Chatte serrée pour une asiatique bourrée

Salut, je suis Tom, marié, deux enfants et a priori heureux en couple. Mais bon, il y a des fantasmes qu’il faut parfois se résoudre à concrétiser pour être en paix avec soi-même. Le mien, c’est celui de me faire une petite asiatique. Chinoise, Thaï, Coréenne, Japonaise, je m’en fiche, du moment que ça a les yeux bridés et une petite chatte serrée. Ma femme est assez cool et il m’arrive de partir seul en virée avec mes potes.

Ce soir-là, on se retrouve dans un petit bar sympathique du centre-ville. C’est le milieu de l’été, il fait chaud et lourd. Je porte un marcel et un jeans, histoire de flamber un peu. Les filles aussi sont en chaleur, et il n’y en a pas une qui ne porte pas une petite jupe moulante. Je sirote tranquillement mon verre en parlant de cul avec mes collègues lorsque mon regard croise celui de mon fantasme, une vraie petite asiatique bien bandante. Elle devait mesurer 1m50 à tout casser. Je m’imaginais déjà l’étroitesse de sa mini chatte et mon engin se mit à gonfler malgré moi. J’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé la voir pour tenter d’obtenir un truc. Ni une ni deux, je l’ai emmené sur le parking pour lui faire visiter mon 4×4. Pas cinq minutes se sont écoulées que la petite chinoise était déjà en train de me grignoter le bout de la queue. Sa langue humide parcourait ma tige de mes couilles jusqu’au bout de mon casque. Elle passait doucement son doigt entre mon trou de balle et mes burnes, tout le long de la couture, putain j’adore ça.

Rencontre une asiatique bien coquine…

Mon barreau est devenu encore plus dur, et j’ai invité la petite bridée à se mettre sur la banquette arrière pour recevoir sa saucée. N’importe qui pouvait nous surprendre, mais je crois que ça m’excitait encore plus. La chinoise était un peu bourrée et a facilement écarté les gigots. J’ai découvert sa petite chatoune que je me suis empressé de bouffer longuement tout en me branlant avec frénésie. Je pouvais à peine rentrer un doigt en elle tellement son trou était serré. Ce n’est pas une légende… Après lui avoir encore sucé le clito et constatant que sa fente était bien trempée, je me suis mis sur elle en position de pompe, j’ai collé mon gros gland à l’entrée de sa chatte et j’ai poussé un grand coup. L’asiatique s’est mise à crier avec son petit accent de geisha. Je l’ai tamponné longuement, sans prendre la moindre précaution pour ne pas lui faire mal.

Une asiatique à la chatte serrée !

De toute façon, elle avait l’air d’aimer sentir mon gros rondin lui élargir les parois de sa petite chatte serrée… Je voyais ses petits yeux bridés me fixer pendant que je faisais de grosses accélérations. Je ralentissais un peu pour lui rouler des pelles avant de bourrer à nouveau sa motte avec force. Son vagin humide entourait toute ma queue. Les vagues de plaisir lui serraient la chatte encore plus, augmentant ainsi l’étreinte exercée sur ma verge tendue. Je comptais la niquer violemment dans d’autres positions, mais je voulais rejoindre mes potes. L’envie de lui lâcher mon sperme dans la chagoune était présente, mais je me suis juste assez retenu pour m’extraire de son minuscule orifice afin de décharger toute ma purée sur son ventre bronzé. J’ai pris mon pied avec cette petite asiatique, je vous conseille d’essayer vous aussi les gars!

Ma thaïe chérie et ses jeux érotiques

Certains prétendent que les filles asiatiques sont plus libérées que les autres, qu’elles ont en elles un je-ne-sais-quoi de sensualité qui donne avec sexe avec elles un supplément d’âme. L’histoire que j’ai vécue avec Patchrapa, ma chérie thaïe, ne les contredira pas. Je ne sais pas si ça vaut avec toutes les femmes thaïlandaises, je n’ai pas assez de recul pour l’affirmer, mais en tout cas, ce que j’ai vécu avec elle était d’une intensité érotique sans limites.

Patchrapa est donc thaïe. Pour la plupart des occidentaux, rien que l’évocation de cette nationalité revient à énoncer tout un programme de réjouissances coquines. Pas pour moi. C’était il y a trois ans, j’étais un jeune étudiant en médecine, assez sérieux, très timide, et j’ai vite sympathisé avec elle, sans penser à mal.

Nous révisions ensemble, nous partagions nos TP et nous nous accordions nos rares moments de détentes ensemble, au café ou au ciné. Rien de plus. Au bout d’un an, je n’étais même jamais allé chez elle, ni elle chez moi. Jusqu’à ce soir de juin où, à la fin d’un examen que je pensais avoir raté, elle m’a invité à la suivre jusqu’à son appartement, pour me remonter le moral.

Je suis arrivé dans une chambre étudiante, comme il y en a tant à Paris. Petite, aménagée coquettement comme tous les intérieurs de filles, selon des standards européens. A l’exception de quelques décorations orientalisantes et de quelques souvenirs du pays, rien de particulier à signaler. Ou peut-être si : il y avait là quelques reproductions d’œuvres d’art qui ne lassaient pas d’étonner. Toutes avaient un caractère érotique.

Rencontre une asiatique bien coquine…

Ma chère Patchrapa me fait m’installer sur son canapé, en face de sa table basse et part préparer le dîner. Pendant qu’elle s’affaire en cuisine, son portable vibre plusieurs fois. Je ne lui connaissais pas une telle vie sociale ! Au bout d’un moment, intrigué, je regarde le dernier texto arrivé : « que fais-tu ce soir, ma petite perle d’amour ? ». C’est signé Nathalie. OK ! Patchrapa doit être lesbienne ! Je regarde la liste des expéditeurs : Omar, Serge, Chantal, Frédéric, Nathalie, il y a de tout pour faire un monde.

Je me dis que ça doit être des amis à elle, en tout cas pas des gens de la fac ou de l’hôpital. Je regarde finalement les textos : tous ont un caractère érotique, tous sont des invitations sexuelles. Je tombe des nues. Mais voici mon amie qui revient. Je fais comme si de rien n’était. Elle a fait de la cuisine thaïe, et mes papilles vont s’en souvenir. C’est incroyablement bon, et désespérément pimenté.

Patchrapa rigole de me voir rougir et transpirer à grosses gouttes. Il faut dire que l’été s’annonce chaud et que je ne suis pas habitué à la cuisine épicée. Elle aussi transpire, et prend ses aises en ouvrant un peu son chemisier. Arrive le dessert. Une salade de fruits exotiques magnifiquement fraîche et douce.

Une thaïe très érotique…

Mon amie thaïe veut me dérider et me réconforter après ce dernier examen compliqué. Elle me propose un jeu. « Je connais un jeu de dés très sympa et très instructif », me dit-elle avec sa petite pointe d’accent. Je pense d’abord à un jeu typiquement thaï. Puis, je me souviens de l’un des textos reçus par la belle : « on se fait une partie de dés, ce soir ? ».

Qu’est-ce donc ? Je n’ai pas le temps de dire oui ou non que Patchrapa revient avec deux dés dans un petit pochon. Un blanc et un rose. « A toi de commencer » me dit-elle en me tendant les deux objets. Sans réfléchir, je lance. Alea jacta est. Les deux cubes s’arrêtent. Sur leur face, on peut lire : « séduis-moi » et « sur le lit ».

Patchrapa me demande de m’allonger sur le lit. Elle a déboutonné son chemisier d’un cran supplémentaire. Elle se penche vers moi, me frôle, badine avec moi. Je suis en feu. Et quand je suis à point, elle se redresse finalement : « alors, séduit ? ». Qui ne le serait pas ? A son tour : « lèche-moi » et « sur la chaise ». Ma jolie thaïlandaise s’assied et attend que je m’exécute. J’ose lui faire quelques doux baisers dans le cou.

Mais elle n’est pas satisfaite : « je veux sentir ta langue, c’est ça, lécher, non ? ». Je dois obéir. Je passe ma langue sur la peau satinée de son cou, sur ses épaules, à la naissance de son décolleté. Elle est satisfaite. Et me donne à nouveau les dés : « masse-moi » et « contre la porte » indiquent les dés.

« Très bien » sourit Patchrapa, « retire ta chemise et, tant qu’à faire ton pantalon… je vais t’offrir un massage que tu n’oublieras pas de sitôt ». Ce fut le dernier tour de dés… avant une nuit de sexe intense.

Je me suis fait sucer grave par une pucelle asiatique

Rencontre une asiatique bien coquine…

J’allais souvent faire des massages dans ce salon asiatique où je retrouvais des kinés professionnelles. J’avais particulièement remarqué Chen, une belle chinoise sympa, enjouée qui aimait communiquer : elle parlait super bien français car elle avait grandi en Belgique. À chaque fois que j’allais me faire masser, c’est elle que je demandais et, elle était toujours prompte à s’occuper de moi.

Il lui était interdit formellement de donner son numéro personnel aux clients, moi je tentais en vain de la séduire mais, son patron avait un oeil sur elle comme toutes les autres filles d’ailleurs.
Nous discutions longuement, elle avait fait des études de kiné et rêvait d’ouvrir sa propre boite. C’était une femme de 28 ans, qui paraissait timide et pieuse mais, en la découvrant, je me suis rendu compte qu’elle aimait rigoler, aller en boite et écouter de la musique.

En parlant de sa relation amoureuse, elle disait être avec un homme de son origine et qu’un mariage était imminent. Ce veinard sera son premier car, dans sa coutume, il fallait être pucelle avant de se marier.
Diantre ! J’avais complètement lâché l’affaire après qu’elle m’ait faites ces confidences. Une vierge de 28 ballets ? Hallucinant !
Cependant, ses massages me faisaient un bien fou et je n’ai pas cessé d’y aller.
Un jour, après le boulot, j’ai eu envie de me relaxer en discutant et me faisant masser par Chen. Comme toujours, l’accueil était chaleureux dans cet établissement qui avait quelque chose d’érotique. Des lumières douces, des couleurs qui rappelaient l’Asie et des femmes souriantes. On s’y sentait comme au Paradis.
Je demandai à voir Chen et, on me fit monter dans la pièce où elle me reçoit souvent. C’est une salle sobre, les murs sont peints en blanc et, sur le mur qui fait face à la table de massage, il y a un écran de TV allumé qui diffuse des vidéos clips de chansons en mandarin ( langue parlée en Chine ).
Je l’y ai attendu pendant moins de cinq minutes quand elle a apparu encore plus radieuse que d’habitude. Sa blouse blanche toute courte me faisait lécher les babines. Elle était assez si et moulante à tel point que ses petites fesses se dessinaient à la perfection.

Asiatique mais plus pucelle pour bientôt !

Toujours aussi sympa et espiègle, elle m’a fait une petite blague d’entrée avant de me déshabiller, ce qu’elle n’a pas l’habitude de faire. J’ai aimé et je lui ai fait savoir. Toute rouge, elle ne pouvait pas me regarder dans les yeux, je sentais qu’elle était influençable et je me disais en profiter pour obtenir au moins une petite gâterie.
Alors qu’elle me retournait sur le dos pour m’enduire d’huile de massage, je faisais balader ma main droite sur sa cuisse, elle ne résistait pas. J’ai continué de plus belle sans qu’elle ne s’oppose.
Pendant que ses mains tassaient l’arrière de mon corps, je ne resta pas bras ballant, je la tripotais avec délicatesse et je sentais qu’elle adorait.
Va falloir tenter d’aller plus loin ! Je me mis donc à déboutonner sa bouse et je découvris qu’elle portait juste un string quasi transparent qui dévoilait sa chatte poilue.
Je me mis donc à la titiller sa foufoune, elle était toute mouillée, sa petite culotte était tellement inondée qu’on aurait dit que j’avais fait de la plonge.
En voulant introduit le premier doigt dans sa chatte, j’ai senti une résistance : elle était vraiment pucelle !
En émettant un premier gémissement, je me suis dit qu’elle m’offrait la possibilité de fourrer un doigt mais, lorsque j’insistai, elle me repoussa avec virulence.
Nous restâmes quelques secondes sans agir et, j’ai ensuite repris la tentative qui a encore échouée.
Elle me dit alors :
Chen : Tout ce que je peux faire pour te faire plaisir, c’est une pipe.
Jean : Vas y chérie.

Je me retournai alors et retirai ma serviette afin qu’elle voit quel effet elle me fait. J’avais une trique de cheval !
Chen se courba à 45 degrés et commença par me prendre les burnes. Quel bonheur !
Je pouvais sentir sa bouche chaude me pomper, je la sentais tellement que j’ai pas résisté une minute avant d’éjaculer. Il y avait tellement de semence qu’elle en a reçu dans la gueule, sur la tronche et, il y en avait même sur le sol.
Après cela, elle promit qu’on ira plus loin après son mariage, quand elle ne sera plus pucelle.

Jeux érotiques d’une thaïlandaise

Rencontre une asiatique bien coquine…

Certains prétendent que les filles asiatiques (la thaïlandaise en premier !) sont plus libérées que les autres, qu’elles ont en elles un je-ne-sais-quoi de sensualité qui donne avec sexe avec elles un supplément d’âme. L’histoire que j’ai vécue avec Patchrapa ne les contredira pas. Je ne sais pas si ça vaut avec toutes les femmes thaïlandaises, je n’ai pas assez de recul pour l’affirmer, mais en tout cas, ce que j’ai vécu avec elle était d’une intensité érotique sans limites.

Patchrapa est donc thaïlandaise. Pour la plupart des occidentaux, rien que l’évocation de cette nationalité revient à énoncer tout un programme de réjouissances coquines. Pas pour moi. C’était il y a trois ans, j’étais un jeune étudiant en médecine, assez sérieux, très timide, et j’ai vite sympathisé avec elle, sans penser à mal.

Nous révisions ensemble, nous partagions nos TP et nous nous accordions nos rares moments de détentes ensemble, au café ou au ciné. Rien de plus. Au bout d’un an, je n’étais même jamais allé chez elle, ni elle chez moi. Jusqu’à ce soir de juin où, à la fin d’un examen que je pensais avoir raté, elle m’a invité à la suivre jusqu’à son appartement, pour me remonter le moral.

Je suis arrivé dans une chambre étudiante, comme il y en a tant à Paris. Petite, aménagée coquettement comme tous les intérieurs de filles, selon des standards européens. A l’exception de quelques décorations orientalisantes et de quelques souvenirs du pays, rien de particulier à signaler. Ou peut-être si : il y avait là quelques reproductions d’œuvres d’art qui ne lassaient pas d’étonner. Toutes avaient un caractère érotique.

Ambiance érotique chez ma copine thaïlandaise

Patchrapa me fait m’installer sur son canapé, en face de sa table basse et part préparer le dîner. Pendant qu’elle s’affaire en cuisine, son portable vibre plusieurs fois. Je ne lui connaissais pas une telle vie sociale ! Au bout d’un moment, intrigué, je regarde le dernier texto arrivé :  » que fais-tu ce soir, ma petite perle d’amour ? « . C’est signé Nathalie. OK ! Patchrapa doit être lesbienne ! Je regarde la liste des expéditeurs : Omar, Serge, Chantal, Frédéric, Nathalie, il y a de tout pour faire un monde.

Je me dis que ça doit être des amis à elle, en tout cas pas des gens de la fac ou de l’hôpital. Je regarde finalement les textos : tous ont un caractère érotique, tous sont des invitations sexuelles. Je tombe des nues. Mais voici mon amie qui revient. Je fais comme si de rien n’était. Elle a cuisiné thaï, et mes papilles vont s’en souvenir. C’est incroyablement bon, et désespérément pimenté.

Patchrapa rigole de me voir rougir et transpirer à grosses gouttes. Il faut dire que l’été s’annonce chaud et que je ne suis pas habitué à la cuisine épicée. Elle aussi transpire, et prend ses aises en ouvrant un peu son chemisier. Arrive le dessert. Une salade de fruits exotiques magnifiquement fraîche et douce.

Mon amie thaïlandaise veut me dérider et me réconforter après ce dernier examen compliqué. Elle me propose un jeu.  » Je connais un jeu de dés très sympa et très instructif « , me dit-elle avec sa petite pointe d’accent. Je pense d’abord à un jeu typiquement thaï. Puis, je me souviens de l’un des textos reçus par la belle :  » on se fait une partie de dés, ce soir ? « .

Jeux érotiques avec l’étudiante thaïe

Qu’est-ce donc ? Je n’ai pas le temps de dire oui ou non que Patchrapa revient avec deux dés dans un petit pochon. Un blanc et un rose.  » A toi de commencer  » me dit-elle en me tendant les deux objets. Sans réfléchir, je lance. Alea jacta est. Les deux cubes s’arrêtent. Sur leur face, on peut lire :  » séduis-moi  » et  » sur le lit « .

Patchrapa me demande de m’allonger sur le lit. Elle a déboutonné son chemisier d’un cran supplémentaire. Elle se penche vers moi, me frôle, badine avec moi. Je suis en feu. Et quand je suis à point, elle se redresse finalement :  » alors, séduit ? « . Qui ne le serait pas ? A son tour :  » lèche-moi  » et  » sur la chaise « . Ma jolie thaïlandaise s’assied et attend que je m’exécute. J’ose lui faire quelques doux baisers dans le cou.

Mais elle n’est pas satisfaite :  » je veux sentir ta langue, c’est ça, lécher, non ? « . Je dois obéir. Je passe ma langue sur la peau satinée de son cou, sur ses épaules, à la naissance de son décolleté. Elle est satisfaite. Et me donne à nouveau les dés :  » masse-moi  » et  » contre la porte  » indiquent les dés.

 » Très bien  » sourit Patchrapa,  » retire ta chemise et, tant qu’à faire ton pantalon… je vais t’offrir un massage que tu n’oublieras pas de sitôt « . Ce fut le dernier tour de dés… avant une nuit de sexe intense.

Chinoise et bonne baiseuse !

Rencontre une asiatique bien coquine…

La saison touristique chinoise ouverte, je me munissais d’un écriteau pour accueillir un groupe de touristes chinois à Roissy. Parlant correctement Mandarin, nous communiquions sans aucune difficulté et je puis me rendre compte que le groupe n’était constitué que de jeunes femmes au nombre de 8. Je les conduisais à leur hôtel, en compagnie du chauffeur.

Pendant tout le trajet qui mène à l’hôtel, elles étaient émerveillée par le paysage, les édifices, et prenaient des photos à tout bout de champs. Plus tard, nous fîmes un briefing du parcours touristique que nous ferions durant leur séjour d’une semaine. Dès le lendemain, nous allions donc entamer la visite de la capitale de l’Hexagone en commençant par la très célèbre Tour Eiffel.

Quatre jours avant leur départ, alors que nous avions bouclé notre parcours touristique, les jolies demoiselles désiraient à présent connaître les coins les plus festifs de Paris, pour s’y amuser et rencontrer si possible des mecs. Nous allions dans une discothèque très prisée dans le 11ème arrondissement le premier soir, puis dans une autre le jour d’après. Tous s’amusaient sans complexe, certaines c’étaient même envoyées en l’air avec des dragueurs subversifs, mais une seule d’entre elles, ne semblait pas vouloir s’amuser, elle me paraissait bien coincée du cul et triste.
Essayant de comprendre ce qui lui arrivait ce soir en boite, je l’invitais à me rejoindre à l’extérieur pour que nous puissions discuter une minute au calme. Elle me confiait qu’elle était hyper timide et qu’elle avait honte de danser en public, avant d’ajouter qu’elle aimerait comme les autres faire un plan sexe avec un jeune français avant de partir mais elle n’a malheureusement pas le courage qu’elles ont. Elle ajouta d’autres trucs qui me mirent dans un état de profonde empathie, d’autant plus qu’elle pleurait. Je la pris dans mes bras pour la consoler et à ma grande surprise, elle m’embrassa sur la bouche.

Sucé en boite par cette chinoise !

J’étais mal à l’aise, elle avait très mal interprété mon geste, mais je ne voulais pas non plus la mettre encore plus mal qu’elle ne l’était déjà. Alors je répondais favorablement à son baiser. Au passage, elle embrassait tellement bien qu’elle avait réussie à m’exciter et à me chauffer la bite. A la suite de cet échange langoureux, elle arborait un sourire extrêmement joyeux, comme d’une personne qui avait gagné au loto. Et moi, j’avais maintenant envie de lui casser la chatte, de lâcher les chiens, bref, la baiser quoi ! Les toilettes hommes me semblaient parfaites pour cette expérience.
Assis sur une lunette de toilette rabaissées, elle se mit à me sucer le manche, et aussi étonnant que cela puisse paraître, sa timidité s’était envolé, j’avais en face de moi une nana totalement déchaînées et chaude comme la braise. Elle s’empala ensuite sur mon zob avant de se mettre à me chevaucher. Cette baise était plutôt rapide, moins de dix minutes au chrono. J’étais plus ou moins resté sur ma faim et ma baiseuse chinoise aussi.

La chinoise s’en prend plein le cul

En fin de soirée, je la déposais avec les autres à l’hôtel lorsqu’elle m’invitait à la rejoindre dans sa chambre. C’était reparti pour un second round ! D’une voie douce, elle me demanda ce qui me plairait. Sans hésiter je lui dis une sodomie, sur le coup, elle farfouille dans un de ses sacs et sort des boules de geisha qu’elle se fourre dans le fion pour bien le préparer à la tempête anale que je lui réserve. Avant que sa rondelle ne soit prête, j’enfile une capote et me mets à lui défoncer la chatte au quart de tour. Cette nana est tellement souple qu’elle me propose des positions de contorsionnistes. Peu après, elle retire les boules de geisha laissant un gros cratère dans son cul, je me mets alors à la pénétrer et bon sang que c’était agréable. J’avais la sensation de planer, son cul était doux, si bon…Nous passâmes la nuit à avoir un enchaînement d’orgasmes.
Le jour de leur départ, je les raccompagnais à l’aéroport, elle me fit un baiser d’adieu en présence du reste du groupe. Après cela, ces compagnons de groupe s’exaltait puis Ly leur dit en mandarin :  » je vous avais bien dit que je réussirais à me le faire « … Je m’étais bien fait avoir.

 

Les touristes japonaises sont bandantes, la preuve !

Les touristes japonaises sont bandantes

C’est un des avantages à vivre dans une ville comme Paris. On y voit des filles de toute nationalité. Entre les étudiantes Erasmus et les touristes, on peut niquer des nanas de toute l’Europe, et du monde entier, quand on s’y prend bien ! De mon côté, après avoir fait l’union européenne avec ma bite, je me suis attaqué aux touristes japonaises, sans trop y croire au début, mais avec une certaine obstination.

J’avais essayé d’apprendre, pour le boulot, à la fin de mes études, quelques rudiments de japonais. En vain. Il faut croire que ma libido est toujours la plus forte car le projet d’aborder quelques touristes nipponnes dans les coins les plus fréquentés par elles dans la capitale m’a beaucoup plus motivé.

J’ai donc appris à dire « bonjour », « bonsoir », « merci », « je vous en prie », « bon appétit » et même « vous êtes très jolie, pourrais-je connaître votre prénom ? » et pas mal de niaiseries dans le genre. Pas de quoi tenir une conversation, je vous l’accorde, mais assez pour éveiller la curiosité des donzelles en goguette à Paris.

Ensuite, je suis parti sur les Champs-Elysées, puis au pied de la Tour Eiffel, sur la Butte Montmartre… et rien. Les Japonaises étaient amusées de mes tentatives, sans plus. J’allais presque abandonner quand je me suis retrouvé un soir, en rentrant du boulot, dans la même rame de métro qu’une bonne vingtaine de nippones.

Ah ! Avec leurs jupes plissées, leurs appareils photos toujours sur la qui-vive et leurs sourires émerveillés ! Elles étaient trop bandantes ! Et comme le métro était bondé, à cette heure de pointe, je me suis retrouvé coincé au beau milieu du groupe, frottant bien involontairement les cuisses nues, frôlant les seins. Je n’ai pas pu résister, j’ai tenté ma chance.

Et comme pour multiplier celle-ci, j’ai essayé d’aborder trois petites meufs, au lieu d’une seule, comme à mon habitude. Elles ont du se sentir plus en confiance, par effet de groupe, mais toujours est-il que deux d’entre elles ont accepté de me suivre dans un café aux allures très françaises pour boire un dernier verre.

Nozomi, grande bringue élancée au joli cul ferme et aux petits nichons était la meneuse. Plus timide, et plus ronde, avec deux beaux gros seins, Haruna semblait plutôt suivre son aînée. Je leur ai fait goûté au pastis, la boisson de ma région d’origine, qu’elles ont adoré. Au point d’être un peu pompettes, sans être non plus complètement bourrées.

L’heure avançait, et je ne savais pas avec laquelle tenter vraiment le coup. Pris d’un élan de témérité que l’alcool avait accentué, j’ai essayé d’avoir les deux, en leur proposant de découvrir d’autres spécialités françaises inconnues des Japonais… chez moi !

Ni une, ni deux, les deux copines ont accepté. Dans un premier temps, je me suis dit que c’était dans la poche. Puis je me suis rappelé des différences culturelles entre nos deux pays. Peut-être que d’accepter de suivre un garçon inconnu chez lui ne voulait rien dire, au Japon ?

Deux japonaises très bandantes !

Tu parles ! Je n’ai rien eu le temps de leur faire goûter, comme spécialité française. Mise à part ma bite… Je me suis retrouvé en moins d’une demi-heure entièrement nu sur mon lit, avec mes deux japonaises topless qui s’occupait de me tailler une turlutte à deux bouches rien moins que prodigieuse. De temps à autre, Nozomi lâchait un peu ma verge pour laisser sa copine Haruna m’offrir une branlette espagnole. Ou hispano-nipponne, devrais-je dire.

A ce stade, je veux évoquer la vieille légende selon laquelle les femmes japonaises ont un savoir-faire sexuel que devraient leur envier les Occidentales. Et bien : je confirme ! Alors, bien sûr, ce n’est pas bien difficile de faire grimper aux rideaux un queutard dans mon genre quand on lui offre un trio avec deux nanas, mais tout de même !

Pas bisexuelles pour deux sous (mon seul regret), les deux Japonaises ne se sont occupées que de moi, prenant manifestement leur plaisir à rivaliser de caresses avec leurs doigts, leurs bouches et même leurs vagins. Quand l’une me tendait son cul en levrette, la seconde prenait le relais en s’asseyant sur ma queue et en tortillant du cul pour me faire prendre un maximum de plaisir.

Et puis, tout à coup, sans prévenir, toutes les deux se sont mises à se masturber devant moi, réclamant par des mimiques que je leur colle ma bite dans la bouche. L’une a pris ma hampe entre ses lèvres, l’autre mes couilles, et elles ont sucé jusqu’à ce que je jouisse sur leurs visages, déclenchant chez elle un orgasme simultané.

Je ne sais pas si elles ont appris ça dans un livre ou dans un film porno, mais aucune nana européenne ne m’avait jamais fait ce coup là !