« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous ».
Karim s’en va, il me laisse à ses copains, deux gaillards de son immeuble que je connais un peu car ils sont toujours fourrés ensemble tous les trois. Il vient de me baiser et me laisse encore dégoulinante de son foutre, sur le sol de sa chambre.
Brandon et Mourad s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une étudiante de bonne famille venue de la ville voisine.
J’ai trop joui avec Karim pour me révolter. Je suis un sac à foutre et j’ai encore envie d’être baisée comme une chienne, soumise, humiliée et possédée. Je relève mon cul comme pour inviter les deux mecs à me prendre. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds.
Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul, celui-là même que Karim vient de quitter. Il prend un peu du foutre qui s’en écoule, le mélange à ma mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin.
Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe, très large mais un peu court. Il me distend complètement la bouche, me fouille dans tous les recoins.
J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Karim tout à l’heure. J’espère que mon enculeur sera tout de même assez à l’étroit pour bien jouir. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue.
Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que le jouet des deux copains de Karim, leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.
Arrive un moment où Mourad quitte ma bouche pour venir se coller sous moi. Il enfile sa verge dans ma chatte. Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration est une nouveauté pour moi et m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la chambre de Karim et doivent parvenir jusqu’aux oreilles des voisins à travers les minces cloisons de l’appartement. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les deux amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.
A moitié évanouie, je ne peux m’empêcher de remercier en pensée le gentil Karim qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?