Levrette violente en ascenseur

Toujours en retard, comme d’habitude! Je suis bien une femme… Je devais me rendre à un entretien important et je n’imaginais pas du tout qu’il pouvait se passer quelque chose d’intéressant en cours de route. J’ai vite saisi mon sac à main et je me suis dirigée sur le pas de la porte. J’aurai dû prendre les escaliers pour aller plus vite, mais trop la flemme, et puis je ne voulais pas transpirer et risquer de faire couler mon maquillage. L’ascenseur arrive, la porte s’ouvre, et un beau jeune homme est déjà présent à l’intérieur.

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Quel canon, je suis presque gênée de monter avec lui. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’oeil à son entre-jambes. Sacré paquet! Ça doit faire une semaine que je n’ai pas baisé un coup, et je commence à être en manque. Je suis une petite salope, dès que l’occasion se présente de se prendre une bonne queue, je n’hésite pas une seule seconde. J’ai déjà des idées coquines qui me traversent l’esprit. Je n’ai jamais baisé dans un ascenseur en plus, ça doit être excitant. Le mec à l’air un peu timide, il ne me lâche pas un mot et je n’imagine pas qu’il ose tenter un truc. Pourtant, vers la moitié de la descente, le jeune homme appuie fermement sur le bouton d’arrêt d’urgence. L’ascenseur se bloque, ça secoue un peu, et une petite alarme se met à sonner. Je le regarde avec un air de stupeur, et le mec me prend tout de suite les hanches et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue se fraye un chemin jusqu’au fond de ma cavité buccale. Au lieu de le repousser, je me mets moi aussi à lui sucer la langue.

Nous nous roulons des patins comme deux pervers. Ses mains glissent sur mon corps pour se fixer sur mon cul. Il commence à me malaxer les fesses comme un boulanger qui pétrit son pain. Il lève ma jupe et passe sous le tissu. Il se rend compte que je ne porte pas de culotte et je sens tout de suite son engin tripler de volume. Il se frotte sur ma cuisse comme un animal. Je ne peux pas le laisser dans cet état. Je me tourne, finis de lever ma jupe pour bien dévoiler mon cul et je tends la croupe comme une chienne. Je le fixe et lui dis « Prends-moi bien fort, fais ce que tu veux de moi ». Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que le salaud à déjà son gland collé sur l’entrée de mon petit trou du cul innocent, en levrette. Le fumier a choisi l’orifice le plus étroit, et vu la taille de son engin, il va me démonter. Je serre les dents et encaisse la première pénétration. Ouch! C’est dur mais ça passe. Il est déjà calé au fond de mes entrailles et commence à me bourriner le fion comme un goujat.

Enculée en levrette dans l’ascenseur !

C’est rare que je mouille du cul, mais la je suis trempée. Il y va si fort que ses couilles claquent sur mes fesses. J’ai l’impression de me faire enculer et fesser en même temps. Je ne vais pas tarder à jouir. Je lui dis, et le bel inconnu se met à gémir comme un porc tout en me remplissant le fondement d’une dose impressionnante de foutre tiède. J’en ai plein le rectum et je vais devoir remonter chez moi pour essuyer tout ça. Finalement, je suis bien arrivée en retard!

Smothering ? Ma femme adore !

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Assise sur moi, elle gigote dans tous les sens, comme pour mieux sentir ma langue, qui va de ses grandes lèvres à son clitoris, de l’intérieur de son vagin à, quand je peux l’atteindre, son périnée. Elle m’utilise comme un sextoy et moi, je suis plutôt flatté de lui faire un tel effet. Je m’applique. C’est ça le smothering.

Désormais, ma langue frétille au fond de sa chatte. Elle pousse quelques hululements de plaisir et se pose un peu plus sur mon visage. Elle doit bien sentir que mon nez cherche l’air, mais elle semble perdre tout contrôle, quand je la lèche comme ça. Je sens maintenant tout le poids de son corps sur mon visage.

Tout, ou presque. Car quand elle se met à jouir, je sens la différence. D’abord, elle s’agite en tout sens, me tordant du même coup la mâchoire, vrillant ma bouche qui aspire tout son con. Et puis elle crie, crache des mots que je ne lui connais pas : « oh putain, oh putain que c’est bon, vas-y, bouffe-moi la moule, vas-y, suce-moi la chatte ! ».

Et là, elle s’affale totalement. Moi je suis en dessous, je ne peux plus respirer. Elle est comme évanouie au dessus de moi, et je crois mourir de manque d’oxygène. Je me débats mais, vu la position, il n’y a rien à faire. Au bout de quelques secondes qui me paraissent des heurs, elle finit par se dégager, m’offrant un bol d’air bienvenu.

Elle est tranquille, heureuse, et se fiche totalement de ma crise de panique. Voilà comment tout ceci a commencé pour moi, comment ma femme a découvert le smothering, et comment elle a fini par m’y initier.

Le smothering, ou le face-sitting (ce qui revient au même), c’est quand une femme s’assoit sur le visage de son partenaire presque jusqu’à l’étouffement. Croyez-moi, ça a un côté humiliant, parfois même angoissant ou inquiétant, et ma chérie adore ça. Certaines femmes utilisent cette pratique dans des jeux purement SM. Ma femme, elle, en profite pour se faire lécher le con par son soumis, à savoir moi.

Smothering, soumis à sa chatte

Désormais, elle varie les pratiques. Elle se laisse pousser les poils de la chatte pour que ce soit irritant, et encore un peu plus humiliant. Elle joue avec mes couilles tout en se faisant lécher la chatte. Un jour, elle a même pissé dans ma bouche et j’ai bien failli m’y noyer.

Le pire dans tout ça, c’est qu’elle a découvert du même coup une forme plus avancée de son plaisir. Me chevaucher ainsi la met en transe sexuelle, littéralement. C’est vrai que ça m’excite et que ça me fait bander. Mais elle, c’est encore autre chose. La voici devenue femme-fontaine depuis qu’elle a découvert ses penchants sadiques.

Oui, vous avez bien compris : smothering + femme-fontaine, voilà un cocktail détonnant. Elle se place au dessus de moi, et je dois titiller son clitoris du bout de la langue. Puis, sans prévenir, bien entendu, elle s’assoit un peu mieux, couvrant ma bouche et mon nez de sa grosse moule déjà trempée de cyprine. Là, je ne peux respirer que l’intérieur de son vagin.

Elle me baise avec son cul

Puis, elle me tend son anus à lécher. Je fais de mon mieux, j’essaie d’insérer le bout de ma langue dans son anus, sans pour autant la pénétrer. C’est elle qui domine, hors de question pour elle de se faire sodomiser !

Ensuite, elle revient le sexe sur mon visage. Je dois bien la pénétrer, jusqu’à ce qu’elle décide que son bouton en veut encore. A ce moment là, je suis rougi par la chaleur et le manque d’air. Et à ce moment, en général, que survient son orgasme. Elle m’attrape par les couilles, qu’elle a préalablement coincées dans un cockring, me faisant brailler de douleur, et elle jouit.

Les grands jours, ce sont des litres de cyprine qui s’abattent sur mon visage et, quand elle est vraiment en forme, elle en profite pour me donner des ordres : « vas-y, avale tout mon jus, petite salope ». Et, de fait, je suis bien obligé de prendre en bouche une bonne partie de la mouille qu’elle crache abondamment par la chatte.

Mais quand a fini, elle ne me libère pas pour autant. En général, elle reste assise sur moi jusqu’à ce que je sois au bord de l’évanouissement et de l’anoxie. Puis elle me laisse enfin respirer. Parfois, par contre, elle en veut encore et me le fait comprendre en tortillant du popotin.

Le smothering est devenu une vraie passion chez elle, au point de s’inscrire sur un forum BDSM où elle a fait la connaissance de vraies dominatrices. Un jour, elle me l’a promit, elle offrira ma bouche de suceur à toutes ses nouvelles copines BDSM. Je devrai toutes les lécher, une par une.

Je m’en fais une joie, par avance.

Nounou prise pour cible par un papa sadomaso

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A l’époque où j’étais étudiante, j’arrondissais mes fins de mois en faisant du nounou et l’escorte girl quand cela était nécessaire, parfois les deux.
Un soir, je reçus une proposition de nounou d’un père célibataire dans le 16ème arrondissement qui devait s’absenter pour la nuit.
Je prenais mon service de nounou à 20 h et nous avions à peine échangé car il semblait en retard à sa soirée.

En rentrant vers deux heures du matin, son rejeton était endormi, lui était sous l’effet de l’alcool mais conscient de ses actes. Au lieu de rentrer chez moi de suite, je fis le choix de rester pour le séduire histoire de faire d’une pierre deux coups. Je fis exprès d’entamer une discussion sur le sexe qui me révéla qu’il n’avait pas touché de femme depuis au moins quatre mois. Ce qui me laissait penser qu’il devait être en manque.
Telle une fauve à l’affût de sa proie, je m’approchais de lui de sorte à ce qu’il n’y ait plus de distance, je créais ensuite un contact physique avant de l’embrasser.
Ce baiser nous poussa à aller loin, très loin, en moins de cinq minutes, j’avais son pénis au fond de la gorge. Il me demanda réellement si j’avais envie de faire l’amour avec lui avant de m’intimer de le suivre à sa chambre.

De nounou à esclave sexuel

Il sortit d’un placard, un sac de sport dans lequel il y avait un nombre incalculable d’accessoires sadomaso. Et me dit :
– Maintenant nous allons faire les choses à ma façon petite chienne.
Je ne vous cache pas que je flippais un max car si je n’avais que peu d’expériences comme nounou, j’en avais encore moins dans le sexe SM, et l’air autoritaire qu’il arborait me foutait les jetons. Mais ce fût le prix à payer pour ma provocation, il fallait que je l’assume.
Il me fit asseoir sur une chaise, m’attachais les mains dans le dos, et les pieds aux pieds de la chaise. Je ne pouvais pas bouger. Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Dès qu’il eut terminé, il se branlait la teub pour la faire durcir et quand elle atteignit sa taille maximale, il se mit à me désarçonner la bouche. Son sexe arrivait au fond de ma gorge et je perdais mon souffle à chaque coup de bites violent qu’il me portait. Malgré mes agitations pour lui faire comprendre qu’il allait trop fort, ce gros matons, n’en faisait pas cas, il me mettait bien profond et avec une violence incroyable. A ces yeux, je n’étais désormais qu’une esclave !

La nounou s’en prend plein les trous

Après avoir morflé un max à la pipe sauvage, j’allais ensuite avoir droit à la pluie de cire de bougie sur le torse, c’était une sensation agréable. A la suite de cela, il m’attacha à nouveau d’une manière si compliqué que je ne pourrais correctement la décrire, mais je sais juste que je me suis retrouvé les avant-bras attaché aux cuisses avec les jambes ouvertes de sorte à ne pas pouvoir se fermer même si je le voulais.
Dans cette position de soumission, j’allais encaisser une série de cravache sur le popotin, elle était plus ou moins douloureuse, heureusement qu’il avait pris soin de me bâillonner, car mes hurlements se seraient fait entendre à des kilomètres.
Il m’enfila un plug anal dans le cul et se mit à me l’enfoncer à sa guise. Des minutes plus tard, il me défonçait la chatte avec un vibromasseur, avant de le remplacer par sa bite qui allait me fourrer brutalement au point de m’en laisser des lésions vaginales importantes.
Le traitement infligé par ce bourreau me fit couler des larmes à certain moment, néanmoins j’en éprouvais un plaisir intense. Il me fit ensuite avaler tout son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il me paya généreusement…le corps tout endolori, je me tapais un petit roupillon chez lui avant de m’en aller en douce comme une nounou bien obéissante…

Je suis une chienne servile

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Je n’ai jamais été portée sur les choses du sexe. Pour tout dire, il y a peu, j’étais même franchement coincée et je crois que, d’une certaine manière, je le suis toujours, à ma façon. Mais depuis que j’ai rencontré Thomas, les choses ont tout de même bien changé.

D’abord la rencontre. Improbable. J’étais tranquillement assise dans le métro, où je lisais un livre sans trop prêter attention à ce qui se passait à côté de moi. Tout à coup, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche.

Je me suis tournée vers l’importun : un jeune homme noir, ou plutôt métis, d’au moins quinze ans mon cadet. Non seulement il me pelotait, mais il ne faisait aucun effort pour dissimuler sa manœuvre. Tout au contraire…

Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main de ma cuisse, il m’a souri. Tout simplement. Puis il a reposé sa main d’autorité sur ma cuisse, un peu plus haut, presque à hauteur de mes parties intimes. Je ne saurais dire pourquoi, mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le voyage, il m’a peloté la cuisse, aux vues et aux sus de tous les autres passagers de la rame. Servile…

Tout cela aurait pu en rester là. Mais voilà : à mon retour à la maison, j’ai trouvé dans une de mes poches un mot, avec un numéro de téléphone dessus. Et plutôt que de raconter ma mésaventure à mon mari, j’ai choisi de ne rien lui dire.

Le lendemain, à la première occasion, j’ai rappelé l’inconnu.

 » Allô, ici Thomas, j’écoute « . J’ai bredouillé quelque chose d’incompréhensible. Mais il a tout de suite saisi :  » ah ! C’est toi la chienne qui se fait peloter dans le métro ! « . J’ai raccroché… Puis j’ai rappelé. Thomas m’a fixé un rendez-vous, en fin de journée, près du dernier métro de La Courneuve.

Je deviens une chienne servile…

Là non plus, je ne saurais dire pourquoi, mais j’y suis allée, comme une bonne femme servile… J’ai prétexté une réunion de dernière minute pour m’excuser auprès de mon mari, et je me suis rendue à l’adresse que Thomas m’avait indiquée. Et il m’y attendait de pied ferme.

A peine entrée, il a exigé de moi que je me déshabille entièrement. J’avais très honte de moi, de mon corps de quadragénaire face à ce jeune homme bien bâti et assez séduisant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre. La fessée a commencé.

J’ai hurlé de douleur à chaque claque que ses grandes mains comme des battoirs m’infligeaient. Mais je n’avais encore rien vu. Il a saisi un ustensile (j’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un paddle, un jouet SM que Thomas collectionne) percé de trou dont il s’est servi pour me faire encore plus mal. Et moi, je suis restée là, les fesses rouges, à encaisser les coups de ce sadique.

Il a porté ensuite ses doigts vers mon sexe.  » Tu as la chatte toute mouillée, chienne, qui t’a permis de te faire plaisir comme ça. Tu es ma chose et rien d’autre « . Et il a recommencé à me fesser. Après une demi-heure – autant dire une éternité – de ce traitement, il m’a fait me mettre à genoux devant lui.

Il a sorti son sexe de sa braguette. J’ignorais qu’il existait des pénis aussi énormes : large autant que long, parcouru de centaines de veine qui lui donnaient une allure de monstre. Il a pincé mon nez, de sorte que je sois contrainte d’ouvrir la bouche, et s’est insinué en moi, de plus en plus profond, jusqu’à ce que ma gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement.

Je n’ai pas vomi (heureusement, j’aurais sans doute été un peu plus punie), mais la main droite de Thomas s’est abattue sur ma joue :  » pompe, chienne, tu es là pour ça « . Il m’a littéralement, pour reprendre ses mots, baisé la gorge. Tout en maltraitant mes seins, cela va de soi. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir, et j’ai aimé ça, servile toujours…

Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Puis je me suis redressée, j’ai essuyé les larmes qui coulaient de mes yeux et je me suis rhabillée. Puis, au moment où je franchissais sa porte, Thomas m’a dit :  » maintenant, je sais où te joindre, chienne, tu viendras me servir quand j’en aurai envie « .

Je l’avais appelé sans prendre le temps d’anonymiser mon numéro. Je me sentais prisonnière. Et pour tout dire, plutôt heureuse de l’être. Thomas, mon amant et maître, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité psychologique d’accepter ma propre dépravation.

Il me somme de le rejoindre désormais plusieurs fois par mois et moi, servile, je m’y rends…