Elle trompe son mec sauvagement à Ibiza

L’été, Gérard, Julien et Cédric, trois marseillais, ont décidé d’aller jeter leur gourme à Ibiza. Ils ont tous 20 ans, ils sont insouciants et, ils ont fait de grosses économies toute l’année pour que ces moments soient inoubliables. Il est temps de casser la tirelire pour s’amuser à fond.

Nos trois mousquetaires on rempli leurs valises de vêtements légers, des maillots de bain aussi sexy les uns que les autres. Ils ont l’intention de draguer sur les plages ou dans des boites de nuit, de picoler et fourrer comme des malades.

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De l’autre côté, au sud de Lyon, un groupe de jeunes demoiselles préparent le voyage pour la même destination. Elles sont quatre et parmi elles, Pernelle, 22 ans, une sainte ni touche amoureuse de son petit ami dont elle a promis fidélité quelles que soit les circonstances. Elle file le parfait amour avec ce mécanicien de 24 ans qui a juré sur tout ce qu’il a de plus cher d’être l’époux le plus attentionné et le plus aimant au monde. D’ailleurs, avant de voyager, les deux tourtereaux ont passé une semaine dans l’appartement du mec, pour s’amouracher et resserer leurs liens. Philippe ( le mécano ) a d’ailleurs offert une chaînette à Pernelle qui n’a pas le droit de l’enlever durant tout son voyage.

Trois jours après que les mecs soient arrivés, voilà le vol des nanas qui se pose sur le sol d’Ibiza. Direction l’hôtel pour un petit moment de repos. Elles sont toutes chaudes, ont fait quelques emplettes pour l’occasion.

Partageant une même chambre, Pernelle, Emilie et Rose sont toutes belles, bien foutues et elles aiment s’amuser. Une seule pourra faire tâche, c’est Pernelle qui a promis ne pas faire de bêtise. Elle est juste là pour danser, se pavaner sur les belles plages et prendre des photos.

Le soir de leur arrivée, elles vont prendre la direction d’un quartier se trouvant tout juste à côté, où l’on retrouve plusieurs boites.

Elles choisissent d’en visiter la moitié et, c’est une ambiance de folie qu’elles trouvent dans chacun des clubs où elles mettent les pieds. Alcool, musique, Emilie et Rose n’hésitent pas à flirter avec le premier mec qu’elles croisent sur leur chemin. Pendant ce temps, Pernelle prend soin de ne pas abuser de l’alcool pour garder la tête sur les épaules. Comme des félines affamées, nos lyonnaises s’amusent à la folie.

Il fait 6 heures du matin, le soleil se lève et les coquines décident de rentrer. Une première soirée pas très prolifique pour Emilie et Rose qui cherchaient une partie de jambes en l’air.

En dormant jusqu’à 3 heures de l’après-midi, les coquines se réveillent et, elles ont du peps. Place à de nouvelles aventures ! Elles prennent un bain, leurs maillots super sexy et quelques provisions puis, direction les jolies plages.

Le soleil est au zénith, il y a un monde fou et, les trois amies décident de ne pas se séparer. Elles parcourent les lieux quand elles tombent sur des transats libres. Youpi ! Elles peuvent enfin profiter du beau temps, sortir la liqueur et quelques verres pour trinquer.

Ca va baiser sévère !!

Alors que tout le monde parlait espagnol ou anglais, elles entendent des mecs sympas et charmants s’exprimant en français, ils passent dans le coin. C’est l’occasion d’échanger avec le sexe opposé alors, Emilie, la plus chaude, prend son courage et les interpelle. C’est Gérard, Julien et Cédric.

Toute chaude, Emilie leur fait signe et propose un verre avant de rouler une pelle à chacun. Elle annonce les couleurs et, les zigotos n’ont pas l’air de déprécier !

Trois mecs pour trois nanas, le compte est bon, à part un hic, Pernelle qui fait sa coincée, elle n’est pas venue pour baiser, juste pour s’amuser ; c’est une fille fidèle. Mais, c’est sans compter sur le charme de Cédric, réputé tombeur de ces dames.

Chacune flirte avec le mec de son choix tandis que Pernelle et Cédric causent naturellement. Ayant compris qu’il était en présence d’une coincée, la stratégie de Cédric fut de de jouer les désintéressés, afin de mieux appâter Pernelle. Il en a déjà baisée pas mal depuis quatre jours mais, une de plus, ça fait toujours du bien.

Les mecs proposent à leurs nouvelles copines d’aller faire plus amplement connaissance dans la chambre. Pernelle hésite mais, après tout, il n’y a rien de mal à causer avec des inconnus super sympatiques.

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Le piège se referme petit à petit. Lorsque les six entrent dans la chambre, l’ambiance se surchauffe. Les deux copines poussent le flirt un peu loin pendant que Pernelle rougit dans son coin. Profitant de la situation, Cédric ne lâche rien, il s’approche et caresse les cheveux, puis les cuisses de Pernelle avant de l’embrasser. Elle ne le repousse pas !

Perdue dans cette ambiance endiablée, elle lâche du lest et, pendant qu’elle galoche avec Cédric, elle jette un coup d’oeil du côté où se trouvent ses amies. Diantre ! Elles sont entrain de sucer ces mecs ! Cette fois, elle ne peut pas reculer et casser l’ambiance. Elle laisse Cédric retirer le haut de son maillot, lui bouffer les nibards et, c’est tellement excitant qu’elle se laisse pénétrer sans résister.

Ça gémit de partout et, c’est loin d’être fini ! Ces coquines décident de se mélanger. Le cul de Pernelle est tellement beau que Gérard décide de rejoindre Cédric pour une double pénétration.

Une aventure qui restera entre les meufs.

Echangisme au club

Je demande à toutes les meufs qui hésitent encore à se lancer dans l’échangisme d’essayer au moins une fois. C’est une expérience indélébile et intense qui procure un plaisir énorme quand on a la chance de tomber sur des partenaires exceptionnels comme Jacques et Mélyane, un couple du sud de Lyon qu’on a eu le bonheur de rencontrer moi et mon mec, Romain dans un club échangiste dont je préfère taire le nom, bon je vais vous le dire, Le Sun Libertin, un vrai paradis sur terre où on se rend au moins une fois par mois avec mon mec.

> Une partenaire pour une partouze ?<

Moi c’est Julia, une brune sexy de 1m74 qui aime bien vivre diverse expériences. Je suis excitée et confuse au moment de vous conter ma première expérience d’échangisme au Le Sun Libertin. C’était un samedi comme les autres, moi et Romain on avait décidé de faire un tour à notre club préféré pour prendre notre pied comme d’habitude. Mais cette fois, quelque chose disait que tout n’allait pas se passer comme avant, qu’on allait aller un peu plus loin qu’avant. D’habitude, on se contente de faire l’amour partout, devant tout le monde et on profite aussi à fond du sauna, du hammam et du jacuzzi dans ce décor Hindou. Mais cette fois-ci, dès le départ, y’avait bien quelques chose dans l’air, une envie de faire bien plus, de pimenté notre partie de jambes en l’air par quelque chose qui nous attirait depuis un bon moment, le sexe à quatre, mais pas seulement, l’échangisme.

Avec Romain, on a déjà fait l’amour à quatre, mais ce n’était pas vraiment de l’échangisme, chaque couple faisait l’amour sans jamais qu’il ait échangisme ou mélangisme. Mais cette fois-ci, dès notre arrivée, on s’est arrangé a se retrouver au bar avec Mélyane et son mari. Après un cours passage dans le jacuzzi pendant lequel on se caressait déjà, on s’est vite retrouvé sur un canapé dans un coin coquin fermé à l’abri des autres voyeurs pour vite passer aux choses sérieuses. On n’avait même pas eu besoin de se dire deux mots pour se décider à s’échanger de partenaire, c’est comme si tout était synchronisé entre nous. Jacques ne me lâchait plus, on aurait dit qu’il me désirait depuis des siècles. Il me doigtait, me broutait la chatte et me suçait les seins au même moment. Il semblait presser, je pouvais même entendre sa respiration tellement qu’il voulait tout faire au même moment. Mais mes yeux étaient braqués sur Romain qui, lui, défonçait déjà Mélyane à quatre pattes, une bonne baise qui me rendit jalouse une fraction de secondes.

Echangisme ? J’adore !

Mais dès que la bite bien dure de Jacques était au fond de ma chatte, ma courte jalousie laissait vite place au plaisir. Ce mec avait un coup de rein incroyable. Il me baisait comme une chienne dans plusieurs positions et le fait que Romain n’arrêtait pas de tourner la tête pour voir ce qui se passait de notre coté m’excitait un peu. Le comble, c’est qu’il avait déjà joui depuis plus 2minutes. Il était devenu donc un voyeur, assis, à voir comment son pote d’un jour me faire hurler de plaisir. Je reconnais que j’en rajoutais un peu pour le provoquer, mais à 99 %, mon plaisir était intense et vrai. Le décor, le déroulement des choses, tout était la pour un plaisir très intense, et je peux vous dire que j’ai adoré. J’en ris encore qu’on je revois Romain ouvrir ses grands yeux quand Jacques a fini par jouir sur mes seins et que j’ai pris son sexe suitant de sperme dans ma bouche, chose que je ne fais jamais avec Romain ! C’était à la fois drôle et beau lol.

Des inconnus se branlent sur moi…

Mon mari est vraiment un sale petit pervers. Thomas et moi sommes mariés depuis bientôt 15 ans. Notre vie sexuelle était devenue lassante, mais mon homme a commencé à m’initier à l’exhibition. J’aimais de plus en plus montrer mes seins et ma chatte poilue dans des lieux publics devant des inconnus pendant que mon chéri se branlait la tige dans le pantalon.

> Une vraie nana pour plans exhibs <

Nous rentrions ensuite à la maison pour baiser toute la nuit comme deux animaux en chaleur. Ce petit jeu me plaisait bien, mais Thomas voulait que j’en fasse encore plus. Un soir, après le travail, il me demande d’enfiler une tenue de petite salope pour sortir boire un verre. Je m’exécute aussitôt et nous prenons la route en voiture. Je me rends bien compte que nous ne nous dirigeons pas vers le centre-ville. Nous prenons l’autoroute pendant plusieurs kilomètres. Je lui demande ce qu’il se passe, et en guise de réponse, il fourre sa main entre mes cuisses et commence à me baiser avec ses gros doigts d’ouvrier. Le stress disparaît lorsque je sens la main de mon homme me fouiller la vulve de cette façon, comme si je n’étais que son objet.

Je mouillais assez fort lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour camion. Il gare la voiture dans un coin du parking, et avant même que le moteur ne soit coupé, quatre ou cinq bonhommes surgissent de derrière les buissons. Je prends un peu peur, mais Thomas me rassure en me doigtant avec encore plus de fermeté. Ma fente mature dégouline et je tâche le siège passager.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais ces inconnus ont tous la queue en main. Ils sont venus là pour se branler sur moi, et je crois que je vais recevoir une sacrée dose de sperme. Mon mari ouvre les fenêtres en grand et m’ordonne de lui pomper le dard. Je me jette sur sa saucisse et commence à le piper comme je sais si bien le faire.

Des inconnus se branlent sur moi !

J’essaie de gober son machin jusqu’au fond mais j’ai des hauts le coeur. Les inconnus pervers sont là, tout autour, et je peux les entendre se branler avec frénésie, comme des bêtes. Je ne sais pas ce qu’ils me feraient si mon mari n’était pas présent… Cette idée que tous ces chauffeurs en manque me violent et abusent de mes trous me donne une soudaine envie de monter sur la queue de mon homme. Je m’assois donc sur lui et m’enfile sur sa tige jusqu’aux fondations. J’adore toujours autant les premiers allers-retours, lorsque ma vulve est encore légèrement serrée. Mais ça ne dure pas très longtemps, car Thomas est un vrai bourrin, et il me détruit rapidement la chatte avec ses puissants coups de bite. Je suis là, sur ce parking glauque. Il fait nuit noire, et je suis en train de me faire bombarder la foufoune par mon homme sur la banquette arrière alors que des inconnus totalement dingues et flippants se branlent la nouille sur moi. Je devrais avoir peur, mais je suis tellement salope que je me sens comme un poisson dans l’eau. Plusieurs mecs se mettent à me jouir dessus, surtout sur les fesses, et mon mari ne tarde pas lui aussi à me remplir le sexe de sa semence crémeuse. Je me lance et décide de finir les trois derniers à la bouche, comme une vulgaire pute de quartier. Une fois satisfait, tout ce petit monde disparaît dans la pénombre. Je ne sais pas ce que mon homme me réserve pour la prochaine sortie, mais ça risque de mal tourner…

Ma première baise dans un club libertin

Mon mari me chauffe depuis des semaines avec son idée de faire de l’échangisme. Je ne suis pas trop pour ce genre de plan, mais à force de me répéter la même chose tous jours, il a réussi à exciter ma curiosité. Ce soir, c’est le grand soir. Il a réservé une table dans un club et me promet une soirée d’enfer. Je sors ma lingerie fine, mes porte-jarretelles, ma robe de soirée et mes talons hauts. Il me complimente sur ma tenue et nous montons en voiture. Sur le chemin, nous faisons une petite pause coquine. J’ai soudainement envie de pomper mon homme pour me déstresser un peu. Il sort son sexe et je me charge rapidement de le purger. J’avale tout et je me remets du rouge à lèvres puis nous reprenons la route.

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Nous sommes enfin au club et je repère tout de suite un grand black. Mon mari me fait signe que c’est ok pour lui. Je n’ose pas faire le premier pas, mais le black voit bien que je le reluque et il débarque à la table. Mon mari quitte la scène et monte à l’étage. Je suis seul avec ce bel étalon, mais je perds un peu mes moyens. Le vicelard a déjà une main sous ma jupe et il passe son gros doigt le long de ma fente. Si ses doigts sont si imposants, son noeud doit être bien pire. Je pose ma main sur son paquet pour en avoir le coeur net, et la bosse est juste impressionnante. Mon mari est un enfant à côté de ce truc. Je passe sous la table et je tente de le sucer, mais j’ai du mal. Je dois presque me déboîter les mâchoires pour avaler l’engin. Je me contente de lui piper le gland, c’est déjà pas mal. Des voyeurs sont déjà autour de la table avec d’autres couples, et tout le monde se masturbe. Je suis l’attraction de la soirée, la petite nouvelle qui va en prendre plein les trous.

Empalé comme une salope…

Je me sens souillée et salope. Le black me dit que mon mari est en train de baiser une jeunette à l’étage. Je lui grimpe alors dessus j’écarte mon string et je m’assois sur sa perche. Il y a au moins dix personnes qui se branlent autour de nous. J’adore ça, je découvre de nouvelles sensations et je mouille grave. Je m’étonne d’arriver à rentrer complètement sa verge dans ma chatte, mais ça glisse bien et je coulisse dessus comme une chienne en chaleur. Je me pose parfois sur ses grosses couilles pour récupérer un peu tout en lui roulant des pelles, puis je le rebaise à nouveau. Je sens des mains d’inconnus se poser sur mon cul, et même des doigts me rentrer dans l’anus. Je suis livrée à tous ses pervers et j’aime être l’objet sexuel d’une foule en manque.

Baise déchainée dans le club libertin

Plusieurs mecs se branlent bien et me gicle sur les fesses. C’est à cet instant que je jouis pour la première fois. On change ensuite de position. Je me mets en levrette contre la table et je suce des mecs dans la pénombre pendant que le black se cale dans ma raie. Il m’encule fort et j’ai un peu mal, mais je m’accroche à la moindre queue qui passe devant ma bouche pour détourner mon attention du lampadaire planté dans mon derrière. La soirée se finit en douche de sperme et je peux mettre ma belle robe à la poubelle! C’est dommage mais ça valait vraiment le coup de vivre cette expérience.

19 ans, suceuse de papis dans un bar tabac

Je suis une jeune fille de 19 ans. J’aime la vie, m’amuser, sortir dans les bars, comme toutes les jeunes filles de mon âge. Je vais souvent dans un petit bar tabac PMU du centre du village. Je ne sais pas pourquoi j’aime me rendre dans cet endroit, mais on rigole bien ? Il y a toujours deux habitués, des vieux de 60 ans, qui me regardent avec un peu trop d’insistance. Je vais au bar comme tous les jours après les cours.

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Il n’y a pas grand monde aujourd’hui, hormis les deux vieux poivrots qui sont en train de siroter un verre de rouge. Ils sont déjà bourrés, et le patron doit quitter les lieux pour chercher une livraison urgente. Il confie les clés à son pote, un des deux bonhommes. Merde, je me retrouve seule avec eux. En même temps, je l’ai bien cherché. Tout de suite, le plus vieux se lève et se dirige vers moi en sortant sa queue. Il a un zizi d’une taille honorable. Il me dit: « maintenant qu’on est seul, tu vas nous sucer et nous vider les couilles petite pute ». Oh, du calme les gars. Ils me regardent méchamment, je ne veux pas de problème, alors je me baisse et j’attrape la pine du gars.

Elle sent fort, mais je dois le sucer, je suis obligée de le faire. Je n’ai que 19 ans, et je suis en train de pomper un vieux gars pendant que son pote nous regarde en se branlant. Je suis tombée bien bas… Sa bite a vraiment un sale goût, j’ai beaucoup du mal à aspirer plus loin que la moitié, mais je fais l’effort d’aller au plus profond de ma gorge.
Je tousse et je me retiens plusieurs fois de gerber. Je décide de prendre ma bouteille de Despé et de la verser sur son gland. Mmmmmmmh, maintenant, c’est bon! Le deuxième bande maintenant et veux aussi que la jeunette lui pompe le bout, ce que je fais tout de suite. Je ne lâche pas la première, je la tiens bien en main, comme le manche d’un avion.

19 ans, et pompeuse de papis !

J’ai les deux vieilles tiges dans mes petites mains, et je les suce à tour de rôle. Les papis m’insultent et me mettent des gifles. Je les regarde avec un air de chienne obéissante. Je sors la langue à fond et je claque les glands dessus, comme dans les films de cul. Je pompe très bien, et le premier ne tient pas le choc et commence à me jouir sur le visage. Il m’en fout partout, même dans les yeux. Son sperme est dégueulasse. Ça me dégoûte d’avoir sa purée de couilles sur ma gueule et dans ma bouche, mais il faut finir le boulot avec le deuxième. Je l’aspire encore plus fort et plus vite. Je ne veux pas trop trainer, je dois faire mes devoirs. Je prends ses vieilles baloches en main et je les presse doucement tout en lui léchant le bout de la queue. Son chibre gonfle d’un coup et il se met à me jouir dessus. Comme son collègue, il me recouvre de liqueur de couilles. Les deux grands-pères sont repus et me demandent de me barrer, ce que je fais aussitôt. Je rentre chez moi et je m’essuie la tronche avant que mon père ne rentre du boulot, je veux rester sa petite princesse de 19 ans, il ne faut pas qu’il me voie comme la pute que je suis réellement…

Vendeuse de soutifs

Dès ma puberté, je me suis passionnée pour le mode et les accessoires féminins. Avec, d’aussi loin que je me souvienne, une prédilection pour la lingerie fine, que j’ai toujours tenue pour le comble de la féminité. Les jolies dentelles, les formes de soutien-gorges, les différentes façons d’échancrer une culotte m’ont toujours fascinée.

C’est donc tout naturellement que, vendeuse, j’ai essayé d’obtenir des places dans des boutiques spécialisées en lingerie affriolante. Aujourd’hui, j’y suis arrivée : je suis assistante de la directrice d’une boutique dans un des plus beaux quartiers de Paris, boutique de ma marque de dessous féminins préférée.

A la recherche d’un plan cul mateur/voyeur ?

Je suis donc la seconde dans le magasin. La seule haut dessus de moi, c’est Nadège, une super bourgeoise de la quarantaine qui en impose. Port de tête haut, visage rayonnant malgré les premières rides qui commencent à apparaître, phrasé clair et charmant, la belle Nadège a également un atout que je lui envie particulièrement : un magnifique 95D de tour de poitrine.

Car oui, c’est bien là mon drame : passionnée que je suis par les soutifs, je ne fais qu’un pauvre 85A, de tout petits nichons qui n’atteignent que difficilement le bonnet B quand je prends un peu de poids. Bien entendu, j’ai accès à tous les soutien-gorges pigeonnants et autres push-up qui me permettent de faire illusion, mais tout de même : je complexe sur ma petite poitrine.

Des complexes, Nadège n’en a aucun : une vie professionnelle au top, une féminité assumée et joyeuse, un mari canon, friqué et cultivé, ma directrice a tout pour elle. Jamais, d’ailleurs je n’ai rêvé de prendre sa place, tant elle assure, professionnellement parlant. Voilà trois ans que je bosse pour elle, jamais je ne l’ai vue faire la moindre erreur.

Moins aussi je suis une bonne professionnelle, je crois. A part un petit vice caché : il m’arrive très souvent de regarder derrière le rideau quand une belle cliente vient essayer nos dessous. N’y voyez pas malice : j’adore voir une belle lingerie sur un beau corps de femme. Mais, c’est ce que je croyais en tout cas il y a encore une semaine, je suis totalement hétéro.

Il y a une semaine, donc, Nadège me convoque dans son bureau. S’y trouve la directrice, donc, et une amie à elle, cliente régulière du magasin. Toutes les deux me font les gros yeux. « Madame Martin est venue se plaindre de vous, ma petite Jeanne, et je lui en sais gré ». Elle laisse passer un temps, pour profiter de ma déconfiture. « Elle vous accuse de reluquer les clientes dans les cabines d’essayage. Cela est parfaitement inacceptable. Vous êtes un excellent élément, alors expliquez-vous ».

Morte de honte, je bredouille. J’essaie d’expliquer que ça n’a rien de libidineux, juste de l’admiration pour les modèles de la marque et pour les femmes mieux roulées que moi. Pascale, la jeune et svelte cliente, en rougit d’aise. Nadège, quant à elle, semble toujours furibarde. « Alors, vous ne pensez pas à mal ? Et si on vous faisait la même chose ? ». Je reste interdite.

Exhibée devant deux belles femmes

Nadège et Pascale me fixent toutes les deux. Puis, un sourire sadique se dessine sur le visage de ma patronne. « Très bien, alors, essayons ! ». Elle se retourne vers son bureau et trouve un ensemble soutien-gorge string, comme par hasard à ma taille. « Et bien, tenez, essayez, ici et maintenant ».

Terrorisée, je m’exécute et me retrouve en petite tenue devant les deux bourgeoises. Je m’apprête à enfiler le string au dessus de ma culotte, comme c’est l’usage. Mais Nadège voit les choses autrement : « enlevez tout, ça sera plus probant » m’ordonne t-elle. Me voici entièrement nue, avec mes petits seins ridicules, devant ces deux belles plantes qui se rincent l’œil d’un air moqueur.

« Vois-tu, Pascale, c’est le nouveau tissu dont je te parlais, hier, au sauna ». Nadège s’approche de moi et effleure de la paume de la main le soutien-gorge que je viens d’enfiler. Pascale l’imite sans aucune gêne, caressant même mon mont de vénus par dessus le string. Je sens leurs mains partout sur moi, sans que, bientôt, il n’y ait plus besoin de l’alibi du « tissu ».

Et voilà qu’elles m’embrassent un peu partout sur le corps, me pelotent et, finalement, me déshabillent à nouveau. Bientôt, nous sommes toutes les trois nues à nous rouler sur la moquette du bureau. Non seulement je me laisse faire, mais je prends un plaisir insoupçonné à faire l’amour à ces deux femmes. J’aime leur odeur, le satiné de leur peau, leurs formes !

Depuis cet épisode, toutes mes idées sur moi-même se sont envolées. Je ne sais plus très bien qui je suis. J’ai juste envie qu’elles recommencent à abuser de moi, la petite employée modèle, toutes les deux, et le plus tôt possible. Et, désormais, je sais que je m’intéresse autant aux dessous féminins qu’à ce qu’ils renferment de trésors de volupté.

Première double péné dans un train

Tous les matins à 5 heures, Hélène fait sa toilette, s’habille et courre prendre le train pour quelques deux heures de route. C’est son boulot qui le lui impose, il se trouve à des kilomètres de son appartement alors, il faut faire avec.
La belle brunette est âgée de 31 ans, elle a des formes pulpeuses, un style assez négligé mais sexy. Ses cheveux aux vents et ses yeux bleus lui confèrent un certains charme mais cependant, elle n’a toujours pas de mec pour satisfaire sa forte libido. N’ayant jamais le temps de se taper une petite branlette matinale chez elle, elle préfère le faire dans le train.

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C’est devenu une bien fâcheuse habitude et, elle savait qu’un jour, elle payerait chère pour ce rituel.
Un mardi matin alors qu’il y a juste quelques passagers dans le train qu’elle a emprunté, le jour n’étant pas encore totalement levé, Hélène va quitter sa place pour un moment et se planquer dans les toilettes pour se palucher comme à son habitude.

Ce matin là, alors qu’elle était assise sur le siège du WC à se toucher les parties intimes, deux mecs passaient par là et on entendu ses gémissements qu’elle étouffait pourtant.
Ils se sont invités et, heureusement pour eux qu’elle avait oublié de fermer la porte des toilettes à clé.
Cloitrée dans son box, à moitié nue, elle entend les pas des deux queutards qui vont ouvrir la seconde porte des Wcs et y entrer brusquement.

Elle est prise sur le fait accompli, telle une voleuse. D’un air coupable, Hélène jette un regard au premier, puis, se lève pour se rhabiller.
Ce dernier s’oppose en l’empêchant de remonter son string. Pendant ce temps, l’autre coquin introduit ses mains sous son t-shirt leger pour peloter ses nichons.
Au lieu de se défendre, la jolie brunette se laisse faire, elle pense plutôt aux trois mois qu’elle a passé sans se faire ramoner la chatte.

Il vaut mieux prendre son pied avec ces lascars en se laissant faire, au lieu de rendre la chose déplaisante en se défendant.
Le premier, un jeune blond qui mesure environ 1m90, avec des biceps de soldat, sort son phallus de sa braguette et demande autoritairement à Hélène de le bouffer.

S’apprêtant à se mettre à genoux pour s’exécuter, elle aperçoit le second, un peu plus petit mais plus mignon, qui sort aussi sa bistouquette pour demander une branlette. Elle s’est crue dans un film de cul mais, au fond, elle en avait toujours rêvé.

C’est parti pour une double péné…

La façon dont les vicieux la traitaient la rendaient encore moins réticente. Ils étaient courtois et sympas, lui faisient quelques blagues coquines pendant qu’elles s’occupaient de leurs saucisses.

Le premier lui suggèra d’essayer de bouffer les deux pénis en même temps. Il demanda si bien qu’elle s’amusait au final. Quelle cochonne ! Bien que les queues soient trop grosses, elle parvint tout de même, après quelques tentatives échouées.
Place maintenant au moment tant attendu : la pénétration.

Le premier : tu préfères qu’on te prenne en double pénétration ?
Hélène : Oui, s’il vous plaît !
Le second : Bah, comme c’est si bien demandée, on va bien te chauffer en double, mademoiselle !

Ils étaient assez costauds pour la soulever alors, ils ne s’en privèrent pas. Le premier la prit par devant et le second choisit la tendresse de ses fesses. Oui une double péné. Elle déteste la sodomie alors, ils se concentrèrent uniquement sur sa chatte.
Après une dizaine de minutes d’étreintes, mademoiselle eu droit à sa seconde douche matinale : deux couilles bien pleines qui se vidèrent sur son visage et sur ses beaux tétons, rien de plus génial.
Le trio se sépara sur les lieux du crime et, la salope courra honteusement s’asseoir à sa place, toute satisfaite et prête à affronter la journée après une bonne double péné…

Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

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Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Convaincu par six putes de luxe…

Monsieur Gérard président d’une multinationale évoluant dans le domaine informatique souhaitait racheter ma start-up à quelques millions d’euros. Je refusais sa première offre, il fit une contre-proposition et m’accorda une semaine pour y réfléchir. Une semaine plus tard je campais toujours sur mes positions, et je me rendais pour le lui faire savoir une fois de plus. Je ne le savais pas encore mais il allait sortir le grand jeu : les putes de luxe…
Ce rendez-vous avait lieu sur un terrain de golf, où il m’invita gentiment à faire une partie avec ses amis, des personnalités influentes, charismatiques et passionnantes pour la plupart. Pendant que nous jouions chacun me parla sympathiquement du secret de sa réussite. Ils me racontèrent des anecdotes au goût de leçons de vie. J’en appris beaucoup de ces rencontres.
La partie de golf terminée, nous prîmes un verre avant que Gérard et moi allions à sa résidence secondaire où disait-il m’attendait une petite surprise.

Je précise que de tout le temps que nous passâmes ensemble, à aucun moment on ne parlait affaire, à chaque fois que j’entamais le sujet, il me disait toujours :
– Joël chaque chose en son temps. Ne gâchons pas le plaisir du moment présent.
Je n’avais plus qu’à attendre qu’il amorce le sujet. Nous arrivions enfin à sa résidence secondaire, un château impressionnant de plusieurs milliers de mètres carrés et très bien emménagé. Il me fît, personnellement, visiter les pièces principales du domaine. Je voyais bien qu’il essayait de m’en mettre plein la vue et créer subtilement un lien affectif qui me pousserait à accepter son offre. J’étais résolu à me montrer ferme dans mon refus.
La visite de la maison allait s’achever sur, selon ses dires :  » sa pièce préférée « .

Pris au piège des putes de luxe…

En l’ouvrant, je vis six jeunes femmes nues dans un jacuzzi. Elles étaient magnifiques, que dis-je parfaites et puaient la pute de luxe.
A côté du Jacuzzi, il y avait un très grand lit, sur lequel Monsieur Gérard s’assied pour se faire défringuer par les six coquines à la fois. Moi, je choisissais de m’installer sur le canapé en les regardants timidement faire.
– Allez Joël, t’attends quoi pour nous rejoindre, l’eau est bonne et les nanas aussi. Ou bien, elles ne sont pas assez à ton goût.
– En fait, je voudrais plutôt que nous parlions affaire…
– Ne cherche pas d’excuse et ramène toi…
Pendant que je me déshabillais, Monsieur était déjà en train de rouler des pelles à deux coquines.
Une bimbo aux gros nibards me fit un massage des épaules en se servant de ses miches et mains. Pendant que je me délectais de ces soins relaxants, j’entendis des gémissements, Monsieur Gérard, un brin dominateur était en train de foutre sa main dans la chatte de la meuf couineuse.
Deux autres minettes se joignirent à la bimbo pour m’offrir un passe direct pour le septième ciel, selon l’une d’elle. L’une me massait la tête et les épaules, une autre me taillait une pipe et la troisième se chargeait de me lécher le torse et les tétons tout en me caressant.

Baisées par des putes de luxe

Ensuite la bimbo pris ma bite entre ses grosses miches, déversa une grande quantité de lubrifiant et me fit une pipe espagnole. Elle m’enfila une capote sur la trique avant de s’y empaler de tout son poids.
Elle passa la main à une autre coquine qui vint aussi me faire vibrer la teub avec une ardeur explosive, enfin la troisième cochonne vint réclamer son tour. Cette gymnastique de chatte m’excitait au maximum. La bimbo revint plus tard, cette fois, elle me présentait son cul à ramollir. Voilà une proposition que je ne pouvais refuser. Je lui mis ma bite bien au fond du croupion avec vivacité au point où j’en transpirais.
C’est au moment où je me délectais du cul étroit de cette salope que Monsieur Gérard me dit :
– Alors Joël et si on parlait affaire maintenant.
– Croyez-vous vraiment que le moment est à approprié ?
– Oui. Quelle est ta décision ?
A l’ instant où il me questionna, la truie sodomite que je dézinguais se mit à me donner des coups de reins d’une forte jouissance. Dans cette posture j’avais beaucoup de mal à lui dire non, ça aurait paru ingrat de ma part.
– J’accepte votre offre.
– Très bien, qu’on m’apporte le contrat et un stylo.
J’ai signé ce contrat avec ma bite encastrée dans le cul d’une bimbo siliconée et bonne comme tout.
Voilà comment je me suis fait manipuler, et comment j’ai pris le pied de ma vie. A vrai dire si c’était à refaire, je le referais.
6 Putes de luxe, qui refuserait ?

Jeune beurette doublement baisée en bord de mer

Marseillaise, Fatima est née en Tunisie, c’est une jeune beurette comme on dit. Ça fait déjà un mois qu’elle a soufflé sa vingtième bougie et, elle est plus belle que jamais.
Cette universitaire aime bien les balades au bord de la mer. Quand elle n’est pas avec une bande de copains, c’est aux côtés de sa meilleure amie Julie qu’elle se promène. Elle adore marcher pieds nus pour profiter du sable chaud, il n’y qu’en été qu’on peut ressentir ça et, nous sommes justement au mois de Juin.
Cette année, elle a trouvé du travail à temps partiel sur une plage, un boulot qui lui plaît bien car, telle une sirène, elle adore les bruits des vagues, observer le coucher du soleil et le vent estival.
Un samedi matin, la jolie plagiste de 20 ans, dans son maillot de bain, installe le matériel, aidée par d’autres jeunes dynamiques, enjoués et insouciants qui travaillent avec elle. Ils s’amusent bien, font des blagues et parlent sans tabou. Pas très loquace sur sa vie intime, elle cache à tout le monde ses fantasmes, elle en a un peu honte.
En effet, Fatima rêve de faire l’amour avec deux mecs musclés dans une cabane près de la mer. Déjà qu’elle est très coincée, comment fera-t-elle pour se retrouver avec deux keums, toute seule ?

Jeune beurette avide de sensations

La jeune beurette Elle a un petit ami qui n’est vraiment pas son genre. C’est juste pour passer le temps, un mec sympa, boulanger, peu élégant et aussi coincé qu’elle. Même s’ils « font l’amour » souvent, elle n’a jamais droit aux préliminaires, pourtant, elle adore le cunnilingus. Et quand elle propose de lui faire une pipe ? Le mec devient tout rouge, oppose un refus, ce qui offusque souvent Fatima.
Sa vie de couple n’est donc pas un rêve mais, elle ne songe jamais aller voir ailleurs car, c’est une magrébine respectueuse des principes religieux.
Sa tenue de travail est un maillot de bain deux pièces, putain ce qu’elle est bandante dans cet uniforme composé d’un haut super mini et d’un boxer bien moulant. Ses fesses se dessinent à la perfection et sa poitrine, 85B, a l’air de prendre du volume chaque seconde qui passe.

Ce jour de week-end, Fatima vient de prendre sa pause, il est 11 heures et, elle siffle un jus de coco, les pieds croisés, assise sur une table. Elle porte des lunettes de soleil et elle regarde ses collègues, nager, marcher papillonner et draguer.
Ses écouteurs aux oreilles, la musique retentit à fond quand elle sent une main chaude toucher son épaule. L’effet de surprise la fait sursauter et, lorsqu’elle se retourne, notre jolie maghrégine remarque une ombre imposante érigée devant elle. Elle ôte ses lunettes et, c’est un beau black qui a l’air d’avoir avalé une armoire, qu’elle aperçoit.

Elle se lève pour le contempler de la tête aux pieds, il est vraiment impressionnant, ce n’est pas son type mais, toutes les femmes rêvent d’un homme aussi robuste, même pour une minute de plaisir.
Elle lui demande alors ce qu’il veut et, le jeune coquin de lui dire qu’il la trouve très jolie et qu’il aimerait discuter avec elle.
Continuant la conversation, il confie à Fatima qu’il est photohraphe et qu’il aimerait bien la prendre pour model. Il continue en disant qu’il avait loué un appartement du côté est de la plage et qu’il voulait bien lui faire faire un casting, moyennant quelques euros, bien sûr !

La jeune beurette phocéenne réfléchit quelques instants avant d’accepter.
Ils marchèrent alors pour regagner le côté est où était confortablement installé notre coquin.
Aucune trace ne montre que c’est un professionnel de la photo, Fatima soupçonne un traquenard, se pose quelques questions avant de lui dire qu’elle n’était plus intéressée.
Le mec la supplie de rester, avouant qu’il avait juste envie d’être avec elle et, d’ailleurs, pour lui montrer sa bonne foi, il sort une liasse d’Euros qu’il met dans la main de la maghrégine.
Ces espèces sonnantes la désarment.

Fatima : Maintenant, on fait quoi ?
Gérard : Je veux juste te voir nue, que tu me fasses un striptease.

Beurette vénale

Tous ces billets méritaient bien une petite gâterie !
Alors qu’elle commençait à se déhancher, le mec a pris son smartphone pour filmer. En plus, il a mis en fond sonore, une musique chaude pour la motiver. La jeune beurette commence à se déchaîner jusqu’à ce que la sonnerie retentisse.

Gérard : C’est certainement le concierge, ne bouge pas je reviens tout de suite.

Entre alors un autre beau mec, métis, musclé, torse nu. Toute honteuse, Fatima ne peut cacher les billets qu’elle tient dans sa main.
Mais ces mecs sont des pros, ils ont l’air de ne pas être à leur premier coup. En effet, Gérard va proposer un nouveau deal à son invitée : « Maintenant que nous sommes deux, on peut t’ajouter de l’argent pour te regarder, ça ne fera pas de mal « .
Se sentant humiliée mais excitée en même temps, la beurette de 20 ans n’a pas dit non. La musique relancée, elle va recommencer ses déhanchements façon orientale.

Les deux coquins se levèrent pour demander gentiment à Fatima de sucer leurs bites. A cet instant, elle pensa à son fantasme en se demandant pourquoi ne pas en profiter pour le réaliser.

Une bonne partouze avec des doubles pénétrations et du sperme à bouffer pour la rebeu.