Mon mari m’offre une expérience lesbienne

Cela faisait trois semaines maintenant qu’il me promettait une surprise pour mon anniversaire. j’avais tout imaginé, sauf cela : un voyage à Venise, un beau bijou, ou encore une très belle robe. Mais là, vraiment, j’étais sur le cul. Pour mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience lesbienne.

Elle est exactement comme je l’ai toujours fantasmée : petite, plutôt gironde, une jolie blonde aux yeux clairs dont les seins sont moulés dans un petit haut trop serré pour elle, deux belles grosse ogives appétissantes à souhait. Gilles me connaît bien. Il sait que j’ai eu quelques expériences lesbiennes au lycée, puis à la fac, et que j’ai toujours eu un faible pour ce genre de nana, moi la grande gigue brune, plate, sans formes.

Elle se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres. Elle me dit :  » il paraît que je suis ton cadeau d’anniversaire ». Elle n’est pas très sûre d’elle. Elle se demande encore si tout cela n’est pas qu’une mauvaise plaisanterie. Un mari qui offre une expérience lesbienne à sa femme, ça ressemble tout de même beaucoup à un plan drague à deux ronds.

Gilles nous touche l’épaule, à chacune d’entre nous, et me dépose un baiser tendre sur les lèvres : « je vous laisse ». Il prend son manteau, et quitte l’appartement. Me voilà seule avec ma jolie blonde lesbienne, qui doit avoir cinq ou six ans de moins que moi. Et pourtant, c’est elle qui prend l’initiative. Il faut dire que je suis comme plantée, là, debout devant elle.

Elle s’approche, passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore embrasser une autre femme. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans la pièce. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de la jeune gouine à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Elle me prend finalement par la main, et m’attire vers notre chambre à coucher. Elle me fait assoir sur le lit conjugal et, devant moi, entame un strip-tease dont je peux vous garantir que je me souviendrai longtemps. Elle dévoile ses seins insolents qui pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Je reste comme interdite.

Alors c’est elle qui me déshabille, elle qui agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice, elle qui retire ma jupe, puis mon string. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses gros seins glisser contre ma poitrine plus androgyne, de prendre à pleines mains les deux beaux globes de ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

La voici qui descend le long de mon corps de femme, qui embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits nichons puis mon ventre. Je sais qu’elle va vouloir me lécher. J’ai un peu peur, mais j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Ma première expérience lesbienne…

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Elle sait y faire, c’est une vraie lesbienne, qui a l’habitude de faire plaisir à une autre femme. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler.

A peine remise, je veux lui rendre la pareille. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures. Je pose la tête entre ses deux belles doudounes. Il ne me reste plus qu’à me laisser aller, et à profiter de mon cadeau.

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

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Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Prends-moi par le cul !

Chéri fais-moi jouir ce soir ! Je t’écris du magasin et j’espère que tu liras mon mail avant de rentrer. J’ai trop envie de baiser depuis que tu m’as caressée ce matin, avant de partir au travail. Tu m’as laissée toute mouillée et j’ai dû me toucher avant de quitter la maison. J’ai joui en pensant à tes doigts, à ta langue, à ta queue et à tes grosses bourses bien pleines que j’adore vider.

Fais-moi plaisir ce soir, prends-moi par le cul ! Défonce-moi le derrière, mon gros cul bien bandant que tu aimes tellement caresser, lécher, doigter…  J’ai envie de te sentir dans moi, d’avaler ta bite avec mes fesses et de te faire jouir en serrant ta queue avec mes globes si charnus.

D’abord tu me prépareras, longtemps, très lentement. Tu caresseras mes seins, tu suceras mes bouts. Pendant ce temps je te tripoterai la verge et les couilles comme tu aimes, je glisserai mes doigts dans ta raie et tu banderas comme un dieu. Moi, je mouillerai, je coulerai comme une fontaine. Un peu de mon jus ira beurrer mon trou du cul, ce sera une bonne mise en condition.

Tu me toucheras aussi la chatte, je guiderai ta main pour que tu prennes de ma mouille et que tu m’en tartines l’œillet. Si tu fais ça bien, je te sucerai jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche. Ne te méprends pas, si je le fait, c’est d’abord pour te purger, pour vider tes couilles du trop plein de ton foutre et te libérer d’une excitation trop forte qui te ferai jouir trop vite dans mon ventre une fois que tu m’auras prise comme je le veux. Une fois vidangé, tu tiendras plus longtemps dans mon cul. Ça n’en sera que meilleur.

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Il  te faudra un peu de temps pour te remettre, tu en profiteras pour me préparer avec ta langue et tes doigts. Tu m’ouvriras, tu me lubrifieras de ta salive. Mon trou sera bien dilaté pour t’accueillir, pour prendre ton membre redevenu dur et chaud.

Je m’installerai alors sur le lit, à genoux, la tête sur mon oreiller, le ventre posé sur le tien, les fesses bien remontées et les genoux écartés. Tu ne pourras pas résister et tu glisseras ton vit dans mon fourreau douillet, celui qui te fera tellement jouir.

Je jouirai aussi sous tes assauts, sous les coups de boutoir de ton dard. Ton ventre claquera contre mon gros cul, la chambre résonnera du bruit de nos ébats et des gémissements que je pousserai pour t’exciter. Tu caresseras mon gros clito, tu le trairas comme une petite bite, tu malaxeras mes nichons pendants de grosse salope.

Quand tu seras prêt, tu te videras en moi. Je serrerai mon anneau autour de ton manche en jouissant, en te gueulant des obscénités comme tu aimes que je le fasse en jouissant. Les contractions de ta bite me feront redoubler de plaisir et tu t’affaleras sur moi, vaincu par le cul délicieux de ta petite pute.

Rentre-vite et prends-moi par le cul !

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.