Auto-stoppeuse et allumeuse

Brenda, l’auto-stoppeuse, est une étudiante de 20 ans. Elle a décidé de faire l’auto-stop pour se rendre à l’université car, elle en avait marre de prendre le métro. Pour mettre toutes les chances de son côté, elle s’est habillée de façon très attirante, aucun automobiliste ne pouvait lui résister.
C’est l’automne, les tenues légères sont de mise. Elle a donc arboré une minijupe noire, une chemise prêt du corps qui dessinait sa poitrine de taille 95B, et une petite veste pour courroner le tout. Brunette en lunettes, elle était si ravissante qu’à peine sur le trottoire, ça lui a pris tout juste quelques secondes pour trouver son humble chevalier.
C’est le genre de créature qui ne passe pas inaperçue. À la fois fragile et rebelle, elle dégage un charme et un manque de sérénité qui trahissent son jeune âge. Avec ses 1m63, ses formes légèrement pulpeuses, elle paraît plutôt accessible. Normal que ces chauffards se précipitent pour lui proposer de l’aide !

Toi aussi tu veux baiser une belle petite chienne ?

Parmi tous ces gentlemen, la parisienne a choisi un mec de 36 ans, conduisant une superbe citadine de couleur rouge. Il faut dire qu’un homme séduisant aux commandes d’une jolie bagnole, qui a une bague au doigt, ça fait plutôt crédible.
Thierry est marié, bien sûr, mais c’est un sacré Don Juan infidèle nottoire, ce que Brenda n’a pas pu deviner.

Alors qu’il s’arrête pour proposer son aide à la petite brunette, son intention était claire : la baiser. Comment allait-il procéder ? Les idées se bousculaient dans sa tête, il n’en n’était pas à son premier coup.

Avec Brenda, le courant est vite passé, ce bel homme à la fleur de l’âge a l’habitude de ce genre de situation, une étudiante pour lui, c’est plutôt facile.
D’ailleurs, d’entrée de jeu, il lui a fait bonne impression en se montrant sympa et courtois :  » Où dois-je condruire la princesse parisienne s’il vous plaît ? ». Charmeur et blagueur, il avait tout pour qu’elle ne résiste pas

Une fois l’auto-stoppeuse dans la voiture, le trentenaire a tout de suite cherché à détendre l’atmosphère en jouant une musique afro-pop que les jeunes adorent. Ils ont un peu moins de trois kilomètres de route à faire, ce sera quand même long.
Brenda est certe une fille sympa et sexy, elle peut parfois être une espiègle allumeuse mais, elle a un petit ami, son premier d’ailleurs ! Elle lui a toujours été fidèle et ne s’imaginait pas dans les bras d’un autre, surtout pas pour un coup vite fait avec un homme marié. Le petit jeu de Thierry était donc, en principe, voué à l’échec.
Le laissant venir, Brenda répondait à ses questions qui devenaient de plus en plus intimes. En bon séducteur, Thierry n’oubliait pas de garder sa subitilité pour ne pas irriter la parisienne.
Ce côté courtois mais drageur affaiblissait Brenda qui commençait à rentrer dans le jeu du trentenaire. Petit à petit, son coeur s’ouvrait, elle racontait sa relation amoureuse à Thierry, qui continuait son autopsie pour savoir sur quel pied danser.

Auto-stoppeuse à prendre

À 20 ans, on est forcément fragile et avide d’expérience ! Thierry allait donc utiliser cette faiblesse pour convaincre Brenda.

Thierry : écoute Brenda, t’es encore jeune, je souhaite que tu fasses longue vie avec ton petit ami mais, tu devrais aussi voir ailleurs de temps en temps.
Brenda : tu crois ? Mais je l’aime, je n’ose pas l’imaginer dans les bras d’une autre femme…
Thierry : nous sommes tous passé par là, moi, mon épouse, je lui ai été infidèle quand nous étions plus jeune, c’est la vie qui veut ça. Elle aussi d’ailleurs, a eues d’autres expériences. Aujourd’hui, nous ne regrettons pas. Ça nous a plutôt aidés.
Brenda : Tu crois ?

La conversation s’arrêta là, le piège s’était refermé sur Brenda, il fallit que Thierry donne le coup de grâce. Il posa sa main sur la cuisse de l’étudiante puis, commença à la caresser avant de remonter sa jupe courte, il toucha ensuite le string de Brenda. Son minou était tout mouillé, sous ses lunettes, on pouvait voir ses yeux bleus qui scintillaient. Elle transpirait légèrement, tous les signes montraient qu’elle était excitée.
C’est ainsi que Thierry se garra dans un coin, rabatta le siège de Brenda pour lui monter dessus. Il la baisa pendant plusieurs minutes avant d’éjaculer sur ses cuisses.
Mission accomplie, il lui remit un mouchoir à jeter pour s’essuyer puis, repris la route sans plus mot dire. Brenda était toute rouge, gênée et honteuse.

Nous n’avons pas su tout de suite si Sabrina agissait ainsi par pur opportunisme, pour être certaine d’être choisie à l’issu de son stage ou par vraie passion pour le sexe, mais, vous vous en doutez bien, c’est elle qui, parmi les douze stagiaires, a décroché la timbale. Toujours est-il que, depuis qu’elle a signé son CDI, elle baise toujours autant avec tous les collaborateurs du service. Et je ne suis pas le dernier à en profiter !

Moi, mariée, devenue femme infidèle lors d’une partouze au bureau

Nous sommes lundi matin et je me trouve dans mon bureau, toute en larme et animée par un sentiment de souillure, de trahison et d’humiliation, moi femme mariée, moi femme infidèle.. Je ferme les yeux et je revois la scène qui s’est passée le vendredi, en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi retrouver ma famille. Mon époux avait réservée une surprise pour mon anniversaire et j’avais hâte de rentrer pour voir ce qu’il avait concocté pour mes 40 ans.

Mariée à l’âge de 25 ans avec Julien, qui en avait 32 à l’époque, je lui avais promis fidélité éternelle, amour et soutien, contre vents et marées, pour le meilleur comme pour le pire. Nous avons toujours vécu dans l’entente et l’amour, nous avions surmonté des hauts et des bas et, il faut souligner que les « bas » étaient bien rares.

Quelques mois après mon mariage, je fus embauchée comme assistance de direction dans la société dirigée par le meilleur ami de mon époux, Henry. Sous sa houlette, j’ai toujours eu des traitements de faveur qui rendaient parfois jaloux mes collègues.

Henry et moi discutions beaucoup, quand on n’est pas planché sur un dossier épineux de l’entreprise où il prêtait toujours une attention particulière aux conseils et suggestions que je lui faisais, nous rigolions, parlions de tout et de rien et surtout, aimions chambrer mon Julien qui est le roi des bourdes.

Cette entente était amicale et courtoise, il m’a fait aimer l’entreprise, mon intégration a été tellement facile que j’ai eu l’impression, dès les premiers mois, d’y avoir toujours travaillée.
Henry n’était pas marié, il était juste en couple avec Mélanie, une fille qui n’aimait que s’amuser, elle ne songeait pas à fonder une famille. Cette situation le rendait instable et, il me demandait conseil à chaque fois, ma réponse était toujours catégorique :  » tu devrais aller voir ailleurs « .

Cependant, Henry ne pouvait pas se passer d’elle, elle était enjouée, belle, avait un humour inégalable et toujours opportune ; sa personnalité attachante et instable était comme une drogue pour ceux qui l’approchaient, elle était une mauvaise  » fréquentation  » mais irrésistible.

Femme infidèle baisée en trio au bureau

Un soir alors qu’on dînait tous les trois ( mon époux étant en voyage ), cette diablesse fit des suggestions qui m’ont gênées au plus haut point, j’étais tellement embarrassée que j’en devenais toute rouge.

En effet, elle suggérait une soirée arrosée qui finirait par une partouze. Diantre! Moi la super catho, moi dont on a toujours enseignée la vertu, comment pouvait-elle oser ?
En face, je voyais le regard tout aussi gêné d’Henry qui a tout fait ensuite pour réinstaurer une ambiance moins crispée.

Cette suggestion déclencha une envie de trahison, mais, je repoussais cette idée qui me hantait désormais mais qui faisait mouiller ma petite culotte. Il suffit que je ferme un oeil pour commencer à penser, à imaginer des scènes horriblement érotiques où Mélanie me caresse la chatte tandis qu’Henry m’embrasse avec ses lèvres fines. Quand je revenais à moi, le sentiment de culpabilité m’envahissait et, je jurais d’éteindre à jamais ce fantasme sordide qu’avait stimulée cette sotte.

Revenons à ce vendredi après-midi en entreprise. Il faisait assez tard, presque tout le monde était parti, Henry et Mélanie m’avaient fait une petite surprise en venant me rejoindre dans mon bureau, une bouteille de champagne et trois verres en mains, pendant que Julien m’attendait à la maison.

Je me laisse aller à une baise en trio

Mélanie fit éclater le champagne, s’approcha de moi et me roula une pelle par surprise. C’était tellement agréable que je l’embrassa aussi, sous le regard coupable et endiablé d’Henry. Me prenaient-ils pour une femme infidèle ?

C’était parti, allais-je atteindre le point du non retour ? Mélanie avait, en tout cas, l’air de s’y connaître. Je ne sais pas comment ses doigts ont fait pour toute atterrir dans mon vagin qu’elle titillait pendant qu’Henry avait déjà déboutonné ma chemise, je sentais ses mains douces sur mes seins qui durcissaient.

Moi, j’ai participé en dézippant la braguette d’Henry pour lui faire une branlette, puis une fellation, pendant que sa copine ne cessait de faire passer sa langue entre mes cuisses.
Nous avons baisé pendant une trentaine de minutes avant qu’ils ne m’abandonnent toute seule au bureau. En larmes, en pensant à mon Julien. J’étais devenue une femme infidèle…

Assistante sur un tournage porno

A l’époque, j’étais étudiante à Paris, dans une grande école de cinéma, que certains d’entre vous reconnaîtront sans doute. En dernière année, la direction des études nous imposait un stage d’un mois dans une société de production, ou sur le tournage d’un film. Facile à trouver, pour celles et ceux qui ont du piston. Mais pour moi, rien que la recherche de ce stage s’est avéré une vraie galère.

Finalement, j’ai trouvé quelque chose. Rien de bien intéressant, mais suffisant pour valider mon cursus et obtenir mon diplôme. Quand j’ai parlé de mon stage à mes copains d’école, ils ont bien rigolé. Et pour cause : j’étais embauchée comme assistante sur un tournage porno. Oui, un film x.

Mais attention. Je ne vous parle pas d’un petit film style amateur tourné avec des smartphones. Non. J’allais travailler sur la dernière production porno à gros budget d’un magnat du sexe sur pellicule. Mon stage allait se dérouler dans une immense villa de la côte, où j’allais bien entendue être nourrie, logée et – je ne le savais pas encore – baisée.

Première impression du tournage porno : contrairement aux apparences, les stars du X sont des gens bien élevés, pour la plupart cultivés et qui s’intéressent à autre chose qu’à leur bite. Je parle ici des hommes, car les nanas, venues le plus souvent des pays de l’Est ou d’Amérique latine ne parlaient pas un broc de Français, ou même d’Anglais, ce qui limitait carrément la conversation.

Mon travail consistait à encadrer les équipes, à engueuler les maquilleuses corps qui rechignaient à la tâche, à m’assurer de la luminosité des prises, à recalibrer certains éléments techniques… Finalement, c’était intéressant. Intéressant et sympathique, car j’ai vite sympathisé avec Édouard, un hardeur de la trentaine, avec qui nous discutions cinéma d’auteur entre deux prises.

C’était toujours étrange. Nous parlions des théories de Resnais ou de Truffaut quand débarquait le réalisateur, qui annonçait la prochaine prise dans cinq minutes. Édouard avalait une pilule supposée lui donner le braquemart et se branlait tout en continuant la conversation avec moi. Et la pilule faisait son effet. Quelle gaule ! Belle, bien droite, bien veinée, bref, sans défauts. Et je ne vous parle pas des proportions !

Puis il s’en allait tringler une petite bombe tchèque ou brésilienne, lui éjaculait dessus et revenait discuter avec moi des mérites comparés de chacun des films de la Nouvelle Vague. Au début, ça me laissait un peu de marbre, tout ça. Mais, à force de me rapprocher de mon beau hardeur, j’ai fini par lui trouver beaucoup de charme.

Je flashe sur l’acteur d’un tournage porno

Oui, et alors, me direz-vous ? Son métier consistait à niquer de véritables beautés, des filles gaulées comme des déesses – et jolies, en plus ! – pourquoi se serait-il intéressé à un petit boudin dans mon genre, si ce n’était pour une certaine stimulation intellectuelle ?

N’empêche que, un soir, alors qu’il avait passé presque toute la journée à enculer une splendide blonde hongroise, Édouard est venu frapper à ma porte. Nous n’avions pas pu discuter de toute la journée, la hardeuse ayant accaparé toute son attention. J’ai invité mon ami à entrer. Sans façon, il s’est assis sur le bord de mon lit et nous avons causé un peu.

Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes retrouvés à nous rouler des pelles et à nous peloter, allongés tout habillés sur la couverture de mon lit. Quand les choses allaient devenir sérieuses, Édouard a pris congé, manifestement gêné. J’ai du me masturber toute la nuit, pour libérer la tension sexuelle qui s’était accumulée en moi depuis deux semaines.

Le lendemain, nous avons fait comme si de rien n’était. Entre deux relectures de scénario avec Natasha, une poupée russe aux seins naturels et gigantesques, j’ai continué à discuter avec mon hardeur, que je trouvais décidément super beau. Au repas du soir, il m’a glissé à l’oreille : « je peux venir te voir, ce soir ? ». J’ai accepté.

Mais cette fois, pas question de le laisser repartir ! Je me suis habillée (ou déshabillée, c’est selon) d’une nuisette empruntée à une des actrices et je l’ai attendu, allongée là, sur le lit, offerte. Quand il est finalement arrivé, il est venu directement se coucher auprès de moi, m’embrassant fougueusement à pleine bouche.

Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un acteur porno savait aussi bien embrasser, caresser, lécher que mon bel Édouard. Une véritable exultation des sens ! Puis, sans toucher à ses fameuses pilules qui le faisaient bander, il a enfilé une capote, et il m’a prise comme dans le tournage porno du matin, mais en douceur, avec tact et toucher. Il s’est insinué en moi. Sa bite était énorme, je n’avais jamais été pénétrée comme ça.

Nous avons fait l’amour toute la nuit. J’avais l’impression d’être devenue une star du X d’un tournage porno. Sans avoir dormi, Édouard a repris son train-train le lendemain, avec une scène où il devait se faire pomper par deux nanas en même temps, puis les baiser à tour de rôle !

J’ai couché avec un hardeur

Je me prénomme Géraldine, je suis étudiante en Droit à Paris. Je suis célibataire, ma plus longue histoire d’amour n’a duré que quelques mois et je suis le genre de filles à vouloir profiter de la vie, et de ma jeunesse. Je ne cours pas plus que ça après les hommes, mais j’ai tout de même un joli tableau de chasse à mon palmarès.

Le garçon que je vais évoquer ici est connu, mais je ne vais pas vous révéler son nom, parce que j’ai appris, depuis notre aventure, qu’il était marié. Marié, et soi disant fidèle, malgré sa profession : Luc, appelons le ainsi, est acteur porno, un « hardeur » comme on dit. Je n’en savais rien quand il m’a abordé, un soir, en discothèque. Ce sont mes copines, avec qui j’étais sortie ce soir-là qui me l’ont dit.

Il faut vous dire à ce stade qu’il s’est montré envers moi aussi timide qu’entreprenant. Timide, dans le bon sens du terme, pas le genre de mec relou qui se la joue, si vous voyez ce que je veux dire. Entreprenant, dans le sens où il m’a clairement fait comprendre qu’il voulait passer du temps avec moi. Moi, et aucune autre fille, en tout cas ce soir-là.

Nous avons dansé, pas mal bu, et un peu discuté. Il m’a dit être comédien, je lui ai parlé de mes études, sans lui laisser penser que mes amies m’avaient, en réalité, tenue au courant de sa réelle activité. Et c’est sans penser à mal – enfin, un petit peu quand même, je l’avoue – que je l’ai laissé me raccompagner chez moi, puis que je l’ai invité à boire un dernier verre.

Je dis « sans penser à mal », parce que je ne regarde pas de porno et que je me suis pas mise à fantasmer au moment où j’ai appris qu’il était hardeur. Pour moi, c’était un coup d’un soir comme les autres. Si vous connaissez un peu le porno gonzo, vous devez vous rendre compte, à ce stade, qu’une grosse, mais alors très grosse surprise, m’attendait.

Nous avons flirté sur mon canapé, nous nous sommes bécotés, il a commencé à caresser mes seins. Une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvée en petite culotte et lui en slip. Oui, j’ai bien vu la bosse qui s’était formé sous le tissu, mais je n’en ai rien déduit de spécial. Les caresses se sont faites de plus en plus précises, jusqu’à ce qu’il retire ma culotte.

Je me suis retrouvée assise sur le canapé, lui à genoux devant moi, à me faire un cunnilingus. Rien à voir avec les clichés du porno : il était doux, assez talentueux de sa langue, à l’écoute de mes désirs. J’ai eu un premier orgasme, petit, mais sympathique. Alors, il s’est redressé. Et j’ai retiré son slip.

Hardeur à grosse queue !

Mazette, mes amies, quel engin. Je n’ai pas vraiment le compas dans l’œil, mais je peux vous certifier que sa verge faisait, au bas mot, dans les 25 cm ! Et large, en plus de ça ! J’ai cru tourner de l’œil devant l’engin qu’il me présentait. Luc eut l’air gêné. Je l’ai attiré à moi pour l’embrasser à pleine bouche, pour le rassurer.

Je sentais son membre contre ma peau. Je ne me trompais pas, il était raide comme la justice ! J’avais déjà connu des garçons bien membrés mais, en général, ceux-ci n’avaient pas de si formidables érections. J’ai demandé à Luc de s’installer à son tour sur le canapé et j’ai commencé à le sucer.

Quand il s’est trouvé vraiment bien chaud, j’ai tendu la main jusqu’à mon sac pour en tirer une capote. Il m’a souri, a retenu ma main. Puis il s’est penché vers son pantalon et en a tiré un étui de de préservatif XXL. Oui, évidemment, j’aurais du m’en douter, un hardeur est équipé hors normes.

Tant bien que mal, je me suis acharnée à poser le condom sur sa verge énorme. J’avais un peu peur, c’est vrai, mais j’étais aussi très excitée à l’idée d’essayer un tel membre et de le sentir en moi. Quand il fut équipé, je me suis mise à califourchon sur lui. Et je me suis empalée. J’ai senti chacun des 25 centimètres pénétrer dans mon vagin. Une sensation fabuleuse, d’autant qu’il me laissait faire à ma guise. Habitué qu’il était à son propre corps, il avait peur de me faire mal.

Emportée par mon élan, je me suis mise à faire des mouvements de va-et-vient sur sa verge. Je ne m’en étais pas rendue compte, mais il n’était pas encore entière en moi. D’un coup, son membre s’est fiché jusqu’aux testicules dans mon sexe et là, je dois bien dire que j’ai eu mal.

Mais ça n’a duré qu’un temps. Très vite, le plaisir a repris le dessus et je ne suis pas prête d’oublier ce sentiment de plénitude d’être baisée par une grosse bite. Depuis, il m’arrive de regarder des films de cul, mais uniquement les films de mon hardeur préféré !

La bimbo a le feu au cul !

Je voulais vous raconter cette histoire, juste pour donner un conseil aux gars qui, un peu comme moi, manquent d’assurance au niveau drague. Et n’allez pas croire que je suis un mytho, j’étais, ce soir-là, avec quatre gars qui peuvent tous témoigner de ce qui m’est arrivé. Mais même moi, j’ai encore du mal à me dire que c’est à moi que c’est arrivé.

Alors, déjà, pour un rebeu, c’est pas toujours facile d’approcher une nana. Je ne vais pas vous faire le couplet sur le racisme, mais franchement, il y a des meufs qui se méfient des gars comme moi. En plus, j’avoue, je suis pas hyper beau, je suis plutôt petit, voilà quoi.

Mais quand j’ai vu cette meuf dans le café où je traînais avec des potes, j’ai flashé tout de suite. La jupe ras la foufe, des longues jambes fines et blanches, un cul à tomber et des nichons comme des pastèques ! La blonde parfaite, la bimbo absolu ! En plus, avec de jolis bleus, un joli minou.

Bref, la meuf trop bien pour moi. N’empêche, je suis allé lui proposer un verre, alors que les potes se foutaient de ma gueule. Elle a hésité un moment, m’a regardé dans les yeux. J’essayais tant bien que mal de ne pas loucher dans son décolleté. Elle a dit oui. Je lui ai payé un whisky-coca et on a commencé à discuter.

En fait, on avait trop de points communs : on avait fait les mêmes études, on écoutait la même zik, on kiffait les mêmes films. On s’est tellement marré ensemble que j’en ai presque oublié que je voulais me la faire. Et, vers deux heures du mat’, elle m’a dit qu’elle était fatiguée, qu’elle bossait tôt le lendemain.

Là, je lui demande son 06. Elle me répond qu’elle a oublié son portable chez elle et qu’elle ne sait plus le numéro. Je me dis : « mon gars, c’est mort, mais au moins, t’auras essayé ! ». Elle, toute tranquille, toute belle, elle me dit : « c’est pas grave, raccompagne-moi chez moi, de toute façon, j’ai peur à cette heure-ci, y a trop de racailles dans le coin ». Mort de rire !

Bilan, je me retrouve chez elle, un peu timide, un peu coincé, sans trop savoir comment m’y prendre. J’ai un peu envie que l’espoir dure le plus longtemps possible, quitte à me prendre un râteau en plein pif. Du coup, c’est elle qui prend les devants. Hallucinant la meuf ! Pourtant, elle a l’air de ne pas avoir si confiance en elle que ça. Mais la voilà qui me fait un strip-tease, jusqu’à se retrouver en string soutif devant moi !

Une bimbo en rut pour moi tout seule !

La vache, elle est gaulée comme une déesse. Genre les meufs que tu vois dans les films de cul. Elle se rapproche de moi. Putain, faut que j’assure ! Elle est sur mes joues, face à moi, et elle me roule des pelles. Elle m’allume comme une diablesse. Je suis maintenant le nez dans son soutif, presque étouffé par ses énormes nibards. Je lui enlève quasiment le soutien-gorge avec les dents.

N’empêche, ses seins, ils tiennent tout seuls. Un vrai miracle de la nature, surtout que c’est même pas du silicone. Elle me déshabille, et elle se fout complètement à poil. Elle me taille une pipe de rêve, j’ai même failli craquer une ou deux fois. Alors, je l’emmène sur le lit et je me mets à la lécher. Sa foufe est toute lisse, toute épilée, elle sent même vachement bon.

Je la lèche un bon moment, autant pour lui rendre la politesse que pour faire baisser la pression chez moi. Au bout d’un moment, elle gueule : « oh oui, c’est bon, fais-moi du bien mon petit rebeu ! Vas-y, Kader, lèche-moi ». Bon, moi c’est Hakim, mais c’est pas grave mademoiselle, je t’en veux pas du tout.

Une fois qu’elle a bien joui, elle m’embrasse encore, puis s’allonge de nouveau sur son pieu. Et là, elle me sort la phrase qui tue : « fais-moi l’amour Hakim, j’ai trop envie de toi ». Moi, je suis comme un ouf, je ne sais même plus par où commencer, tellement tout me met en appétit chez elle. Je lui bouffe les seins et je commence à la pénétrer. La vache, c’est qu’elle aime ça, en plus !

En missionnaire, en levrette, en amazone, je crois qu’on a fait une bonne moitié des positions du kamasutra cette nuit-là ! J’étais trop bien, trop chaud, trop love ! Jusqu’à ce qu’elle me tende son boule, en écartant les fesses. Sans déconner, d’habitude, j’aime pas la sodomie, je trouve ça un peu crade. Mais là, franchement, j’y suis allé. Son cul me faisait trop envie. En plus, je ne pouvais quand même pas lui refuser, à ma bimbo !

Dépucelé par une pute

Jusqu’à mes 25 ans, je n’avais pas encore goûté au nirvana, trempé la saucisse dans la sauce, coller la banane, mangé le fruit défendu, exploré la vallée sacrée, autant d’expression pour vous dire que je n’avais pas encore été dépucelé !
Mon vrai problème était la timidité, j’avais peur de parler aux femmes, surtout quand elles étaient très belles. Mes deux meilleurs amis, qui n’éprouvaient pas du tout cette difficulté avec la gente féminine me coachaient à la drague, aux techniques de domination, du stress, etc… Mais, le résultat était toujours le même. Je désespérais vraiment !

Un samedi soir, mes amis et moi allions en discothèque. Comme à leur habitude, ils abordaient des meufs facilement, dansaient avec elles et très souvent, finissaient la soirée ensemble. Moi, je restais cloué sur mon siège à me soûler et à regarder les gens s’amuser. A force de boire ce jour là, j’avais la vessie pleine, une vidange s’imposait. Au moment où je sortais des toilettes, j’ai brusquement été heurté par une meuf. Je soupçonnais qu’elle l’avait fait exprès. Elle était ravissante, portait une mini robe très ajustée à son corps et on pouvait voir ses jambes lisses s’élancer sur une paire de talons aiguille.
Elle s’excusa poliment et nous fîmes brièvement connaissance avant qu’elle ne me propose de danser pour se faire pardonner de sa maladresse. J’étais nul en danse et je flippais grave de me taper la honte devant tout le monde. Elle me rassura en disant :  » t’inquiète pas, danser n’est pas difficile, tu n’as qu’à suivre mon rythme « .
Après cette petite danse agréable, elle me demanda gentiment si je pouvais l’accompagner à sa voiture pour y prendre un paquet de cigarette qu’elle avait laissé. N’y voyant pas d’inconvénient, je le suivis naïvement. De toutes les façons j’étais incapable de refuser quoique ce soit à une femme.
Arrivé à sa voiture, on s’y installa le temps pour elle de fumer une clope. Elle était assise sur le siège du chauffeur et moi sur le siège passager. Ses jambes étaient tellement hautes que sa robe remontait vers son bassin, en y jetant un coup d’œil, je constatais qu’elle ne portait pas de culotte. Je pouvais clairement voir sa chatte rasée, c’était la première fois que j’en voyais une de si près. J’étais excité et en même temps très nerveux. J’avais des sueurs froides, mes mains étaient moites et aussi étonnant que cela puisse paraître j’avais envie de disparaître.
Elle me surprit en train de mater son minou, au lieu de me réprimer, ce à quoi je m’attendais, elle prit ma main gauche et la posa sur sa chatte en me demandant de caresser son clitoris. Je m’exécutais timidement en me servant de mon index. Elle me demanda ensuite de lui foutre trois doigts dans la chatte. Apparemment, je lui faisais du bien à entendre ces gémissements, et moi ça me détendait. Par la suite, elle recula son siège à fond, posa ses pieds sur le tableau de bord et m’invita à me mettre entre ses jambes pour lui lécher le clito. Ma langue sillonna ce petit bouton magique qui ne cessait de lui faire hurler de bonheur. Des contractions et spasmes l’envahirent et ses gémissements se faisaient plus fort, elle avait eu un orgasme.
Maintenant qu’elle avait pris son pied, j’espérais prendre aussi le mien, je sortis alors ma queue toute dure de mon pantalon, et, à ma grande surprise, elle me recala net en me sortant tout un baratin comme quoi je devrais être patient. Puis, elle m’exhortait à retourner à l’intérieur de la boite car nos amis respectifs devraient certainement être à notre recherche.

Dépucelé par une pute !

Je n’étais pas content du tout qu’elle se foute de ma gueule mais, je me sentais néanmoins satisfait d’avoir pu lui donner un orgasme.
Je suis allé retrouver mes amis et elle s’est évanouit dans la foule, avant de refaire surface plus tard dans la soirée. Elle vint me dire qu’elle rentrait et elle aimerait bien qu’on finisse la soirée ensemble. J’ai foncé sans réfléchir après avoir dit au revoir à mes potes.
Nous sommes allés chez moi. Sans perdre de temps, elle déclencha les préliminaires en me tétant le phallus lentement. Puis, elle m’enfila une capote avant de m’ouvrir enfin le chemin du paradis que j’avais tant espérer depuis des années. Sa chatte était toute chaude et tellement douce que j’ai juté trop vite, moins de 10 minutes après le début de la pénétration.
Pour contenter son plaisir je lui fis un cunnilingus. Nous reprîmes un second round plus tard. Cette fois, la partie dura un peu plus longtemps.
Quand vint le moment pour elle de partir, je lui demandais son numéro, elle me le refusa gentiment en me disant que c’était une pute qui avait été payé par mes potes pour me dépuceler !
Je n’en croyais pas mes oreilles, moi le fraîchement dépucelé et dire que j’avais hâte de leur raconter cette aventure.

Première fois avec des échangistes

Je n’aurais jamais cru que cela pouvait se passer comme ça, dans les clubs échangistes. Et pourtant ce n’était pas faute de m’être renseignée auparavant, depuis le temps que mon mari et moi parlions du fait de nous lancer – enfin ! à plus de 50 ans – dans le libertinage. Je pensais qu’on s’isolait dans une alcôve avec un autre couple et qu’on partouzait à quatre. Je me suis aperçue que ce n’était pas toujours ainsi que les choses se passaient.

Quoi qu’il en soit, nous étions enfin décidés. J’avais commandé une tenue libertine qui mettait en valeur mon opulente poitrine et nous sommes donc allés, pour la première fois, dans un club échangiste. Première surprise : il y avait plein de jeunes, de 20 ans, de 30 ans. Seconde surprise : les alcôves étaient vides, tout ce beau monde se pelotait sur la piste de danse. Le paradis des échangistes…

Troisième et dernière surprise, mais non la moindre : malgré mon âge avancé, le décolleté de ma tenue coquine attirait l’œil de pas mal de jeunes gens. Jusqu’à ce qu’un charmant couple nous aborde. Ils ne devaient pas avoir trente ans. Lui, un petit minet, assez grand, très beau, me souriait tout en passant son regard de mon visage à mes seins. Elle, une petite bombe blonde, de jolis petits seins à croquer, qui se montrait très tactile avec mon mari.

Malgré l’écart d’âge, c’était eux qui savaient. Eux qui dirigeaient les événements. Ils nous ont guidés jusqu’aux coins-câlins du club. Mais, à mon grand étonnement, ils ne nous ont pas conduits jusqu’à une pièce fermée, mais sur un immense lit à baldaquins où, manifestement, ils avaient leurs habitudes.

Tout a commencé de façon soft. Il a joué avec mes seins et avec ceux de sa petite amie, mon mari l’imitant maladroitement. Puis elle a sorti la bite de la braguette de mon homme, et s’est mise à se masturber de la main droite et à le branler de la main gauche. J’ai fait de même.

Un attroupement de quelques jeunes couples s’est fait autour du grand lit. Du regard, ou d’un simple geste de la main, la jeune blonde libertine attirait vers elle les couples qui trouvaient grâce à ses yeux. Très vite, nous nous sommes retrouvés à six couples – douze personnes ! – serrés sur ce lit qui, décidément, n’était pas si grand que ça !

Au début embarrassée, je me suis laissée aller au plaisir de toutes ses mains et toutes ses bouches qui me frôlaient, me touchaient, me caressaient à des endroits de mon corps que, jusqu’ici, je n’avais confiés qu’à mon mari. Quant à lui, il était en train de se faire sucer par une jeune maghrébine de 35 ans environ, qui le prenait en fond de gorge, et il pelotait en même temps les fesses d’une grande brune de 30 ans maximum, qui en léchait une autre.

Orgie d’échangistes !!

Moi, j’avais des sexes d’hommes et des seins de femmes à ma disposition. Un jeune gars très mignon avait planté sa tête entre mes cuisses et me suçotait le petit bouton. J’en suçais un autre, puis un autre, je ne savais plus où donner de la tête. Pendant plus d’une heure, il n’y eut aucune pénétration.

Mais j’avais joui déjà trois fois ! J’étais épuisée… J’ai fait signe à mon mari de quitter le lit. Nous sommes allés boire un verre. Ensuite, nous sommes retournés vers le grand lit, où le premier couple était encore affairé à jouir et à faire jouir. Mais les participants n’étaient plus les mêmes. Certains couples mélangistes – c’est ainsi qu’on appelle cet autre passe temps des échangistes, je l’apprendrai par la suite – avaient quitté la bataille, d’autres étaient venus en renfort.

Nous hésitions à revenir dans la mêlée, pas certains d’y être encore conviés. La petite blonde ne nous laissa pas longtemps en plan, nous faisant comprendre que nous étions toujours les bienvenus. Tout le monde caressait, embrassait, suçait tout le monde, les hommes et les femmes, bien entendu, les filles entre elles aussi.

Toute la nuit, nous avons alterné entre cette gigantesque partouze et le bar, où nous devions reprendre des forces de temps à autre. Le jeune couple, quant à lui, n’a pas arrêté de toute la nuit. C’est aux aurores que la patronne du club échangiste nous a fait comprendre qu’il était temps pour elle de fermer. Le jeune libertin a alors éjaculé sur mes seins offerts, la petite blonde a fait jouir mon mari dans sa bouche et a tout avalé.

Il m’arrive de penser parfois que tout cela n’était qu’un rêve, mais nous retournons presque tous les samedis dans ce club, et les choses sont toujours aussi coquines.

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !

Ma femme aime que je sois bisexuel

«  Et si on se faisait un petit plan à trois pour commencer  ?  ». Je n’arrivais pas à croire que ma femme venait de dire ça. Un plan bisex ? Cela faisait déjà quelques mois qu’elle me bassinait avec ses blagues sur l’échangisme, mais là, soit elle était sérieuse, soit elle allait trop loin. Nous étions au beau milieu de la brasserie, j’avais l’impression que tout le monde l’avait entendue.

Ma fourchette est restée suspendue au moins une minute entre mon assiette et ma bouche, mon regard a fait le tour de la salle de restaurant pour vérifier la réaction des autres clients. Rien, heureusement. J’ai ensuite regardé Annie. Elle était sérieuse. J’ai décidé de la prendre aux mots  : «  avec un homme ou une femme, ton plan cul à trois  ?  ». Elle ne s’est pas dégonflée, bien au contraire  : «  écouté, chéri, je sais quel genre de sites tu regardes sur le net, je crois qu’avec un homme bisexuel, ce serait le mieux. Oui un plan bisex avec un homme. ».


Cette fois, j’avais failli m’étouffer avec la bouchée de haricots verts que j’avais dans la bouche. En même temps, je n’avais jamais caché à ma chérie une certaine curiosité pour le sexe entre hommes. Pas de quoi s’alarmer. «  Et tu envisages ça comment, on peut savoir?  ». Elle me regarda dans le blanc des yeux  : «  on va sur un site, on trouve le mec, on l’invite chez nous et voilà  !  » me répondit-elle avec le plus grand calme, en croquant dans son sandwich.

Quand ma femme décide de quelque chose, il ne lui faut jamais longtemps pour mettre ses projets à exécution. Non seulement elle a trouvé un beau mec susceptible de nous plaire à tous les deux, non seulement elle l’a invité un vendredi soir à la maison, mais elle m’a aussi dégoté une tenue spéciale pour notre soirée trioliste  : un petit short ultra-moulant et un haut en résille noir.

Le soir dit, j’ai mis ma tenue provoc, et ma femme des vêtements qu ressemblaient plutôt, à mon humble avis, à des sous-vêtements. Le type est arrivé, c’est ma femme qui est venue lui ouvrir. Il était en tenue de bureau, genre complet, et, homophobie mise à part, j’avais franchement l’air d’un PD du Marais à côté de lui.

Le gars avait l’air très à l’aise, moi pas du tout. Il s’est assis entre nous sur le sofa, nous avons bu un verre. Personnellement, j’avais envie de boire un truc assez fort. Les choses n’allèrent pas plus loin pendant près d’une heure. C’est ma femme qui lança les hostilités  : «  si tout le monde se plaît, on peut peut-être passer dans la chambre  ?  ». A croire qu’elle avait fait ça toute sa vie.

Nous sommes donc allés dans la chambre conjugale et nous nous sommes déshabillés, un peu chacun de notre côté. L’atmosphère était tendue. Le gars était beau, bien gaulé. Il a commencé à s’approcher de ma femme. Je les ai regardés se peloter, se toucher, s’embrasser même. Elle a pris sa queue raide en main. J’avais la trique. Elle m’a fait signe de venir les rejoindre. Pour mon premier trip bisexuel ?!?

Je me suis retrouvé à genoux devant le zob du type, que ma femme a planté dans ma bouche sans autre forme de procès. Ma première pipe. J’ai fait de mon mieux, en faisant coulisser la hampe entre mes lèvres, en jouant de la langue sur son frein. Bref, j’ai fait tout ce que moi, j’aime qu’on me fasse quand on me fait une turlutte. Jusqu’à me surprendre à creuser les joues.

Révélation : j’aime être bisex(uel) !

A vrai dire, j’aimais le sucer, d’autant plus que ma femme me suçait à mon tour. J’adore quand elle me pompe, c’est une reine de la fellation. Nous avons échangé les rôles. Il m’a sucé, pendant que je léchais le con de ma chérie. Incroyable le nombre de possibilités qui existent, rien qu’en sexe oral, quand on est trois  !

Après plus d’une heure de ces jeux de langue, j’ai eu envie de prendre ma femme, de la baiser, comme pour montrer à l’autre qu’elle était à moi. Elle a grimpé sur mon érection, dos à moi et, tout en me chevauchant, elle s’est occupée de la bite de notre troisième larron. Au bout d’un moment, il est venu lui agacer le clito avec sa bouche. Il descendait jusqu’à mes couilles, qu’il suçait divinement bien.

Puis, ce fut à son tour de la niquer, en levrette, et la bite encapotée. Je me suis placé face à la bouche de mon épouse qui, tout en se faisant limer, m’a fait jouir au fond de sa gorge. Lui aussi a joui fortement, puis nous nous sommes occupés tous les deux d’elle, jusqu’à son orgasme.

Pour cette première fois bisexuelle, je ne suis pas allé très loin. Mais ma femme m’a promis d’autres rendez-vous de ce genre avec des inconnus.

Les pieds de la japonaise

Avant toute chose – et avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée tout récemment – je tiens à dire que je n’ai jamais trompé ma femme. Pour dire vrai, je lui ai même tout raconté de cet épisode étrange de ma vie et je dois dire qu’elle a eu bien du mal à me croire. Pour finir, elle m’a dit qu’elle ne voyait pas comment un homme hétéro normalement constitué, surtout un peu fétichiste des pieds comme je le suis moi-même, aurait pu résister.

L’histoire se déroule donc il y a quelques semaines. Il faut vous dire que je suis consultant en entreprise. Au gré des demandes de séminaires, je suis donc appelé à travers toute la France, la Belgique et la Suisse, et je voyage en train : c’est plus reposant et ça limite l’empreinte carbone. Cette fois, je partais pour le sud de la France.

A mon départ, le train était presque vide. J’ai donc pu m’installer tranquillement dans une de ces places où quatre sièges se font face. Je me suis placé dans le sens de la marche, côté fenêtre. J’adore voir notre beau pays défiler sous mes yeux. Las ! A la gare suivante, une nuée de touristes japonais s’est emparée du wagon. N’allez pas voir dans mes propos quoi que ce soit de raciste, mais ils faisaient, tous ensemble, l’effet d’une nuée d’oiseaux.

Se sont installées à mes côtés quatre gamines nipponnes. Quand je dis  » gamines « , elles devaient avoir la vingtaine. Toutes très jolies, du genre qu’on voit dans les films X japonais, vous voyez ? Bref. Finie ma belle tranquillité. On s’échange quelques sourires polis, elles ne semblent pas parler un traître mot de français, d’allemand ou d’anglais. Le voyage va être long, je m’assoupis.


C’est une étrange sensation qui me réveille. Quelque chose semble être posé sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux et j’aperçois les jambes nues de la jolie japonaise placée en face de moi qui s’étendent jusqu’à mon siège. Je ne suis pas repéré, je vais en profiter pour voir ce qu’elle fait exactement. Oui, elle me masse la bite au travers du pantalon.

Je fais mine de me réveiller. Elle retire à toute vitesse sa jambe. Je me redresse et je vois que ses pieds sont nus. Deux petits petons magnifiques, très sensuels. Les trois filles s’échangent des sourires rieurs, puis se mettent à rire ostensiblement. La japonaise devant moi est le centre des attentions. Elle a fait ça aux vues et aux sus de ses compagnes de voyage !

J’arrive à attraper son regard. Je veux lui faire sentir que je sais ce qu’elle a fait pendant mon sommeil. Je crois que le message est passé, elle se met à rougir. Un silence relatif s’installe autour de nous. Les nanas semblent gênées. Je repars dans la contemplation du paysage qui défile.

Cinq minutes passent. Les japonaises ont repris une conversation fiévreuse. De temps à autre, mon regard repart vers les pieds, toujours nu, de ma voisine d’en face. C’est vrai qu’ils sont beaux. On a envie de les caresser. On traverse une ville, je cherche des yeux ses monuments les plus célèbres.

Le pied de la japonaise

Le pied de la japonaise me tire de ma rêverie. Un air de défi dans le regard, elle me fixe de ses yeux noirs. Ses copines assistent à la scène, comme pétrifiées. De ses orteils, elle tente de me branler à travers le tissu du pantalon. Je décide de changer d’attitude : je prends son pied, dans l’idée de le repousser vigoureusement.

Mais je suis surpris par la douceur de sa peau et, au lieu de me rebeller, me voici en train de caresser son superbe peton. Les autres japonaises s’envoient des sourires complices. Je me décide à la laisser faire. Avec une habileté incroyable, elle entreprend de baisser ma braguette en attrapant la tirette avec deux orteils ! Elle y parvient sans difficulté. Son pied est maintenant en contact presque direct avec mon sexe.

Je saisis ma veste pour la placer sur mes genoux car, ne l’oublions pas, nous sommes dans un train bondé. Incroyable ! La fille arrive à sortir ma queue tendue de sa cachette, à glisser son autre pied sous ma veste et commence à me branler magnifiquement. Ma voisine de gauche, elle, se penche de plus en plus vers moi. Tant qu’elle finit par se coller à moi. Je sens sa poitrine menue sur mon épaule.

Et l’autre qui me masturbe avec ses pieds. C’est trop ! Je pose la main sur le sein de ma voisine, qui me caresse maintenant les cheveux. Mes jambes se tendent. Mon souffle est court. La branleuse a accéléré le mouvement. Je jouis en serrant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir.

La jeune japonaise retire ses pieds. Ils sont plein de sperme. Elle s’essuie avec une lingette, puis, dans un sourire, m’en tend une autre. Je fais de mon mieux, sous ma veste, pour me laver le sexe. Le train ralentit. Nouvelle gare. L’équipe de touristes japonais est arrivée à destination.