Baise avec mon prof dans un bureau

J’aime Marc, mon prof. Il m’attire et c’est plus fort que moi, même s’il est mon prof ! Tout de lui me plait, nous avons 17 ans de différence d’âge. Si vous plongez dans ses beaux yeux bleus et sa charpente charnelle digne des vieux géants d’antan, vous comprendrez tout le désir qu’il puisse susciter. Un weekend pendant le printemps, je lui demandais de m’expliquer une partie du cours dont je n’avais pas la maitrise, et il acquiesça.

> Rencontre des bonnes salopes infidèles <

Nous nous retrouvions seuls un après-midi dans une salle isolée, afin qu’il m’explique ce fameux chapitre sur la comptabilité analytique dont j’avais peine à comprendre. J’avais une petite jupe qui mettait en valeur mes belles jambes, imaginez par vous-même, en dessous, je ne portais pas de culotte, sur moi j’avais à peine un tee-shirt sans soutien-gorge, car dans ma tête je m’attendais à avoir une vraie partie de sexe. C’était déjà ça dans mon for intérieur. Je vous épargne les détails de ses caractéristiques sensuelles, mais pendant qu’il m’expliquait ce cours, à vrai dire ma tête rêvait de sa bite. Je feins de ne pas trop comprendre ce qu’il me disait en m’approchant de plus bel vers lui, je sentis la douceur de sa senteur, m’enivrer comme une drogue, j’étais obnubilée par lui et perdu dans ce qu’il me disait.

D’un geste incongru, je plaçais ma main sur sa joue et très doucement, je me mettais à le caresser, ce qui ne le choquât pas, il me laissa faire. Je pris courage et je continuais à accentuer ma caresse sur ses deux belles joues.

– Que veux-tu me dit-il ?
– Je te veux toi depuis toujours tu m’obsèdes lui dis-je.
– Hum, seras tu assez discrète et moins jalouse ma petite Katie ?
– Laisses moi juste te croquer et la suite on verra rétorquais-je.

C’était dans un bureau de permanence, il n’y avait quasiment personne à cette heure, en dépit des agents de sécurité qui se trouvaient en bas. Je déboutonnais sa chemise avec désinvolture, un par un, il me laissa faire. Je découvris alors sa poitrine lisse, je commençais par sucer ses seins lentement, je sentais qu’il gémissait mais n’était pas assez expressif à ce sujet, je descendis sur son nombril avec calme, j’ouvris son jean et découvris sa grosse bite qui se raidissait. Il me la fallait dans ma bouche, je l’avalais avec peine tellement qu’elle était longue et grosse. Je la voulais en moi, après cette pipe, il faut préciser qu’il était assis sur une chaise. Je m’assis dessus cette bite qui avait un peu de peine à trouver la profondeur de ma chatte, avec un peu d’effort quoi que douloureux, elle s’enfouit en moi toute entière. Imaginez ma joie !

Mon prof me fait jouir…

J’allais et revenais doucement pour prendre du rythme, avec des mouvements saccadés que j’entamais, vint un orgasme qui boucha mes oreilles, je me sentais toute trempée. Quelle sensation !

– Enlèves moi ça petite salope me dit mon prof !
– J’ai envie de te sucer tout le corps.
J’obéis telle une petite fille à qui on donnait un ordre solennel, je laissais ainsi apparaitre mon corps nu dans cette petite salle un peu sombre. Il me souleva et me plaça avec adresse sur le petit bureau qui s’y trouvait, écarta mes jambes, enfonça ses deux gros doigts qui commencèrent à explorer ma chatte avec des va et viens rapides, tout de moi était en chaleur. Après, il retira ses doigts et posa sa langue sur mon clitoris en le léchant doucement, comme s’il était en train de m’infliger une punition extrême. Oh mon Dieu ! Là j’étais perdue, inondée par un océan de plaisir, je perds la vague, j’étais au ciel, des gémissements sans fin sortaient de moi, j’avais des mains immobiles. Je ne pouvais pas le toucher, et ce qui augmentait mon excitation, je ressentis des crampes partout, je le suppliais de me pénétrer, je le voulais plus encore moi. Et sur ce bureau, il souleva mes pieds, enfonça sa grosse bite que je reçu avec joie au fond de mes entrailles. Il partait et revenais en moi à la vitesse d’un train, je n’étais plus moi, j’étais ailleurs, puis survint un orgasme comme jamais, avant de le sentir jouir en moi fortement. Il se cloua sur moi, un petit baiser à la bouche. Nous restions immobiles. Le désir assouvi, l’amour dans le cœur.

Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

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Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Prise comme une chienne dans le train

Je dois dire que je n’ai pas choisi la voie de la facilité. Je suis chef de projet dans une grosse société de marketing, et mon lieu de travail se trouve à 100 bornes de chez-moi. C’est donc en train que je me rends au boulot tous les matins. Au début, j’avais du mal à supporter les autres voyageurs ainsi que l’ambiance générale d’une rame de TER.

Tu veux rencontrer une cougar bien chienne ?

Mais au bout du compte, je me suis aperçu que c’était bourré de petites meufs bien gaulées. Pour la plupart étudiante, elles suivaient une partie du trajet avec moi, et à force de les voir, il y a une belle petite brunette qui m’a tapé dans l’oeil. Au fil des voyages, j’ai remarqué que cette jeune salope me lançait des regards assez appuyés. A force de la voir me reluquer ainsi, je ne me suis pas non plus gêné pour le faire, et c’est avec délectation que je posais mon regard sur son putain de boule. Un cul d’enfer, bien rond et ferme, légèrement sortant, tout juste de quoi faire bander un impuissant. La chienne portait uniquement des leggings ultras moulants, et c’était aisé pour moi de deviner qu’elle ne portait que des strings. Je pouvais également imaginer sa raie étroite séparant ses deux grosses fesses de jeunette. Elle devait avoir le cul tout blanc avec un trou bien foncé en arrière-plan. J’adore ce type de fion, et à force de la mater, j’ai commencé à avoir envie d’y foutre mon nez.

Un jour, elle était debout juste devant moi, se tenant à une barre, coincée entre deux voyageurs. Son fiacre bien tendu était juste à quelques mètres de moi, et je pouvais presque sentir son odeur. Une trique d’enfer me fila une crampe à la queue. La belle s’est retournée en jetant un regard vers mon entre-jambes. Elle a fait les gros yeux en voyant ma bosse devenir une vraie montagne. Je suis devenu rouge comme une pivoine et me suis rendu illico aux chiottes pour me soulager. Je ne pouvais plus tenir.
J’ai déballé le matos pour me masturber, mais la brune m’avait audacieusement suivi. Elle toqua à la porte, et sans réfléchir, j’ai ouvert. Elle se jeta immédiatement sur ma béquille pour me prodiguer une grosse pipe dégueulasse et baveuse. Putain qu’est-ce qu’elle pompait bien. Mon gland lui chatouillait le fond du gosier, mais elle avalait encore plus loin, presque jusqu’aux burnes. Une pulsion bestiale a pris le contrôle de mon corps, et j’ai relevé la belle pour la retourner et la plaquer fermement contre la paroi. J’ai saisi l’élastique de son legging et de son string en même temps pour les baisser jusqu’aux genoux.

Prise comme une chienne

Son boule était tendu devant moi, et j’y ai plongé ma teube sans ménagement. Je voulais simplement l’enculer, la souiller et lui détruire le fion. Elle était prise comme une pute. Mon gros gland violacé se fraya un chemin jusqu’au fond de son rectum, et une fois bien fiché dedans, j’ai commencé à la limer comme un ramoneur professionnel. Je donnais de grands coups, du plus fort que je pouvais, et la petite étudiante salope couinait faiblement. Le chiotte a vite commencé à sentir le cul. Toute cette ambiance salace ainsi que cette sodomie brutale sur une jeune fille eurent raison de moi, et après quelques va-et-vients en profondeur, j’ai senti l’orgasme monté à pleine puissance. Je suis sorti de son étui pour me finir sur ses magnifiques fesses bien lisses. J’ai tartiné sa raie avec du foutre bien chaud, et j’étais assez fier de moi. Je ne sais pas si la salope a eu le temps de jouir, mais son trou du cul était béant comme un gouffre sans fond…
Nous avons repris nos places l’air de rien, et depuis ce jour, il m’arrive de l’enculer dans les chiottes avant d’arriver au bureau de bonne humeur.

Musulmane qui cachait bien son jeu

Yann, 29 ans se tape une musulmane voilée qui cache bien son jeu…

A l’époque, j’étais en fac de droit. C’est un cursus sympa, avec de bons débouchés, et surtout autant de filles que de mecs, contrairement à la médecine. Et je dois bien avouer – ne dites rien à mes parents – que ça a fait partie de mes critères pour choisir ces études. Oui, je le reconnais, je suis un vrai obsédé sexuel.

Premier jour, je débarque comme une fleur, à l’heure précise du début des cours. Et évidemment, l’amphi est déjà plein comme un œuf. Pas de veine pour moi, il ne reste plus de place. Ah si, je vois une place libre, à côté d’une nana, en plus. Sauf que, on est chanceux ou on ne l’est pas, la dite nana est voilée de la tête aux pieds. Pas une façon de parler : réellement de la tête aux pieds.

Je ne me déballonne pas, je m’assois à côté d’elle et je lui tends la main : « enchanté, moi c’est Yann ». Pas bégueule non plus, ma musulmane de choc me serre la pogne : « Laïla, enchantée également ». Wow, elle a la peau super douce, cette meuf. Dommage que ce soit une coincée du cul !

Au fil du temps, Laïla et moi avons sympathisé. Rien que de très platonique, je vous l’accorde, mais elle s’est révélée plus ouverte et moins idiote que sa tenue ne le laissait penser. Jusqu’à ce jour de février où, devant tous les deux rendre un exposé de droit public, elle m’invite à venir chez elle. Première surprise.

Seconde surprise, Laïla habite seul. Pas de mariage forcé, pas de parents traditionalistes et encombrants, ma beurette religieuse est une fille indépendante. J’arrive donc chez elle. Elle me fait retirer mes grolles. Normal. Et là, troisième surprise, elle retire le voile qu’elle a sur la tête. « J’espère que ça ne te dérange pas, c’est juste pour l’extérieur. Entre nous, on est suffisamment intimes ».

Je ne vous explique pas le canon ! Ou plutôt si. J’avais bien deviné de jolis yeux noirs derrière son déguisement, mais là je découvre une nana super belle, maquillée comme il faut, bref, super jolie. Elle s’absente pendant que je prépare les bouquins dont nous avons besoin pour l’exposé.

Et paf ! La voici qui revient en jean t-shirt. En plus, elle est gaulée comme une déesse ! Et, elle, toute décontractée, s’assied à côté de moi. Pour de la confiance, c’est de la confiance ! Sauf qu’elle ne sait pas quel obsédé sexuel je suis en fait. C’est bien simple, au lieu de me concentrer sur l’exposé, je suis subjugué par ses nibards !

On parvient tout de même à boucler le boulot (plus grâce à elle qu’à moi, je vous l’accorde) et Laïla m’offre un thé à la menthe, avant d’aller se coucher. C’est sûr, en rentrant, je vais me branler en pensant à elle ! Faut que je me calme !

Sauf que non, c’est elle qui devrait se calmer. Qu’est-ce qu’elle a à me coller comme ça ? Elle veut que je lui saute dessus ou quoi ? Oh pis, tant pis, je tente ma chance. Je lui roule une pelle. Hmmm, elle a la bouche encore chaude du thé qu’elle vient d’ingurgiter. Et elle se laisse faire. Mieux, elle en redemande !

En deux temps, trois mouvements, la voilà à poil. Elle est gaulée ! Je ne vous dis que ça. Le pubis touffu, certes, mais une poitrine géniale, un petit cul à faire bander n’importe quel fou de Dieu ! Allez, je lui fait une minette. Elle est chaude comme la braise. En moins de cinq minutes, elle a un orgasme.

Je sodomise ma musulmane

Ensuite, elle me suce, en montrant un certain talent pour la gorge profonde et pour la cravate de notaire. C’est le pied ! Puis, elle m’enfile une capote et me dit, le plus sérieusement du monde : « je veux rester vierge en tant que musulmane, tu sais ? Ça ne te gêne pas de passer par derrière ? ». L’hallu ! Elle me demande de l’enculer.

Et là, joignant le geste à la parole, elle se retourne et retire de son anus un gros plug anal, genre rosebud et elle se met à quatre pattes, en écartant les fesses. Son petit trou est tout palpitant, tout lisse, tout propre et j’ai une furieuse envie de le lui défoncer.

Le rosebud a fait son office. Elle est prête pour la sodomie. Je rentre d’une traite entre ses fesses et je commence à limer. Et elle ma cochonne de musulmane , à couiner. Au bout de quelques va-et-vient, ma beurette me réclame de grands coups de bite. Elle tortille du cul pour se faire bien comprendre.

Je l’ai baisée toute la nuit. Le lendemain matin, elle m’a juste demandé de ne jamais rien révéler à personne. C’est pour ça que j’ai changé son prénom. Et puis elle m’a sucé jusqu’au bout, en avalant tout mon foutre. Juré, craché !

Une étudiante perverse dans les toilettes d’un train

Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.

Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.

Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?

Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.

Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.

L’étudiante studieuse devient perverse…

La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.

Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.

Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.

Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.

Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.

Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.