Mature baisée par son jardinier…

Qui a dit qu’à 60 ans, mature comme on dit on ne pouvait plus prendre son pied ? Pour moi c’est tout le contraire, je me prénomme Elisabeth, je suis une veuve de 60 ans, j’ai perdu mon mari il y a 8 ans. Je m’étais armée d’une arme contre la solitude et mon compagnon fidèle est devenu mon godemichet. J’habite une très grande maison et à mon âge, il me faut des gens pour entretenir ma maison et le jardin. Je ne parlerai pas de tous les « domestiques », mais d’un en particulier : c’est Patrick mon jardinier.

> Branché par une rencontre avec une femme mûre ? <

Un jeune costaud, la vingtaine à peine, brun, j’avoue qu’il est beau à voir, il finissait plus tard que les autres et venait souvent me dire au revoir quand il s’en allait des lieux. Ce jour-là, j’étais perdu, je voulais ravoir la sensation que me fait mon godemichet comme d’habitude.
Je décidais alors de me masturber, je me déshabillais, allongée dans mon lit. Je pris un peu de lubrifiant et versa sur mes seins, je commençais à les caresser avant d’introduire mon godemichet dans mon sexe, je me masturbais en pensant à mon défunt mari, de tous ces beaux moments que nous passâmes. J’avais les yeux fermés, je rêvais des mains qui me caressaient, d’un sexe qui me pénétrait. Quand soudain, je sentis les mains d’un homme qui commençaient à me caresser, je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais un peu honte parce que mon secret était à nu.Ça y est c’était Patrick mon jardinier ! Je compris que je n’avais pas fermé la porte. Bref ! Il commença par me sucer les seins, doucettement, en me donnant des petites tapettes sur la joue.
J’avais le corps qui frémissait, j’étais à découvert, mature offerte… Il commença par m’embrasser sur mon cou, l’excitation augmentait en intensité. Il descendit vers mon entrejambe, et commença à me sucer le sexe petit à petit, en stimulant mon clitoris, je suis clitoridienne, et vous savez ce que ça peut procurer comme sensation, j’étais perdu… Il me dit d’un ton autoritaire retourne toi, je suis perdu, dans mon lit en levrette. Il prit mon godemichet me le fit pénétrer dans mon anus, il le martelait en moi comme s’il m’infligeait une punition c’était une douleur mais aussi un plaisir immense. Ces deux sensations réunies ont laissé gicler en moi un orgasme si fort, j’étais électrisée. Il laissa le godemichet enfoui en moi, il sortit sa bite et enserra mon sexe.

Une queue énorme dans ma chatte mature

Bon dieu ! Quelle énormité ! Je sentais maintenant qu’un homme me baisait, il partait tellement vite en moi, s’occupant aussi de mon anus avec mon godemichet, une double pénétration, c’était la première fois. Je m’affolais, je n’arrivais plus, il me donnait des claques aux fesses, je devenais sa chose, un second orgasme envahit mon être, j’avais l’impression de voler. Il retira le godemichet de mon anus, il m’enculât .Je ne vous dis pas, je rajeunis d’un coup, je devins une fontaine. Il me baisa comme si j’étais plus jeune, mon petit trou, tout trempé, mon vagin de même, j’ai un tourbillon de plaisir. Puis, il me remit en levrette avança sa bite de ma bouche. Malgré que j’avais le double de son âge ou presque, ce jeune vicieux me traitait comme une pute et j’aimais bien ça, des  » Suce moi salope  » n’arrêtaient pas de fuser.
Telle une esclave mature j’obéis à mon maitre, je le suçais longuement le gland, ses couilles. Il se retira, revint vers moi pour me pénétrer de nouveau. Il était dans tous ses états, il me baisa, partant, revenant avec des mouvements dignes d’un dieu. Oh ! Je me sens presqu’évanouie, j’ai envie de mourir en lui, il m’émerveille. Je suis au septième ciel, je jouis, je jouis, je jouis !
Je me lâche, j’ai plus envie qu’il me quitte, il me baise. Il me fait des cochonneries, il me retourne à nouveau, enfonce sa bite dans mon petit trou, va et vient puis verse son liquide gluant dans mon anus après un grand cri rauque.

Il baise la patronne de sa maman en pleine fête

Dans sa belle villa au nord de Nice, une chef d’entreprise invite son personnel et toute leur famille pour une petite fiesta, histoire de resserrer les liens.
Piscine, petits fourres, soleils, l’été, il faut profiter pour vivre des moments pareils.
Cette femme qui a plutot réussi dans sa vie est âgée de 56 ans, elle vit seule avec son unique fille de 21 ans car, s’étant séparée de son époux depuis plusieurs années déjà.
Toujours joyeuse et coquete, elle ne laisse pas le poids de l’âge l’emporter. Véronique a lutté dans la vie pour réussir alors elle fait de même pour garder la forme. Être toujours belle, jeune et attirante est son leitmotiv. Mise à part le travail, le sport est ce qui l’occupe plus. Elle peut passer des heures entières à courrir ou dans une salle de gym.

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C’est un samedi après-midi qu’elle a convié tout ce monde qui a répondu présent. Ils sont une centaine, elle les connait tous, jusqu’aux techniciens de surface de l’entreprise mais, leurs familles respectives non. C’est donc à tour de rôle que chaque employé présentera les membres de sa familles.
Julie est son assistance personnelle, elle a un fils de 23 ans qui s’appelle Harry et qui a quand même eu le temps de se déplacer, pour faire la connaissance de la collaboratrice, de très longue date, de sa maman.
Au moment des présentations, on pouvait voir combien Véronique était ravie de voir ce jeune homme. D’ailleurs, elle leur proposa une place de choix pour cette fête qui commence sous de bons auspices.

Pour la petite histoire, cela fait plus d’une decennie que Julie vend son expertise dans l’entreprise de Véronique pour qui elle est devenue une confidente. Ne se voyant le plus souvent qu’au bureau, en salle de sport ou pour aller prendre un verre le week-end, la patronne n’a jamais pris le temps d’aller rendre visite à son assistante, elle connait son époux mais pas Harry.
Au premier regard, Véronique ne manque de féciliter Julie pour le bel homme qu’elle a mise au monde et qui est si grand qu’elle en a le tourni.
Véronique n’est pas du genre à coucher avec des hommes plus jeunes mais celui-là l’impressionne particulièrement. Elle va peut-être être tentée par une aventure cougar !

La fête bat son plein quand elle invite le jeune homme à discuter avec pour parler de sa vie estudiantine, amoureuse… enfin, tout ce qu’on peut peut se raconter pour faire connaissance.

Cette femme est imposante, grande, blonde, lèvres fines, un regard profond et une forte poitrine. Du haut de ses 1m78, elle cause d’égal à égal avec Harry qui fait pratiquement la même taille.
Regard contre regard, pendant qu’ils discutent, une tension électrique se crée entre les deux quand soudain, la fille de Véronique s’interpose pour entrer dans la conversation.

Sonia : salut, moi c’est Sonia, la fille de Véronique.
Harry : enchanté Sonia, tu sais, j’ai toujours entendu parler de ta mère et, quand je me trouve comme ça devant elle, je suis fasiciné.
Sonia : ha ok ! Mais, elle n’est pas de ton âge, tu devrais redescendre de ton nuage.
Véronique : oulala, toujours toi et tes remarques désobligeantes ! D’abord, qu’est ce que tu vas t’imaginer ?
Sonia : Allez maman ! Je vous taquine, bon, c’était juste un passage éclaire, je vais enquiquiner d’autres invités, ciao !

Il se lance pour baiser sa patronne!

Après le passage de Sonia, les deux sont restés bouchés bées un moment, comme s’il y avait un brin de vérité dans sa remarque.
Le jeune homme décide donc de passer à l’attaque, de tenter le coup, un risque qu’il prend sachant que ça pourrait détériorer les relations entre sa maman et la patronne.

Harry : tu sais Véronique, depuis que nous discutons, tu me fais une impression, ça risque d’être un peu déplacé mais, tu es une femme qui me plait.
Véronique : mon âge ne te dérange pas ?
Harry : pas le moins du monde, d’ailleurs, tu es si belle qu’on te donnerait 20 ans de moins.
Véronique : Humm, en plus d’être mignon, t’es un sacré beau parleur.

Le ton était lancé, il revenait maintenant à Harry de prendre son courage à deux mains et de passer à la vitesse supérieure. Il lui propose alors de s’éclipser un moment car, tout était brouillant.
Véronique lui demanda de le suivre discrètement et, quelques minutes plus tard, il se retrouva dans la chambre de cette dernière.
Pour ne pas perdre de temps, il ferma la porte à clé, puis, projeta la patronne sur son lit avant de l’embrasser avec force. Il retira son slip et la retourna pour la prendre en levrette, comme une bonne salope. Après cinq minutes d’intense coït, elle reçoit le sperme du jeune Harry sur sa robe. Embarrassée, elle lui demande de filer… Comment fera-t-elle pour nettoyer ses vêtements et passer inaperçue ?

Vendeuse de soutifs

Dès ma puberté, je me suis passionnée pour le mode et les accessoires féminins. Avec, d’aussi loin que je me souvienne, une prédilection pour la lingerie fine, que j’ai toujours tenue pour le comble de la féminité. Les jolies dentelles, les formes de soutien-gorges, les différentes façons d’échancrer une culotte m’ont toujours fascinée.

C’est donc tout naturellement que, vendeuse, j’ai essayé d’obtenir des places dans des boutiques spécialisées en lingerie affriolante. Aujourd’hui, j’y suis arrivée : je suis assistante de la directrice d’une boutique dans un des plus beaux quartiers de Paris, boutique de ma marque de dessous féminins préférée.

A la recherche d’un plan cul mateur/voyeur ?

Je suis donc la seconde dans le magasin. La seule haut dessus de moi, c’est Nadège, une super bourgeoise de la quarantaine qui en impose. Port de tête haut, visage rayonnant malgré les premières rides qui commencent à apparaître, phrasé clair et charmant, la belle Nadège a également un atout que je lui envie particulièrement : un magnifique 95D de tour de poitrine.

Car oui, c’est bien là mon drame : passionnée que je suis par les soutifs, je ne fais qu’un pauvre 85A, de tout petits nichons qui n’atteignent que difficilement le bonnet B quand je prends un peu de poids. Bien entendu, j’ai accès à tous les soutien-gorges pigeonnants et autres push-up qui me permettent de faire illusion, mais tout de même : je complexe sur ma petite poitrine.

Des complexes, Nadège n’en a aucun : une vie professionnelle au top, une féminité assumée et joyeuse, un mari canon, friqué et cultivé, ma directrice a tout pour elle. Jamais, d’ailleurs je n’ai rêvé de prendre sa place, tant elle assure, professionnellement parlant. Voilà trois ans que je bosse pour elle, jamais je ne l’ai vue faire la moindre erreur.

Moins aussi je suis une bonne professionnelle, je crois. A part un petit vice caché : il m’arrive très souvent de regarder derrière le rideau quand une belle cliente vient essayer nos dessous. N’y voyez pas malice : j’adore voir une belle lingerie sur un beau corps de femme. Mais, c’est ce que je croyais en tout cas il y a encore une semaine, je suis totalement hétéro.

Il y a une semaine, donc, Nadège me convoque dans son bureau. S’y trouve la directrice, donc, et une amie à elle, cliente régulière du magasin. Toutes les deux me font les gros yeux. « Madame Martin est venue se plaindre de vous, ma petite Jeanne, et je lui en sais gré ». Elle laisse passer un temps, pour profiter de ma déconfiture. « Elle vous accuse de reluquer les clientes dans les cabines d’essayage. Cela est parfaitement inacceptable. Vous êtes un excellent élément, alors expliquez-vous ».

Morte de honte, je bredouille. J’essaie d’expliquer que ça n’a rien de libidineux, juste de l’admiration pour les modèles de la marque et pour les femmes mieux roulées que moi. Pascale, la jeune et svelte cliente, en rougit d’aise. Nadège, quant à elle, semble toujours furibarde. « Alors, vous ne pensez pas à mal ? Et si on vous faisait la même chose ? ». Je reste interdite.

Exhibée devant deux belles femmes

Nadège et Pascale me fixent toutes les deux. Puis, un sourire sadique se dessine sur le visage de ma patronne. « Très bien, alors, essayons ! ». Elle se retourne vers son bureau et trouve un ensemble soutien-gorge string, comme par hasard à ma taille. « Et bien, tenez, essayez, ici et maintenant ».

Terrorisée, je m’exécute et me retrouve en petite tenue devant les deux bourgeoises. Je m’apprête à enfiler le string au dessus de ma culotte, comme c’est l’usage. Mais Nadège voit les choses autrement : « enlevez tout, ça sera plus probant » m’ordonne t-elle. Me voici entièrement nue, avec mes petits seins ridicules, devant ces deux belles plantes qui se rincent l’œil d’un air moqueur.

« Vois-tu, Pascale, c’est le nouveau tissu dont je te parlais, hier, au sauna ». Nadège s’approche de moi et effleure de la paume de la main le soutien-gorge que je viens d’enfiler. Pascale l’imite sans aucune gêne, caressant même mon mont de vénus par dessus le string. Je sens leurs mains partout sur moi, sans que, bientôt, il n’y ait plus besoin de l’alibi du « tissu ».

Et voilà qu’elles m’embrassent un peu partout sur le corps, me pelotent et, finalement, me déshabillent à nouveau. Bientôt, nous sommes toutes les trois nues à nous rouler sur la moquette du bureau. Non seulement je me laisse faire, mais je prends un plaisir insoupçonné à faire l’amour à ces deux femmes. J’aime leur odeur, le satiné de leur peau, leurs formes !

Depuis cet épisode, toutes mes idées sur moi-même se sont envolées. Je ne sais plus très bien qui je suis. J’ai juste envie qu’elles recommencent à abuser de moi, la petite employée modèle, toutes les deux, et le plus tôt possible. Et, désormais, je sais que je m’intéresse autant aux dessous féminins qu’à ce qu’ils renferment de trésors de volupté.

Mamie salope ? C’est ma voisine !

Etudiant en mécanique, Albert est aussi un homme à tout faire. Son amour pour la bricole ne date pas d’hier, depuis qu’il est tout petit, ce jeune marseillais de 23 ans a toujours été intéressé par les petites réparations d’intérieur, c’est un peu le couteau suisse de son bahut. À chaque fois qu’un voisin a un souci de plomberie, d’électricité, de mécanique…, c’est vers lui qu’on se tourne. La main sur le coeur, il est toujours prompte à rendre service, moyennant quelques petits billets ou parfois gratuitement.

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Il est plutôt charmant, blond, musclé, sportif, il a une très belle envergure. En plus de son charme, il est de très bonne meurs, il dit toujours le mot qu’il faut, jamais déplacé dans son langage ou dans ce qu’il fait, il pousse le respect.
Ça fait trois mois qu’il fait de la plomberie chez Sylvie, une femme mûre âgée de 68 ans, visage sec, silhouette fine et regard provocant. Cette mature vit toute seule dans un appartement qu’elle a super bien aménagé. Ayant pourtant assez de moyens pour en finir avec ses problèmes fréquents de plomberie, elle préfère faire appel à Albert qui ne sait pas dire non.
Ce jeune homme honnête lui a pourtant conseillé de faire appel à un service spécialisé mais, que nenni, elle préfère, à chaque fois collemater, bidouiller dans sa cuisine et faire appel à Albert quand tout va mal. Est-ce pour un but inavoué ? Il le découvrira ce dimanche matin du 23 décembre.
Alors qu’elle lui avait expliqué un énième problème à la veille au téléphone, Albert se rend chez Sylvie avec sa boite à outils et son uniforme de bricolage.
Toujours aussi pontuel, il sonna à 10 heures pile et, Sylvie est tout de suite venue lui ouvrir la porte. Après deux bisous super chaleureux, elle l’a conduit à la cuisine, même s’il connaît la maison par coeur.

Albert : Ha Sylvie, je t’avais dit de faire appel à des spécialistes, tu vas toujours avoir des problèmes avec ta plomberie car, elle ne date d’hier et, elle avait été mal faite.
Sylvie : Oui, mais comme t’es là, je fais ma paresseuse.

Tout d’abord d’une peignoire vêtue, sylvie s’est éclipsée pendant que son plombier maison sortait son matériel pour faire un premier diagnostique. Elle a réapparu complètement changée, avec une nuisette super coquine qui laissait entrevoir ses formes. Elle était encore bien bonne la mamie !
Albert jeta un regard furtif avant de replonger dans son bricolage. Mais, Sylvie n’avait pas l’air d’être trop préoccupée par ses soucis de plomberie. Se rapprochant du jeune homme qui était à genoux, elle lui caressa les cheveux quand ce dernier se montra surpris.

Albert : Heu, Sylvie, tout va bien ?
Sylvie : Bien sûr, tu sais que tu me plais ? J’avais un peu honte de te le dire vu que je peux avoir l’âge de ta maman.
Albert : J’avais jamais remarqué.
Sylvie : Tu peux me prendre comme du veux… Moi j’ai envie de toi.
Albert : C’est que…

Mamie salope prend les commandes de la baise

Ne le laissant pas terminer la phrase, Sylvie lui roula une pelle bien chaude. Le jeune homme se laissa faire et, la mamie pris totalement les commandes. Elle embrassait si bien qu’Albert la laissa continuer, surtout qu’il ne souhaitait pas la vexer.
Elle ôta son uniforme pour le laisser tout nu. Une chaude fellation s’en suivit puis, sans même retirer sa nuisette, elle s’empala sur le pénis humide du jeune qui bandait bien dur comme elle aime.
À califourchon, elle savourait le pénis d’Albert qui la tenait par les reins pour maîtriser son agitation. Elle n’avait plus baisé depuis bien longtemps et, elle comptait en profiter au maximum. Après plusieurs minutes dans la même position, elle eu un orgasme avant de se détacher pour sucer la queue du jeune homme qui lui offra une belle éjaculation faciale.

Elle prit ensuite ses jambes à son coups, alla dans la chambre après avoir essoufflée à Albert :  » Que ça reste entre nous « .

J’encule une bourgeoise

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Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Momo, je suis maghrébin et je vis en banlieue proche de Paris, où je viens de passer mon bac. Depuis, je suis inscrit en fac de sociologie, à l’autre bout de la ville et je passe énormément de temps dans les transports en commun. Je ne vais pas jouer au jeune de banlieue qui se galère, je dis juste que ce serait plus pratique pour moi d’habiter dans le cinquième arrondissement !

N’empêche que cette situation m’a valu de vivre une drôle d’aventure, avec une femme bien plus âgée que moi. Elle devait avoir au moins 45 ans, peut-être même 50 ans. En sortant de la fac, je suis allé boire un verre avec quelques copains. Une chose en entraînant une autre, j’ai finalement pris le dernier métro pour rentrer chez mes parents.

La rame était vide, jusqu’à cette station, où une belle dame bourgeoise est entrée dans le métro et est venue s’asseoir en face de moi. Une belle femme, vêtue de façon chic et sexy. Et plutôt que de détourner le regard comme le font tous les gens à Paris, elle m’a salué d’un « bonsoir » en me souriant. Puis nous avons discuté, notamment de ma situation par rapport aux transports.

Allumeuse, Christine m’a lancé « et pourquoi tu ne viendrais pas dormir chez moi, au moins cette nuit ? ». J’étais sur le cul. Mais vous savez ce que c’est : un mec de mon âge ne refuse jamais un plan cul, même avec une vieille ! J’ai donc suivi la couguar, qui en a profité pour tortiller du boule dans l’escalier qui menait à son appartement.

A peine arrivé chez elle, je me suis retrouvé avec la bite dans sa bouche. La diablesse essayait de me prendre en fond de gorge, jusqu’à s’étouffer elle-même. Quand j’ai été bien chaud – et elle aussi – elle m’a fait un petit strip-tease, assez hardcore, en se masturbant en même temps qu’elle se déshabillait.

A mon grand étonnement, elle était très bien gaulée. Mis à part le fait qu’elle marchait bizarrement, elle avait tout d’une pro : la technique, le style, deux beaux gros seins qui semblaient encore assez fermes, le cul haut et la chatte entièrement épilée.

La chatte étroite de la bourgeoise

J’avais encore la teub raide, sortie de la braguette. Christine est partie, à poil, fouiller dans son sac à main et en a sorti une pleine boite de capotes. Elle m’en a passé une sur le membre et est venue s’enfiler sur moi, toujours assis sur le canapé.

A voir l’âge de la libertine, et en supposant que j’étais loin d’être le premier à rentrer ainsi dans sa chatte, je n’aurais pas pensé une seconde qu’elle allait être aussi serrée. Elle était pourtant trempée de mouille, mais j’ai même eu du mal à rentrer entièrement.

Une fois dedans, par contre, quel pied ! Sa chatte me massait la queue, même à travers la capote, tandis que Christine semblait sur le point de s’évanouir, à force de plaisir. Elle était en transe, et ne fut pas longue à jouir une première fois.

Après ça, elle s’est relevée. Elle m’a tendu la main pour que je la suive jusque dans sa chambre. Elle tordait toujours autant du cul et je ne comprenais pas pour moi. Une fois dans son intimité, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a commencé à écarter ses fesses devant moi. Sous mes yeux incrédules, elle a retiré de son anus un plug qui devait y être depuis le début de la journée.

bourgeoise veut que je l’encule !

Elle a fourré sa tête dans l’oreiller et m’a quasiment supplié : « encule-moi, maintenant ». Je dois bien avouer que je n’avais jamais sodomisé une femme avant cela. J’ai réajusté une nouvelle capote sur mon zob, toujours tendu comme un arc, et je me suis approché du boule en question.

Le sextoy avait fait son office. L’anus de Christine était béant, en forme de O. J’ai posé mon gland sur l’orifice et j’ai poussé. C’était comme si ma bite avait été aspirée. Je suis rentrer d’un coup, faisant gueuler ma couguar comme une bête. Un temps, j’ai cru lui avoir fait mal, mais en la voyant dandiner du fion comme elle le faisait, j’ai vite été rassuré.

J’ai enculé Christine – que dis-je ? Je l’ai chevauchée – comme un salaud. Son trou du cul était plus ample que sa chatte quand elle était comprimée par le plug anal. Et moi, je m’étais planté jusqu’aux couilles dedans, j’encule une bourgeoise, putain !!

Au bout d’un moment, en me demandant de la traiter de salope, de pute et de vide-couilles, Christine a commencé à se masturber, allant même jusqu’à planter quatre doigts dans sa moule dégoulinante de cyprine. Du coup, son anus s’est resserré autour de ma pine, et j’ai joui une première fois, sans sortir de son cul.

Jeune couple africain baise avec leur riche propriétaire

Marleine est une bourgeoise qui a investi dans l’immobilier. Au centre de Paris, elle est propriétaire de plusieurs immeubles de standards différents. Ayant confié la gestion à une agence, elle passe souvent faire des visites pour voir l’état des lieux de ses investissements. À 59 ans, elle est veuve et sa vie sexuelle est un trou noir. Après avoir visité plusieurs plateformes de rencontre, elle n’a jamais trouvé quelqu’un qui correspond à son profil, il faut dire que son rang social ne lui permet pas de voir n’importe qui. Dans un de ses appartements, vit un jeune couple africain. Le mari ayant perdu son job tout récemment, la femme n’a pas un revenu assez conséquent pour supporter la charge locative.

Cela fait donc trois mois qu’ils n’ont pas payé le loyer et, l’agence a décidé de porter plainte. Mais avant, l’avis de la proprio s’impose.

Elle et le couple ce sont donc donnés rendez-vous un samedi matin pour en discuter, sans la présence des agents immobiliers. Un règlement à l’amiable est toujours envisageable car, notre bourgeoise déteste les tribunaux, surtout pour de telles affaires qu’elle considère comme du menu fretin.

Il est 10 heures, toujours aussi ponctuelle, Marleine arrive et sonne au bas de l’immeuble quand elle entend la voix de Fatou l’épouse, qui lui demande de monter.

Quelques minutes plus tard, elle est accueillie par Fatou qui lui offre un café d’entrée de jeu.
Assis tous les deux sur le grand canapé, ce jeune couple africain écoute religieusement la proprio, qui leur fait la génèse de sa fortune. Elle dit avoir travaillé dur avec son époux, qui malheureusement est décédé, pour construire et acheter tous ces biens immobiliers. Le couple africain écoute attentivement…

Marleine : Je suis une femme d’affaire et je ne pourrais accepter un tel comportement de la part de mes locataires. Il faut impérativement que nous trouvions un terrain d’entente car, les tribunaux, j’en ai une sainte horreur !

Le mec, Jean, est un malgache, type métis, 30 ans, bel homme, grand et séducteur et, sa femme est une black d’origine sénégalaise, bien foutue, une belle poitrine et des lèvres pulpeuses. Fatou est agée de 28 ans, elle a acquis la nationalité française et travaille comme assistante de direction dans une petite société de fruits et légumes.

Le couple africain va se taper la mature !

Après plusieurs explications et supplications, la proprio est restée bouche bée pendant quelques minutes.

Avec une voix polissonne, elle rompt le silence :

Marleine : Et si on je vous proposais quelque chose de très inhabituelle ?

Elle fixe Jean qui lui retourne un regard coquin en lui disant :

Jean : Tout ce que vous voudrez madame, nous sommes prêts à tout pour ne pas aller être expulsés.
Marleine : Je vous laisserai encore trois mois à condition que vous me fassiez une petite gâterie.

Alors qu’elle s’apprêtait à opposer un refus, Fatou fit stopper subtilement par son époux qui lui souffla ensuite quelques mots à l’oreille.

Jean : J’ai compris et nous sommes d’accord.
Marleine : Alors, qu’attendez-vous pour commencer ?
Jean : Humm, elle est coquine la proprio ! Ne vous en faites pas, nous sommes sur la même longueur d’onde !

Toute honteuse, Fatou ne comprenait pas ce qui arrivait, elle était obligée de suivre son époux dans tous ses faits et gestes. Un vrai joueur, il a l’air d’avoir l’habitude de ce genre de situation.

Première queue black pour la proprio

Il se mit donc à embrasser sa femme en fixant Marleine des yeux. Le pervers galoche pour rendre la chose un peu plus cochonne. Il glisse ses mains sous la mini-jupe de Fatou puis, la doigte pendant qu’il déboutonne sa chemise. Elle a une grosse poitrine qui fait baver la dame.
Jean tire sa muse par la main afin que tous les deux rejoignent la proprio pour la faire participer.
À son tour, Fatou la franco-sénégalaise se montre libertine, elle galoche avec Marleine pendant que Jean introduit sa tête entre ses cuisses.
Toute mouillée, ça faisait longtemps que cette bourgeoise n’avait joui de la sorte, quel pied !
Jean sort son pénis et le montre à Marleine qui sera tout de suite impressionnée par sa taille et sa grosseur.  » je peux la sucer ? « , demande-t-elle avec excitation.  » elle est à toi « , lui répond Jean.

Avec son accent à la fois africain et français, Fatou dit à Marleine : « Elle est à toi, mais laisse moi prendre les testicules ».
Une double turlutte qui amènera le veinard à baiser sa proprio et sa femme pendant une trentaine de minutes.

Grâce à cette journée, ils ont eu droit à 5 mois gratuit avec une visite mensuelle de Marleine la gourmande. Fatou est devenue moins coincée et… tout le monde est content !

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !

Je suis une chienne servile

Tu veux rencontrer une cougar bien chienne ?

Je n’ai jamais été portée sur les choses du sexe. Pour tout dire, il y a peu, j’étais même franchement coincée et je crois que, d’une certaine manière, je le suis toujours, à ma façon. Mais depuis que j’ai rencontré Thomas, les choses ont tout de même bien changé.

D’abord la rencontre. Improbable. J’étais tranquillement assise dans le métro, où je lisais un livre sans trop prêter attention à ce qui se passait à côté de moi. Tout à coup, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche.

Je me suis tournée vers l’importun : un jeune homme noir, ou plutôt métis, d’au moins quinze ans mon cadet. Non seulement il me pelotait, mais il ne faisait aucun effort pour dissimuler sa manœuvre. Tout au contraire…

Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main de ma cuisse, il m’a souri. Tout simplement. Puis il a reposé sa main d’autorité sur ma cuisse, un peu plus haut, presque à hauteur de mes parties intimes. Je ne saurais dire pourquoi, mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le voyage, il m’a peloté la cuisse, aux vues et aux sus de tous les autres passagers de la rame. Servile…

Tout cela aurait pu en rester là. Mais voilà : à mon retour à la maison, j’ai trouvé dans une de mes poches un mot, avec un numéro de téléphone dessus. Et plutôt que de raconter ma mésaventure à mon mari, j’ai choisi de ne rien lui dire.

Le lendemain, à la première occasion, j’ai rappelé l’inconnu.

 » Allô, ici Thomas, j’écoute « . J’ai bredouillé quelque chose d’incompréhensible. Mais il a tout de suite saisi :  » ah ! C’est toi la chienne qui se fait peloter dans le métro ! « . J’ai raccroché… Puis j’ai rappelé. Thomas m’a fixé un rendez-vous, en fin de journée, près du dernier métro de La Courneuve.

Je deviens une chienne servile…

Là non plus, je ne saurais dire pourquoi, mais j’y suis allée, comme une bonne femme servile… J’ai prétexté une réunion de dernière minute pour m’excuser auprès de mon mari, et je me suis rendue à l’adresse que Thomas m’avait indiquée. Et il m’y attendait de pied ferme.

A peine entrée, il a exigé de moi que je me déshabille entièrement. J’avais très honte de moi, de mon corps de quadragénaire face à ce jeune homme bien bâti et assez séduisant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre. La fessée a commencé.

J’ai hurlé de douleur à chaque claque que ses grandes mains comme des battoirs m’infligeaient. Mais je n’avais encore rien vu. Il a saisi un ustensile (j’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un paddle, un jouet SM que Thomas collectionne) percé de trou dont il s’est servi pour me faire encore plus mal. Et moi, je suis restée là, les fesses rouges, à encaisser les coups de ce sadique.

Il a porté ensuite ses doigts vers mon sexe.  » Tu as la chatte toute mouillée, chienne, qui t’a permis de te faire plaisir comme ça. Tu es ma chose et rien d’autre « . Et il a recommencé à me fesser. Après une demi-heure – autant dire une éternité – de ce traitement, il m’a fait me mettre à genoux devant lui.

Il a sorti son sexe de sa braguette. J’ignorais qu’il existait des pénis aussi énormes : large autant que long, parcouru de centaines de veine qui lui donnaient une allure de monstre. Il a pincé mon nez, de sorte que je sois contrainte d’ouvrir la bouche, et s’est insinué en moi, de plus en plus profond, jusqu’à ce que ma gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement.

Je n’ai pas vomi (heureusement, j’aurais sans doute été un peu plus punie), mais la main droite de Thomas s’est abattue sur ma joue :  » pompe, chienne, tu es là pour ça « . Il m’a littéralement, pour reprendre ses mots, baisé la gorge. Tout en maltraitant mes seins, cela va de soi. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir, et j’ai aimé ça, servile toujours…

Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Puis je me suis redressée, j’ai essuyé les larmes qui coulaient de mes yeux et je me suis rhabillée. Puis, au moment où je franchissais sa porte, Thomas m’a dit :  » maintenant, je sais où te joindre, chienne, tu viendras me servir quand j’en aurai envie « .

Je l’avais appelé sans prendre le temps d’anonymiser mon numéro. Je me sentais prisonnière. Et pour tout dire, plutôt heureuse de l’être. Thomas, mon amant et maître, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité psychologique d’accepter ma propre dépravation.

Il me somme de le rejoindre désormais plusieurs fois par mois et moi, servile, je m’y rends…

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Première fois avec des échangistes

Je n’aurais jamais cru que cela pouvait se passer comme ça, dans les clubs échangistes. Et pourtant ce n’était pas faute de m’être renseignée auparavant, depuis le temps que mon mari et moi parlions du fait de nous lancer – enfin ! à plus de 50 ans – dans le libertinage. Je pensais qu’on s’isolait dans une alcôve avec un autre couple et qu’on partouzait à quatre. Je me suis aperçue que ce n’était pas toujours ainsi que les choses se passaient.

Quoi qu’il en soit, nous étions enfin décidés. J’avais commandé une tenue libertine qui mettait en valeur mon opulente poitrine et nous sommes donc allés, pour la première fois, dans un club échangiste. Première surprise : il y avait plein de jeunes, de 20 ans, de 30 ans. Seconde surprise : les alcôves étaient vides, tout ce beau monde se pelotait sur la piste de danse. Le paradis des échangistes…

Troisième et dernière surprise, mais non la moindre : malgré mon âge avancé, le décolleté de ma tenue coquine attirait l’œil de pas mal de jeunes gens. Jusqu’à ce qu’un charmant couple nous aborde. Ils ne devaient pas avoir trente ans. Lui, un petit minet, assez grand, très beau, me souriait tout en passant son regard de mon visage à mes seins. Elle, une petite bombe blonde, de jolis petits seins à croquer, qui se montrait très tactile avec mon mari.

Malgré l’écart d’âge, c’était eux qui savaient. Eux qui dirigeaient les événements. Ils nous ont guidés jusqu’aux coins-câlins du club. Mais, à mon grand étonnement, ils ne nous ont pas conduits jusqu’à une pièce fermée, mais sur un immense lit à baldaquins où, manifestement, ils avaient leurs habitudes.

Tout a commencé de façon soft. Il a joué avec mes seins et avec ceux de sa petite amie, mon mari l’imitant maladroitement. Puis elle a sorti la bite de la braguette de mon homme, et s’est mise à se masturber de la main droite et à le branler de la main gauche. J’ai fait de même.

Un attroupement de quelques jeunes couples s’est fait autour du grand lit. Du regard, ou d’un simple geste de la main, la jeune blonde libertine attirait vers elle les couples qui trouvaient grâce à ses yeux. Très vite, nous nous sommes retrouvés à six couples – douze personnes ! – serrés sur ce lit qui, décidément, n’était pas si grand que ça !

Au début embarrassée, je me suis laissée aller au plaisir de toutes ses mains et toutes ses bouches qui me frôlaient, me touchaient, me caressaient à des endroits de mon corps que, jusqu’ici, je n’avais confiés qu’à mon mari. Quant à lui, il était en train de se faire sucer par une jeune maghrébine de 35 ans environ, qui le prenait en fond de gorge, et il pelotait en même temps les fesses d’une grande brune de 30 ans maximum, qui en léchait une autre.

Orgie d’échangistes !!

Moi, j’avais des sexes d’hommes et des seins de femmes à ma disposition. Un jeune gars très mignon avait planté sa tête entre mes cuisses et me suçotait le petit bouton. J’en suçais un autre, puis un autre, je ne savais plus où donner de la tête. Pendant plus d’une heure, il n’y eut aucune pénétration.

Mais j’avais joui déjà trois fois ! J’étais épuisée… J’ai fait signe à mon mari de quitter le lit. Nous sommes allés boire un verre. Ensuite, nous sommes retournés vers le grand lit, où le premier couple était encore affairé à jouir et à faire jouir. Mais les participants n’étaient plus les mêmes. Certains couples mélangistes – c’est ainsi qu’on appelle cet autre passe temps des échangistes, je l’apprendrai par la suite – avaient quitté la bataille, d’autres étaient venus en renfort.

Nous hésitions à revenir dans la mêlée, pas certains d’y être encore conviés. La petite blonde ne nous laissa pas longtemps en plan, nous faisant comprendre que nous étions toujours les bienvenus. Tout le monde caressait, embrassait, suçait tout le monde, les hommes et les femmes, bien entendu, les filles entre elles aussi.

Toute la nuit, nous avons alterné entre cette gigantesque partouze et le bar, où nous devions reprendre des forces de temps à autre. Le jeune couple, quant à lui, n’a pas arrêté de toute la nuit. C’est aux aurores que la patronne du club échangiste nous a fait comprendre qu’il était temps pour elle de fermer. Le jeune libertin a alors éjaculé sur mes seins offerts, la petite blonde a fait jouir mon mari dans sa bouche et a tout avalé.

Il m’arrive de penser parfois que tout cela n’était qu’un rêve, mais nous retournons presque tous les samedis dans ce club, et les choses sont toujours aussi coquines.