Je pompe un voyeur sur un parking

J’étais pourtant assez pressée ce jour-là ; un rendez-vous assez important pour le travail. Je suis commerciale, je suis sur la route toute la journée pour enchaîner les visites. Parfois, il faut savoir se poser et apprécier la vie. C’est ce que j’ai décidé de faire pendant cette pause de midi. Je mangeais un sandwich triangle dans ma voiture, sur une aire de repos au bord de la nationale. C’est un axe peu fréquenté, et il y avait juste un camion de garé, un peu derrière moi.

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Alors que je mangeais, je me suis rendue compte dans le rétroviseur qu’un homme était posté là, avec sa bite en main, en train de se branler. Je pense sur le moment qu’il s’agit d’un simple voyeur. Le mec était assez moche et bedonnant, un physique de chauffeur de camion. J’ai un peu peur sur le moment, puis je décide de lui offrir un peu de plaisir. J’ouvre la fenêtre et indique au voyeur de se rapprocher, ce qu’il fait, la queue toujours en main.

Un voyeur bien chanceux !

Je lui ordonne qu’il continue sa besogne, et moi, pendant ce temps-là, je déballe ma poitrine et je commence à me presser les nibards l’un contre l’autre. Il est très étonné le petit voyeur. Il ne pensait certainement pas tomber sur une femme aussi salope que moi. C’est le genre de mec qui se branle devant des filles et qui prend son plaisir lorsqu’il voit la peur dans leurs yeux juste avant qu’elles ne fuient. Moi je reste et je vais lui vider les couilles. Je lui indique de s’approcher encore plus, et de passer sa queue par la fenêtre ouverte.

Je saisis sans ménagement la bite du voyeur et je commence à le masturber moi-même. Il est choqué, il me fixe avec des gros yeux, au moins aussi gros que ses burnes. Bientôt, elles seront vides, car je vais les purger jusqu’à la dernière goutte de foutre. J’écarte les cuisses et me frotte le clitoris tout en branlant la bite poilue de cet inconnu. C’est glauque mais ça me fait mouiller. Je sens que ce mec ne me fera rien de mal, il a l’air trop bête, mais sa bite est appétissante. Je la goûte du bout des lèvres.

Des salopes aux gros seins en manque de queue, ça existe !!

Une odeur de queue pas très bien lavée se dégage de son gland, mais ça va pour un chauffeur qui se douche tous les quatre matins, j’ai connu pire. Je commence à lui lécher la hampe, en insistant bien sur ses boules qui se contractent sous ma langue douce et tiède. Ma salive lui recouvre entièrement le fourreau, c’est à cet instant que je décide de me la caler bien entière dans la bouche. Je la pompe comme une vraie sucette, ne lui laissant aucun temps de repos pour tenter de reculer son éjaculation. Durant de longues minutes, j’alterne mon jeu de langue entre ses couilles et son gland violacé. Je le sens d’un coup se crisper, je sais qu’il ne va pas tarder à cracher.  Vite, hors de ma bouche, je dirige son missile vers mes nichons, et je commence à le branler le plus fort que je puisse.

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Après quelques mouvements de masturbation, il pousse un cri digne d’une bête sauvage, et se décharge complètement sur ma poitrine. J’ai les miches pleines du foutre d’un inconnu, et je ne peux m’empêcher d’en prendre une goutte du bout du doigt pour la porter à ma bouche. Mince, je suis en retard maintenant!

Ma couze me capte en train de me branler

Il m’est arrivé un truc de fou la dernière fois que je dois vous raconter. Il n’y a qu’ici que je peux me livrer, c’est tellement chaud et interdit que je ne peux pas parler de ça avec mes potes ou quelqu’un de ma famille. J’ai fait des cochonneries avec ma propre cousine. Oui, vous avez bien lu, ma couze ! Je vous jure, je ne suis pas un mytho !

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En fait, je regarde beaucoup de porno comme tous les mecs de 18 ans. J’ai vu la scène d’un gars qui comme moi bande pour sa cousine. Bien entendu, il finit par se la taper. Je sais que c’est du fake, mais ça m’a donné des idées. Ma couz est grave bonne, blonde, fine, petit cul, gros nichons, tatouée et sapée comme une salope avec des leggings qui lui rentre dans la fente. L’autre jour, je lui demande si elle peut me déposer chez un pote. Je n’ai pas le permis, et il arrive qu’elle me rende service vu qu’elle habite à 5 minutes de chez moi. Elle me récupère donc chez moi et nous prenons la route. En chemin, alors qu’elle est concentrée sur la route, je sors mon téléphone pour filmer mon exploit. Je déballe ma queue et commence à me branler sur elle, juste à côté sur le siège passager. Je ne sais pas à quoi j’ai pensé en espérant qu’elle ne me capte pas, mais au bout de deux minutes, elle tourne forcément la tête et me grille en live avec la teube en main. Je débande sur le coup et deviens aussi rouge que mon gland ! Je vois alors qu’elle ne prend plus la route convenue, mais m’emmène sans dire un mot dans un petit chemin forestier puis se gare. Elle me regarde. J’ai toujours la queue en main.

Elle m’ordonne de continuer à me branler, et me dit qu’elle sait très bien que je fantasme sur elle. Je ne comprends pas trop ce qu’il m’arrive, mais j’exécute les ordres de ma tendre cousine et me branle le nœud de ma main forte. Elle me regarde tout en se léchant les babines puis sort ses nichons et se les pressent l’un contre l’autre. En voyant les seins de ma cousine, la fille de mon oncle, un afflux violent de sang se pointe dans ma hampe pour me filer une érection encore plus intense. Je n’y crois toujours pas. Elle baisse son legging et tire son string sur le côté. Je découvre sa petite chatte toute rasée. Je n’en peux plus et me jette dessus. Je lui bouffe complètement le minou. Ma langue la pénètre, j’adore son petit goût musqué.

Je me branle et doigte ma couze !

Je me branle toujours en même temps et j’en profite pour lui glisser un doigt dans le cul. Je l’enfonce jusqu’au bout. Son fion est chaud et serré. Je sens les muscles qui se resserrent dessus à mesure que j’intensifie mes va-et-vient. Je lui baise complètement le cul avec mon doigt. Je lui demande alors si je peux la baiser, car je n’en peux vraiment plus. « Non, tu ne me niqueras pas aujourd’hui cousin, je veux que tu te finisses juste sur mes fesses! ». La salope… J’ai trop les nerfs, mais je ne vais pas la violer non plus. Elle se met à genoux sur le siège conducteur, les jambes collées l’une à l’autre, puis se tourne et me présente son derrière lisse et bombé. J’ai les crises de ne pas pouvoir y foutre mon chibre, mais que voulez-vous, elle fait exprès, c’est sa manière de me punir. Je prends ma queue à angle droit et me branle avec frénésie sur ce magnifique boule tendu. Ça ne dure pas deux minutes que je gicle comme un porc et recouvre les grosses fesses de ma couze. Elle m’a promis de ne rien dire si je faisais de même. J’ai hâte qu’elle me dépanne à nouveau…

Des inconnus se branlent sur moi…

Mon mari est vraiment un sale petit pervers. Thomas et moi sommes mariés depuis bientôt 15 ans. Notre vie sexuelle était devenue lassante, mais mon homme a commencé à m’initier à l’exhibition. J’aimais de plus en plus montrer mes seins et ma chatte poilue dans des lieux publics devant des inconnus pendant que mon chéri se branlait la tige dans le pantalon.

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Nous rentrions ensuite à la maison pour baiser toute la nuit comme deux animaux en chaleur. Ce petit jeu me plaisait bien, mais Thomas voulait que j’en fasse encore plus. Un soir, après le travail, il me demande d’enfiler une tenue de petite salope pour sortir boire un verre. Je m’exécute aussitôt et nous prenons la route en voiture. Je me rends bien compte que nous ne nous dirigeons pas vers le centre-ville. Nous prenons l’autoroute pendant plusieurs kilomètres. Je lui demande ce qu’il se passe, et en guise de réponse, il fourre sa main entre mes cuisses et commence à me baiser avec ses gros doigts d’ouvrier. Le stress disparaît lorsque je sens la main de mon homme me fouiller la vulve de cette façon, comme si je n’étais que son objet.

Je mouillais assez fort lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour camion. Il gare la voiture dans un coin du parking, et avant même que le moteur ne soit coupé, quatre ou cinq bonhommes surgissent de derrière les buissons. Je prends un peu peur, mais Thomas me rassure en me doigtant avec encore plus de fermeté. Ma fente mature dégouline et je tâche le siège passager.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais ces inconnus ont tous la queue en main. Ils sont venus là pour se branler sur moi, et je crois que je vais recevoir une sacrée dose de sperme. Mon mari ouvre les fenêtres en grand et m’ordonne de lui pomper le dard. Je me jette sur sa saucisse et commence à le piper comme je sais si bien le faire.

Des inconnus se branlent sur moi !

J’essaie de gober son machin jusqu’au fond mais j’ai des hauts le coeur. Les inconnus pervers sont là, tout autour, et je peux les entendre se branler avec frénésie, comme des bêtes. Je ne sais pas ce qu’ils me feraient si mon mari n’était pas présent… Cette idée que tous ces chauffeurs en manque me violent et abusent de mes trous me donne une soudaine envie de monter sur la queue de mon homme. Je m’assois donc sur lui et m’enfile sur sa tige jusqu’aux fondations. J’adore toujours autant les premiers allers-retours, lorsque ma vulve est encore légèrement serrée. Mais ça ne dure pas très longtemps, car Thomas est un vrai bourrin, et il me détruit rapidement la chatte avec ses puissants coups de bite. Je suis là, sur ce parking glauque. Il fait nuit noire, et je suis en train de me faire bombarder la foufoune par mon homme sur la banquette arrière alors que des inconnus totalement dingues et flippants se branlent la nouille sur moi. Je devrais avoir peur, mais je suis tellement salope que je me sens comme un poisson dans l’eau. Plusieurs mecs se mettent à me jouir dessus, surtout sur les fesses, et mon mari ne tarde pas lui aussi à me remplir le sexe de sa semence crémeuse. Je me lance et décide de finir les trois derniers à la bouche, comme une vulgaire pute de quartier. Une fois satisfait, tout ce petit monde disparaît dans la pénombre. Je ne sais pas ce que mon homme me réserve pour la prochaine sortie, mais ça risque de mal tourner…

Ma voisine est une femme fontaine

Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.

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J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.


Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.

Ma voisine ? Une femme fontaine !!

Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!

Première double péné dans un train

Tous les matins à 5 heures, Hélène fait sa toilette, s’habille et courre prendre le train pour quelques deux heures de route. C’est son boulot qui le lui impose, il se trouve à des kilomètres de son appartement alors, il faut faire avec.
La belle brunette est âgée de 31 ans, elle a des formes pulpeuses, un style assez négligé mais sexy. Ses cheveux aux vents et ses yeux bleus lui confèrent un certains charme mais cependant, elle n’a toujours pas de mec pour satisfaire sa forte libido. N’ayant jamais le temps de se taper une petite branlette matinale chez elle, elle préfère le faire dans le train.

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C’est devenu une bien fâcheuse habitude et, elle savait qu’un jour, elle payerait chère pour ce rituel.
Un mardi matin alors qu’il y a juste quelques passagers dans le train qu’elle a emprunté, le jour n’étant pas encore totalement levé, Hélène va quitter sa place pour un moment et se planquer dans les toilettes pour se palucher comme à son habitude.

Ce matin là, alors qu’elle était assise sur le siège du WC à se toucher les parties intimes, deux mecs passaient par là et on entendu ses gémissements qu’elle étouffait pourtant.
Ils se sont invités et, heureusement pour eux qu’elle avait oublié de fermer la porte des toilettes à clé.
Cloitrée dans son box, à moitié nue, elle entend les pas des deux queutards qui vont ouvrir la seconde porte des Wcs et y entrer brusquement.

Elle est prise sur le fait accompli, telle une voleuse. D’un air coupable, Hélène jette un regard au premier, puis, se lève pour se rhabiller.
Ce dernier s’oppose en l’empêchant de remonter son string. Pendant ce temps, l’autre coquin introduit ses mains sous son t-shirt leger pour peloter ses nichons.
Au lieu de se défendre, la jolie brunette se laisse faire, elle pense plutôt aux trois mois qu’elle a passé sans se faire ramoner la chatte.

Il vaut mieux prendre son pied avec ces lascars en se laissant faire, au lieu de rendre la chose déplaisante en se défendant.
Le premier, un jeune blond qui mesure environ 1m90, avec des biceps de soldat, sort son phallus de sa braguette et demande autoritairement à Hélène de le bouffer.

S’apprêtant à se mettre à genoux pour s’exécuter, elle aperçoit le second, un peu plus petit mais plus mignon, qui sort aussi sa bistouquette pour demander une branlette. Elle s’est crue dans un film de cul mais, au fond, elle en avait toujours rêvé.

C’est parti pour une double péné…

La façon dont les vicieux la traitaient la rendaient encore moins réticente. Ils étaient courtois et sympas, lui faisient quelques blagues coquines pendant qu’elles s’occupaient de leurs saucisses.

Le premier lui suggèra d’essayer de bouffer les deux pénis en même temps. Il demanda si bien qu’elle s’amusait au final. Quelle cochonne ! Bien que les queues soient trop grosses, elle parvint tout de même, après quelques tentatives échouées.
Place maintenant au moment tant attendu : la pénétration.

Le premier : tu préfères qu’on te prenne en double pénétration ?
Hélène : Oui, s’il vous plaît !
Le second : Bah, comme c’est si bien demandée, on va bien te chauffer en double, mademoiselle !

Ils étaient assez costauds pour la soulever alors, ils ne s’en privèrent pas. Le premier la prit par devant et le second choisit la tendresse de ses fesses. Oui une double péné. Elle déteste la sodomie alors, ils se concentrèrent uniquement sur sa chatte.
Après une dizaine de minutes d’étreintes, mademoiselle eu droit à sa seconde douche matinale : deux couilles bien pleines qui se vidèrent sur son visage et sur ses beaux tétons, rien de plus génial.
Le trio se sépara sur les lieux du crime et, la salope courra honteusement s’asseoir à sa place, toute satisfaite et prête à affronter la journée après une bonne double péné…

Amoureuse de mon gode réaliste

Oui, je l’avoue, je fais partie de ces femmes totalement accroc à leurs godes, à leurs sextoys. Mais qu’on se rassure : j’ai, par ailleurs, une vie sexuelle tout à fait équilibrée, avec un petit copain régulier et quelques amants de passage. A vrai dire, j’avais toujours trouvé cette passion de certaines filles pour les jouets coquins parfaitement ridicule.

Non mais franchement : quel genre de femmes mouille pour un canard ou pour un petit vibro tout rose et tout mimi ? Pas moi, en tout cas. Et puis, un soir de beuveries entre copines, nous nous sommes décidées à rentrer dans un sexshop. Pas un lieu mal famé, un truc un peu hype, où on trouve des femmes seules, des couples… mais nous avions la sensation de nous encanailler comme des dingues.

Là, je suis tombé nez-à-nez avec lui, au rayons godes. Je vais l’appeler Johnny, rapport à un acteur américain que vous reconnaîtrez et qui m’a toujours fait fantasmer. Lui, et son gland énorme, lui et ses belles veines bien dessinées… Lui, le pénis parfait. Je ne savais même pas que ça existait. Une vendeuse, voyant mon désarroi m’a tout expliqué, très simplement et très gentiment : « c’est ce qu’on appelle un gode réaliste, il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs, si vous voyez ce que je veux dire… ».

Je voyais bien, oui, mais je pris mon air le plus sceptique, tout en reluquant du coin de l’œil la bite parfaite en PVC. C’est là que je l’ai remarquée : au pied de Johnny, si j’ose dire, le fabricant avait ajouté une ventouse, qui me donna tout à coup un maximum d’idées toutes plus salaces les unes que les autres. Mes copines m’ont extirpée du sexshop, pour aller boire un coup, et j’ai laissé mon Johnny tout seul, avec sa trique.

Mais dès le lendemain, je suis allée sur un sexstore en ligne. Et j’ai acheté Johnny. Je lui devais bien ça : j’avais rêvé de sa fantastique bite toute la nuit, et j’avais déjà pris un pied monstrueux à l’imaginer en moi.

48 heures. J’ai du attendre 48 heures avant qu’on ne vienne me livrer Johnny. Une longue absence que j’ai ressentie au creux de mes cuisses et que j’ai compensé avec un premier amant le premier soir, avec mon petit ami la seconde nuit. Sans grands résultats. Mon amant est donc arrivé un soir, par livreur. Trempée jusqu’aux cuisses, j’ai ouvert compulsivement le paquet.

Il était là, mon gode… Gros, épais, long et bien veiné, il n’y avait plus qu’à. Je me suis retrouvée nue au milieu de mon appartement en moins d’une minute. Mince ! J’avais oublié de commander le lubrifiant ! J’ai passé une main sur ma chatte… pas besoin de lubrifiant.

Je me suis allongée sur mon canapé et j’ai commencé à jouer avec mon clitoris, tout en admirant la forme parfaite de mon nouveau gode. Rien que cette caresse et cette vue ont suffit à me faire jouir une première fois. C’était déjà une de plus que mes deux nuits précédentes.

Un gros gode très réaliste !

Et là, j’ai saisi Johnny et je l’ai invité à me baiser. J’ai introduit chaque centimètre de mon gode en moi, pour bien sentir ses belles veines qui me caressaient les grandes lèvres, les petites, et l’intérieur du vagin. Le monstre s’est finalement logé contre mon col, et je l’ai retiré.

Pour mieux pouvoir me l’enfoncer d’un coup, presque jusqu’à la garde. Je me baisais moi-même et pourtant, je gueulais comme si un mec en rut était en train de me laminer la moule ! Quelle incroyable sensation ! C’était vraiment autre chose que les petits canards vibrants et autres joyeusetés du genre.

J’ai passé la nuit à me défoncer avec mon beau Johnny. Et même aujourd’hui, alors que je dispose d’une collection assez extravagante de godes réalistes, des moyens, des gros et des énormes, des noirs, des blancs et des asiatiques, Johnny reste le préféré de mes godes.

Le plus souvent, je le colle par sa ventouse à la grande vitre de mon armoire et il me baise en levrette, là, à même le sol. Maintenant, j’arrive à prendre ses 22 centimètres jusqu’au fond, c’est ça me défonce toujours autant.

Côté mec, je recherche désespérément un gars avec une aussi belle bite que Johnny. Il pourra être moche, obèse, vieux, je m’en fous. Je veux une vraie bite qui soit à la hauteur de celle de Johnny : belle, bien dessinée, épaisse et longue et surtout toujours disposée à me niquer, quand j’en ai envie, c’est-à-dire souvent.

S’il se trouve quelqu’un qui lit ces lignes et qui se reconnaît dans le portrait de cette bite magique, sachez que j’ai 31 ans, que je suis plutôt jolie, assez bien gaulée et que je suis devenue en quelques années une vraie bête de sexe, grâce à Johnny !

Mon patron est un gros cochon

Mon patron est un salaud, un cochon de la pire espèce. Je m’en doutais depuis un bon moment et j’avais été prévenue par plusieurs de mes collègues, mais là, j’en suis certaine. Et l’aventure qui m’est arrivée avec lui il y a quelques jours n’est pas pour rien dans mes certitudes !

Au départ quand j’ai été engagée dans cette société de ventes par correspondance, en tant qu’assistance, j’ai cru que la réputation du bonhomme était plus liée à une attitude générale qu’à de réelles pratiques. Ce n’est qu’à la fin de ma période d’essai que j’ai compris ce qu’il en était.

Je vous présente d’abord le personnage. Richard, c’est son prénom, est un petit bonhomme à la quarantaine bedonnante. Moche, pour ne pas dire pire, il transpire constamment. Au moindre effort, sans doute en raison de sa masse adipeuse, il sue comme un bœuf. Vous voyez un peu le tableau, un gros cochon…

Ajoutez à cela qu’il reluque toutes les femmes avec un air libidineux, la plaisanterie graveleuse au bord des lèvres, vous comprendrez qu’il n’a rien, mais alors rien du tout d’un Don Juan. Pire ! Ce gros porc a sur son bureau toute une collection d’articles qui nous sont revenus, tous dans le genre porno. Le pire d’entre eux est un énorme fleshlight que tout le monde le soupçonne d’utiliser régulièrement, là, sur son lieu de travail.

Il y a quelques jours, donc, j’ai été convoquée dans le bureau de Richard. Ma période d’essai prenait fin, et je craignais pour mon job. Je m’étais habillée un peu sexy, ce matin là, histoire de mettre toutes les chances de mon côté.

J’arrive donc dans le bureau du boss. Il est en sueur. Il touche du bout du doigt son sextoy. J’ai un haut le cœur en le voyant faire et en imaginant sa bite dedans, et tout ce qu’il a pu y laisser. Berk ! Richard me salue rapidement, le nez dans ce qui doit être mes fiches d’évaluation. Je sais qu’elles sont bonnes, c’est ma tutrice d’entreprise qui me l’a dit.

« Voilà qui n’est pas exceptionnel, mademoiselle, vos évaluations sont mitigées » affirme t-il pourtant. Je suis estomaquée de son culot. Mais il continue : « à ce stade, je ne sais pas si je peux vous garder avec nous ». Il agite ses doigts sur le fleshlight. C’est écœurant.

Je ne sais pas quoi lui répondre. Il ne se décourage pas pour autant. Je le vois pianoter sur son ordinateur. Tout à coup, des bruits de baise en surgissent. Il est en train de regarder un porno, là, devant moi, ce salopard ! Richard saisit son fleshlight et le laisse disparaître sous son bureau.

Il me fixe droit dans les yeux et, l’air de rien, commence à se branler devant moi. Je n’en reviens pas. Je suis dégoûtée, mais, en même temps, j’admire son cran. « Peut-être pourriez-vous me prouver que vous pouvez vous rendre vraiment utile ici ? ». Il me met au défi.

Non seulement j’ai vraiment besoin de ce taf, mais en plus je dois dire que la situation me met dans un état assez particulier. Je m’approche de lui, fais le tour du bureau et arrive à portée de ses grosses paluches. Il passe sa main moite sous ma jupe et saisis mes fesses. Il se masturbe toujours. Je me laisse faire.

Sa main vient vers ma chatte. Elle doit déjà être un peu humide, elle aussi. Mais cela ne l’intéresse pas plus que cela. « C’est bien, maintenant, mets-toi à genoux, ma petite » me dit le cochon. Je m’exécute. J’ai le nez quasiment collé à son masturbateur. Il en sort sa pine.

Un énorme gland, une hampe large, très droite, asse courte mais épaisse, se dressent devant moi. Sans hésiter, je l’entoure de mes lèvres et lui, vicieux, m’enfonce sa queue jusqu’au fond de la gorge. Il sent bien meilleur que ce que j’aurais pensé. Et me voici en train de creuser les joues et de jouer de la langue autour de cette bite à l’odeur de vanille. J’aime plutôt ça. Il a glissé ses mains sous mon haut, dans mon soutif, et me pelote les seins pendant que je le pompe.

Je pompe la queue de ce gros cochon

Au bout de longues minutes à me limer la bouche en me pinçant les tétons, Richard se met à grogner. Il décharge au fond de ma gorge, en m’ordonnant de tout avaler. Je me réajuste un peu puis je prends la direction de la sortie, en m’entendant dire que, bien entendu, mon contrat d’embauche sera validé par ses soins.

Étrangement, je ne me sens même pas mal d’avoir accepté cette pipe en échange d’un job. Au contraire, je suis même un peu excitée. Que les petits patrons qui lisent mes lignes ne se sentent pas encouragés à agir ainsi, mais je crois que, même si mes jours dans la boite sont désormais assurés pour un bout de temps, je retournerai bientôt sucer la bite épaisse du patron.

Les pieds de la japonaise

Avant toute chose – et avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée tout récemment – je tiens à dire que je n’ai jamais trompé ma femme. Pour dire vrai, je lui ai même tout raconté de cet épisode étrange de ma vie et je dois dire qu’elle a eu bien du mal à me croire. Pour finir, elle m’a dit qu’elle ne voyait pas comment un homme hétéro normalement constitué, surtout un peu fétichiste des pieds comme je le suis moi-même, aurait pu résister.

L’histoire se déroule donc il y a quelques semaines. Il faut vous dire que je suis consultant en entreprise. Au gré des demandes de séminaires, je suis donc appelé à travers toute la France, la Belgique et la Suisse, et je voyage en train : c’est plus reposant et ça limite l’empreinte carbone. Cette fois, je partais pour le sud de la France.

A mon départ, le train était presque vide. J’ai donc pu m’installer tranquillement dans une de ces places où quatre sièges se font face. Je me suis placé dans le sens de la marche, côté fenêtre. J’adore voir notre beau pays défiler sous mes yeux. Las ! A la gare suivante, une nuée de touristes japonais s’est emparée du wagon. N’allez pas voir dans mes propos quoi que ce soit de raciste, mais ils faisaient, tous ensemble, l’effet d’une nuée d’oiseaux.

Se sont installées à mes côtés quatre gamines nipponnes. Quand je dis  » gamines « , elles devaient avoir la vingtaine. Toutes très jolies, du genre qu’on voit dans les films X japonais, vous voyez ? Bref. Finie ma belle tranquillité. On s’échange quelques sourires polis, elles ne semblent pas parler un traître mot de français, d’allemand ou d’anglais. Le voyage va être long, je m’assoupis.


C’est une étrange sensation qui me réveille. Quelque chose semble être posé sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux et j’aperçois les jambes nues de la jolie japonaise placée en face de moi qui s’étendent jusqu’à mon siège. Je ne suis pas repéré, je vais en profiter pour voir ce qu’elle fait exactement. Oui, elle me masse la bite au travers du pantalon.

Je fais mine de me réveiller. Elle retire à toute vitesse sa jambe. Je me redresse et je vois que ses pieds sont nus. Deux petits petons magnifiques, très sensuels. Les trois filles s’échangent des sourires rieurs, puis se mettent à rire ostensiblement. La japonaise devant moi est le centre des attentions. Elle a fait ça aux vues et aux sus de ses compagnes de voyage !

J’arrive à attraper son regard. Je veux lui faire sentir que je sais ce qu’elle a fait pendant mon sommeil. Je crois que le message est passé, elle se met à rougir. Un silence relatif s’installe autour de nous. Les nanas semblent gênées. Je repars dans la contemplation du paysage qui défile.

Cinq minutes passent. Les japonaises ont repris une conversation fiévreuse. De temps à autre, mon regard repart vers les pieds, toujours nu, de ma voisine d’en face. C’est vrai qu’ils sont beaux. On a envie de les caresser. On traverse une ville, je cherche des yeux ses monuments les plus célèbres.

Le pied de la japonaise

Le pied de la japonaise me tire de ma rêverie. Un air de défi dans le regard, elle me fixe de ses yeux noirs. Ses copines assistent à la scène, comme pétrifiées. De ses orteils, elle tente de me branler à travers le tissu du pantalon. Je décide de changer d’attitude : je prends son pied, dans l’idée de le repousser vigoureusement.

Mais je suis surpris par la douceur de sa peau et, au lieu de me rebeller, me voici en train de caresser son superbe peton. Les autres japonaises s’envoient des sourires complices. Je me décide à la laisser faire. Avec une habileté incroyable, elle entreprend de baisser ma braguette en attrapant la tirette avec deux orteils ! Elle y parvient sans difficulté. Son pied est maintenant en contact presque direct avec mon sexe.

Je saisis ma veste pour la placer sur mes genoux car, ne l’oublions pas, nous sommes dans un train bondé. Incroyable ! La fille arrive à sortir ma queue tendue de sa cachette, à glisser son autre pied sous ma veste et commence à me branler magnifiquement. Ma voisine de gauche, elle, se penche de plus en plus vers moi. Tant qu’elle finit par se coller à moi. Je sens sa poitrine menue sur mon épaule.

Et l’autre qui me masturbe avec ses pieds. C’est trop ! Je pose la main sur le sein de ma voisine, qui me caresse maintenant les cheveux. Mes jambes se tendent. Mon souffle est court. La branleuse a accéléré le mouvement. Je jouis en serrant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir.

La jeune japonaise retire ses pieds. Ils sont plein de sperme. Elle s’essuie avec une lingette, puis, dans un sourire, m’en tend une autre. Je fais de mon mieux, sous ma veste, pour me laver le sexe. Le train ralentit. Nouvelle gare. L’équipe de touristes japonais est arrivée à destination.

Je me masturbe devant un inconnu

Par Agnès, 29 ans.

Je venais tout juste de recevoir un nouveau vibromasseur, commandé en ligne, avec lequel je comptais bien m’amuser : plusieurs vitesses, de petits picots sur la verge pour plus de sensations et un second appendice pour jouer avec mon clito pendant la pénétration. Un grand moment en perspective !

J’adore l’instant où je me fais livrer, le plus souvent par un grand black plutôt mignon, que j’imagine très bien membré. Il me tend le paquet – un nouveau par mois, à peu près – avec un grand sourire et me demande de signer sur sa tablette de livraison. S’il savait ce qu’il y a dans le colis…. j’en mouille de joie !

Et, comme très souvent quand je me fais livrer un nouveau sextoy, je le déballe précipitamment et je m’installe devant mon ordi. Et oui, j’aime m’exhiber, et le test d’un nouveau godemichet est, le plus souvent, ponctué par une petite séance de cam to cam avec un inconnu. Je vais sur mon tchat préféré, je cherche un mec qui m’excite et je branche ma webcam pur faire une petite démo de mon nouveau jouet.

L’heureux vainqueur du jour s’appelle François, il a 25 ans, et est étudiant dans ma ville. C’est une grande ville, peu de risques que ça me pose des problèmes par la suite. C’est un beau mec, plutôt du genre minet et il se paluche déjà pour moi. Il a une belle bite, bien droite et j’imagine que c’est lui qui me pénètre quand j’introduis finalement le vibromasseur en moi.

Je suis en nuisette, sans culotte, les cuisses bien écartées en face de mon écran d’ordinateur. Les vibrations de l’engin me procurent des sensations incroyables, d’autant que j’ai une belle vue sur un joli gars, plus jeune que moi, qui se branle en rythme avec moi. Je caresse mes seins, qui dépassent maintenant du haut de la nuisette, ce qui a pour effet de le rendre fou.

Il me dit des mots d’amour, m’encourage à enfoncer plus avant le vibro, et se paluche de plus belle. Il est aussi excité que moi, et moi, ça me fait mouiller. J’augmente la vitesse des vibrations et je sens que je vais bientôt partir. Une, deux, trois, ça monte. Quatre, cinq, six, je fais tout pour me retenir, que l’orgasme soit le plus fort possible. Sept, huit, neuf, c’est parti.

J’espère qu’il n’a pas mis le son de son PC trop fort, parce que je hurle littéralement sous l’effet de la jouissance. Lui, il n’en rate pas une miette. Je ferme les yeux, profitant au maximum de cet orgasme salvateur. Quand j’ouvre à nouveau les paupières, il est toujours là, le sourire aux lèvres et la gaule à la main.

Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de faire, en fait, exactement ce qu’il veut. « Vas-y François, traite-moi comme une salope, s’il te plaît ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà qui me soumet à tous ses délires, à toutes ses envies, et moi j’obéis, trop chaude pour lui refuser quoi que ce soit.

Ma collection de jouets érotiques y passe presque toute entière, jusqu’à ce que je me retrouve, moi qui n’aime pas le sexe anal, avec un énorme godemichet noir planté entre les fesses, face à lui. Cette fois, il jouit, il me dit qu’il crache son foutre dans mon petit trou, et ça me fait partir moi aussi.

Je suis un peu honteuse quand je me retourne. François a effectivement giclé, il en a un peu partout sur lui. Il me dit bonsoir et raccroche la communication. Je me sens un peu gênée, mais, après tout, je ne risque pas grand chose. Un gars que je ne verrai sans doute jamais me prend pour une salope. Ou plutôt, il sait quelle chienne je peux être quand je ne me contrôle plus.

Je pars prendre une douche, puis je remballe mes petites affaires. Une bonne nuit de sommeil par là-dessus, et demain, boulot… Mais attendez, sa tête ne m’est pas totalement inconnue. C’est vrai que beaucoup de gars lui ressemblent plus ou moins. Mais quand même…

Je retourne sur le site, je retrouve sa fiche. Il faut que je vois sa photo, pour en avoir le cœur net. Pas de doute, je le connais, je le croise dans la rue… ou ailleurs. Oh putain ! C’est mon voisin de palier ! Comment ais-je fait pour ne pas le reconnaître ? Quelle conne ! La honte !

Le lendemain, je me reconnecte au site, pour lui parler. Lui dire de se taire, de ne surtout pas raconter ce qu’on a fait ensemble à tout le monde. Il est là, toujours la bite à la main. Il me dit « déshabille-toi, maintenant, tu veux être ma petite salope, tu vas l’être ».

Et moi, je m’exécute. Je sais qu’il n’est qu’à quelques mètres de moi, de l’autre côté du mur. Et j’ai réellement envie de faire tout ce qu’il voudra.

Dans le lit de mon cousin…

Par Chloé, 22 ans

Je vous écris par ce que je ne suis pas sûre que ce que je fais en ce moment sois  » normal « . A vrai dire, je me suis renseignée, ça n’a rien d’illégal, mais, si ce n’était pas si bon, je trouverais notre liaison complètement glauque. En fait, depuis quelques temps, je couche avec mon cousin. De fait, il n’y a pas de liens de sang, puisqu’il a été adopté par mon oncle et ma tante, mais tout de même, il reste mon cousin.

Je dis  » depuis quelques temps  » s’agissant de notre liaison, mais il faut bien avouer qu’elle a démarré après presque vingt ans de préliminaires, pour ainsi dire. Vous savez comment sont les enfants ? On joue au docteur, on apprend à se connaître et à connaître son corps. Sauf que, pour nous, ces petits jeux ne se sont jamais arrêtés.

Nous avons le même âge. Enfin, il n’a qu’un an et demi de plus que moi. Après les tripatouillages de gamins, nous avons poursuivi pendant l’adolescence : dès que nos parents avaient le dos tourné, on se pelotait, on se faisait des petits bisous, plus ou moins innocents. Mais là, à vingt ans passés, ça devrait s’arrêter, non ?

Il faut dire que je cherche les ennuis. Je suis étudiante à Lyon, lui à Paris. Et je ne trouve rien de mieux à faire que d’aller passer un week-end toute seule dans la capitale. Et de lui demander s’il peut m’héberger pendant mon séjour !

Ça n’a pas fait long feu. Après une demi-heure de tête à tête, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, nos habits ont volé aux quatre coins de la pièce et je me suis retrouvée en train de me faire faire un cunnilingus par mon propre cousin ! Le truc de dingue, comme il m’a bien bouffé la chatte. Il faut dire qu’il la connaît bien, des années qu’il la tripote par ci par là.

En plus, notre complicité très ancienne fait qu’il ose tout. Ce jour-là, il m’a fourré ses doigts dans le minou jusqu’à la garde pour aller caresser mon col de l’utérus. Je ne savais même pas que ça se faisait et j’ai pris un pied monstrueux.

Alors, quand il a déballé sa queue, un engin long, épais, bien droit et bien raide, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais, au lieu de ça, je me suis placée à quatre pattes devant lui en levrette. Il m’a niquée comme personne, jamais, ne m’avait niquée. Il enfonçait son pieu bien au fond, ne bougeait plus pendant un instant, puis me balançait des coups de rein violents et secs à m’en faire péter les cordes vocales !

C’est bien simple, je n’ai rien vu de Paris, ce week-end là. Nous n’avons fait que baiser et baiser encore, sans pouvoir nous arrêter. J’ai du monter un bateau à mes parents qui voulaient savoir quels musées j’avais visités.

Baisée à fond par mon cousin

Demain, je repars pour Paris, pour un stage en entreprise, cette fois. Et devinez qui m’héberge ? Je suis déjà là, à moitié en train de me masturber en pensant à sa peau, à sa bouche et surtout à sa bite phénoménale. Comment vais-je faire pour lui résister, il me rend carrément folle de cul ?

Avec lui, pour lui, je serais prête à faire n’importe quelle cochonnerie. Et, en plus, il ne manque pas d’idées à ce sujet, ce vicieux. Il m’a promis de m’emmener dans un sexshop de Pigalle et de me troncher dans une des cabines.

Il faut dire que je me suis montrée comme une vraie chienne, pendant qu’il me défonçait en levrette. A chaque coup de queue, j’en demandais encore. Et il m’a dit que si je voulais qu’il me nique, il fallait que j’accepte une claque sur les fesses. Bilan : j’ai fini le week-end avec le cul tout rouge, et j’y ai pris plaisir !

Oui, je sais, il m’exploite, et c’est ça que j’aime. J’ai l’impression qu’il connaît mieux mes fantasmes que moi. En tout cas, mes penchants de soumise. Je vais arriver demain, il va m’embrasser, et il m’aura à son entière disposition. S’il veut m’enculer, je lui donnerai mon cul, s’il veut m’offrir à ses potes, il fera ce qu’il voudra, pourvu qu’il me baise comme la dernière fois.

Aidez-moi, s’il vous plaît, à trouver les moyens de me libérer de son emprise. Car le pire, dans tout ça, c’est que je crois que je suis en train de tomber amoureuse de mon cousin.