Mature baisée par son jardinier…

Qui a dit qu’à 60 ans, mature comme on dit on ne pouvait plus prendre son pied ? Pour moi c’est tout le contraire, je me prénomme Elisabeth, je suis une veuve de 60 ans, j’ai perdu mon mari il y a 8 ans. Je m’étais armée d’une arme contre la solitude et mon compagnon fidèle est devenu mon godemichet. J’habite une très grande maison et à mon âge, il me faut des gens pour entretenir ma maison et le jardin. Je ne parlerai pas de tous les « domestiques », mais d’un en particulier : c’est Patrick mon jardinier.

> Branché par une rencontre avec une femme mûre ? <

Un jeune costaud, la vingtaine à peine, brun, j’avoue qu’il est beau à voir, il finissait plus tard que les autres et venait souvent me dire au revoir quand il s’en allait des lieux. Ce jour-là, j’étais perdu, je voulais ravoir la sensation que me fait mon godemichet comme d’habitude.
Je décidais alors de me masturber, je me déshabillais, allongée dans mon lit. Je pris un peu de lubrifiant et versa sur mes seins, je commençais à les caresser avant d’introduire mon godemichet dans mon sexe, je me masturbais en pensant à mon défunt mari, de tous ces beaux moments que nous passâmes. J’avais les yeux fermés, je rêvais des mains qui me caressaient, d’un sexe qui me pénétrait. Quand soudain, je sentis les mains d’un homme qui commençaient à me caresser, je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais un peu honte parce que mon secret était à nu.Ça y est c’était Patrick mon jardinier ! Je compris que je n’avais pas fermé la porte. Bref ! Il commença par me sucer les seins, doucettement, en me donnant des petites tapettes sur la joue.
J’avais le corps qui frémissait, j’étais à découvert, mature offerte… Il commença par m’embrasser sur mon cou, l’excitation augmentait en intensité. Il descendit vers mon entrejambe, et commença à me sucer le sexe petit à petit, en stimulant mon clitoris, je suis clitoridienne, et vous savez ce que ça peut procurer comme sensation, j’étais perdu… Il me dit d’un ton autoritaire retourne toi, je suis perdu, dans mon lit en levrette. Il prit mon godemichet me le fit pénétrer dans mon anus, il le martelait en moi comme s’il m’infligeait une punition c’était une douleur mais aussi un plaisir immense. Ces deux sensations réunies ont laissé gicler en moi un orgasme si fort, j’étais électrisée. Il laissa le godemichet enfoui en moi, il sortit sa bite et enserra mon sexe.

Une queue énorme dans ma chatte mature

Bon dieu ! Quelle énormité ! Je sentais maintenant qu’un homme me baisait, il partait tellement vite en moi, s’occupant aussi de mon anus avec mon godemichet, une double pénétration, c’était la première fois. Je m’affolais, je n’arrivais plus, il me donnait des claques aux fesses, je devenais sa chose, un second orgasme envahit mon être, j’avais l’impression de voler. Il retira le godemichet de mon anus, il m’enculât .Je ne vous dis pas, je rajeunis d’un coup, je devins une fontaine. Il me baisa comme si j’étais plus jeune, mon petit trou, tout trempé, mon vagin de même, j’ai un tourbillon de plaisir. Puis, il me remit en levrette avança sa bite de ma bouche. Malgré que j’avais le double de son âge ou presque, ce jeune vicieux me traitait comme une pute et j’aimais bien ça, des  » Suce moi salope  » n’arrêtaient pas de fuser.
Telle une esclave mature j’obéis à mon maitre, je le suçais longuement le gland, ses couilles. Il se retira, revint vers moi pour me pénétrer de nouveau. Il était dans tous ses états, il me baisa, partant, revenant avec des mouvements dignes d’un dieu. Oh ! Je me sens presqu’évanouie, j’ai envie de mourir en lui, il m’émerveille. Je suis au septième ciel, je jouis, je jouis, je jouis !
Je me lâche, j’ai plus envie qu’il me quitte, il me baise. Il me fait des cochonneries, il me retourne à nouveau, enfonce sa bite dans mon petit trou, va et vient puis verse son liquide gluant dans mon anus après un grand cri rauque.

Il baise la patronne de sa maman en pleine fête

Dans sa belle villa au nord de Nice, une chef d’entreprise invite son personnel et toute leur famille pour une petite fiesta, histoire de resserrer les liens.
Piscine, petits fourres, soleils, l’été, il faut profiter pour vivre des moments pareils.
Cette femme qui a plutot réussi dans sa vie est âgée de 56 ans, elle vit seule avec son unique fille de 21 ans car, s’étant séparée de son époux depuis plusieurs années déjà.
Toujours joyeuse et coquete, elle ne laisse pas le poids de l’âge l’emporter. Véronique a lutté dans la vie pour réussir alors elle fait de même pour garder la forme. Être toujours belle, jeune et attirante est son leitmotiv. Mise à part le travail, le sport est ce qui l’occupe plus. Elle peut passer des heures entières à courrir ou dans une salle de gym.

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C’est un samedi après-midi qu’elle a convié tout ce monde qui a répondu présent. Ils sont une centaine, elle les connait tous, jusqu’aux techniciens de surface de l’entreprise mais, leurs familles respectives non. C’est donc à tour de rôle que chaque employé présentera les membres de sa familles.
Julie est son assistance personnelle, elle a un fils de 23 ans qui s’appelle Harry et qui a quand même eu le temps de se déplacer, pour faire la connaissance de la collaboratrice, de très longue date, de sa maman.
Au moment des présentations, on pouvait voir combien Véronique était ravie de voir ce jeune homme. D’ailleurs, elle leur proposa une place de choix pour cette fête qui commence sous de bons auspices.

Pour la petite histoire, cela fait plus d’une decennie que Julie vend son expertise dans l’entreprise de Véronique pour qui elle est devenue une confidente. Ne se voyant le plus souvent qu’au bureau, en salle de sport ou pour aller prendre un verre le week-end, la patronne n’a jamais pris le temps d’aller rendre visite à son assistante, elle connait son époux mais pas Harry.
Au premier regard, Véronique ne manque de féciliter Julie pour le bel homme qu’elle a mise au monde et qui est si grand qu’elle en a le tourni.
Véronique n’est pas du genre à coucher avec des hommes plus jeunes mais celui-là l’impressionne particulièrement. Elle va peut-être être tentée par une aventure cougar !

La fête bat son plein quand elle invite le jeune homme à discuter avec pour parler de sa vie estudiantine, amoureuse… enfin, tout ce qu’on peut peut se raconter pour faire connaissance.

Cette femme est imposante, grande, blonde, lèvres fines, un regard profond et une forte poitrine. Du haut de ses 1m78, elle cause d’égal à égal avec Harry qui fait pratiquement la même taille.
Regard contre regard, pendant qu’ils discutent, une tension électrique se crée entre les deux quand soudain, la fille de Véronique s’interpose pour entrer dans la conversation.

Sonia : salut, moi c’est Sonia, la fille de Véronique.
Harry : enchanté Sonia, tu sais, j’ai toujours entendu parler de ta mère et, quand je me trouve comme ça devant elle, je suis fasiciné.
Sonia : ha ok ! Mais, elle n’est pas de ton âge, tu devrais redescendre de ton nuage.
Véronique : oulala, toujours toi et tes remarques désobligeantes ! D’abord, qu’est ce que tu vas t’imaginer ?
Sonia : Allez maman ! Je vous taquine, bon, c’était juste un passage éclaire, je vais enquiquiner d’autres invités, ciao !

Il se lance pour baiser sa patronne!

Après le passage de Sonia, les deux sont restés bouchés bées un moment, comme s’il y avait un brin de vérité dans sa remarque.
Le jeune homme décide donc de passer à l’attaque, de tenter le coup, un risque qu’il prend sachant que ça pourrait détériorer les relations entre sa maman et la patronne.

Harry : tu sais Véronique, depuis que nous discutons, tu me fais une impression, ça risque d’être un peu déplacé mais, tu es une femme qui me plait.
Véronique : mon âge ne te dérange pas ?
Harry : pas le moins du monde, d’ailleurs, tu es si belle qu’on te donnerait 20 ans de moins.
Véronique : Humm, en plus d’être mignon, t’es un sacré beau parleur.

Le ton était lancé, il revenait maintenant à Harry de prendre son courage à deux mains et de passer à la vitesse supérieure. Il lui propose alors de s’éclipser un moment car, tout était brouillant.
Véronique lui demanda de le suivre discrètement et, quelques minutes plus tard, il se retrouva dans la chambre de cette dernière.
Pour ne pas perdre de temps, il ferma la porte à clé, puis, projeta la patronne sur son lit avant de l’embrasser avec force. Il retira son slip et la retourna pour la prendre en levrette, comme une bonne salope. Après cinq minutes d’intense coït, elle reçoit le sperme du jeune Harry sur sa robe. Embarrassée, elle lui demande de filer… Comment fera-t-elle pour nettoyer ses vêtements et passer inaperçue ?

Jeune couple africain baise avec leur riche propriétaire

Marleine est une bourgeoise qui a investi dans l’immobilier. Au centre de Paris, elle est propriétaire de plusieurs immeubles de standards différents. Ayant confié la gestion à une agence, elle passe souvent faire des visites pour voir l’état des lieux de ses investissements. À 59 ans, elle est veuve et sa vie sexuelle est un trou noir. Après avoir visité plusieurs plateformes de rencontre, elle n’a jamais trouvé quelqu’un qui correspond à son profil, il faut dire que son rang social ne lui permet pas de voir n’importe qui. Dans un de ses appartements, vit un jeune couple africain. Le mari ayant perdu son job tout récemment, la femme n’a pas un revenu assez conséquent pour supporter la charge locative.

Cela fait donc trois mois qu’ils n’ont pas payé le loyer et, l’agence a décidé de porter plainte. Mais avant, l’avis de la proprio s’impose.

Elle et le couple ce sont donc donnés rendez-vous un samedi matin pour en discuter, sans la présence des agents immobiliers. Un règlement à l’amiable est toujours envisageable car, notre bourgeoise déteste les tribunaux, surtout pour de telles affaires qu’elle considère comme du menu fretin.

Il est 10 heures, toujours aussi ponctuelle, Marleine arrive et sonne au bas de l’immeuble quand elle entend la voix de Fatou l’épouse, qui lui demande de monter.

Quelques minutes plus tard, elle est accueillie par Fatou qui lui offre un café d’entrée de jeu.
Assis tous les deux sur le grand canapé, ce jeune couple africain écoute religieusement la proprio, qui leur fait la génèse de sa fortune. Elle dit avoir travaillé dur avec son époux, qui malheureusement est décédé, pour construire et acheter tous ces biens immobiliers. Le couple africain écoute attentivement…

Marleine : Je suis une femme d’affaire et je ne pourrais accepter un tel comportement de la part de mes locataires. Il faut impérativement que nous trouvions un terrain d’entente car, les tribunaux, j’en ai une sainte horreur !

Le mec, Jean, est un malgache, type métis, 30 ans, bel homme, grand et séducteur et, sa femme est une black d’origine sénégalaise, bien foutue, une belle poitrine et des lèvres pulpeuses. Fatou est agée de 28 ans, elle a acquis la nationalité française et travaille comme assistante de direction dans une petite société de fruits et légumes.

Le couple africain va se taper la mature !

Après plusieurs explications et supplications, la proprio est restée bouche bée pendant quelques minutes.

Avec une voix polissonne, elle rompt le silence :

Marleine : Et si on je vous proposais quelque chose de très inhabituelle ?

Elle fixe Jean qui lui retourne un regard coquin en lui disant :

Jean : Tout ce que vous voudrez madame, nous sommes prêts à tout pour ne pas aller être expulsés.
Marleine : Je vous laisserai encore trois mois à condition que vous me fassiez une petite gâterie.

Alors qu’elle s’apprêtait à opposer un refus, Fatou fit stopper subtilement par son époux qui lui souffla ensuite quelques mots à l’oreille.

Jean : J’ai compris et nous sommes d’accord.
Marleine : Alors, qu’attendez-vous pour commencer ?
Jean : Humm, elle est coquine la proprio ! Ne vous en faites pas, nous sommes sur la même longueur d’onde !

Toute honteuse, Fatou ne comprenait pas ce qui arrivait, elle était obligée de suivre son époux dans tous ses faits et gestes. Un vrai joueur, il a l’air d’avoir l’habitude de ce genre de situation.

Première queue black pour la proprio

Il se mit donc à embrasser sa femme en fixant Marleine des yeux. Le pervers galoche pour rendre la chose un peu plus cochonne. Il glisse ses mains sous la mini-jupe de Fatou puis, la doigte pendant qu’il déboutonne sa chemise. Elle a une grosse poitrine qui fait baver la dame.
Jean tire sa muse par la main afin que tous les deux rejoignent la proprio pour la faire participer.
À son tour, Fatou la franco-sénégalaise se montre libertine, elle galoche avec Marleine pendant que Jean introduit sa tête entre ses cuisses.
Toute mouillée, ça faisait longtemps que cette bourgeoise n’avait joui de la sorte, quel pied !
Jean sort son pénis et le montre à Marleine qui sera tout de suite impressionnée par sa taille et sa grosseur.  » je peux la sucer ? « , demande-t-elle avec excitation.  » elle est à toi « , lui répond Jean.

Avec son accent à la fois africain et français, Fatou dit à Marleine : « Elle est à toi, mais laisse moi prendre les testicules ».
Une double turlutte qui amènera le veinard à baiser sa proprio et sa femme pendant une trentaine de minutes.

Grâce à cette journée, ils ont eu droit à 5 mois gratuit avec une visite mensuelle de Marleine la gourmande. Fatou est devenue moins coincée et… tout le monde est content !

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !

Première fois avec des échangistes

Je n’aurais jamais cru que cela pouvait se passer comme ça, dans les clubs échangistes. Et pourtant ce n’était pas faute de m’être renseignée auparavant, depuis le temps que mon mari et moi parlions du fait de nous lancer – enfin ! à plus de 50 ans – dans le libertinage. Je pensais qu’on s’isolait dans une alcôve avec un autre couple et qu’on partouzait à quatre. Je me suis aperçue que ce n’était pas toujours ainsi que les choses se passaient.

Quoi qu’il en soit, nous étions enfin décidés. J’avais commandé une tenue libertine qui mettait en valeur mon opulente poitrine et nous sommes donc allés, pour la première fois, dans un club échangiste. Première surprise : il y avait plein de jeunes, de 20 ans, de 30 ans. Seconde surprise : les alcôves étaient vides, tout ce beau monde se pelotait sur la piste de danse. Le paradis des échangistes…

Troisième et dernière surprise, mais non la moindre : malgré mon âge avancé, le décolleté de ma tenue coquine attirait l’œil de pas mal de jeunes gens. Jusqu’à ce qu’un charmant couple nous aborde. Ils ne devaient pas avoir trente ans. Lui, un petit minet, assez grand, très beau, me souriait tout en passant son regard de mon visage à mes seins. Elle, une petite bombe blonde, de jolis petits seins à croquer, qui se montrait très tactile avec mon mari.

Malgré l’écart d’âge, c’était eux qui savaient. Eux qui dirigeaient les événements. Ils nous ont guidés jusqu’aux coins-câlins du club. Mais, à mon grand étonnement, ils ne nous ont pas conduits jusqu’à une pièce fermée, mais sur un immense lit à baldaquins où, manifestement, ils avaient leurs habitudes.

Tout a commencé de façon soft. Il a joué avec mes seins et avec ceux de sa petite amie, mon mari l’imitant maladroitement. Puis elle a sorti la bite de la braguette de mon homme, et s’est mise à se masturber de la main droite et à le branler de la main gauche. J’ai fait de même.

Un attroupement de quelques jeunes couples s’est fait autour du grand lit. Du regard, ou d’un simple geste de la main, la jeune blonde libertine attirait vers elle les couples qui trouvaient grâce à ses yeux. Très vite, nous nous sommes retrouvés à six couples – douze personnes ! – serrés sur ce lit qui, décidément, n’était pas si grand que ça !

Au début embarrassée, je me suis laissée aller au plaisir de toutes ses mains et toutes ses bouches qui me frôlaient, me touchaient, me caressaient à des endroits de mon corps que, jusqu’ici, je n’avais confiés qu’à mon mari. Quant à lui, il était en train de se faire sucer par une jeune maghrébine de 35 ans environ, qui le prenait en fond de gorge, et il pelotait en même temps les fesses d’une grande brune de 30 ans maximum, qui en léchait une autre.

Orgie d’échangistes !!

Moi, j’avais des sexes d’hommes et des seins de femmes à ma disposition. Un jeune gars très mignon avait planté sa tête entre mes cuisses et me suçotait le petit bouton. J’en suçais un autre, puis un autre, je ne savais plus où donner de la tête. Pendant plus d’une heure, il n’y eut aucune pénétration.

Mais j’avais joui déjà trois fois ! J’étais épuisée… J’ai fait signe à mon mari de quitter le lit. Nous sommes allés boire un verre. Ensuite, nous sommes retournés vers le grand lit, où le premier couple était encore affairé à jouir et à faire jouir. Mais les participants n’étaient plus les mêmes. Certains couples mélangistes – c’est ainsi qu’on appelle cet autre passe temps des échangistes, je l’apprendrai par la suite – avaient quitté la bataille, d’autres étaient venus en renfort.

Nous hésitions à revenir dans la mêlée, pas certains d’y être encore conviés. La petite blonde ne nous laissa pas longtemps en plan, nous faisant comprendre que nous étions toujours les bienvenus. Tout le monde caressait, embrassait, suçait tout le monde, les hommes et les femmes, bien entendu, les filles entre elles aussi.

Toute la nuit, nous avons alterné entre cette gigantesque partouze et le bar, où nous devions reprendre des forces de temps à autre. Le jeune couple, quant à lui, n’a pas arrêté de toute la nuit. C’est aux aurores que la patronne du club échangiste nous a fait comprendre qu’il était temps pour elle de fermer. Le jeune libertin a alors éjaculé sur mes seins offerts, la petite blonde a fait jouir mon mari dans sa bouche et a tout avalé.

Il m’arrive de penser parfois que tout cela n’était qu’un rêve, mais nous retournons presque tous les samedis dans ce club, et les choses sont toujours aussi coquines.

Le meilleur ami de mon fils

Par Yvette, 54 ans.

Je sens sa bite vigoureuse taper au fond de moi. Jamais je n’aurais du attendre aussi longtemps, jamais je n’aurai du laisser passer ma vie sexuelle. C’est trop bon. La peau douce de Benoît glisse contre la mienne. Il est en sueur, moi aussi. Je sens sa poitrine contre mes deux gros seins lourds, mais je sens surtout son membre viril au plus profond de mon vagin.

Je m’appelle Yvette, j’ai 54 ans, et j’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, dont mon fils, André, et de mon mari Claude. Il y a peu de temps, je me suis aperçue que Claude avait des aventures assez régulièrement. Oh, rien de sérieux, rien de bien grave, m’a t-il affirmé, mais tout de même, j’ai eu bien du mal à m’en remettre.

Et puis, mon fils a invité un de ses amis à venir passer le week-end dans notre maison de compagne. C’est là que j’ai surpris Benoît, le copain en question, fouillant dans la table de nuit de mon mari où celui-ci conservait d’anciennes photos de moi dans le plus simple appareil. Vous savez, ces vieilles photos instantanées que faisaient les couples désireux de s’encanailler, avant l’arrivée massive du numérique.

Quand il s’est retourné et qu’il m’a vue, toute habillée et avec 20 ans de plus, le jeune homme s’est mis à rougir. Je n’ai pas voulu en faire un drame et j’ai préféré plaisanter sur le temps qui passe, et qui rend les femmes moins désirables. Il m’a dit que, au contraire, il me trouvait plus belle que jamais. Un tourbillon s’est emparé de nous, il s’est jeté sur moi, me couvrant de baiser.

En quelques minutes, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus sur le lit et c’est là qu’il a commencé à me prendre. J’étais folle de désir pour ce jeune corps, pour cette jolie bite, pas très grosse, mais indécemment tendue et raide, celle du meilleur ami de mon fils… Il me l’a enfoncée entre les cuisses, et j’ai manqué de peu un premier orgasme. La maison était déserte, mais pour peu de temps.

Mes enfants et mon mari allaient rentrer dans les minutes à venir. Il fallait faire vite. Benoît m’a baisée en missionnaire, jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Il m’a ensuite demandé de me mettre en position de levrette et, malgré ma gêne de lui exposer ainsi mes grosses fesses de quinquagénaire vieillissante, j’ai accepté.

Maintenant, il me baise comme une chienne et, malgré son petit sexe, il arrive à vraiment me défoncer le vagin. Je jouis encore. Mais j’ai peur. Peur d’être surprise par mon mari ou pire, par l’un d mes enfants. Imaginez André me surprenant en si fâcheuse posture en compagnie de son meilleur ami !

La queue du meilleur ami de mon fils

Je me dégage de l’emprise de Benoît. Mais je ne veux pas le laisser comme ça. Je lui fais ce qu’adore mon mari : je prends son vit entre mes deux seins et je le branle vigoureusement. A chaque fois que son gland ressort de mes deux obus, je lui passe un coup de langue sur le frein.

Il va jouir à son tour. J’avais oublié comment les hommes giclaient, à vingt ans ! Il m’en met partout ! Sur les seins, bien sûr, mais jusqu’à mon visage, et même une goutte atteint mes cheveux. Je suis tremblante, souillée de sperme, le corps couvert de sa transpiration et de la mienne.

Il file dans la chambre des garçons, pour prendre une douche. Moi, je ne sais plus par quoi commencer. Oui, la salle de bains. Je m’y précipite, après avoir ramassé mes vêtements, jetés négligemment au sol, sur la moquette de la chambre.

Je ferme la salle de bains à clé. Je me regarde dans le miroir : j’ai le visage plein de sperme. Une douche, vite ! Avant que tout le monde ne rentre ! L’eau coule sur mon corps, et me lave, dans tous les sens du terme. Mais les images de notre étreinte me reviennent une à une en mémoire.

Là, sous le jet puissant de la douche, je me masturbe, jusqu’à atteindre mon troisième orgasme de la journée. Quand je reprends mes esprits, j’entends que ma famille est rentrée. Je me sèche, me rhabille prestement et je sors de la chambre.

Je retrouve mon mari et mes enfants qui rangent les courses, tandis que Benoît, le meilleur ami de mon fils les y aide. Il est beau comme un cœur. J’ai encore envie de lui. Je ne me souvenais plus de la fougue et de la douceur de la peau des garçons de son âge.

Après tout, si mon mari couche avec des petites jeunes, j’ai bien le droit, moi aussi ! Il faudra que je recommence… avec Benoît, s’il en a toujours envie. Ou avec d’autres : mon fils a beaucoup d’amis !

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

Vidéo porno du récit Première expérience lesbienne à 50 ans

Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

L’exhibition indécente de ma tante

Cette année, nous avons passé les vacances d’été en famille, mes parents, mes frangins, mon oncle, ma tante, mes cousins et moi. J’ai 18 ans et avant les congés je pensais que ce serait la dernière fois que je partirai avec eux tous mais maintenant que nous sommes rentrés je n’en suis plus très sûr. C’est la faute de ma tante, une sacrée vicieuse.

C’est la seconde femme de mon oncle, le frère de mon père. Ils sont ensemble depuis un an environ. Elle doit avoir 40 ou 45 ans mais elle est encore très  bien conservée pour son âge. Personne ne peut l’ignorer dans la famille car dès le premier jour de nos vacances elle est sortie se mettre au bord de la piscine dans une tenue qui ne cachait pas grand-chose. J’ai trouvé ça très indécent, mais aussi vraiment excitant.

J’étais sur un transat, occupé à lire un bouquin de SF quand elle est arrivée, dans son bikini de salope. On ne peut pas dire autrement tellement il était petit. La culotte n’était pas un string mais c’était presque pire car quand ma tante marchait le slip bâillait à l’entrejambe. Le pire, c’est quand elle s’est allongée dans le transat qui me faisait face. Je pouvais voir les lèvres de son sexe qui apparaissaient sur les bords. J’ai tout de suite mis une serviette sur mes jambes pour que personne ne voie que je bandais dans mon maillot. J’aurais eu trop honte que ça se remarque.

Vidéo porno du récit L’exhibition indécente de ma tante

J’étais embêté parce que j’étais presque sûr que ma tante avait vu mon regard se poser sur son entrecuisse. Elle avait pris de la crème solaire et s’en mettait partout sur le torse. Sa main rentrait dans les deux petits triangles qui avaient bien du mal à cacher les deux gros nibards qu’elle avait. En fait, je crois qu’ils ne servaient qu’à abriter ses tétons mais guère plus. Et puis, ce n’était une protection que contre le soleil, parce que pour ce qui était du regard, on ne pouvait pas les louper, ses belles tétines qui distendaient les bonnets du maillot. On aurait dit qu’elle bandait des seins tellement elles étaient grosses. Je crois que ça l’excitait de se masser avec la crème juste sous mes yeux.

Le plus terrible, c’est quand ses mains enduites de lotion solaire sont descendues sur son ventre puis sur ses cuisses dont elle s’est mit à tartiner l’intérieur. Elle a vraiment fait durer l’application plus que de raison. De temps en temps je voyais ses mains qui frottaient  les babines de son sexe qui dépassaient du maillot. J’étais sûr qu’elle le faisait exprès. Je bandais toujours plus fort et à un moment donné c’est venu tout seul, j’ai juté dans mon maillot. J’ai eu bien du mal à rester assez calme pour que personne ne se rende compte de ça. Enfin, quand je dis personne, il me semble que ma tante ne fait pas partie du lot. J’espère me tromper car sans cela se serait vraiment trop la honte pour moi.

Mon amant m’expose devant des pervers

Je suis nue, entièrement nue et perchée sur les escarpins que Jean-Louis m’a demandé d’enfiler en début de soirée. Il a bien précisé que je ne devais rien porter d’autres, à l’exception cependant de mes bijoux, une chaînette à la cheville droite et deux gros anneaux passés à travers les pointes de mes gros seins un peu pendants.

J’ai  48 ans et mon corps, même s’il n’est plus de prime jeunesse, reste désirable. Tout au plus le poids des ans a-t-il un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose dire, que Jean-Louis me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.

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Maintenant, je suis debout dans le salon. Jean-Louis est là, assis dans le canapé, accompagné de deux autres hommes que je ne connais pas, un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant les trois copains mais je sais que si je résiste, la colère de Jean-Louis sera terrible. Il faut dire aussi que je me sens un peu excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon homme prend la parole d’un ton qui n’admet aucune réplique :

« Tourne-toi pour montrer tes fesses à nos amis, qu’ils voient ton gros cul ! »

J’obtempère aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :

« T’as raison Jeannot, elle a un bon gros cul juste obscène ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »

Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me reluquant.

Jean-Louis se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’attrape par l’un des anneaux qui ornent ma poitrine et tire un peu dessus pour faire bouger mon sein.

« Et ça, vous le voyez, ce gros nichon à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »

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J’obéis encore, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le tétin pour le faire bien durcir. Quand j’arrête, il pointe outrageusement vers le duo de branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.

« Hé, regarde Jean-Louis, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »

Mon homme passe sa main entre mes jambes et les remonte vers sa bouche. Il suce ses doigts.

« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées. Approchez les gars, je crois qu’il va être temps de s’en occuper maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme jamais. »