Amoureuse de mon gode réaliste

Oui, je l’avoue, je fais partie de ces femmes totalement accroc à leurs godes, à leurs sextoys. Mais qu’on se rassure : j’ai, par ailleurs, une vie sexuelle tout à fait équilibrée, avec un petit copain régulier et quelques amants de passage. A vrai dire, j’avais toujours trouvé cette passion de certaines filles pour les jouets coquins parfaitement ridicule.

Non mais franchement : quel genre de femmes mouille pour un canard ou pour un petit vibro tout rose et tout mimi ? Pas moi, en tout cas. Et puis, un soir de beuveries entre copines, nous nous sommes décidées à rentrer dans un sexshop. Pas un lieu mal famé, un truc un peu hype, où on trouve des femmes seules, des couples… mais nous avions la sensation de nous encanailler comme des dingues.

Là, je suis tombé nez-à-nez avec lui, au rayons godes. Je vais l’appeler Johnny, rapport à un acteur américain que vous reconnaîtrez et qui m’a toujours fait fantasmer. Lui, et son gland énorme, lui et ses belles veines bien dessinées… Lui, le pénis parfait. Je ne savais même pas que ça existait. Une vendeuse, voyant mon désarroi m’a tout expliqué, très simplement et très gentiment : « c’est ce qu’on appelle un gode réaliste, il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs, si vous voyez ce que je veux dire… ».

Je voyais bien, oui, mais je pris mon air le plus sceptique, tout en reluquant du coin de l’œil la bite parfaite en PVC. C’est là que je l’ai remarquée : au pied de Johnny, si j’ose dire, le fabricant avait ajouté une ventouse, qui me donna tout à coup un maximum d’idées toutes plus salaces les unes que les autres. Mes copines m’ont extirpée du sexshop, pour aller boire un coup, et j’ai laissé mon Johnny tout seul, avec sa trique.

Mais dès le lendemain, je suis allée sur un sexstore en ligne. Et j’ai acheté Johnny. Je lui devais bien ça : j’avais rêvé de sa fantastique bite toute la nuit, et j’avais déjà pris un pied monstrueux à l’imaginer en moi.

48 heures. J’ai du attendre 48 heures avant qu’on ne vienne me livrer Johnny. Une longue absence que j’ai ressentie au creux de mes cuisses et que j’ai compensé avec un premier amant le premier soir, avec mon petit ami la seconde nuit. Sans grands résultats. Mon amant est donc arrivé un soir, par livreur. Trempée jusqu’aux cuisses, j’ai ouvert compulsivement le paquet.

Il était là, mon gode… Gros, épais, long et bien veiné, il n’y avait plus qu’à. Je me suis retrouvée nue au milieu de mon appartement en moins d’une minute. Mince ! J’avais oublié de commander le lubrifiant ! J’ai passé une main sur ma chatte… pas besoin de lubrifiant.

Je me suis allongée sur mon canapé et j’ai commencé à jouer avec mon clitoris, tout en admirant la forme parfaite de mon nouveau gode. Rien que cette caresse et cette vue ont suffit à me faire jouir une première fois. C’était déjà une de plus que mes deux nuits précédentes.

Un gros gode très réaliste !

Et là, j’ai saisi Johnny et je l’ai invité à me baiser. J’ai introduit chaque centimètre de mon gode en moi, pour bien sentir ses belles veines qui me caressaient les grandes lèvres, les petites, et l’intérieur du vagin. Le monstre s’est finalement logé contre mon col, et je l’ai retiré.

Pour mieux pouvoir me l’enfoncer d’un coup, presque jusqu’à la garde. Je me baisais moi-même et pourtant, je gueulais comme si un mec en rut était en train de me laminer la moule ! Quelle incroyable sensation ! C’était vraiment autre chose que les petits canards vibrants et autres joyeusetés du genre.

J’ai passé la nuit à me défoncer avec mon beau Johnny. Et même aujourd’hui, alors que je dispose d’une collection assez extravagante de godes réalistes, des moyens, des gros et des énormes, des noirs, des blancs et des asiatiques, Johnny reste le préféré de mes godes.

Le plus souvent, je le colle par sa ventouse à la grande vitre de mon armoire et il me baise en levrette, là, à même le sol. Maintenant, j’arrive à prendre ses 22 centimètres jusqu’au fond, c’est ça me défonce toujours autant.

Côté mec, je recherche désespérément un gars avec une aussi belle bite que Johnny. Il pourra être moche, obèse, vieux, je m’en fous. Je veux une vraie bite qui soit à la hauteur de celle de Johnny : belle, bien dessinée, épaisse et longue et surtout toujours disposée à me niquer, quand j’en ai envie, c’est-à-dire souvent.

S’il se trouve quelqu’un qui lit ces lignes et qui se reconnaît dans le portrait de cette bite magique, sachez que j’ai 31 ans, que je suis plutôt jolie, assez bien gaulée et que je suis devenue en quelques années une vraie bête de sexe, grâce à Johnny !

Ma cousine est une cochonne

Par Steve, 24 ans

Ah, les obligations familiales, quelle plaie ! Invité au mariage de ma cousine (pas la cochonne, une autre ;)), j’ai du quitter mes potes et mes vacances pour aller à l’autre bout de la France faire la bise à toutes les vieilles et tous les vieux de ma famille… Mais, vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter.

Parmi les interminables présentations, les « si, souviens-toi, c’est la cousine du frère de la sœur de machin-chose », j’ai tout de même eu une bonne surprise. Parmi mes cousines se trouvait Erika, une splendide brune dont je ne me souvenais pas bien, à vrai dire.

Il faut dire qu’Erika a 9 ans de plus que moi, et que c’est une cousine issue de germain. Une grande gigue, pas loin du mètre 80, de beaux yeux noirs, une peau magnifique, de longs cheveux qui la rendent super sexy. Sans compter qu’elle porte, pour l’occasion, une superbe robe avec un décolleté plongeant qui met en valeur une poitrine opulente et rebondie.

Seule ombre au tableau : Erika est venue avec son mari. Ben oui, il y a toujours un mari dans ces cas-là. Un type sympa, ouvert, mais bon, j’aurais quand même préféré qu’il n’existe pas. On passe à la mairie, à l’église, tout le tralala, puis à table. Et là, coup de bol, je me retrouve assis à côté de ma jolie cousine.

Une fois l’apéro avalé, je m’aperçois qu’Erika se dandine bizarrement sur sa chaise. Je jette un coup d’œil rapide. Ce salaud de Thierry – c’est le prénom du mari – est en train de la peloter sous la table. De la peloter, voir même carrément de la masturber ! La vache, je bande comme un taureau en imaginant à quel point elle doit être en train de mouiller.

Merde ! Je suis repéré. Ils ont vu que je les ai vus. Et ils ne s’arrêtent pas de se tripoter, là, juste à côté de moi. L’entrée arrive : des huîtres. Putain ! Il faut la voir déguster ses coquillages, on dirait qu’elle bouffe une chatte ! J’en peux plus, j’ai la bite en feu. En plus, j’ai une vue plongeante sur ses deux grosses mamelles, à la cousine !

Je me lève. Il faut que j’aille aux toilettes, histoire de me calmer un peu. Cette salope d’Erika m’a mis dans tous mes états ! Je me demande si je ne vais pas carrément me branler, histoire de me retrouver plus serein. Je pousse la porte d’une cabine, j’entre, je ferme derrière moi. Ah ben non, quelqu’un pousse la porte à son tour, m’empêchant de fermer.

Quelqu’un, ou plutôt quelqu’une. Erika, évidemment ! Elle a un sourire pervers, des yeux brillants de cochonne en chaleur. Elle s’enferme avec moi et me met directement la main au paquet la cochonne… En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans ses nibards, elle a sorti ma bite tendue et me branle délicieusement.

Je veux lui rendre la pareille, je passe sous sa robe. Elle n’a pas de culotte. Attends, y a un fil qui dépasse de ta chatte, ma coquine ! Ah oui, ok, cette vicieuse a des boules de geïsha plantées dans la moule, c’est ça qui doit la transformer en chaudasse en manque !

Je fais de mon mieux pour lui faire du bien. Et ça marche, apparemment : elle se mord les lèvres pour retenir ses couinements de plaisir que, du coup, je suis le seul à pouvoir entendre. Et plus elle est proche de l’extase, plus elle me branle !

Je vais décharger, c’est sûr ! Pourvu que je ne salisse pas sa jolie robe. Non, la coquine a de l’expérience. Au moment où elle sent que je vais jouir, elle se fout à genoux, prend ma teub en bouche et avale tout, avec une gourmandise non dissimulée.

Erika se relève et quitte la cabine. Je tente de reprendre mes esprits. Je me lave un coup au lavabo puis je repars vers ma place à table. Merde ! Thierry a forcément du se rendre compte de quelque chose. Je vais me faire péter la gueule, c’est sûr.

Non, il est là, peinard, en train de boire du vin. Bien sûr, qu’il a tout compris. Pire ! C’est lui qui a manigancé tout ça, je le sens à l’air ravi qu’il prend quand il m’adresse la parole. Sur ce, la mère de la mariée vient nous voir. Elle est désolée, il y a eu un problème dans les réservations de chambres, à l’hôtel.

On va devoir, Erika, Thierry et moi, partager la même chambre pour la nuit. « Mais ça ne devrait pas poser de problèmes, entre cousins » lui répond du tac au tac Erika, avec son petit air habituel de Sainte-Nitouche, le joli masque de ma cousine cochonne préférée !

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

Je fantasme sur mon demi-frère

Vincent est, pour ainsi dire, mon demi-frère. Nous avons grandi ensemble. Il avait 11 ans, moi 10 ans, quand nos parents, veufs tous les deux, ont commencé à se fréquenter, puis ont aménagé ensemble. Si bien que je le considérais, il y a encore peu de temps, comme mon véritable frère, son père comme le mien, ma mère comme la sienne.

Mais la vie réserve parfois quelques surprises. Chez moi, tout s’est déclenché quand Vincent a commencé à sortir de façon régulière – et, dirais-je, sérieuse – avec une fille qui me ressemblait trait pour trait. Tout le monde, dans l’entourage de mon demi-frère remarquait cette ressemblance entre sa copine et moi. Certains me disaient que j’étais juste un peu plus jolie ce que – en toute humilité – je pensais au fond de moi.

Ainsi, Vincent s’était-il peut-être forgé un idéal féminin à partir de moi, comme modèle ? C’est là que j’ai commencé à fantasmer. De manière plus érotique que sentimentale, je dois bien l’avouer, et peut-être même de façon plus pornographique qu’érotique.

Mon demi-frère n’est pourtant pas très beau. Je veux dire que ce n’est pas un canon, même s’il a un certain charme et un assez joli palmarès en tant que séducteur. Et puis j’ai commencé à être jalouse de sa nouvelle copine qui, décidément, ne m’arrivait pas à la cheville, aux dires de beaucoup de nos amis.

Je les ai imaginé en train de faire l’amour dans tous les coins où je passais : dans le métro, dans une cabine d’essayage au grand magasin, au bureau, dans des toilettes publiques, au cinéma, bref, absolument partout. Où que j’aille, je les imaginais baisant comme des lapins.

Et puis, l’image de mes fantasmes est devenue plus floue, puis plus précise, au contraire : ce n’était plus elle, sa copine, qui le suçait sous la douche, c’était moi. Ce n’était plus elle qu’il tringlait en levrette dans les vestiaires sordides et puants de son club de foot, mais moi. Ce n’était plus elle qui le branlait lors d’un voyage en train, mais ma main qui finissait couverte du foutre chaud de Vincent.

Je me suis alors souvenue de nos jeux d’enfants, du docteur, de « action et vérité » et mes délires obsessionnels sont allés de plus en plus loin. Je n’arrivais plus à m’ôter de la tête l’image de sa grosse bite (je l’ai vu plusieurs fois tout nu, quand nous étions plus jeunes), l’envie de la lui sucer, de la prendre en moi. J’étais morte de honte à cause de ces fantasmes, mais je n’arrivais plus à lutter.

Alors, un jour où nous nous étions réservés une soirée rien que pour nous deux, alors que nous étions avachis sur le lit de sa chambre d’étudiant, je lui ai tout raconté. Je lui ai raconté comment il me faisait fantasmer, comment la vue de la bosse au niveau de sa braguette me faisait mouiller ma petite culotte.

Mais il n’a pas compris. Il a cru que je lui parlais du passé. Et s’est mis à son tour à se confier à moi. Il m’a avoué que, plus jeune, il avait percé un trou entre sa chambre et notre salle de bains pour pouvoir me voir, il m’a dit comment il se branlait régulièrement en pensant à mon corps. Oui, mais avant, quand nous étions jeunes et stupides.

A cette évocation, mes yeux se retrouvèrent embués de tristesse. Ma petite culotte aussi, pour d’autres raisons. Nous étions adultes, plus question de jouer au docteur ensemble. Quand je suis rentrée chez moi, ce soir-là, je me suis masturbée presque toute la nuit en m’imaginant dans ses bras.

Il fallait que je réagisse. Que je me sorte ces fantasmes honteux de la tête ou que je passe à l’acte ! Mais comment ? Il ne comprenait pas que c’était là, maintenant, que j’avais envie qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me fasse tout ce qui lui passait par la tête !

Un plan machiavélique m’est venu. J’ai dérobé le portable de sa copine. J’ai appelé Vincent en me faisant passer pour elle. Je lui ai dit que j’avais une surprise coquine pour lui, ce soir. Qu’il devait m’attendre dans l’obscurité, que j’arriverais à 22h. Il a tout gobé. Je tenais ma revanche sur la vie. Jamais il ne se rendrait compte que c’était moi, et pas elle, dans la chambre ! Enfin, j’allais pouvoir sucer Vincent, le prendre en moi et le faire jouir !

Le rendez-vous est fixé à 22h. A l’heure où j’écris ces lignes, il est 21h, et je ne sais pas encore bien que faire, je ne sais pas si je vais rejoindre mon demi-frère et mettre mon plan à exécution.

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

Vidéo porno du récit Prise au gode-ceinture en public

Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Une étudiante bien vicieuse

Je me prénomme Laura et je suis une jeune étudiante de 19 ans, en première année de fac de droit. Je dois vous avouer que les études ne sont pas ma préoccupation principale dans la vie. Personnellement, ce que j’apprécie plus que tout, c’est le sexe. Déjà bien plus jeune je matais des films pornos sur l’ordinateur familial en cachette, quand mes parents n’étaient pas là. Le soir, dans ma chambre, il m’arrivait de regarder des DVD cochons pour m’exciter et je me masturbais parfois pendant des heures dans mon petit lit avant de finir par trouver le sommeil.

L’époque où je me faisais jouir toute seule est terminée, maintenant  je ne manque pas de partenaires sexuels. Je fais l’amour avec des hommes, avec des femmes, parfois même avec les deux en même temps. Si vous êtes d’accord, je vais vous raconter quelques-uns de mes souvenirs de baise les plus inoubliables. Je reviendrai de temps à autres pour vous tenir au courant de mes aventures sexuelles. Il m’en arrive tant et de tellement variées. Quand elles ne se produisent pas toutes seules, je m’arrange pour les susciter.

Avant d’être majeure, je baisais déjà avec des petits copains, mais pas si tôt que ça quand même. J’ai été déviergée juste avant mes 17 printemps par un copain de mon frère du même âge que moi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais vraiment eu envie de multiplier les aventures avec des hommes plus âgés que moi mais j’avais décidé, à contrecœur d’être raisonnable car j’avais un peu peur de les embarrasser si leurs relations avec une fille mineure venaient à être connues dans leur entourage.

Alors, je laissais libre cours à mes fantasmes en m’imaginant faire l’amour avec des amis de mon père ou des professeurs et je me masturbais toute seule en imaginant la grosse bite qu’ils cachaient sous leur pantalon. Ca me faisait toujours beaucoup mouiller de m’imaginer agenouillée devant l’un d’eux, occupée à téter leur gros bout tout en leur flattant les couilles comme je l’avais vu si souvent faire par des actrices pornos dans les vidéos  que je matais dans le secret de ma chambre comme une étudiante bien vicieuse…

Vidéo porno du récit Une étudiante bien vicieuse

Ma défloration s’est déroulée le plus naturellement du monde et dans les meilleures conditions. En fait, pour être honnête, je n’étais déjà plus réellement pucelle, le beau godemichet que je m’étais fait livrer par correspondance en profitant des congés de mes parents pour le recevoir discrètement avait déjà fait le travail depuis un bon moment.  J’adorais me l’enfourner dans la chatte, le faire glisser longuement entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il me fasse jouir. Je le mettais moins souvent dans mon cul, mais c’était toujours en feuilletant une revue pornographique cachée sous les draps. Je le faisais coulisser longtemps  dans mes orifices jusqu’à ce qu’il me fasse enfin jouir dans un long feulement de bonheur.

Antoine, le garçon qui m’a niquée pour la toute première fois était loin d’être un amant exceptionnel, mais c’est une chose que j’ai réalisée seulement bien plus tard, en baisant avec des hommes d’expérience, ceux-là même qui nourrissaient mes fantasmes de lycéenne puis d’étudiante depuis plusieurs années.  Je lui suis tout de même reconnaissante de m’avoir fait l’amour en y mettant autant de sensualité que de conviction et. Et oui, vous verrez, il m’arrive parfois d’être plus romantique qu’on ne pourrait le croire au premier abord.

Après le passage de ce cap nécessaire, j’ai encore fait l’amour quelque fois avec Antoine mais ce n’était décidement pas mon type d’homme et notre histoire s’est arrêtée assez vite.

Ensuite, j’ai  connu deux autres jeunes camarades de lycée, tous mineurs comme moi. J’avais hâte de ne plus être limitée dans le choix de mes partenaires. Dès que mes 18 ans ont été là, je me suis mise à rechercher des partenaires plus mûrs, plus disposés à assouvir avec passion mes fantasmes et mes désirs les plus inavouables de jeune fille. Ca a été le début d’une période faste pour moi, période qui se prolonge encore aujourd’hui et dont je viendrai vous conter les péripéties à l’occasion si vous le voulez bien.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.