La belle bite de mon gendre

Je suis une femme de 56 ans divorcée depuis longtemps. J’ai une fille unique, en couple avec mon gendre, un jeune homme très attirant. Je lorgne sur lui depuis des mois sans oser faire le premier pas, sans doute retenue par la morale. Mais un jour, je lui ai demandé de passer à la maison pour m’aider à déplacer un meuble. J’ai décidé de tenter le coup et de me lâcher. Il sonna à la porte. J’étais stressée mais je suis allée lui ouvrir en tenue légère.

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Nous étions enfin seuls tous les deux, sans ma fille. Je me trouvais en face de lui. J’ai commencé à le fixer en glissant mon doigt dans l’ouverture de mon peignoir, pour finir par l’ouvrir complètement. Il n’en revenait pas que la mère de sa femme s’offre à lui de la sorte. J’avais honte de faire ça à ma progéniture, mais j’en avais si envie que je ne pouvais pas me retenir. « Dis moi que je te fais bander, s’il te plaît ».

Un gros engin rien que pour moi !

Il ne dit pas un mot et se rapprocha de moi pour me rouler une grosse pelle. Il plongea sa langue au fond de ma bouche et je fis de même. J’ai tout de suite senti sa grosse queue durcir contre moi. j’ai posé ma main dessus pour la masser. Je n’avais pas tâté un tel engin depuis des lustres. J’ai ouvert la braguette pour en déloger le monstre que j’ai tout de suite commencé à branler avec engouement.

Sa hampe pleine de veine était si épaisse que j’avais du mal à en faire le tour avec mes petits doigts. Je continuais de rouler des pelles à mon beau-fils lorsqu’il a enfin décidé de me démonter. Il m’a posé sur la table comme une vulgaire chose, de telle manière que ma raie complète et mes orifices se trouvaient à sa merci. Il a tout de choisi entre mon cul et ma chatte, car j’ai senti son gros gland se frayer un chemin dans mon derrière. Comme un soldat plantant un drapeau sur une motte de terre, il enfourna son glaive dans ma grotte jusqu’au fondement et commença à me labourer l’arrière-train avec force et vigueur.

Enculée par la bite de mon gendre !

Il me tenait par le coup, fermement, mais son étreinte me permettait encore de respirer convenablement. Je retenais mes cris. La bite de mon gendre dans mon fion était si bonne, l’interdit me rend folle. Il m’encula ainsi sans fioriture, alternant les périodes douces et les moments de bourrinage intensif. Je n’en pouvais plus. je l’ai supplié d’en finir. J’avais joui plusieurs fois déjà, et je n’attendais qu’une chose, qu’il se vide en moi, qu’il répande son sperme dans le petit cul mature et timide de sa belle maman. Il le fit, avec force et volume. Mon rectum était plein du foutre de mon gendre. Il se retira et des paquets de sa semence coulèrent le long de mes cuisses pour se répandre sur le sol. Voilà, c’était fait, je venais de me faire enculer par mon beau-fils. Je venais de tromper ma propre fille. Quelle honte, mais quel bonheur en même temps…

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Levrette violente en ascenseur

Toujours en retard, comme d’habitude! Je suis bien une femme… Je devais me rendre à un entretien important et je n’imaginais pas du tout qu’il pouvait se passer quelque chose d’intéressant en cours de route. J’ai vite saisi mon sac à main et je me suis dirigée sur le pas de la porte. J’aurai dû prendre les escaliers pour aller plus vite, mais trop la flemme, et puis je ne voulais pas transpirer et risquer de faire couler mon maquillage. L’ascenseur arrive, la porte s’ouvre, et un beau jeune homme est déjà présent à l’intérieur.

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Quel canon, je suis presque gênée de monter avec lui. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’oeil à son entre-jambes. Sacré paquet! Ça doit faire une semaine que je n’ai pas baisé un coup, et je commence à être en manque. Je suis une petite salope, dès que l’occasion se présente de se prendre une bonne queue, je n’hésite pas une seule seconde. J’ai déjà des idées coquines qui me traversent l’esprit. Je n’ai jamais baisé dans un ascenseur en plus, ça doit être excitant. Le mec à l’air un peu timide, il ne me lâche pas un mot et je n’imagine pas qu’il ose tenter un truc. Pourtant, vers la moitié de la descente, le jeune homme appuie fermement sur le bouton d’arrêt d’urgence. L’ascenseur se bloque, ça secoue un peu, et une petite alarme se met à sonner. Je le regarde avec un air de stupeur, et le mec me prend tout de suite les hanches et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue se fraye un chemin jusqu’au fond de ma cavité buccale. Au lieu de le repousser, je me mets moi aussi à lui sucer la langue.

Nous nous roulons des patins comme deux pervers. Ses mains glissent sur mon corps pour se fixer sur mon cul. Il commence à me malaxer les fesses comme un boulanger qui pétrit son pain. Il lève ma jupe et passe sous le tissu. Il se rend compte que je ne porte pas de culotte et je sens tout de suite son engin tripler de volume. Il se frotte sur ma cuisse comme un animal. Je ne peux pas le laisser dans cet état. Je me tourne, finis de lever ma jupe pour bien dévoiler mon cul et je tends la croupe comme une chienne. Je le fixe et lui dis « Prends-moi bien fort, fais ce que tu veux de moi ». Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que le salaud à déjà son gland collé sur l’entrée de mon petit trou du cul innocent, en levrette. Le fumier a choisi l’orifice le plus étroit, et vu la taille de son engin, il va me démonter. Je serre les dents et encaisse la première pénétration. Ouch! C’est dur mais ça passe. Il est déjà calé au fond de mes entrailles et commence à me bourriner le fion comme un goujat.

Enculée en levrette dans l’ascenseur !

C’est rare que je mouille du cul, mais la je suis trempée. Il y va si fort que ses couilles claquent sur mes fesses. J’ai l’impression de me faire enculer et fesser en même temps. Je ne vais pas tarder à jouir. Je lui dis, et le bel inconnu se met à gémir comme un porc tout en me remplissant le fondement d’une dose impressionnante de foutre tiède. J’en ai plein le rectum et je vais devoir remonter chez moi pour essuyer tout ça. Finalement, je suis bien arrivée en retard!

Prise comme une chienne dans le train

Je dois dire que je n’ai pas choisi la voie de la facilité. Je suis chef de projet dans une grosse société de marketing, et mon lieu de travail se trouve à 100 bornes de chez-moi. C’est donc en train que je me rends au boulot tous les matins. Au début, j’avais du mal à supporter les autres voyageurs ainsi que l’ambiance générale d’une rame de TER.

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Mais au bout du compte, je me suis aperçu que c’était bourré de petites meufs bien gaulées. Pour la plupart étudiante, elles suivaient une partie du trajet avec moi, et à force de les voir, il y a une belle petite brunette qui m’a tapé dans l’oeil. Au fil des voyages, j’ai remarqué que cette jeune salope me lançait des regards assez appuyés. A force de la voir me reluquer ainsi, je ne me suis pas non plus gêné pour le faire, et c’est avec délectation que je posais mon regard sur son putain de boule. Un cul d’enfer, bien rond et ferme, légèrement sortant, tout juste de quoi faire bander un impuissant. La chienne portait uniquement des leggings ultras moulants, et c’était aisé pour moi de deviner qu’elle ne portait que des strings. Je pouvais également imaginer sa raie étroite séparant ses deux grosses fesses de jeunette. Elle devait avoir le cul tout blanc avec un trou bien foncé en arrière-plan. J’adore ce type de fion, et à force de la mater, j’ai commencé à avoir envie d’y foutre mon nez.

Un jour, elle était debout juste devant moi, se tenant à une barre, coincée entre deux voyageurs. Son fiacre bien tendu était juste à quelques mètres de moi, et je pouvais presque sentir son odeur. Une trique d’enfer me fila une crampe à la queue. La belle s’est retournée en jetant un regard vers mon entre-jambes. Elle a fait les gros yeux en voyant ma bosse devenir une vraie montagne. Je suis devenu rouge comme une pivoine et me suis rendu illico aux chiottes pour me soulager. Je ne pouvais plus tenir.
J’ai déballé le matos pour me masturber, mais la brune m’avait audacieusement suivi. Elle toqua à la porte, et sans réfléchir, j’ai ouvert. Elle se jeta immédiatement sur ma béquille pour me prodiguer une grosse pipe dégueulasse et baveuse. Putain qu’est-ce qu’elle pompait bien. Mon gland lui chatouillait le fond du gosier, mais elle avalait encore plus loin, presque jusqu’aux burnes. Une pulsion bestiale a pris le contrôle de mon corps, et j’ai relevé la belle pour la retourner et la plaquer fermement contre la paroi. J’ai saisi l’élastique de son legging et de son string en même temps pour les baisser jusqu’aux genoux.

Prise comme une chienne

Son boule était tendu devant moi, et j’y ai plongé ma teube sans ménagement. Je voulais simplement l’enculer, la souiller et lui détruire le fion. Elle était prise comme une pute. Mon gros gland violacé se fraya un chemin jusqu’au fond de son rectum, et une fois bien fiché dedans, j’ai commencé à la limer comme un ramoneur professionnel. Je donnais de grands coups, du plus fort que je pouvais, et la petite étudiante salope couinait faiblement. Le chiotte a vite commencé à sentir le cul. Toute cette ambiance salace ainsi que cette sodomie brutale sur une jeune fille eurent raison de moi, et après quelques va-et-vients en profondeur, j’ai senti l’orgasme monté à pleine puissance. Je suis sorti de son étui pour me finir sur ses magnifiques fesses bien lisses. J’ai tartiné sa raie avec du foutre bien chaud, et j’étais assez fier de moi. Je ne sais pas si la salope a eu le temps de jouir, mais son trou du cul était béant comme un gouffre sans fond…
Nous avons repris nos places l’air de rien, et depuis ce jour, il m’arrive de l’enculer dans les chiottes avant d’arriver au bureau de bonne humeur.

J’encule une bourgeoise

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Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Momo, je suis maghrébin et je vis en banlieue proche de Paris, où je viens de passer mon bac. Depuis, je suis inscrit en fac de sociologie, à l’autre bout de la ville et je passe énormément de temps dans les transports en commun. Je ne vais pas jouer au jeune de banlieue qui se galère, je dis juste que ce serait plus pratique pour moi d’habiter dans le cinquième arrondissement !

N’empêche que cette situation m’a valu de vivre une drôle d’aventure, avec une femme bien plus âgée que moi. Elle devait avoir au moins 45 ans, peut-être même 50 ans. En sortant de la fac, je suis allé boire un verre avec quelques copains. Une chose en entraînant une autre, j’ai finalement pris le dernier métro pour rentrer chez mes parents.

La rame était vide, jusqu’à cette station, où une belle dame bourgeoise est entrée dans le métro et est venue s’asseoir en face de moi. Une belle femme, vêtue de façon chic et sexy. Et plutôt que de détourner le regard comme le font tous les gens à Paris, elle m’a salué d’un « bonsoir » en me souriant. Puis nous avons discuté, notamment de ma situation par rapport aux transports.

Allumeuse, Christine m’a lancé « et pourquoi tu ne viendrais pas dormir chez moi, au moins cette nuit ? ». J’étais sur le cul. Mais vous savez ce que c’est : un mec de mon âge ne refuse jamais un plan cul, même avec une vieille ! J’ai donc suivi la couguar, qui en a profité pour tortiller du boule dans l’escalier qui menait à son appartement.

A peine arrivé chez elle, je me suis retrouvé avec la bite dans sa bouche. La diablesse essayait de me prendre en fond de gorge, jusqu’à s’étouffer elle-même. Quand j’ai été bien chaud – et elle aussi – elle m’a fait un petit strip-tease, assez hardcore, en se masturbant en même temps qu’elle se déshabillait.

A mon grand étonnement, elle était très bien gaulée. Mis à part le fait qu’elle marchait bizarrement, elle avait tout d’une pro : la technique, le style, deux beaux gros seins qui semblaient encore assez fermes, le cul haut et la chatte entièrement épilée.

La chatte étroite de la bourgeoise

J’avais encore la teub raide, sortie de la braguette. Christine est partie, à poil, fouiller dans son sac à main et en a sorti une pleine boite de capotes. Elle m’en a passé une sur le membre et est venue s’enfiler sur moi, toujours assis sur le canapé.

A voir l’âge de la libertine, et en supposant que j’étais loin d’être le premier à rentrer ainsi dans sa chatte, je n’aurais pas pensé une seconde qu’elle allait être aussi serrée. Elle était pourtant trempée de mouille, mais j’ai même eu du mal à rentrer entièrement.

Une fois dedans, par contre, quel pied ! Sa chatte me massait la queue, même à travers la capote, tandis que Christine semblait sur le point de s’évanouir, à force de plaisir. Elle était en transe, et ne fut pas longue à jouir une première fois.

Après ça, elle s’est relevée. Elle m’a tendu la main pour que je la suive jusque dans sa chambre. Elle tordait toujours autant du cul et je ne comprenais pas pour moi. Une fois dans son intimité, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a commencé à écarter ses fesses devant moi. Sous mes yeux incrédules, elle a retiré de son anus un plug qui devait y être depuis le début de la journée.

bourgeoise veut que je l’encule !

Elle a fourré sa tête dans l’oreiller et m’a quasiment supplié : « encule-moi, maintenant ». Je dois bien avouer que je n’avais jamais sodomisé une femme avant cela. J’ai réajusté une nouvelle capote sur mon zob, toujours tendu comme un arc, et je me suis approché du boule en question.

Le sextoy avait fait son office. L’anus de Christine était béant, en forme de O. J’ai posé mon gland sur l’orifice et j’ai poussé. C’était comme si ma bite avait été aspirée. Je suis rentrer d’un coup, faisant gueuler ma couguar comme une bête. Un temps, j’ai cru lui avoir fait mal, mais en la voyant dandiner du fion comme elle le faisait, j’ai vite été rassuré.

J’ai enculé Christine – que dis-je ? Je l’ai chevauchée – comme un salaud. Son trou du cul était plus ample que sa chatte quand elle était comprimée par le plug anal. Et moi, je m’étais planté jusqu’aux couilles dedans, j’encule une bourgeoise, putain !!

Au bout d’un moment, en me demandant de la traiter de salope, de pute et de vide-couilles, Christine a commencé à se masturber, allant même jusqu’à planter quatre doigts dans sa moule dégoulinante de cyprine. Du coup, son anus s’est resserré autour de ma pine, et j’ai joui une première fois, sans sortir de son cul.

Musulmane qui cachait bien son jeu

Yann, 29 ans se tape une musulmane voilée qui cache bien son jeu…

A l’époque, j’étais en fac de droit. C’est un cursus sympa, avec de bons débouchés, et surtout autant de filles que de mecs, contrairement à la médecine. Et je dois bien avouer – ne dites rien à mes parents – que ça a fait partie de mes critères pour choisir ces études. Oui, je le reconnais, je suis un vrai obsédé sexuel.

Premier jour, je débarque comme une fleur, à l’heure précise du début des cours. Et évidemment, l’amphi est déjà plein comme un œuf. Pas de veine pour moi, il ne reste plus de place. Ah si, je vois une place libre, à côté d’une nana, en plus. Sauf que, on est chanceux ou on ne l’est pas, la dite nana est voilée de la tête aux pieds. Pas une façon de parler : réellement de la tête aux pieds.

Je ne me déballonne pas, je m’assois à côté d’elle et je lui tends la main : « enchanté, moi c’est Yann ». Pas bégueule non plus, ma musulmane de choc me serre la pogne : « Laïla, enchantée également ». Wow, elle a la peau super douce, cette meuf. Dommage que ce soit une coincée du cul !

Au fil du temps, Laïla et moi avons sympathisé. Rien que de très platonique, je vous l’accorde, mais elle s’est révélée plus ouverte et moins idiote que sa tenue ne le laissait penser. Jusqu’à ce jour de février où, devant tous les deux rendre un exposé de droit public, elle m’invite à venir chez elle. Première surprise.

Seconde surprise, Laïla habite seul. Pas de mariage forcé, pas de parents traditionalistes et encombrants, ma beurette religieuse est une fille indépendante. J’arrive donc chez elle. Elle me fait retirer mes grolles. Normal. Et là, troisième surprise, elle retire le voile qu’elle a sur la tête. « J’espère que ça ne te dérange pas, c’est juste pour l’extérieur. Entre nous, on est suffisamment intimes ».

Je ne vous explique pas le canon ! Ou plutôt si. J’avais bien deviné de jolis yeux noirs derrière son déguisement, mais là je découvre une nana super belle, maquillée comme il faut, bref, super jolie. Elle s’absente pendant que je prépare les bouquins dont nous avons besoin pour l’exposé.

Et paf ! La voici qui revient en jean t-shirt. En plus, elle est gaulée comme une déesse ! Et, elle, toute décontractée, s’assied à côté de moi. Pour de la confiance, c’est de la confiance ! Sauf qu’elle ne sait pas quel obsédé sexuel je suis en fait. C’est bien simple, au lieu de me concentrer sur l’exposé, je suis subjugué par ses nibards !

On parvient tout de même à boucler le boulot (plus grâce à elle qu’à moi, je vous l’accorde) et Laïla m’offre un thé à la menthe, avant d’aller se coucher. C’est sûr, en rentrant, je vais me branler en pensant à elle ! Faut que je me calme !

Sauf que non, c’est elle qui devrait se calmer. Qu’est-ce qu’elle a à me coller comme ça ? Elle veut que je lui saute dessus ou quoi ? Oh pis, tant pis, je tente ma chance. Je lui roule une pelle. Hmmm, elle a la bouche encore chaude du thé qu’elle vient d’ingurgiter. Et elle se laisse faire. Mieux, elle en redemande !

En deux temps, trois mouvements, la voilà à poil. Elle est gaulée ! Je ne vous dis que ça. Le pubis touffu, certes, mais une poitrine géniale, un petit cul à faire bander n’importe quel fou de Dieu ! Allez, je lui fait une minette. Elle est chaude comme la braise. En moins de cinq minutes, elle a un orgasme.

Je sodomise ma musulmane

Ensuite, elle me suce, en montrant un certain talent pour la gorge profonde et pour la cravate de notaire. C’est le pied ! Puis, elle m’enfile une capote et me dit, le plus sérieusement du monde : « je veux rester vierge en tant que musulmane, tu sais ? Ça ne te gêne pas de passer par derrière ? ». L’hallu ! Elle me demande de l’enculer.

Et là, joignant le geste à la parole, elle se retourne et retire de son anus un gros plug anal, genre rosebud et elle se met à quatre pattes, en écartant les fesses. Son petit trou est tout palpitant, tout lisse, tout propre et j’ai une furieuse envie de le lui défoncer.

Le rosebud a fait son office. Elle est prête pour la sodomie. Je rentre d’une traite entre ses fesses et je commence à limer. Et elle ma cochonne de musulmane , à couiner. Au bout de quelques va-et-vient, ma beurette me réclame de grands coups de bite. Elle tortille du cul pour se faire bien comprendre.

Je l’ai baisée toute la nuit. Le lendemain matin, elle m’a juste demandé de ne jamais rien révéler à personne. C’est pour ça que j’ai changé son prénom. Et puis elle m’a sucé jusqu’au bout, en avalant tout mon foutre. Juré, craché !

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !

Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
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Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.