hôtel particulier qui mériterait bien un coup de neuf en terme de déco. Cela vous intéresse ?
– Oh bien sur !!
– En plus de l’hôtel, j’ai d’autres bien immobiliers, que je vous pourriez aussi gérer… mais qu’avez-vous à m’offrir en retour ?
– Mon expertise et un rendu suffisamment qualitatif pour contenter vos exigences…
– C’est tout ?!
– Je ne vous suis pas…
– Dans la vie pour réussir, il faut savoir faire des sacrifices.

Le deal du client vicieux

Avant même que je ne lui demande ce qu’il veut concrètement en retour, il sort son pénis du peignoir. A ce moment, tout est clair dans ma tête, c’était trop beau, trop parfait ! Je panique, sur le fait, j’ai envie de lui mettre un poing dans la figure et dégager en vitesse. Mais, il était ma voie de sortie. J’ai alors laissé l’intérêt l’emporter sur la raison.
– Maintenant que tout est clair, déshabille toi et suce moi la queue.
– Nous n’allons pas en chambre ?
– Non, ici au salon c’est parfait mais…
– Cesse de poser des questions et fais ce que je te dis !

Baise en trio dans l’hotel particulier

C’est ainsi que timidement, je me mettais à poil, m’agenouillais devant le siège sur lequel il était assis pour ensuite lui tailler une turlutte. Pendant que je m’attelais à lui pomper le manche, il fit appel à la domestique, une jeune africaine, sensiblement du même âge que moi, 25 ans, pour se joindre à nous. Elle et moi, étions alors entrain de sucer la queue et les couilles du type en tandem jusqu’à ce qu’il jouisse sur nos visages. Pensant que c’était terminé, je l’entendis dire :  » roulez vous une belle pelle « . Comme des esclaves nous nous exécutâmes. Au bout d’un moment, tout le dégoût qui m’animait au début avait fait place à l’excitation. J’étais excitée par Aline, elle embrassait comme une déesse et ses caresses étaient divines. Sa langue parcourait chaque centimètre de ma peau avant de croiser le chemin de mon clitoris. Elle me fit jouir comme jamais auparavant. C’était bon, c’était fort !
Le type ayant retrouvée son érection après l’éjaculation, vint me défoncer la chatte en levrette pendant que je léchouillais le minou d’Aline. Ces coups de bites étaient puissants et douloureux. Après m’avoir dévissée farouchement la moule, il prit Aline le trou du cul d’Aline en chaud, qu’il défonçait avec la même énergie que ma chatte. Pendant ce temps, je servais à nouveau ma chatte à Aline…
Cette expérience fut la plus improbable de ma vie, en plus à partir de là, je suis devenue bisexuelle et aujourd’hui encore je sors avec Aline ! Et grâce à ce monsieur, ma société est prospère !

Je suis une chienne servile

Tu veux rencontrer une cougar bien chienne ?

Je n’ai jamais été portée sur les choses du sexe. Pour tout dire, il y a peu, j’étais même franchement coincée et je crois que, d’une certaine manière, je le suis toujours, à ma façon. Mais depuis que j’ai rencontré Thomas, les choses ont tout de même bien changé.

D’abord la rencontre. Improbable. J’étais tranquillement assise dans le métro, où je lisais un livre sans trop prêter attention à ce qui se passait à côté de moi. Tout à coup, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche.

Je me suis tournée vers l’importun : un jeune homme noir, ou plutôt métis, d’au moins quinze ans mon cadet. Non seulement il me pelotait, mais il ne faisait aucun effort pour dissimuler sa manœuvre. Tout au contraire…

Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main de ma cuisse, il m’a souri. Tout simplement. Puis il a reposé sa main d’autorité sur ma cuisse, un peu plus haut, presque à hauteur de mes parties intimes. Je ne saurais dire pourquoi, mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le voyage, il m’a peloté la cuisse, aux vues et aux sus de tous les autres passagers de la rame. Servile…

Tout cela aurait pu en rester là. Mais voilà : à mon retour à la maison, j’ai trouvé dans une de mes poches un mot, avec un numéro de téléphone dessus. Et plutôt que de raconter ma mésaventure à mon mari, j’ai choisi de ne rien lui dire.

Le lendemain, à la première occasion, j’ai rappelé l’inconnu.

 » Allô, ici Thomas, j’écoute « . J’ai bredouillé quelque chose d’incompréhensible. Mais il a tout de suite saisi :  » ah ! C’est toi la chienne qui se fait peloter dans le métro ! « . J’ai raccroché… Puis j’ai rappelé. Thomas m’a fixé un rendez-vous, en fin de journée, près du dernier métro de La Courneuve.

Je deviens une chienne servile…

Là non plus, je ne saurais dire pourquoi, mais j’y suis allée, comme une bonne femme servile… J’ai prétexté une réunion de dernière minute pour m’excuser auprès de mon mari, et je me suis rendue à l’adresse que Thomas m’avait indiquée. Et il m’y attendait de pied ferme.

A peine entrée, il a exigé de moi que je me déshabille entièrement. J’avais très honte de moi, de mon corps de quadragénaire face à ce jeune homme bien bâti et assez séduisant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre. La fessée a commencé.

J’ai hurlé de douleur à chaque claque que ses grandes mains comme des battoirs m’infligeaient. Mais je n’avais encore rien vu. Il a saisi un ustensile (j’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un paddle, un jouet SM que Thomas collectionne) percé de trou dont il s’est servi pour me faire encore plus mal. Et moi, je suis restée là, les fesses rouges, à encaisser les coups de ce sadique.

Il a porté ensuite ses doigts vers mon sexe.  » Tu as la chatte toute mouillée, chienne, qui t’a permis de te faire plaisir comme ça. Tu es ma chose et rien d’autre « . Et il a recommencé à me fesser. Après une demi-heure – autant dire une éternité – de ce traitement, il m’a fait me mettre à genoux devant lui.

Il a sorti son sexe de sa braguette. J’ignorais qu’il existait des pénis aussi énormes : large autant que long, parcouru de centaines de veine qui lui donnaient une allure de monstre. Il a pincé mon nez, de sorte que je sois contrainte d’ouvrir la bouche, et s’est insinué en moi, de plus en plus profond, jusqu’à ce que ma gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement.

Je n’ai pas vomi (heureusement, j’aurais sans doute été un peu plus punie), mais la main droite de Thomas s’est abattue sur ma joue :  » pompe, chienne, tu es là pour ça « . Il m’a littéralement, pour reprendre ses mots, baisé la gorge. Tout en maltraitant mes seins, cela va de soi. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir, et j’ai aimé ça, servile toujours…

Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Puis je me suis redressée, j’ai essuyé les larmes qui coulaient de mes yeux et je me suis rhabillée. Puis, au moment où je franchissais sa porte, Thomas m’a dit :  » maintenant, je sais où te joindre, chienne, tu viendras me servir quand j’en aurai envie « .

Je l’avais appelé sans prendre le temps d’anonymiser mon numéro. Je me sentais prisonnière. Et pour tout dire, plutôt heureuse de l’être. Thomas, mon amant et maître, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité psychologique d’accepter ma propre dépravation.

Il me somme de le rejoindre désormais plusieurs fois par mois et moi, servile, je m’y rends…