Baisée par une racaille dans un train

Je suis une femme active, mais toujours en retard. C’est la vie citadine qui veut ça. La routine du quotidien d’une petite comptable d’entreprise. Les transports en commun, j’y passe des heures, et ce mardi matin ne fait pas exception. Je me vois encore courir sur le quai pour ne pas louper mon train.

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Je saute dans le wagon, un des tous derniers si ma mémoire est bonne, et je m’installe. Je suis d’ailleurs étonnée de pouvoir trouver une place assise, car d’habitude c’est bondé. Bref, pour une fois le voyage va être agréable.
J’ai environ 20 minutes de train avant d’arriver au bureau. Mais je ne suis pas seule dans le wagon. Il y a un homme assis quelques rangées à l’opposé de moi. Il me fixe, et moi aussi. Il a l’air méchant, une petite racaille de cité. Il me regarde agressivement. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’il veut quelque chose.

Ce jour-là, je porte une robe assez courte. On est début juin et il fait chaud, même de bon matin. Je ne sais pas trop pourquoi, mais machinalement, j’écarte un peu les cuisses. Il commence alors à diriger ses yeux sur mon entre-jambes, ce qui commence à me troubler terriblement. Je me rends compte que je suis en train de le chauffer, de le provoquer, alors que ce mec me rebute par son apparence de petite frappe. Je me souviens qu’en plus je n’ai pas mis de culotte ce matin-là, et qu’il avait probablement pu voir ma petite chatte rasée. Je deviens toute rouge, je baisse les yeux, me lève et marche d’un pas rapide vers les toilettes.
Je sens qu’il me suit. Je claque la porte mais oublie de la verrouiller dans la panique. Je m’assois et commence à uriner. La porte s’ouvre, il est là, devant moi. D’un air assuré, il sort sa queue déjà dure. Machinalement, j’ouvre la bouche et accueille en moi cette pine mal lavée.

Je suce la queue de cette racaille

Elle sent fort mais je m’en fiche, je me sens salope et je veux aller jusqu’au bout. Je le pompe avec vigueur, tout en le fixant avec un regard de chienne. Je glisse ma main sur ma chatoune et je commence à me frotter le clitoris tout en continuant à lui aspirer la tige. Je suis chaude, je mouille comme jamais et j’ai envie de cette queue épaisse en moi, là, tout de suite, au risque de me faire surprendre par quelqu’un. Je recrache sa bite, je me lève, me retourne et lui présente ma croupe.

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Il me saisit les fesses, écarte mon cul et s’enfonce en moi délicatement. Je lui dis d’y aller fort. Il s’exécute. Je sens son engin me cogner le fond de la chatte dans ces chiottes crades d’un train de banlieue. Je ne suis pas fière de moi, mais c’est si bon. Je suis prête à exploser de plaisir, je me retiens de crier pour ne pas alerter un contrôleur, mais je vais jouir. Je lui demande de me défoncer, d’y aller le plus au fond possible. Il rentre presque ses couilles en moi tellement il va loin. Je jouis alors en serrant les dents. Des vagues de plaisir me tordent les boyaux. Je lui prie de ne pas gicler en moi, de tout me foutre sur le cul pour me souiller jusqu’à la dernière goutte. Je ne l’ai plus jamais croisée cette racaille… Si jamais tu me lis, laisse un commentaire avec ton numéro 🙂

Intello sodomisée au musée…

Je ne pensais pas pouvoir un jour raconter un truc du genre. Et pourtant, ça m’est bien arrivée, à moi, la grosse intello de service. Je me vois comme intelligente, mais je pense que j’ai mon charme. Je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, autant dire que mon expérience sexuelle est très basique, et que je n’ai jamais rien fait dans un lieu autre que mon lit.

> Tu veux te faire une intello ? <

Je suis une femme de 31 ans tout à fait classique qui adore passer son temps dans les expositions d’art. J’adore la peinture, la sculpture et tout ce qui touche aux arts de la Renaissance. Une intello on va dire ! Il y avait une exposition ce jour-là dans un musée pas très loin de mon travail. En sortant du bureau, je me suis rendue sur les lieux. J’ai pas mal tourné pour trouver une place de parking, puis je me suis garée, j’ai remis un peu de rouge à lèvres, et je me suis dirigée vers l’entrée. Un gardien type agent de sécurité black et bien musclé était posté là. Il fouillait les sacs des visiteurs, vigipirate oblige. En croisant son regard, j’ai tout de suite senti un frisson me remonter le long des cuisses et des petits papillons dans le bas-ventre. Je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, je fantasmais sur les blacks depuis pas mal de temps, mais une fille dans mon genre n’ose jamais faire le premier pas, encore moins dans un lieu public et avec un agent de sécurité en poste. J’ai lâché un petit sourire niais en lui présentant mon sac à main. Il n’a bien entendu rien trouvé de suspect, et je suis rentrée. C’est à ce moment que j’ai cru sentir une main épaisse me frôler les fesses. Je n’avais pas rêvé, le vigile venait de me toucher le cul. Quel pervers.
Il devait avoir une sacrée queue, aussi imposante que sa musculature, eh oui tout de suite, le fantasme et les stéréotypes ! Je me plaisais à m’imaginer des ébats avec lui tout en flânant dans les galeries pour observer les tableaux. Ma fesse était encore chaude tellement cette main m’avait serré le cul. Je sentais bien que ça me faisait mouiller. A force de penser à ça et d’essayer de cacher mon excitation, je me suis complètement égarée dans les nombreux couloirs du musée. J’étais maintenant dans une section du bâtiment assez sombre, loin de l’exposition ouverte aux visiteurs. Je commençais à flipper, car j’étais vraiment perdu, quand tout à coup, je me suis retrouvée plaquée contre le mur par une force puissante.

Intello enculée au musée !

Mon coeur a démarré à fond à cause de la peur, mais en tournant légèrement la tête, je me suis rendue compte que c’était le vigile qui m’avait tout simplement suivi et qui allait maintenant faire de moi sa petite chose. Personne ne pouvait nous surprendre dans cet endroit reculé. C’était une sorte d’agression sexuelle, car il ne m’a rien demandé, mais j’ai décidé de me laisser totalement faire, parce que c’est ce dont j’avais envie tout au fond de moi: me faire bourriner par un black à grosse bite. Il a vite fait de me baisser le pantalon et le tanga pour que je me retrouve cul nu contre ce mur. J’ai senti un gros machin se faufiler dans ma raie. Ça devait être son gourdin. Il était chaud et large. Il n’a même pas pris le temps de me chauffer un peu qu’il enfonça sa torpille dans mon fondement. Ouch! Quel enfoiré, il est là à m’enculer contre un mur comme si je n’étais qu’une petite pute. Il commence des va-et-vient longs et puissants. Il m’encule comme un sagouin et moi je prends mon pied. Je sens ses lourdes burnes pleines de sperme me claquer sur les fesses à chaque coup de reins. Mais j’ai le fion si serré que le grand black forceur ne peut pas tenir très longtemps avant de cracher sa semence. Je sens rapidement mon trou du cul se remplir de jus chaud et collant. Il sort son sexe de mes entrailles et disparaît aussitôt, me laissant là, le cul plein de foutre et le froc baissé jusqu’aux chevilles.
Quel goujat !

Dominée par un inconnu

Je suis du genre toujours hésitant quand il faut se lancer dans une aventure un peu hasardeuse. Mais pour la première fois de ma vie, j’avais accepté de me rendre à un rdv coquin avec un mec rencontré sur le net qui dès le départ avait écrit tout en majuscule sur son profil qu’il était un vrai dominateur. Pas le genre qui joue un rôle, lui il l’était vraiment et franchement, tout ça m’excitait vraiment, après tout, j’étais sur ce site de rencontre pour vivre des trucs hors du commun non, ben je pouvais donc pas manquer l’occasion qui se présentait à moi.

> Une expérience SM avec une coquine ? <

Tout était réuni, le mec était beau, costaud, sexy et chacun de ses messages me faisait frémir de plaisir. Il ne me restait plus qu’à me rendre au lieu de rendez-vous, pour pouvoir matérialiser toutes ses phrases excitantes et bandantes qu’il me balançait dans ses messages ou même lors de notre dial coquin par chatcam.
Le samedi, jour et heure du rendez-vous, je m’étais retrouvé guidé par mes envies et ma curiosité sur la rue des Bouchers, devant un resto dont j’ai oublie le nom, à Lille. C’était là le lieu du rendez-vous. Il était là, debout, me regardant déjà avec des yeux gourmands, comme un lion ou presque. Alors que je croyais qu’on allait se diriger dans ce beau resto, il me saisit direct par le bras et me dit  » on y va « . On aurait dit qu’à la minute ou il me disait ces quatre petits mots, j’avais moi-même choisi d’être soumise à lui, motivée pour faire tout ce qu’il désirait. C’est clair, Ce mec avait carrément de l’emprise sur moi, pas seulement moi, sans doute avec pas mal de meufs qui se sont surement succédées chez lui.

Après 10 minutes de marche rapide, on était enfin dans les escaliers qui menaient chez lui. Il s’arrêta brusquement et me somma de me mettre à poil. Sans dire un mot, j’exécutais nonchalamment à son ordre, mais lui ne l’entendait pas de cette oreille. Il se dépêchait de me déchirer mon string, puis en quelques seconde, ouvrait sa porte et me poussait brusquement dedans tandis qu’il s’enfonçait dans une autre pièce. Incroyable, j’étais dans la maison d’un parfait inconnu, totalement à poil. Quelques minutes plus tard, il ressortait avec une laisse pour chien qu’il me mit au cou. Puis d’un air autorité, me tirait comme une vulgaire chienne dans sa chambre. Le décor était incroyable, une lumière rouge, des sextoys et bâillon sur le lit. C’est comme si un mélange de peur et de plaisir se bousculait dans mon ventre. J’étais moi-même impatiente de découvrir la suite.

Il me dilate les trous à fond !

Tout ce que le peux dire, c’est que la suite ne se raconte pas, mais ça se vit. Ce mec m’a dilaté la chatte et l’anus comme jamais auparavant. Ce jour là, je me suis laissé introduire dans la chatte et dans l’anus des objets longs et gros, des tailles que je n’avais jamais imaginer pouvoir supporter dans mes orifices. Le double dong m’a particulièrement marqué… Ces deux extrémités enfoncés dans mes deux trous bien dilatés, hmmmm…
Tout me plaisait : la douleur, les insultes, l’extrême et même la sensation que produisait ce collier qui m’étranglait légèrement quand il tirait sur la corde. Et que je n’en pouvais pouvais plus, il me demanda de le supplier de me baiser. Je m’accrochais à ses jambes, lui lançant des  » Julien baise moi, Julien baise « , mais il ne le fit pas. Tout ça me rendait encore plus fou. J’avais envie de voir et de toucher sa bite, mais il me dit que je ne le méritais pas encore, que c’était pour la prochaine fois, le samedi prochain. Bizarrement, sur le coup tout ça me semble correct, j’actais toute  » oui  » à l’idée de revenir le samedi prochain vivre un plaisir aussi un intense avec cette fois la récompense de voir Julien toute nue, peut être même plus, le plaisir se faire péter la chatte par ce mec peu bavard et dominateur dans tous les sens des termes.
J’ai vraiment adoré le premier week-end passé avec Julien, mais le samedi qui a suivi était encore meilleur, mais c’est notre toute première rencontre que j’aime bien raconter. Je ne me fatigue jamais de raconter cette histoire à toutes mes copines…

Baise à l’hôpital

J’aime le sexe d’une façon maladive, j’ai 27 ans un physique attrayant, 1,68 m pour 60 kilos. Je travaille dans un hôpital à Lyon comme anesthésiste. Richard c’est mon boss, car il est le chef de département de chirurgie, je passe presque mes heures de services avec lui, selon notre planning. Richard est un homme attirant, intelligent et riche en plus célibataire à 40 ans. Un soir où on prenait notre garde, la salle de permanence était assez calme car elle est sous un angle un peu isolée. Autour d’un café nous causions de tout et de rien.

> Rencontre des bonnes salopes <

Arriva le déclic. Je ne compris comment je fis attirée vers lui, un baiser sur ses lèvres ; je me mis à le caresser directement sa bite.
Ma réponse fut des caresses encore plus accentuées sur sa verge cachée sous son pantalon, il se laissait faire et je menais la partie. Je descendis son froc et lui administra une bonne dose de branlette pour mettre en alerte sa bite qui se raidissait au fil du temps que je la suçais. C’était formidable de la ressentir au fond de ma gorge. Sa bite se faisait saliver pour faciliter la pénétration. Je me déshabillais rapidement et là toute nue, je lui demandais de commencer par m’enculer. Sans hésiter, je lui donnais mon derrière en levrette sur la moquette de la salle, il commença par m’enserrer l’anus.

Son sexe fini par trouver son chemin, et il commença à se mettre en action. J’avais comme l’impression qu’un train marchait sur mes entrailles, tellement que Richard devenait de plus en plus électrique. Ma jouissance était à son apogée, de plus en plus mon anus s’ouvrait à cause de l’orgasme que j’atteignais. Il sorti sa bite de mon anus, doucement posa sa langue sur mon clitoris, et commença à la titiller pour augmenter mon excitation.
Après quelques minutes acharnées sur mon clitoris qui se raidissait. Il s’allongea et me demanda de m’assoir sur sa grosse verge bien raide, je l’enserrais dans ma chatte toute mouillée, je montais et descendais sur elle, avec une technique dont j’ai seule le secret, ses mains appuyant mes fesses, se promenant partout, je jouissais à nouveau sous la pression du plaisir qui envahissait mon corps. J’avais l’impression de voler, d’être sur un autre monde. D’un coup, il me renversa, me prit en missionnaire les jambes en l’air, je subissais la pression de son sexe si viril qui cognait mon col d’utérus. J’aime bien cette sensation que cela me fait, il suçait mon cou, pinçait mes tétons, me donnait des claques sur mes joues, je ne pouvais plus, je devenais folle de plaisir. Je gémissais comme une chienne, je jouissais encore et encore. Je ne comprenais pas comment il trouvait assez d’énergie, pour tenir assez longtemps sur moi comme il le faisait, c’était sensationnel.

Orgasme à l’hôpital

Ma chatte en feu et mon anus déjà ouvert ne demandaient qu’une chose qu’il éjacule son sperme entre mes deux trous à son choix. Ma respiration devenait de plus en plus rapide, je criais de bonheur, j’avais envie d’arracher son dos, je le serrais fort, car je ne voulais plus qu’il me quitte. Il immobilisa mes mains, mon excitation devint encore plus forte. Je suis perdu dans cette posture de soumission, il partait et revenait en moi encore plus rapidement, c’était le feu en moi, une chaleur étrange mon cerveau ressentait des crampes, mon corps tremblait de joie, c’était à la limite divin, plus que magique, je jouissais de toutes mes forces. Il retira sa queue de ma chatte et me demanda de la sucer. J’avalais ses couilles, je suçais avec gourmandise sa bite, des allers retours dans ma bouche, il se crampa, je pinçais ses seins, je le suçais davantage jusqu’à ce qu’il put jouir dans ma bouche, un liquide chaud et salé que j’avalais avec plaisir. Il me rhabillait avec joie. A la fin, j’ai eu droit à un « t’es fantastique ma Ketty, j’aurais besoin d’une bonne dose de toi chaque jour comme calmant » lol. Je souris et pris la direction des vestiaires pour prendre une douche. Ce fut une soirée mémorable.

Baise insolite dans une voiture

Un soir après le travail, mon collègue Christian prit la résolution de m’accompagner chez moi. Il me proposa d’abord de boire un verre, ce qui ne me déplu point. Nous trouvions alors un petit cabaret pour assaisonner un peu la discussion afin de mieux connaitre nos aspirations communes, car depuis un certain moment il ne cessait de me faire des avances au bureau et je jouais un peu vieux jeu.

Un plan cul avec une bonne baiseuse ?

Il faut dire que Christian c’est 1,95 mètres, un homme assez athlétique, brun avec des cheveux noirs et des merveilleux yeux verts, la trentaine à peine. Moi de taille moyenne, à mes 24 ans, mince et raffinée, Celui-ci paraissait géant face à moi. Le bistrot était un endroit très calme pour une conversation assez détendue, il commandât un verre de jack sans glaçons et moi un verre de scotch Ecossais Jura. Nous entamâmes une conversation pour mettre les choses au clair entre nous, car la discrétion oblige dans le milieu professionnel. Après une longue conversation, l’alcool prenait un peu le dessus sur moi. Je me sentais déjà excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui loin du monde.
Il ne cessait de me regarder droit dans les yeux tout en caressant ma main, je sentis un fort courant m’envahir avec une seule idée : n’être qu’avec lui. Comme il se faisait tard, je lui demandais de me raccompagner. Ce qui fut fait, nous embarquâmes dans sa voiture, puis chemin faisant, advint une crevaison sur une voie quasi déserte à 50 kilomètres de chez moi.

La voiture garée près des bois et non loin de la chaussée, je sentis qu’une chose allait se passer d’aussitôt. Seule dans un coin insolite avec Christian c’était pour la première fois, la pression en moi ne faisait que s’accroître, puis il commença par m’embrasser dans sa voiture doucettement, je n’avais qu’une jupette avec un string sous moi un bustier qui ressortait mes seins en essaim.  » Il me dit c’est parfait, c’est une chance pour nous Anna de nous retrouver seuls ici loin des gens tant mieux en profiter « 
Je restais béate, puis il accentua ses caresses en suçant le lobe de mes oreilles, mon cou, mes seins, je mouillais déjà comme une jeune fille inexpérimentée. Il me demanda d’aller sur la banquette arrière en arrachant mon string, je subissais une vraie humiliation, car je découvrais à présent que Christian est macho. Après un cunnilingus bien appliqué, il descendit son jean pour laisser apparaître sa longue queue raide, il m’intima l’ordre de la sucer, et je lui administrais une pipe bien faite pour humecter sa bite afin de faciliter sa pénétration, puis par un mouvement brutal , il enfouit sa bite en moi, et commença par me chevaucher.

Baise dans la voiture, j’adore !

Il partait, revenait en moi avec des mouvements rapides et très rythmiques, j’avais l’impression que mon minou allait exploser, je jouissais comme une fontaine, sa bite me mettait en feu, mes seins se durcissaient de plus bel et mon clitoris était proche de l’explosion, je le serrais, je criais de joie, et lui sans pitié ne faisait que me baiser avec brutalité comme s’il voulait perforer mes entrailles comme un bon foreur. Sa chaleur avec toutes ses caresses qui gouvernaient mon désir, s’accentuaient avec encore plus de précisions, il ressortait sa bite de ma chatte toute trempée en me disant :  » Retournes toi me dit-il avec autorité, je vais te prendre par le derrière. « 
Sans contester, je fis ce qu’il me dit, je me retournais. D’un coup, je sentis des claques sur mes fesses, ce qui m’excitait encore plus, je me sentais comme électrocutée de plaisir, il introduisit un doigt dans mon anus et le retira en suçant avec gourmandise mon petit trou. Je suis en levrette le feu encre mon minou et mon anus, sans m’aviser il me pénétra avec force, entre douleur et plaisir, mon excitation prit un second tournant dans son intensité. Il m’enserra avec une expertise hors de commun en me baisant comme une vraie salope, ce qui me donna un orgasme tellement fort que j’étais sur le point de m’évanouir, avant de le sentir jouir en moi. Je fus comblée et toute inondée de plaisir, tout de moi tremblait pour cette prestation hors pair. Nous nous rhabillâmes, et commencèrent à changer la roue qui fit défaut. Ce fut une nuit mémorable et depuis Christian et moi baisons toujours avec beaucoup plus d’intensité chaque jour que nous pouvons le faire. Il est devenu pour moi pire qu’une drogue, le seul qui sait combler mes désirs sexuels.

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Séance de dilatation chez mon gynéco

Comme toutes les femmes, je n’aime pas particulièrement aller chez le médecin, et encore moins chez le gynéco. Mais bon, parfois, nous sommes bien obligés de nous y rendre lorsque les conditions l’imposent. J’essaie d’avoir un enfant avec mon chéri depuis plusieurs mois, sans y arriver. Nous avons donc fait des tests pour voir d’où pouvait venir le problème. Il en ressort que mon homme n’est pas en cause, et que ça viendrait plutôt de moi. J’ai donc dû commencer un suivi assez régulier avec mon gynécologue de famille.

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Je me suis rendue à son cabinet pour le premier rendez-vous, mais le titulaire était absent, et c’est un jeune remplaçant tout droit sorti de l’école de médecine qui a pris sa place. J’étais un peu dérangée par ce changement soudain, mais le toubib était assez délicat et doux avec moi, je le trouvais même beau gosse. Je n’ai rien dit à mon mari, je ne voulais pas qu’il vienne avec moi aux rendez-vous. Au fur et à mesure, nous avons commencé à discuter ensemble, au début de médecin à patiente, puis comme deux amis. C’était étrange de parler de choses intimes avec un inconnu, pendant que lui était en train de me fouiller la chatte avec toutes sortes d’ustensiles. Il m’enfonçait des trucs toujours plus gros, et je commençais à me demander si tout ça était normal. Assurément non, un gynéco n’est pas censé me mettre un truc gros comme une aubergine dans l’anus. Je n’osais pas lui demander ce qu’il faisait, et j’encaissais sans rien dire. Mais à force de me sentir pleine comme ça, j’ai commencé à mouiller, et il l’a remarqué. « Je vois que vous aimez être dilatée Justine, ça tombe bien, j’aime ça aussi, et si vous êtes d’accord, nous pouvons essayer d’aller plus loin ». J’étais choquée mais très curieuse aussi, une sensation vraiment étrange et troublante.

Il me promettait qu’au prochain rendez-vous, nous allions voir jusqu’où je pouvais me faire étendre les orifices. J’étais très excitée par cette perspective, et j’ai demandé à mon mari de me baiser longuement, surtout de m’enculer. J’aime sentir un truc dans mes fesses, et j’avais hâte que le gynéco explore encore plus ma grotte privée. Comme convenu, je me suis pointée à son cabinet, et l’auscultation a démarré comme d’habitude. J’ai enlevé tout le bas et je me suis allongée sur le fauteuil en plaçant mes jambes sur les étriers. Il se posa sur son tabouret et dirigea sa lampe sur ma fente. Je sentais la chaleur du rayon lumineux en plein sur ma vulve. J’avais juste un ticket de métro. Le gynéco enfonça d’abord un spéculum dans mon vagin, mais c’était un modèle pour les sexes bien larges, alors que ma chatoune est toute serrée. Il l’enfonça jusqu’au fond et commença à l’écarter au maximum. Je sentais mes lèvres se tendre comme des élastiques. Elles étaient prêtes à rompre sous l’écartement extrême de l’outil en métal, mais je serrais les dents.

Dilatée par mon gynéco

En même temps qu’il s’occupait de m’étendre le sexe à fond, il m’enfonça un doigt dans le cul avec son gant en latex. C’est la première fois qu’il entrait directement en moi sans utiliser un outil, et la sensation de l’avoir enfin dans mon cul me fit mouiller abondement. Je sentais le jus couler le long de mon abricot. Mes babines luisaient sous sa lampe. Je sentais son doigt dans mon troufion, je le fixais dans les yeux, et il continuait de me masturber l’anneau, sortant et rentrant son doigt, tournant dans mon rectum comme un pervers. Il ouvrit ensuite un tiroir et sorti des trucs que je n’avais jamais vus. C’était des godes énormes qu’il devait garder pour ses patientes les plus dociles. Il en prit un, le plus gros, et me le ficha dans le bénitier, puis saisi un autre, de même taille, pour le visser dans mon fiacre. Ils étaient si larges qu’ils se pressaient l’un contre l’autre à travers la paroi séparant ma brèche et mon arrière-boutique. Il aurait pu les laisser comme ça, c’était déjà suffisant pour me contenter, mais il commença à me niquer les charnières avec les deux poteaux. Malgré la douleur de la dilatation extrême, j’ai fini par jouir. Je dois le revoir la semaine prochaine…

Le mec de ma copine…

Je n’avais pas autre choix que de le faire… Je vous explique : Thomas. 26 ans, beau gosse est le mec de ma meilleure copine. J’en avais un peu marre qu’elle me parle toujours des exploits sexuels de son mec, limite je n’y croyais pas, le style : étalon, bien monté, endurant, imaginatif, tactile etc. Il fallait tenter le coup, pour vivre cela. Un soir sachant qu’il est concierge pour un ensemble d’immeuble près de Bagnolet, il travaillait de nuit ce jour-là. Je rentrais dans l’immeuble et je tombais pile sur lui. Le bol.

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– Bonsoir Thomas dis-je, je passais dans le coin et j’ai voulu te faire un coucou.

– Bonsoir Anna, quelle surprise agréable ! Je ne pensais pas te voir seule ce soir.
Il me parlait avec une décontraction un peu déconcertante, l’immeuble était calme et nous étions aux alentours de 23 h.
– Tout le monde est rentré. Veux-tu une bière pour te désaltérer ?
– Oui dis-je !
Causant au tour d’un pot, c’était le début de l’hiver et je suis assez frileuse, il me fallait une seconde chaleur en dehors du chauffage qui alimentait l’immeuble. La discussion prit une autre tournure, car nous étions seuls et tout le monde était déjà rentré. Thomas a un point faible c’est le sexe, je lui dis assez directement ce que je pensais au fond de moi.


– Thomas, je me sentais seule et je ne savais pas où aller, alors pour ce soir c’est toi mon plan sexe, s’il te plait ne me dis pas non.
– Je m’y attendais dit-il, bienvenue dans mon royaume je vais te servir.

Baisée par le mec de ma copine !

Il me prit brusquement, m’entraina sur les marches de l’escalier et m’intima l’ordre en me disant : assoies toi là. J’exécutais, il me déshabilla vite fait comme s’il voulait gagner le temps.
Et fit de même, nous étions là nu sans caresse, ni préliminaires, il écarta mes jambes en cherchant un passage forcé dans ma chatte, il l’introduisit, en fauchant la barrière de sa résistance. J’avais de la peine à contenir sa bite qui rabotait mes entrailles avec une force exquise pour m’entraîner dans le plaisir que voulait m’offrir ce macho de Thomas. Peu à Peu, le plaisir s’installait, une pression cérébrale tourbillonnait en moi des questions sans réponses.
Nus dans escalier ! Et s’il y avait quelqu’un qui descendait ? Puis l’idée devient plus claire. Un filet de cyprine féroce sortait de ma chatte qui devenait tellement trempée. Il le remarqua.
– Hein salope t’es toute mouillée là, maintenant tu vas voir ce que suis capable de faire aux petites allumeuses de ton genre. Retourne-toi, je vais t’enculer sale chienne.

Il passe au petit trou…

Du maitre à l’esclave son ordre me soumit à sa volonté, je me retournais, là il ouvrit mes fesses en tapotant d’abord les deux côtés, soudain je sentis sa langue explorer tous les contours de mon anus, ses doigts dans ma chatte, ce mec savait ce qu’il faisait. Je miaulais de plaisir, j’étais aux anges sur ces marches, d’un coup un peu habile, il me pénétra par mon petit trou, qu’il mit à feu avec ses va et vient torrides, je n’en pouvais plus, je devenais sa chienne, j’avais le plaisir nécessaire entre vanille et hardcore, j’étais sa chose à cet instant-là. Un second orgasme amplifia mon plaisir, et nous jouîmes au même moment. Il retira sa quéquette de mon anus en tapotant encore plus fort sur mes fesses.
– Salope, ma petite salope Anna j’aimerai qu’on le refasse d’une façon mieux arrangée, mais t’a mérité ce que tu voulais petite perverse.
Je souris, et me rhabillais avec joie comme si je venais de gagner un trophée. C’était sensationnel.

Ma voisine est une femme fontaine

Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.

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J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.


Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.

Ma voisine ? Une femme fontaine !!

Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!

19 ans, suceuse de papis dans un bar tabac

Je suis une jeune fille de 19 ans. J’aime la vie, m’amuser, sortir dans les bars, comme toutes les jeunes filles de mon âge. Je vais souvent dans un petit bar tabac PMU du centre du village. Je ne sais pas pourquoi j’aime me rendre dans cet endroit, mais on rigole bien ? Il y a toujours deux habitués, des vieux de 60 ans, qui me regardent avec un peu trop d’insistance. Je vais au bar comme tous les jours après les cours.

Tu veux baiser une jeune salope ?

Il n’y a pas grand monde aujourd’hui, hormis les deux vieux poivrots qui sont en train de siroter un verre de rouge. Ils sont déjà bourrés, et le patron doit quitter les lieux pour chercher une livraison urgente. Il confie les clés à son pote, un des deux bonhommes. Merde, je me retrouve seule avec eux. En même temps, je l’ai bien cherché. Tout de suite, le plus vieux se lève et se dirige vers moi en sortant sa queue. Il a un zizi d’une taille honorable. Il me dit: « maintenant qu’on est seul, tu vas nous sucer et nous vider les couilles petite pute ». Oh, du calme les gars. Ils me regardent méchamment, je ne veux pas de problème, alors je me baisse et j’attrape la pine du gars.

Elle sent fort, mais je dois le sucer, je suis obligée de le faire. Je n’ai que 19 ans, et je suis en train de pomper un vieux gars pendant que son pote nous regarde en se branlant. Je suis tombée bien bas… Sa bite a vraiment un sale goût, j’ai beaucoup du mal à aspirer plus loin que la moitié, mais je fais l’effort d’aller au plus profond de ma gorge.
Je tousse et je me retiens plusieurs fois de gerber. Je décide de prendre ma bouteille de Despé et de la verser sur son gland. Mmmmmmmh, maintenant, c’est bon! Le deuxième bande maintenant et veux aussi que la jeunette lui pompe le bout, ce que je fais tout de suite. Je ne lâche pas la première, je la tiens bien en main, comme le manche d’un avion.

19 ans, et pompeuse de papis !

J’ai les deux vieilles tiges dans mes petites mains, et je les suce à tour de rôle. Les papis m’insultent et me mettent des gifles. Je les regarde avec un air de chienne obéissante. Je sors la langue à fond et je claque les glands dessus, comme dans les films de cul. Je pompe très bien, et le premier ne tient pas le choc et commence à me jouir sur le visage. Il m’en fout partout, même dans les yeux. Son sperme est dégueulasse. Ça me dégoûte d’avoir sa purée de couilles sur ma gueule et dans ma bouche, mais il faut finir le boulot avec le deuxième. Je l’aspire encore plus fort et plus vite. Je ne veux pas trop trainer, je dois faire mes devoirs. Je prends ses vieilles baloches en main et je les presse doucement tout en lui léchant le bout de la queue. Son chibre gonfle d’un coup et il se met à me jouir dessus. Comme son collègue, il me recouvre de liqueur de couilles. Les deux grands-pères sont repus et me demandent de me barrer, ce que je fais aussitôt. Je rentre chez moi et je m’essuie la tronche avant que mon père ne rentre du boulot, je veux rester sa petite princesse de 19 ans, il ne faut pas qu’il me voie comme la pute que je suis réellement…

Levrette violente en ascenseur

Toujours en retard, comme d’habitude! Je suis bien une femme… Je devais me rendre à un entretien important et je n’imaginais pas du tout qu’il pouvait se passer quelque chose d’intéressant en cours de route. J’ai vite saisi mon sac à main et je me suis dirigée sur le pas de la porte. J’aurai dû prendre les escaliers pour aller plus vite, mais trop la flemme, et puis je ne voulais pas transpirer et risquer de faire couler mon maquillage. L’ascenseur arrive, la porte s’ouvre, et un beau jeune homme est déjà présent à l’intérieur.

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Quel canon, je suis presque gênée de monter avec lui. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’oeil à son entre-jambes. Sacré paquet! Ça doit faire une semaine que je n’ai pas baisé un coup, et je commence à être en manque. Je suis une petite salope, dès que l’occasion se présente de se prendre une bonne queue, je n’hésite pas une seule seconde. J’ai déjà des idées coquines qui me traversent l’esprit. Je n’ai jamais baisé dans un ascenseur en plus, ça doit être excitant. Le mec à l’air un peu timide, il ne me lâche pas un mot et je n’imagine pas qu’il ose tenter un truc. Pourtant, vers la moitié de la descente, le jeune homme appuie fermement sur le bouton d’arrêt d’urgence. L’ascenseur se bloque, ça secoue un peu, et une petite alarme se met à sonner. Je le regarde avec un air de stupeur, et le mec me prend tout de suite les hanches et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue se fraye un chemin jusqu’au fond de ma cavité buccale. Au lieu de le repousser, je me mets moi aussi à lui sucer la langue.

Nous nous roulons des patins comme deux pervers. Ses mains glissent sur mon corps pour se fixer sur mon cul. Il commence à me malaxer les fesses comme un boulanger qui pétrit son pain. Il lève ma jupe et passe sous le tissu. Il se rend compte que je ne porte pas de culotte et je sens tout de suite son engin tripler de volume. Il se frotte sur ma cuisse comme un animal. Je ne peux pas le laisser dans cet état. Je me tourne, finis de lever ma jupe pour bien dévoiler mon cul et je tends la croupe comme une chienne. Je le fixe et lui dis « Prends-moi bien fort, fais ce que tu veux de moi ». Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que le salaud à déjà son gland collé sur l’entrée de mon petit trou du cul innocent, en levrette. Le fumier a choisi l’orifice le plus étroit, et vu la taille de son engin, il va me démonter. Je serre les dents et encaisse la première pénétration. Ouch! C’est dur mais ça passe. Il est déjà calé au fond de mes entrailles et commence à me bourriner le fion comme un goujat.

Enculée en levrette dans l’ascenseur !

C’est rare que je mouille du cul, mais la je suis trempée. Il y va si fort que ses couilles claquent sur mes fesses. J’ai l’impression de me faire enculer et fesser en même temps. Je ne vais pas tarder à jouir. Je lui dis, et le bel inconnu se met à gémir comme un porc tout en me remplissant le fondement d’une dose impressionnante de foutre tiède. J’en ai plein le rectum et je vais devoir remonter chez moi pour essuyer tout ça. Finalement, je suis bien arrivée en retard!