La belle bite de mon gendre

Je suis une femme de 56 ans divorcée depuis longtemps. J’ai une fille unique, en couple avec mon gendre, un jeune homme très attirant. Je lorgne sur lui depuis des mois sans oser faire le premier pas, sans doute retenue par la morale. Mais un jour, je lui ai demandé de passer à la maison pour m’aider à déplacer un meuble. J’ai décidé de tenter le coup et de me lâcher. Il sonna à la porte. J’étais stressée mais je suis allée lui ouvrir en tenue légère.

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Nous étions enfin seuls tous les deux, sans ma fille. Je me trouvais en face de lui. J’ai commencé à le fixer en glissant mon doigt dans l’ouverture de mon peignoir, pour finir par l’ouvrir complètement. Il n’en revenait pas que la mère de sa femme s’offre à lui de la sorte. J’avais honte de faire ça à ma progéniture, mais j’en avais si envie que je ne pouvais pas me retenir. « Dis moi que je te fais bander, s’il te plaît ».

Un gros engin rien que pour moi !

Il ne dit pas un mot et se rapprocha de moi pour me rouler une grosse pelle. Il plongea sa langue au fond de ma bouche et je fis de même. J’ai tout de suite senti sa grosse queue durcir contre moi. j’ai posé ma main dessus pour la masser. Je n’avais pas tâté un tel engin depuis des lustres. J’ai ouvert la braguette pour en déloger le monstre que j’ai tout de suite commencé à branler avec engouement.

Sa hampe pleine de veine était si épaisse que j’avais du mal à en faire le tour avec mes petits doigts. Je continuais de rouler des pelles à mon beau-fils lorsqu’il a enfin décidé de me démonter. Il m’a posé sur la table comme une vulgaire chose, de telle manière que ma raie complète et mes orifices se trouvaient à sa merci. Il a tout de choisi entre mon cul et ma chatte, car j’ai senti son gros gland se frayer un chemin dans mon derrière. Comme un soldat plantant un drapeau sur une motte de terre, il enfourna son glaive dans ma grotte jusqu’au fondement et commença à me labourer l’arrière-train avec force et vigueur.

Enculée par la bite de mon gendre !

Il me tenait par le coup, fermement, mais son étreinte me permettait encore de respirer convenablement. Je retenais mes cris. La bite de mon gendre dans mon fion était si bonne, l’interdit me rend folle. Il m’encula ainsi sans fioriture, alternant les périodes douces et les moments de bourrinage intensif. Je n’en pouvais plus. je l’ai supplié d’en finir. J’avais joui plusieurs fois déjà, et je n’attendais qu’une chose, qu’il se vide en moi, qu’il répande son sperme dans le petit cul mature et timide de sa belle maman. Il le fit, avec force et volume. Mon rectum était plein du foutre de mon gendre. Il se retira et des paquets de sa semence coulèrent le long de mes cuisses pour se répandre sur le sol. Voilà, c’était fait, je venais de me faire enculer par mon beau-fils. Je venais de tromper ma propre fille. Quelle honte, mais quel bonheur en même temps…

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Une pute indienne m’offre son cul

Je ne suis pas fier de vous avouer ça, mais je vais souvent aux putes. Je suis pourtant marié, ma femme est bien et tout, mais bon, je suis faible. Lorsque je sors du boulot tard le soir, je passe par le quartier des prostitués. C’est sur mon chemin, et à force de voir tous ces petits culs se dandiner, je n’ai pas pu m’empêcher de m’arrêter un soir. Je suis devenu complètement addict. J’y vais régulièrement, au moins une fois par semaine. Ça me coûte assez cher, mais je m’en fiche, je suis cadre et je gagne très bien ma vie. J’ai toujours l’habitude de me faire une petite Roumaine, ou encore une Polonaise. Les filles de l’Est sont vraiment des grosses chiennes.

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Elles sucent divinement bien et savent vous faire juter comme il faut. Mais la semaine dernière, alors que je tournais pour chercher une pute qui me convienne, je me suis rendu compte que les habituées n’étaient pas là. Soit elles avaient déjà des clients, ou alors elles étaient en congé. Bref, je prends le chemin pour rentrer lorsque je tombe sur le dernier arrêt de bus. Je ralentis et je vois une fille aux cheveux noirs, longs, un peu ondulés, le regard sombre et la peau très foncée. Je n’ai jamais vu ce type de gonzesse ici, et je suis étonné. Je décide donc de la prendre. Elle monte dans la voiture, et une odeur de curry s’installe progressivement.

Superbe indienne bien bandante

La belle m’indique être d’origine indienne. Elle porte une sorte de gomette entre les deux yeux. Je trouve ça mignon, elle commence à m’exciter. Je me gare dans un coin sombre et je sors ma queue. je veux juste me faire sucer pour commencer, mais sans capote. Elle accepte et commence son travail. Elle bosse bien la pute indienne! Je bande en moins d’une minute. Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

 

Sa bouche est chaude et j’ai le gland qui picote un peu, certainement à cause de son dernier repas aux épices d’Asie qui lui colle encore aux chicots. C’est pas désagréable, bien au contraire. Je ferme les yeux et me fais pomper par cette belle hindoue. Elle monte et descend sur ma tige en me baisant littéralement avec son museau. Je lui prends les cheveux et imprime le mouvement avec elle pour accentuer la chose. Elle arrive à enfourner mon sexe bien au fond de la gorge sans manifester le moindre signe de nausée. J’apprécie vraiment ce travail de pro. Je me suis fait pomper des centaines de fois par des jolies filles, et il m’en faut plus pour me vider les couilles. Je lui demande si elle accepte de se faire péter le fion. Elle est d’accord. Je lui file 50 balles et elle vient se visser le trou du cul sur ma queue, face à moi.

Je prends le cul de cette pute indienne

J’adore cette position, mais je dois un peu reculer le siège passager pour pouvoir en apprécier toute la dimension. Son cul est assez serré pour celui d’une pute. Elle ne doit pas souvent accepter la sodomie. Par contre, j’ai dû enfiler une capote, et j’ai beaucoup moins de sensation. Mais je prends tout de même du plaisir à ramoner ce petit cul d’Indienne. Je lui ordonne de monter et descendre plus fort et plus vite. Je l’aide en la tenant par les hanches. Je donne également du rythme en levant mon bassin à chaque fois que la belle descend, ce qui a pour effet de faire claquer mes couilles sur ses fesses noires. Je sens que ça vient. Putain, je remplie la capote à ras-bord. C’était un peu chero, mais ça valait le coup pour me taper ma première Indienne!

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Une Africaine me vide les couilles.

Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

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J’accepte donc de le suivre, car j’ai super envie de niquer en ce moment. Ma meuf a ses règles, et elle refuse tout contact. Je ne tiens pas plus de deux jours sans baiser… On se rend donc dans cette boîte spécialisée, et il faut bien le dire, je suis quasiment le seul blanc de la salle. Autant dire que sur la piste de danse, je me fais vite alpaguer par deux ou trois Africaines. J’en choisi une et je la prends par la main. Je l’emmène dans les chiottes. J’ai envie de niquer là, tout de suite. Je sens déjà ma queue se durcir. Il y a un peu plus de lumière dans les toilettes et je me rends compte que cette black est loin d’être dégueulasse. Elle a un corps magnifique, une grosse bouche et des yeux de chipie. Elle se met à genoux toute seule, comme une grande, sans que je n’ai rien à demander.

Sa peau est d’un noir profond, c’est assez excitant de se taper une Africaine, une vraie, et pas une métisse comme d’habitude.
Elle me prend la queue dans sa bouche, et je la vois complètement disparaître derrière ses grosses lèvres pleines de rouge à lèvres. Je ne pensais pas qu’une blackette pouvait sucer aussi bien. A vrai dire, pour être franc avec vous, c’est la meilleure fellation de ma vie. Je vous conseille vraiment de vous taper une noire. Bref, cette black me suce comme une déesse dans les chiottes tamisées d’une boîte de nuit. Nous nous cachons à peine, la porte est entrouverte, et des fêtard passent par-là et nous voient. Certains mecs me lancent même des encouragements, car apparemment, c’est un peu la pute de la boîte. Il paraît qu’elle adore se la prendre dans le cul, alors je lui demande de se lever et de me présenter sa rondelle.

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C’est moi qui me mets à genoux et je commence à lui lustrer le trou de balle avec la langue. Y a pas à dire, une black, ça sent fort du cul. Mais c’est trop bon de pouvoir lui lécher la raie. Son cul est vraiment tout noir, c’est impressionnant. Il n’y a qu’au goût que je peux localiser son petit trou. Cette odeur de cul finit de me faire bander, je me lève et décide de lui enfoncer mon dard au plus profond de sa boîte à caca. Je n’ai malheureusement pas bu assez de verres pour tenir assez longtemps, et l’étroitesse de son cul a raison de mon endurance. Au bout de quelques coups de bite dans ses fesses noires d’Africaine, je commence à gicler. Elle pousse un petit cri « Non pas dans le cul », et je sors vite pour me finir sur ses fesses sombres et dodues. Je me souviendrai longtemps de cette sortie nocturne, et je remercie encore mon pote de m’avoir fait découvrir les charmes de l’Afrique!

Intello sodomisée au musée…

Je ne pensais pas pouvoir un jour raconter un truc du genre. Et pourtant, ça m’est bien arrivée, à moi, la grosse intello de service. Je me vois comme intelligente, mais je pense que j’ai mon charme. Je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, autant dire que mon expérience sexuelle est très basique, et que je n’ai jamais rien fait dans un lieu autre que mon lit.

> Tu veux te faire une intello ? <

Je suis une femme de 31 ans tout à fait classique qui adore passer son temps dans les expositions d’art. J’adore la peinture, la sculpture et tout ce qui touche aux arts de la Renaissance. Une intello on va dire ! Il y avait une exposition ce jour-là dans un musée pas très loin de mon travail. En sortant du bureau, je me suis rendue sur les lieux. J’ai pas mal tourné pour trouver une place de parking, puis je me suis garée, j’ai remis un peu de rouge à lèvres, et je me suis dirigée vers l’entrée. Un gardien type agent de sécurité black et bien musclé était posté là. Il fouillait les sacs des visiteurs, vigipirate oblige. En croisant son regard, j’ai tout de suite senti un frisson me remonter le long des cuisses et des petits papillons dans le bas-ventre. Je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, je fantasmais sur les blacks depuis pas mal de temps, mais une fille dans mon genre n’ose jamais faire le premier pas, encore moins dans un lieu public et avec un agent de sécurité en poste. J’ai lâché un petit sourire niais en lui présentant mon sac à main. Il n’a bien entendu rien trouvé de suspect, et je suis rentrée. C’est à ce moment que j’ai cru sentir une main épaisse me frôler les fesses. Je n’avais pas rêvé, le vigile venait de me toucher le cul. Quel pervers.
Il devait avoir une sacrée queue, aussi imposante que sa musculature, eh oui tout de suite, le fantasme et les stéréotypes ! Je me plaisais à m’imaginer des ébats avec lui tout en flânant dans les galeries pour observer les tableaux. Ma fesse était encore chaude tellement cette main m’avait serré le cul. Je sentais bien que ça me faisait mouiller. A force de penser à ça et d’essayer de cacher mon excitation, je me suis complètement égarée dans les nombreux couloirs du musée. J’étais maintenant dans une section du bâtiment assez sombre, loin de l’exposition ouverte aux visiteurs. Je commençais à flipper, car j’étais vraiment perdu, quand tout à coup, je me suis retrouvée plaquée contre le mur par une force puissante.

Intello enculée au musée !

Mon coeur a démarré à fond à cause de la peur, mais en tournant légèrement la tête, je me suis rendue compte que c’était le vigile qui m’avait tout simplement suivi et qui allait maintenant faire de moi sa petite chose. Personne ne pouvait nous surprendre dans cet endroit reculé. C’était une sorte d’agression sexuelle, car il ne m’a rien demandé, mais j’ai décidé de me laisser totalement faire, parce que c’est ce dont j’avais envie tout au fond de moi: me faire bourriner par un black à grosse bite. Il a vite fait de me baisser le pantalon et le tanga pour que je me retrouve cul nu contre ce mur. J’ai senti un gros machin se faufiler dans ma raie. Ça devait être son gourdin. Il était chaud et large. Il n’a même pas pris le temps de me chauffer un peu qu’il enfonça sa torpille dans mon fondement. Ouch! Quel enfoiré, il est là à m’enculer contre un mur comme si je n’étais qu’une petite pute. Il commence des va-et-vient longs et puissants. Il m’encule comme un sagouin et moi je prends mon pied. Je sens ses lourdes burnes pleines de sperme me claquer sur les fesses à chaque coup de reins. Mais j’ai le fion si serré que le grand black forceur ne peut pas tenir très longtemps avant de cracher sa semence. Je sens rapidement mon trou du cul se remplir de jus chaud et collant. Il sort son sexe de mes entrailles et disparaît aussitôt, me laissant là, le cul plein de foutre et le froc baissé jusqu’aux chevilles.
Quel goujat !

Mon oncle m’a enculé et j’ai kiffé !

Je m’appelle Laura, j’ai 21 ans mon corps c’est mon plus grand problème car il est tellement beau. Je fais 1, 75 m sur 65 kilos ; il faudrait voir mon derrière, ma poitrine avec des seins en forme d’essaims. Je suis en un mot un pêché ambulant, une femme sexuellement admissible, une croque moi. Et je savais que je faisais effet à mon oncle policier Raymond qui est le cousin consanguin de ma mère. Quel bel homme ! Surtout en le voyant en uniforme. Un jour, pendant l’été, j’étais seule à la maison, ma mère rentrait toujours tard, j’entendis la sonnette. Je savais que c’était Oncle Raymond, j’ouvris la pour le laisser rentrer.

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– Ça va Laura ?
– Oui ça va, tu me permets de prendre une douche.
– Oui vas-y
Il s’installa. J’avais une idée en tête, c’était de me faire baiser, je le rejoignis au salon en sous vêtement.
– Eh ! Laura tu vas devoir aller te rhabiller.
– Pourquoi le ferai-je, il fait chaud ?

Un silence total envahit la pièce de séjour, et je le regardais fixement, je marchais droit vers la porte pour la verrouiller.

– Qu’est ce qui ne va pas Laura ?
– Je veux que tu me baises répondis-je en m’approchant de lui.
– Non Laura ! Je ne peux pas le faire. Rhabilles toi de suite.
– Si tu ne me baises pas alors tu vas devoir considérer cela comme une tentative de viol, je vais crier.

Il resta immobile, j’ouvris son pantalon, sortis une belle bite au repos, que j’engloutis dans ma bouche chaude. Peu à Peu, elle commençait à durcir, prenant sa forme érectile, elle devint dure comme une barre de fer, je le déshabillais.

– Ici c’est moi qui commande lui dis-je !

Je commençais à sucer ses seins, je remarquais qu’il se laissait maintenant aller, promenant ma bouche partout sur lui, mes mains de même. Brusquement, il me souleva et me fit allonger sur le canapé, déchira mon string. Et entama un vrai rituel de caresses, mes orteils étaient dans sa bouche, il les suçait avec tendresse, j’étais aux anges, il poursuivit le long de mes cuisses avec des câlins, jusqu’à ce qu’il écarta mes pieds pour me faire le plus beau des cunnilingus, ma chatte mouillée n’attendait que sa bite raide.

Enculée par mon oncle

Il la fit entrer en moi, sa réception fut sans problème, il prit un rythme très doux, soudainement, il devint méchant, comme les vagues de la mer, il partait, revenait en moi avec une force majestueuse. Le plaisir atteignit son paroxysme, je le serrais fort au point de griffer son dos, parce que là mon orgasme était d’une force incroyable. Il se retira, sortit ses menottes, retourna mes mains, les mis sur elles. Il m’enculât avec violence, je criais dans tous les sens, j’avais mal, c’était le prix à payer.
Il me baisa avec une violence intrépide, mon petit trou n’en pouvait plus, il devenait de plus en plus humide, de la tête au pied, je sentais une décharge électrique. Je me sentais plusieurs en moi-même, il continuait à chevaucher mon anus, qui finit par se dilater encore plus. Je gémissais, je le suppliais, il était décidé à m’achever, il tapait sur mes fesses, il mordillait mes oreilles, mes épaules. Le désir s’attisait jusqu’à ce que je jouissais d’une façon tellement intense que je tremblais de plaisir. Oncle Raymond prenait son pied, l’anus doit être son truc, il me baisa encore et encore jusqu’à ce qu’il jouit en moi, il me serra tellement fort, prit une minute de silence avant de se retirer tout fatigué. Waouh ! C’était tellement beau, que je recommencerai.

Baise insolite dans une voiture

Un soir après le travail, mon collègue Christian prit la résolution de m’accompagner chez moi. Il me proposa d’abord de boire un verre, ce qui ne me déplu point. Nous trouvions alors un petit cabaret pour assaisonner un peu la discussion afin de mieux connaitre nos aspirations communes, car depuis un certain moment il ne cessait de me faire des avances au bureau et je jouais un peu vieux jeu.

Un plan cul avec une bonne baiseuse ?

Il faut dire que Christian c’est 1,95 mètres, un homme assez athlétique, brun avec des cheveux noirs et des merveilleux yeux verts, la trentaine à peine. Moi de taille moyenne, à mes 24 ans, mince et raffinée, Celui-ci paraissait géant face à moi. Le bistrot était un endroit très calme pour une conversation assez détendue, il commandât un verre de jack sans glaçons et moi un verre de scotch Ecossais Jura. Nous entamâmes une conversation pour mettre les choses au clair entre nous, car la discrétion oblige dans le milieu professionnel. Après une longue conversation, l’alcool prenait un peu le dessus sur moi. Je me sentais déjà excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui loin du monde.
Il ne cessait de me regarder droit dans les yeux tout en caressant ma main, je sentis un fort courant m’envahir avec une seule idée : n’être qu’avec lui. Comme il se faisait tard, je lui demandais de me raccompagner. Ce qui fut fait, nous embarquâmes dans sa voiture, puis chemin faisant, advint une crevaison sur une voie quasi déserte à 50 kilomètres de chez moi.

La voiture garée près des bois et non loin de la chaussée, je sentis qu’une chose allait se passer d’aussitôt. Seule dans un coin insolite avec Christian c’était pour la première fois, la pression en moi ne faisait que s’accroître, puis il commença par m’embrasser dans sa voiture doucettement, je n’avais qu’une jupette avec un string sous moi un bustier qui ressortait mes seins en essaim.  » Il me dit c’est parfait, c’est une chance pour nous Anna de nous retrouver seuls ici loin des gens tant mieux en profiter « 
Je restais béate, puis il accentua ses caresses en suçant le lobe de mes oreilles, mon cou, mes seins, je mouillais déjà comme une jeune fille inexpérimentée. Il me demanda d’aller sur la banquette arrière en arrachant mon string, je subissais une vraie humiliation, car je découvrais à présent que Christian est macho. Après un cunnilingus bien appliqué, il descendit son jean pour laisser apparaître sa longue queue raide, il m’intima l’ordre de la sucer, et je lui administrais une pipe bien faite pour humecter sa bite afin de faciliter sa pénétration, puis par un mouvement brutal , il enfouit sa bite en moi, et commença par me chevaucher.

Baise dans la voiture, j’adore !

Il partait, revenait en moi avec des mouvements rapides et très rythmiques, j’avais l’impression que mon minou allait exploser, je jouissais comme une fontaine, sa bite me mettait en feu, mes seins se durcissaient de plus bel et mon clitoris était proche de l’explosion, je le serrais, je criais de joie, et lui sans pitié ne faisait que me baiser avec brutalité comme s’il voulait perforer mes entrailles comme un bon foreur. Sa chaleur avec toutes ses caresses qui gouvernaient mon désir, s’accentuaient avec encore plus de précisions, il ressortait sa bite de ma chatte toute trempée en me disant :  » Retournes toi me dit-il avec autorité, je vais te prendre par le derrière. « 
Sans contester, je fis ce qu’il me dit, je me retournais. D’un coup, je sentis des claques sur mes fesses, ce qui m’excitait encore plus, je me sentais comme électrocutée de plaisir, il introduisit un doigt dans mon anus et le retira en suçant avec gourmandise mon petit trou. Je suis en levrette le feu encre mon minou et mon anus, sans m’aviser il me pénétra avec force, entre douleur et plaisir, mon excitation prit un second tournant dans son intensité. Il m’enserra avec une expertise hors de commun en me baisant comme une vraie salope, ce qui me donna un orgasme tellement fort que j’étais sur le point de m’évanouir, avant de le sentir jouir en moi. Je fus comblée et toute inondée de plaisir, tout de moi tremblait pour cette prestation hors pair. Nous nous rhabillâmes, et commencèrent à changer la roue qui fit défaut. Ce fut une nuit mémorable et depuis Christian et moi baisons toujours avec beaucoup plus d’intensité chaque jour que nous pouvons le faire. Il est devenu pour moi pire qu’une drogue, le seul qui sait combler mes désirs sexuels.

Via rencontrer de bonnes baiseuses

La vengeance de ma femme

J’ai trompé ma femme, pour la première fois en plus. On était à une soirée entre potes, et une meuf est venue me draguer. Elle n’était pas spécialement belle, en tout cas loin du niveau de ma femme, mais je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai cédé à sa demande de la ramener chez elle. Puis je suis monté. Je n’aurai jamais dû, car ce qui devait arriver arriva, nous avons niqué comme des bêtes. Je l’ai revue au moins pendant quatre mois, à raison d’une fois par semaine. Mais je n’ai pas fait assez gaffe, et un soir, ma chérie a décidé de fouiller mon téléphone.

> Plan sexe avec une bonne chaudasse <

Elle est tout de suite tombée sur un sms cochon de la part de l’autre salope. Nous avons beaucoup discuté, et elle a décidé de me pardonner. J’ai vraiment eu de la chance. Enfin, c’est ce que je pensais, car tout ceci n’était qu’une grosse mascarade. En effet, ma petite femme adorée était beaucoup plus maligne que je ne le pensais. Mais je ne le savais pas encore, et je faisais tout pour la reconquérir. Je pensais que ça marchait bien, car elle paraissait si heureuse des attentions que je lui apportais tous les jours. Des fleurs, des restaurants, des bijoux, des robes… J’étais presque ruiné, mais au moins j’avais récupéré ma petite chérie que j’aimais tant. Sauf qu’un soir, alors que je rentrais du travail comme d’hab, Nathalie n’était pas à la maison.
Il y avait un mot sur la table: « Je ne suis pas là ce soir, monte dans la chambre, il y a une surprise pour toi sur le lit ». Interloqué mais pas trop inquiet, je monte donc dans la chambre pour voir ce qui m’attend. Je rentre dans la pièce, et rien de particulier ne me saute aux yeux. Sur le lit a-t-elle dit? Ah oui, effectivement, il y a une cassette posée sur la couette. Sur le flanc, il y a une étiquette « pour mon chéri ». Je rigole, pensant à un vieux film de vacances et je mets la bande dans la magnéto. Je clique sur play et le film commence. Je peux voir ma femme devant l’objectif, dans une tenue vraiment indécente.

Elle se trémousse devant la cam et s’effeuille progressivement pour finir sur le lit, les cuisses écartées et la chatte bien visible. Je commence à bander doucement, quelle belle salope de me faire une surprise comme ça. Elle aussi commence à se masturber, un doigt, deux doigts puis trois finissent au fond de sa vulve charnue et juteuse. Je sors mon sexe et me branle amplement en fixant l’écran et voyant ma femme se faire du bien sur notre lit conjugal. Mais tout à coup, un mec apparaît à l’écran. Quoi? Mais? Je ne comprends pas, enfin si, je comprends maintenant. C’est sa vengeance pour ma tromperie d’il y a quelques semaines. Le mec en question est un collègue de taf à ma femme que je déteste particulièrement. C’est un arabe de la trentaine qui me soule à chaque repas d’entreprise. Je suis fou en voyant ça car le gars a son chibre dehors, et il possède un étron gros comme un lampadaire. Ma femme se tourne vers l’objectif: « C’est pour toi mon chéri, pour le mal que tu m’as fait, pour m’avoir prise pour une conne, maintenant c’est lui qui va me prendre et bien comme il faut! ». Elle fait ensuite un clin d’oeil puis se tourne vers le service trois pièces de son partenaire pour commencer à lui prodiguer une fellation dantesque.

Sa vengeance ? Se filmer en train de me tromper !

Elle lui tient fermement la hampe puis lui aspire le bout, passant et repassant encore et toujours sa petite langue infidèle tout le long de cette énorme verge, et jusqu’aux couilles. Elle l’avale en entier, et son visage angélique devient rouge sous le manque d’oxygène. Elle se fait ensuite enculer sauvagement puis prendre la chatte dans toutes sortes de poses vraiment osées. Les burnes du rebeu claquent fort sur la raie de ma femme. J’ai les yeux remplis de larmes, et ma queue est devenue toute molle. Le pire, c’est que cette salope prend vraiment son pied et joui plusieurs fois sous les assauts pervers de son collègue de travail. En plus, il n’arrête pas de lui manquer de respect en lui pinçant les nibards, en lui crachant dessus et en lui claquant le cul avec violence. Au lieu de lui intimer d’arrêter, elle lui demande de la sodomiser et de la frapper encore plus fort, puis ce queutard lui recouvre le visage de son sperme gluant. Elle vient ensuite devant la cam avec la tronche pleine de foutre et fait un bisou sur l’objectif. L’enregistrement s’arrête là. Faites attention, les femmes sont d’un machiavélisme implacable…

Séance de dilatation chez mon gynéco

Comme toutes les femmes, je n’aime pas particulièrement aller chez le médecin, et encore moins chez le gynéco. Mais bon, parfois, nous sommes bien obligés de nous y rendre lorsque les conditions l’imposent. J’essaie d’avoir un enfant avec mon chéri depuis plusieurs mois, sans y arriver. Nous avons donc fait des tests pour voir d’où pouvait venir le problème. Il en ressort que mon homme n’est pas en cause, et que ça viendrait plutôt de moi. J’ai donc dû commencer un suivi assez régulier avec mon gynécologue de famille.

> Un plan cul n peu… particulier ? <

Je me suis rendue à son cabinet pour le premier rendez-vous, mais le titulaire était absent, et c’est un jeune remplaçant tout droit sorti de l’école de médecine qui a pris sa place. J’étais un peu dérangée par ce changement soudain, mais le toubib était assez délicat et doux avec moi, je le trouvais même beau gosse. Je n’ai rien dit à mon mari, je ne voulais pas qu’il vienne avec moi aux rendez-vous. Au fur et à mesure, nous avons commencé à discuter ensemble, au début de médecin à patiente, puis comme deux amis. C’était étrange de parler de choses intimes avec un inconnu, pendant que lui était en train de me fouiller la chatte avec toutes sortes d’ustensiles. Il m’enfonçait des trucs toujours plus gros, et je commençais à me demander si tout ça était normal. Assurément non, un gynéco n’est pas censé me mettre un truc gros comme une aubergine dans l’anus. Je n’osais pas lui demander ce qu’il faisait, et j’encaissais sans rien dire. Mais à force de me sentir pleine comme ça, j’ai commencé à mouiller, et il l’a remarqué. « Je vois que vous aimez être dilatée Justine, ça tombe bien, j’aime ça aussi, et si vous êtes d’accord, nous pouvons essayer d’aller plus loin ». J’étais choquée mais très curieuse aussi, une sensation vraiment étrange et troublante.

Il me promettait qu’au prochain rendez-vous, nous allions voir jusqu’où je pouvais me faire étendre les orifices. J’étais très excitée par cette perspective, et j’ai demandé à mon mari de me baiser longuement, surtout de m’enculer. J’aime sentir un truc dans mes fesses, et j’avais hâte que le gynéco explore encore plus ma grotte privée. Comme convenu, je me suis pointée à son cabinet, et l’auscultation a démarré comme d’habitude. J’ai enlevé tout le bas et je me suis allongée sur le fauteuil en plaçant mes jambes sur les étriers. Il se posa sur son tabouret et dirigea sa lampe sur ma fente. Je sentais la chaleur du rayon lumineux en plein sur ma vulve. J’avais juste un ticket de métro. Le gynéco enfonça d’abord un spéculum dans mon vagin, mais c’était un modèle pour les sexes bien larges, alors que ma chatoune est toute serrée. Il l’enfonça jusqu’au fond et commença à l’écarter au maximum. Je sentais mes lèvres se tendre comme des élastiques. Elles étaient prêtes à rompre sous l’écartement extrême de l’outil en métal, mais je serrais les dents.

Dilatée par mon gynéco

En même temps qu’il s’occupait de m’étendre le sexe à fond, il m’enfonça un doigt dans le cul avec son gant en latex. C’est la première fois qu’il entrait directement en moi sans utiliser un outil, et la sensation de l’avoir enfin dans mon cul me fit mouiller abondement. Je sentais le jus couler le long de mon abricot. Mes babines luisaient sous sa lampe. Je sentais son doigt dans mon troufion, je le fixais dans les yeux, et il continuait de me masturber l’anneau, sortant et rentrant son doigt, tournant dans mon rectum comme un pervers. Il ouvrit ensuite un tiroir et sorti des trucs que je n’avais jamais vus. C’était des godes énormes qu’il devait garder pour ses patientes les plus dociles. Il en prit un, le plus gros, et me le ficha dans le bénitier, puis saisi un autre, de même taille, pour le visser dans mon fiacre. Ils étaient si larges qu’ils se pressaient l’un contre l’autre à travers la paroi séparant ma brèche et mon arrière-boutique. Il aurait pu les laisser comme ça, c’était déjà suffisant pour me contenter, mais il commença à me niquer les charnières avec les deux poteaux. Malgré la douleur de la dilatation extrême, j’ai fini par jouir. Je dois le revoir la semaine prochaine…

Le mec de ma copine…

Je n’avais pas autre choix que de le faire… Je vous explique : Thomas. 26 ans, beau gosse est le mec de ma meilleure copine. J’en avais un peu marre qu’elle me parle toujours des exploits sexuels de son mec, limite je n’y croyais pas, le style : étalon, bien monté, endurant, imaginatif, tactile etc. Il fallait tenter le coup, pour vivre cela. Un soir sachant qu’il est concierge pour un ensemble d’immeuble près de Bagnolet, il travaillait de nuit ce jour-là. Je rentrais dans l’immeuble et je tombais pile sur lui. Le bol.

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– Bonsoir Thomas dis-je, je passais dans le coin et j’ai voulu te faire un coucou.

– Bonsoir Anna, quelle surprise agréable ! Je ne pensais pas te voir seule ce soir.
Il me parlait avec une décontraction un peu déconcertante, l’immeuble était calme et nous étions aux alentours de 23 h.
– Tout le monde est rentré. Veux-tu une bière pour te désaltérer ?
– Oui dis-je !
Causant au tour d’un pot, c’était le début de l’hiver et je suis assez frileuse, il me fallait une seconde chaleur en dehors du chauffage qui alimentait l’immeuble. La discussion prit une autre tournure, car nous étions seuls et tout le monde était déjà rentré. Thomas a un point faible c’est le sexe, je lui dis assez directement ce que je pensais au fond de moi.


– Thomas, je me sentais seule et je ne savais pas où aller, alors pour ce soir c’est toi mon plan sexe, s’il te plait ne me dis pas non.
– Je m’y attendais dit-il, bienvenue dans mon royaume je vais te servir.

Baisée par le mec de ma copine !

Il me prit brusquement, m’entraina sur les marches de l’escalier et m’intima l’ordre en me disant : assoies toi là. J’exécutais, il me déshabilla vite fait comme s’il voulait gagner le temps.
Et fit de même, nous étions là nu sans caresse, ni préliminaires, il écarta mes jambes en cherchant un passage forcé dans ma chatte, il l’introduisit, en fauchant la barrière de sa résistance. J’avais de la peine à contenir sa bite qui rabotait mes entrailles avec une force exquise pour m’entraîner dans le plaisir que voulait m’offrir ce macho de Thomas. Peu à Peu, le plaisir s’installait, une pression cérébrale tourbillonnait en moi des questions sans réponses.
Nus dans escalier ! Et s’il y avait quelqu’un qui descendait ? Puis l’idée devient plus claire. Un filet de cyprine féroce sortait de ma chatte qui devenait tellement trempée. Il le remarqua.
– Hein salope t’es toute mouillée là, maintenant tu vas voir ce que suis capable de faire aux petites allumeuses de ton genre. Retourne-toi, je vais t’enculer sale chienne.

Il passe au petit trou…

Du maitre à l’esclave son ordre me soumit à sa volonté, je me retournais, là il ouvrit mes fesses en tapotant d’abord les deux côtés, soudain je sentis sa langue explorer tous les contours de mon anus, ses doigts dans ma chatte, ce mec savait ce qu’il faisait. Je miaulais de plaisir, j’étais aux anges sur ces marches, d’un coup un peu habile, il me pénétra par mon petit trou, qu’il mit à feu avec ses va et vient torrides, je n’en pouvais plus, je devenais sa chienne, j’avais le plaisir nécessaire entre vanille et hardcore, j’étais sa chose à cet instant-là. Un second orgasme amplifia mon plaisir, et nous jouîmes au même moment. Il retira sa quéquette de mon anus en tapotant encore plus fort sur mes fesses.
– Salope, ma petite salope Anna j’aimerai qu’on le refasse d’une façon mieux arrangée, mais t’a mérité ce que tu voulais petite perverse.
Je souris, et me rhabillais avec joie comme si je venais de gagner un trophée. C’était sensationnel.

Campeuse démontée par un pote

Sarah est allé camper avec un couple de potes au fin fond de la forêt. Elle-même est pour l’instant célibataire, mais pas question de rester à la maison pour le weekend, et autant profiter du soleil et du camping. Ses amis Léo et Sandra aiment sortir dans la nature boire des bières et manger des saucisses au coin du feu, et lorsqu’ils proposent à Sarah de les accompagner, elle accepte tout de suite. Ils arrivent sur un coin bien tranquille, à l’écart de la route et à l’abri des regards indiscrets. Il fait bientôt nuit et ils montent les tentes. C’est alors que Sandra s’aperçoit avoir oublié les bières.

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Elle laisse donc son mec et sa meilleure amie seuls pendant qu’elle retourne en ville pour chercher de quoi picoler un peu. Sarah se change dans la tente et Léo en profite pour jeter un coup d’oeil à travers la fermeture éclair. Il découvre le cul de sa pote en string et il ne peut pas s’empêcher de sortir discrètement sa verge et de se masturber. Sarah se sent observée et se retourne d’un coup, surprenant ainsi le mec de sa copine en train de se branler le poireau sur elle. La jeune campeuse est un peu gênée vis-à-vis de son amie, il s’agit tout de même de son mec.

Mais l’envie de sucer une queue est trop forte, et Sarah indique au voyeur opportuniste de venir la rejoindre dans la tente.
Elle passe sa langue sur ses lèvres en guise de lubrifiant puis enfourne la grosse tige veineuse de Léo jusqu’au fond de la gorge. Léo lui prend les cheveux et lui baise littéralement la tête comme un forcené. Sarah devient rouge comme une tomate et ses yeux se remplissent de larmes. Les veines de son cou ressortent sur le côté et on voit bien qu’elle est au bord de l’asphyxie, pourtant le connard continue de lui bourrer le fond de la bouche. Il met des grands coups de reins dans sa gorge et lui fait un vrai curage des amygdales. Sarah commence à regretter d’avoir invité le mec de sa copine dans sa tente pour jouer au docteur.

démontage en règle pour la campeuse !

Mais c’est trop tard, Léo est en pleine érection, et il n’est pas question pour lui de s’arrêter à cette simple pipe, aussi violente soit-elle. La salope tend donc sa croupe bien en l’air pour faire un bon doggystyle. Léo s’embroche comme un repris de justice dans cette moule si tendre et juteuse. Sur chaque coup de burin, les grosses burnes du mec viennent percuter le clito de la belle Sarah qui commence enfin à prendre son pied. Il ne faut pas traîner, car Sandra ne va pas tarder à revenir avec les bières. Le type s’empresse d’enculer Sarah un petit peu puis il finit de se vider les couilles dans la bouche de la belle. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Il faut maintenant aérer la tente, car ça sent drôlement le cul là-dedans!