Mature baisée par son jardinier…

Qui a dit qu’à 60 ans, mature comme on dit on ne pouvait plus prendre son pied ? Pour moi c’est tout le contraire, je me prénomme Elisabeth, je suis une veuve de 60 ans, j’ai perdu mon mari il y a 8 ans. Je m’étais armée d’une arme contre la solitude et mon compagnon fidèle est devenu mon godemichet. J’habite une très grande maison et à mon âge, il me faut des gens pour entretenir ma maison et le jardin. Je ne parlerai pas de tous les « domestiques », mais d’un en particulier : c’est Patrick mon jardinier.

> Branché par une rencontre avec une femme mûre ? <

Un jeune costaud, la vingtaine à peine, brun, j’avoue qu’il est beau à voir, il finissait plus tard que les autres et venait souvent me dire au revoir quand il s’en allait des lieux. Ce jour-là, j’étais perdu, je voulais ravoir la sensation que me fait mon godemichet comme d’habitude.
Je décidais alors de me masturber, je me déshabillais, allongée dans mon lit. Je pris un peu de lubrifiant et versa sur mes seins, je commençais à les caresser avant d’introduire mon godemichet dans mon sexe, je me masturbais en pensant à mon défunt mari, de tous ces beaux moments que nous passâmes. J’avais les yeux fermés, je rêvais des mains qui me caressaient, d’un sexe qui me pénétrait. Quand soudain, je sentis les mains d’un homme qui commençaient à me caresser, je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais un peu honte parce que mon secret était à nu.Ça y est c’était Patrick mon jardinier ! Je compris que je n’avais pas fermé la porte. Bref ! Il commença par me sucer les seins, doucettement, en me donnant des petites tapettes sur la joue.
J’avais le corps qui frémissait, j’étais à découvert, mature offerte… Il commença par m’embrasser sur mon cou, l’excitation augmentait en intensité. Il descendit vers mon entrejambe, et commença à me sucer le sexe petit à petit, en stimulant mon clitoris, je suis clitoridienne, et vous savez ce que ça peut procurer comme sensation, j’étais perdu… Il me dit d’un ton autoritaire retourne toi, je suis perdu, dans mon lit en levrette. Il prit mon godemichet me le fit pénétrer dans mon anus, il le martelait en moi comme s’il m’infligeait une punition c’était une douleur mais aussi un plaisir immense. Ces deux sensations réunies ont laissé gicler en moi un orgasme si fort, j’étais électrisée. Il laissa le godemichet enfoui en moi, il sortit sa bite et enserra mon sexe.

Une queue énorme dans ma chatte mature

Bon dieu ! Quelle énormité ! Je sentais maintenant qu’un homme me baisait, il partait tellement vite en moi, s’occupant aussi de mon anus avec mon godemichet, une double pénétration, c’était la première fois. Je m’affolais, je n’arrivais plus, il me donnait des claques aux fesses, je devenais sa chose, un second orgasme envahit mon être, j’avais l’impression de voler. Il retira le godemichet de mon anus, il m’enculât .Je ne vous dis pas, je rajeunis d’un coup, je devins une fontaine. Il me baisa comme si j’étais plus jeune, mon petit trou, tout trempé, mon vagin de même, j’ai un tourbillon de plaisir. Puis, il me remit en levrette avança sa bite de ma bouche. Malgré que j’avais le double de son âge ou presque, ce jeune vicieux me traitait comme une pute et j’aimais bien ça, des  » Suce moi salope  » n’arrêtaient pas de fuser.
Telle une esclave mature j’obéis à mon maitre, je le suçais longuement le gland, ses couilles. Il se retira, revint vers moi pour me pénétrer de nouveau. Il était dans tous ses états, il me baisa, partant, revenant avec des mouvements dignes d’un dieu. Oh ! Je me sens presqu’évanouie, j’ai envie de mourir en lui, il m’émerveille. Je suis au septième ciel, je jouis, je jouis, je jouis !
Je me lâche, j’ai plus envie qu’il me quitte, il me baise. Il me fait des cochonneries, il me retourne à nouveau, enfonce sa bite dans mon petit trou, va et vient puis verse son liquide gluant dans mon anus après un grand cri rauque.

Dominée par un inconnu

Je suis du genre toujours hésitant quand il faut se lancer dans une aventure un peu hasardeuse. Mais pour la première fois de ma vie, j’avais accepté de me rendre à un rdv coquin avec un mec rencontré sur le net qui dès le départ avait écrit tout en majuscule sur son profil qu’il était un vrai dominateur. Pas le genre qui joue un rôle, lui il l’était vraiment et franchement, tout ça m’excitait vraiment, après tout, j’étais sur ce site de rencontre pour vivre des trucs hors du commun non, ben je pouvais donc pas manquer l’occasion qui se présentait à moi.

> Une expérience SM avec une coquine ? <

Tout était réuni, le mec était beau, costaud, sexy et chacun de ses messages me faisait frémir de plaisir. Il ne me restait plus qu’à me rendre au lieu de rendez-vous, pour pouvoir matérialiser toutes ses phrases excitantes et bandantes qu’il me balançait dans ses messages ou même lors de notre dial coquin par chatcam.
Le samedi, jour et heure du rendez-vous, je m’étais retrouvé guidé par mes envies et ma curiosité sur la rue des Bouchers, devant un resto dont j’ai oublie le nom, à Lille. C’était là le lieu du rendez-vous. Il était là, debout, me regardant déjà avec des yeux gourmands, comme un lion ou presque. Alors que je croyais qu’on allait se diriger dans ce beau resto, il me saisit direct par le bras et me dit  » on y va « . On aurait dit qu’à la minute ou il me disait ces quatre petits mots, j’avais moi-même choisi d’être soumise à lui, motivée pour faire tout ce qu’il désirait. C’est clair, Ce mec avait carrément de l’emprise sur moi, pas seulement moi, sans doute avec pas mal de meufs qui se sont surement succédées chez lui.

Après 10 minutes de marche rapide, on était enfin dans les escaliers qui menaient chez lui. Il s’arrêta brusquement et me somma de me mettre à poil. Sans dire un mot, j’exécutais nonchalamment à son ordre, mais lui ne l’entendait pas de cette oreille. Il se dépêchait de me déchirer mon string, puis en quelques seconde, ouvrait sa porte et me poussait brusquement dedans tandis qu’il s’enfonçait dans une autre pièce. Incroyable, j’étais dans la maison d’un parfait inconnu, totalement à poil. Quelques minutes plus tard, il ressortait avec une laisse pour chien qu’il me mit au cou. Puis d’un air autorité, me tirait comme une vulgaire chienne dans sa chambre. Le décor était incroyable, une lumière rouge, des sextoys et bâillon sur le lit. C’est comme si un mélange de peur et de plaisir se bousculait dans mon ventre. J’étais moi-même impatiente de découvrir la suite.

Il me dilate les trous à fond !

Tout ce que le peux dire, c’est que la suite ne se raconte pas, mais ça se vit. Ce mec m’a dilaté la chatte et l’anus comme jamais auparavant. Ce jour là, je me suis laissé introduire dans la chatte et dans l’anus des objets longs et gros, des tailles que je n’avais jamais imaginer pouvoir supporter dans mes orifices. Le double dong m’a particulièrement marqué… Ces deux extrémités enfoncés dans mes deux trous bien dilatés, hmmmm…
Tout me plaisait : la douleur, les insultes, l’extrême et même la sensation que produisait ce collier qui m’étranglait légèrement quand il tirait sur la corde. Et que je n’en pouvais pouvais plus, il me demanda de le supplier de me baiser. Je m’accrochais à ses jambes, lui lançant des  » Julien baise moi, Julien baise « , mais il ne le fit pas. Tout ça me rendait encore plus fou. J’avais envie de voir et de toucher sa bite, mais il me dit que je ne le méritais pas encore, que c’était pour la prochaine fois, le samedi prochain. Bizarrement, sur le coup tout ça me semble correct, j’actais toute  » oui  » à l’idée de revenir le samedi prochain vivre un plaisir aussi un intense avec cette fois la récompense de voir Julien toute nue, peut être même plus, le plaisir se faire péter la chatte par ce mec peu bavard et dominateur dans tous les sens des termes.
J’ai vraiment adoré le premier week-end passé avec Julien, mais le samedi qui a suivi était encore meilleur, mais c’est notre toute première rencontre que j’aime bien raconter. Je ne me fatigue jamais de raconter cette histoire à toutes mes copines…

Séance de dilatation chez mon gynéco

Comme toutes les femmes, je n’aime pas particulièrement aller chez le médecin, et encore moins chez le gynéco. Mais bon, parfois, nous sommes bien obligés de nous y rendre lorsque les conditions l’imposent. J’essaie d’avoir un enfant avec mon chéri depuis plusieurs mois, sans y arriver. Nous avons donc fait des tests pour voir d’où pouvait venir le problème. Il en ressort que mon homme n’est pas en cause, et que ça viendrait plutôt de moi. J’ai donc dû commencer un suivi assez régulier avec mon gynécologue de famille.

> Un plan cul n peu… particulier ? <

Je me suis rendue à son cabinet pour le premier rendez-vous, mais le titulaire était absent, et c’est un jeune remplaçant tout droit sorti de l’école de médecine qui a pris sa place. J’étais un peu dérangée par ce changement soudain, mais le toubib était assez délicat et doux avec moi, je le trouvais même beau gosse. Je n’ai rien dit à mon mari, je ne voulais pas qu’il vienne avec moi aux rendez-vous. Au fur et à mesure, nous avons commencé à discuter ensemble, au début de médecin à patiente, puis comme deux amis. C’était étrange de parler de choses intimes avec un inconnu, pendant que lui était en train de me fouiller la chatte avec toutes sortes d’ustensiles. Il m’enfonçait des trucs toujours plus gros, et je commençais à me demander si tout ça était normal. Assurément non, un gynéco n’est pas censé me mettre un truc gros comme une aubergine dans l’anus. Je n’osais pas lui demander ce qu’il faisait, et j’encaissais sans rien dire. Mais à force de me sentir pleine comme ça, j’ai commencé à mouiller, et il l’a remarqué. « Je vois que vous aimez être dilatée Justine, ça tombe bien, j’aime ça aussi, et si vous êtes d’accord, nous pouvons essayer d’aller plus loin ». J’étais choquée mais très curieuse aussi, une sensation vraiment étrange et troublante.

Il me promettait qu’au prochain rendez-vous, nous allions voir jusqu’où je pouvais me faire étendre les orifices. J’étais très excitée par cette perspective, et j’ai demandé à mon mari de me baiser longuement, surtout de m’enculer. J’aime sentir un truc dans mes fesses, et j’avais hâte que le gynéco explore encore plus ma grotte privée. Comme convenu, je me suis pointée à son cabinet, et l’auscultation a démarré comme d’habitude. J’ai enlevé tout le bas et je me suis allongée sur le fauteuil en plaçant mes jambes sur les étriers. Il se posa sur son tabouret et dirigea sa lampe sur ma fente. Je sentais la chaleur du rayon lumineux en plein sur ma vulve. J’avais juste un ticket de métro. Le gynéco enfonça d’abord un spéculum dans mon vagin, mais c’était un modèle pour les sexes bien larges, alors que ma chatoune est toute serrée. Il l’enfonça jusqu’au fond et commença à l’écarter au maximum. Je sentais mes lèvres se tendre comme des élastiques. Elles étaient prêtes à rompre sous l’écartement extrême de l’outil en métal, mais je serrais les dents.

Dilatée par mon gynéco

En même temps qu’il s’occupait de m’étendre le sexe à fond, il m’enfonça un doigt dans le cul avec son gant en latex. C’est la première fois qu’il entrait directement en moi sans utiliser un outil, et la sensation de l’avoir enfin dans mon cul me fit mouiller abondement. Je sentais le jus couler le long de mon abricot. Mes babines luisaient sous sa lampe. Je sentais son doigt dans mon troufion, je le fixais dans les yeux, et il continuait de me masturber l’anneau, sortant et rentrant son doigt, tournant dans mon rectum comme un pervers. Il ouvrit ensuite un tiroir et sorti des trucs que je n’avais jamais vus. C’était des godes énormes qu’il devait garder pour ses patientes les plus dociles. Il en prit un, le plus gros, et me le ficha dans le bénitier, puis saisi un autre, de même taille, pour le visser dans mon fiacre. Ils étaient si larges qu’ils se pressaient l’un contre l’autre à travers la paroi séparant ma brèche et mon arrière-boutique. Il aurait pu les laisser comme ça, c’était déjà suffisant pour me contenter, mais il commença à me niquer les charnières avec les deux poteaux. Malgré la douleur de la dilatation extrême, j’ai fini par jouir. Je dois le revoir la semaine prochaine…

Le gode-ceinture de ma femme…

J’ai une femme plus jeune que moi. Elle vient à peine de fêter ses 40 ans, et elle en paraît 10 de moins. Autant vous dire que je fais des jaloux au boulot, à mon club de foot et parmi mes amis. S’ils savaient, tous, ce qu’elle me fait endurer. Oh, je ne suis pas cocu, non. Enfin, je ne crois pas. Pas vraiment. En fait, ma femme a une maîtresse, depuis quelques temps. Et cette maîtresse s’appelle Christine, c’est le petit surnom qu’elle m’a donné.

Depuis le temps que je la tannais pour qu’elle accepte la sodomie, ça devait bien arriver. Ma femme n’est pas le genre qui se laisse faire, et encore moins à se laisser imposer quoi que ce soit. Un soir que nous faisions l’amour, j’ai de nouveau insister pour qu’elle me laisse essayer de l’enculer. Elle s’est levée droite comme un I et a quitté le lit conjugal.

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J’ai eu peur qu’elle veuille me quitter. Mais je l’ai retrouvée en face de l’ordinateur, ma carte bancaire à la main. Elle était sur un site de ventes d’articles coquins, style sexshop. En train de commander du lubrifiant. Quand j’ai vu ça, ma gaule est remontée. Puis elle a ajouté au panier une poire à lavements. C’était parfait. C’est quand elle s’est décidé pour un gode-ceinture de taille moyenne que j’ai commencé à m’inquiéter.

Moins de trois jours plus tard, sa commande est arrivée. Elle m’a tendu la poire et m’a envoyé me laver dans la salle de bains. C’est tout juste si je savais comment m’en servir. Je me suis retrouvé dans la baignoire, le tube dans le cul, à faire de mon mieux pour enlever ce qu’il y avait à enlever. Tout un poème, je préfère ne pas vous raconter les détails.

Quand je suis revenu, tout nu et tout propre, dans notre chambre, ma femme m’attendait en petite tenue sur le lit. Elle était hyper sexy. Sauf sur un point : elle s’était harnachée du gode-ceinture, ce qui lui donnait un air terrible à mes yeux. « Alors, comme ça, tu veux essayer la sodomie ? OK, pas de problème, on va essayer la sodomie ! ». Le gode devait avoir sensiblement les mêmes mensurations que ma bite. Pas énorme, donc, mais inquiétant tout de même.

J’ai souri. Mais je savais bien qu’elle ne plaisantait pas. Pas le genre à claquer du blé pour une simple blague. Elle m’a fait signe de sucer son gode-ceinture. Je me suis exécuté. J’ai trouvé ça terriblement humiliant. Mais je bandais quand même. Ensuite, manifestement très excitée, elle m’a fait me mettre à quatre pattes. Elle a mis du lubrifiant sur mon trou du cul et a posé l’engin entre mes fesses.

« Respire un grand coup, chérie ! » m’a t-elle lancé, l’air de rien. Et elle m’a défoncé. J’ai hurlé de douleur. D’une traite, le gode était entré entièrement en moi. J’avais tellement mal que je n’arrivais plus à contrôler mes forces. Elle m’a saisi par la taille et a commencé à me limer doucement avec son gode-ceinture. Dans cette position, elle était plus forte que moi, car mes forces m’avaient littéralement abandonné.

Quand j’ai finalement repris le dessus, j’avais l’anus en feu. J’ai réussi à m’extraire de son étreinte. Elle rigolait : « alors, cochonne, on a eu mal à son petit cul ? ». J’ai passé un doigt entre mes fesses. Elle m’avait effectivement déchiré. Je saignais même un peu. « Allez, mets-toi sur le dos, on y retourne ! ». Elle croyait vraiment que j’allais me laisser faire encore une fois ?

Défoncé par le gode-ceinture

Elle avait raison. Mu par une force que je ne maîtrisais pas, j’ai pris la position. Elle est venue sur moi, je sentais ses seins sur ma poitrine. Elle a dirigé le sextoy entre mes fesses et a poussé une nouvelle fois. Tout le gode s’est enfoncé en moi, je n’arrivais plus à respirer.

Et elle m’a enculé, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. J’ai failli tomber dans les pommes. A un mouvement, les secousses étaient si fortes et ma bite tellement tendue, que j’ai éjaculé. Et à ce moment là que ma femme a joui, presque comme l’aurait fait un homme, en grognant de contentement.

Et s’est dégagée et est retombée sur le dos, l’air satisfait. Mon cul me brûlait horriblement. Mais ça m’avait plu, je devais bien l’avouer. Elle m’avait baisé, et avait pris son pied à me sauter. On en discuté seulement le lendemain. Nous étions tous les deux satisfaits de l’expérience et nous avons recommencé, là, dans le salon.

Depuis cette première fois, ma femme a commandé d’autres godes-ceintures, tous plus gros les uns que les autres. Parfois je l’encule. Mais le plus souvent, c’est elle qui s’amuse à, comme elle dit, « me péter la rondelle ». J’ai gagné sur les deux tableaux.

La secrétaire scandinave est une lesbienne

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Monika est une jolie femme, elle a tout ce qu’il faut pour plaire, les portes lui sont ouvertes grâce à sa beauté et elle ne l’ignore pas.
De corpulence svelte, cheveux blonds et épais, yeux bleus et lèvres pulpeuses, c’est une scandinave qui habite à Monaco depuis quelques mois seulement et, qui y a trouvé un travail comme assistante dans une agence de publicité appartenant à une richissime femme d’affaire.

À 27 ans, elle est très ambitieuse et, tous les moyens, selon elle, sont bons pour parvenir à ses fins. Non seulement elle a le physique parfait, mais elle sait jouer avec les circonstances et les situations.

Son bureau voit fréquemment la visite de la patronne : deux à trois fois par semaine. Cette bourgeoise quadragénaire est très pointilleuse, elle demande toujours des comptes à tous ses collaborateurs.

Ayant menée une enquête, Monika a appris qu’elle était célibataire et lesbienne. Le libertinage, elle en connait un rayon ! C’est peut être ce qui va lui offrir des opportunités.

Un mercredi, comme d’habitude, on annonce l’arrivée de la baronne Kelly qui ne manquera pas de faire un tour dans le bureau de Monika.

Sachant jouer avec ses atouts physiques et son côté un peu débridé, notre scandinave lesbienne décide de jouer le grand jeu. Sexy et plus séduisante que jamais, voilà comment elle se présente. Irrésistible, elle ne pourra pas passer inaperçue aux yeux de sa patronne.

Il est midi et, on frappe à sa porte. Monika se lève, elle courre ouvrir pour ensuite inviter Miss Kelly à prendre place. Femme de caractère qui ne marche pas ses mots, la patronne demande tout de suite à rentrer dans le vif du sujet. Monika sort les derniers dossiers et, se lève pour expliquer leurs avancés. Sa jupe est extrêmement courte, on aperçoit ses bas quasi transparents et, elle a déboutonné sa chemise pour exhiber sa belle poitrine naturelle.

Quelques papiers en mains, elle jette des regards séducteurs à la patronne en lui expliquant, en détail, le travail qu’elle a abattu durant les derniers jours, elle est super brillante cette scandinave ! D’habitude, Miss Kelly ne faisait pas plus de 30 minutes dans le bureau de Monika, mais cette fois, ça fait 45 minutes que les deux coquines discutent. La conversation, au bout du compte, est devenue plus amicale que professionnelle.

En regardant sa montre, Miss Kelly remarque que le temps avait lourdement filé, alors, elle a donné rendez-vous à Monika pour la prochaine visite en lui notant qu’elle avait aimé la discussion. Avant de sortir, notre assistante a eu droit à un bisou très proche des lèvres. Le premier coup est marqué !

Lesbienne scandinave prête à baiser…

La deuxième et dernière visite de la semaine se déroule le vendredi. Notre allumeuse a mis les bouchées doubles. Plus sexy que jamais, elle a préparé un speech de bienvenu à la baronne qui entre dans le bureau vêtue d’une robe moulante exposant ses petits tétons.

Monika : toujours aussi radieuse, je ne résiste pas au charme d’une si jolie femme, désolée…
Miss Kelly : tu sais Monika, moi aussi je ne résiste pas à ton charme, j’ai beaucoup pensé à la dernière fois, ta compagnie était si agréable que j’en suis restée séduite.

Joignant la parole à l’acte, la baronne attrape Monika par les cheveux et l’embrasse langoureusement. Bien évidemment, la réponse à son flirt se fait avec la même hardiesse. Comme elles sont sauvages nos deux coquines !
Dominatrice, Miss Kelly projette son assistante sur le canapé du bureau, elle retire son string avant de la déshabiller complètement. Monika se laisse lécher les nibards, puis la foufoune, elle est complètement épilée cette cochonne !

La baronne fouille dans sa sacoche et retire un gode-ceinture avant de retourner l’assistante. Après une longue séance de pénétration, la baronne détache son sextoy et l’enfile à Monika qui va s’en servir majestueusement.
La patronne adore la levrette, surtout la sodomie alors, c’est à quatre pattes qu’elle demande à son assistante de la prendre comme une chienne.
Une heure vient de passer, le corps nu et radieux de Monika est allongé pendant que la baronne la regarde toujours avec la même envie. Elle lui avoue être tombée sous son charme depuis la première fois.

Les petites coquines vont continuer dans l’appartement luxueux de la baronne : une victoire pour cette scandinave ?

Mon nouveau soumis

Tu es soumis, tu cherches ta maîtresse ?

Je suis ce compte appelle communément une fille libérée. Autant, quand je suis en couple, je suis fidèle et j’en attends autant de mon mec, autant quand je suis célibataire, il m’arrive souvent de draguer et de me laisser draguer dans les bars. Cette histoire m’est arrivée alors que j’étais encore étudiante, l’année dernière.

J’étais dans un bar de nuit avec quelques copines, quand un mec pas très beau s’est approché de moi et à commencer à discuter. Au cours de la soirée, certaines de mes copines m’ont dit que je pouvais quand même dégoter mieux, vu mon physique. Attention, je suis très loin d’être un mannequin : je suis petite, plutôt bien foutue malgré quelques rondeurs, blonde et je dois bien dire que je plais aux garçons.

D’autres de mes amies m’ont convaincue de me laisser tenter par les avances du jeune homme. Après tout, il n’était pas moche non plus, et très sympa, très cultivé, drôle aussi. Tant et si bien qu’à la fin de la soirée, il m’a emmenée chez lui. C’était une chambre d’étudiant, avec un confort spartiate. Un peu saoule, je lui ai demandé s’il pouvait nous faire un café, histoire de nous remettre d’aplomb.

Pendant qu’il s’affairait dans sa kitchenette, je me suis assise sur son lit. Avec mes pieds, j’ai senti une boite à chaussures qui dépassait de dessous. Curieuse, j’ai ouvert et là, j’ai eu une surprise : toute une collection de jeux et d’objets BDSM soft. Attention, rien de glauque : une cravache avec un cœur au bout, un bandeau noir, un plumeau et des tas de trucs dans le même genre.

Je ne me suis pas défilée et quand il est revenu avec les tasses, je lui ai posé des questions sur son attirail. Il a piqué un fard et m’a expliqué qu’il venait de rompre avec sa copine, et qu’elle était fan du fameux bouquin de SM soft qui a fait fureur il y a quelques années. J’en ai rigolé et je lui ai demandé, tout en buvant le café, comment utiliser chacun des objets. En rigolant, on a exploré sa boite à joujoux.

Une boite pleine de sextoys !

Je lui ai avoué que cela m’émoustillait un peu. Il a de nouveau piqué un fard pour me dire que de discuter avec moi l’avait carrément fait bander. Je lui ai dit que je ne le croyais pas. D’un air de défi, il a pris le bandeau noir et l’a mis sur mes yeux. Il s’est levé du lit. Au bout d’un moment, il a pris ma main et l’a posé sur un objet dur et droit, comme un barreau de chaise. J’ai retiré le bandeau : je tenais entre mes doigts sa queue.

Oui, mais quelle queue ! Un membre magnifique, long, épais et droit comme la justice ! J’étais tombée sur un mec qui soutenait ce qu’il avançait. Je l’ai branlé un peu, en souriant et je lui ai dit : « alors monsieur, on bande ? ». Il n’a pas répondu. J’ai poursuivi : « mais c’est interdit de bander aussi dur dès le premier soir ! ».

J’ai pris la petite cravache et j’ai commencé à lui tapoter la queue avec. Puis je suis descendue vers ses couilles que j’ai prises à pleines mains pour les agacer avec le petit cœur. Il a commencé à grogner. « Pardon, maîtresse, je bande sans votre permission » a t-il lancé d’un ton badin.

J’ai fait allongé mon soumis sur son lit, puis j’ai pris le plumeau et j’ai parcouru sa peau avec. Il fut pris d’un fou rire, mais ne débanda pas. Je lui ai passé les menottes et j’ai continué mon petit jeu, en insistant sur son membre fabuleux. J’avais envie de le prendre à pleine bouche, de le sucer, puis de m’empaler dessus.

Soumis mais bon baiseur…

Quand il fut à point, je lui ai mis à son tour le bandeau. Je me suis déshabillée entièrement puis je suis venue poser mon entrecuisse sur sa bouche. My god ! Non seulement il était membré comme un taureau, mais, en plus, il léchait comme personne. J’ai eu l’orgasme le plus rapide de ma vie, l’un des plus profonds aussi. J’ai perdu tout contrôle de moi, au point de manquer de l’étouffer ! Je l’ai laissé comme ça un instant, après avoir repris mes esprits.

Sans rien dire, je suis allée chercher une capote, que j’ai déroulé difficilement sur son énorme engin. J’aurais du penser à la taille XXL ! Puis je suis venue me poser sur sa queue. Je me suis enfilée, centimètre par centimètre, et j’ai failli jouir tout de suite une seconde fois.

J’ai chevauché mon soumis toute la nuit, lui pinçant les tétons, lui donnant des petites gifles, sans jamais lui retirer son bandeau. Maintenant, quand j’ai envie de sa belle bite, je lui laisse un texto et il doit m’attendre comme ça, sur son lit, son bandeau sur le visage.

J’encule une bourgeoise

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Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Momo, je suis maghrébin et je vis en banlieue proche de Paris, où je viens de passer mon bac. Depuis, je suis inscrit en fac de sociologie, à l’autre bout de la ville et je passe énormément de temps dans les transports en commun. Je ne vais pas jouer au jeune de banlieue qui se galère, je dis juste que ce serait plus pratique pour moi d’habiter dans le cinquième arrondissement !

N’empêche que cette situation m’a valu de vivre une drôle d’aventure, avec une femme bien plus âgée que moi. Elle devait avoir au moins 45 ans, peut-être même 50 ans. En sortant de la fac, je suis allé boire un verre avec quelques copains. Une chose en entraînant une autre, j’ai finalement pris le dernier métro pour rentrer chez mes parents.

La rame était vide, jusqu’à cette station, où une belle dame bourgeoise est entrée dans le métro et est venue s’asseoir en face de moi. Une belle femme, vêtue de façon chic et sexy. Et plutôt que de détourner le regard comme le font tous les gens à Paris, elle m’a salué d’un « bonsoir » en me souriant. Puis nous avons discuté, notamment de ma situation par rapport aux transports.

Allumeuse, Christine m’a lancé « et pourquoi tu ne viendrais pas dormir chez moi, au moins cette nuit ? ». J’étais sur le cul. Mais vous savez ce que c’est : un mec de mon âge ne refuse jamais un plan cul, même avec une vieille ! J’ai donc suivi la couguar, qui en a profité pour tortiller du boule dans l’escalier qui menait à son appartement.

A peine arrivé chez elle, je me suis retrouvé avec la bite dans sa bouche. La diablesse essayait de me prendre en fond de gorge, jusqu’à s’étouffer elle-même. Quand j’ai été bien chaud – et elle aussi – elle m’a fait un petit strip-tease, assez hardcore, en se masturbant en même temps qu’elle se déshabillait.

A mon grand étonnement, elle était très bien gaulée. Mis à part le fait qu’elle marchait bizarrement, elle avait tout d’une pro : la technique, le style, deux beaux gros seins qui semblaient encore assez fermes, le cul haut et la chatte entièrement épilée.

La chatte étroite de la bourgeoise

J’avais encore la teub raide, sortie de la braguette. Christine est partie, à poil, fouiller dans son sac à main et en a sorti une pleine boite de capotes. Elle m’en a passé une sur le membre et est venue s’enfiler sur moi, toujours assis sur le canapé.

A voir l’âge de la libertine, et en supposant que j’étais loin d’être le premier à rentrer ainsi dans sa chatte, je n’aurais pas pensé une seconde qu’elle allait être aussi serrée. Elle était pourtant trempée de mouille, mais j’ai même eu du mal à rentrer entièrement.

Une fois dedans, par contre, quel pied ! Sa chatte me massait la queue, même à travers la capote, tandis que Christine semblait sur le point de s’évanouir, à force de plaisir. Elle était en transe, et ne fut pas longue à jouir une première fois.

Après ça, elle s’est relevée. Elle m’a tendu la main pour que je la suive jusque dans sa chambre. Elle tordait toujours autant du cul et je ne comprenais pas pour moi. Une fois dans son intimité, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a commencé à écarter ses fesses devant moi. Sous mes yeux incrédules, elle a retiré de son anus un plug qui devait y être depuis le début de la journée.

bourgeoise veut que je l’encule !

Elle a fourré sa tête dans l’oreiller et m’a quasiment supplié : « encule-moi, maintenant ». Je dois bien avouer que je n’avais jamais sodomisé une femme avant cela. J’ai réajusté une nouvelle capote sur mon zob, toujours tendu comme un arc, et je me suis approché du boule en question.

Le sextoy avait fait son office. L’anus de Christine était béant, en forme de O. J’ai posé mon gland sur l’orifice et j’ai poussé. C’était comme si ma bite avait été aspirée. Je suis rentrer d’un coup, faisant gueuler ma couguar comme une bête. Un temps, j’ai cru lui avoir fait mal, mais en la voyant dandiner du fion comme elle le faisait, j’ai vite été rassuré.

J’ai enculé Christine – que dis-je ? Je l’ai chevauchée – comme un salaud. Son trou du cul était plus ample que sa chatte quand elle était comprimée par le plug anal. Et moi, je m’étais planté jusqu’aux couilles dedans, j’encule une bourgeoise, putain !!

Au bout d’un moment, en me demandant de la traiter de salope, de pute et de vide-couilles, Christine a commencé à se masturber, allant même jusqu’à planter quatre doigts dans sa moule dégoulinante de cyprine. Du coup, son anus s’est resserré autour de ma pine, et j’ai joui une première fois, sans sortir de son cul.

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !

Smothering ? Ma femme adore !

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

Assise sur moi, elle gigote dans tous les sens, comme pour mieux sentir ma langue, qui va de ses grandes lèvres à son clitoris, de l’intérieur de son vagin à, quand je peux l’atteindre, son périnée. Elle m’utilise comme un sextoy et moi, je suis plutôt flatté de lui faire un tel effet. Je m’applique. C’est ça le smothering.

Désormais, ma langue frétille au fond de sa chatte. Elle pousse quelques hululements de plaisir et se pose un peu plus sur mon visage. Elle doit bien sentir que mon nez cherche l’air, mais elle semble perdre tout contrôle, quand je la lèche comme ça. Je sens maintenant tout le poids de son corps sur mon visage.

Tout, ou presque. Car quand elle se met à jouir, je sens la différence. D’abord, elle s’agite en tout sens, me tordant du même coup la mâchoire, vrillant ma bouche qui aspire tout son con. Et puis elle crie, crache des mots que je ne lui connais pas : « oh putain, oh putain que c’est bon, vas-y, bouffe-moi la moule, vas-y, suce-moi la chatte ! ».

Et là, elle s’affale totalement. Moi je suis en dessous, je ne peux plus respirer. Elle est comme évanouie au dessus de moi, et je crois mourir de manque d’oxygène. Je me débats mais, vu la position, il n’y a rien à faire. Au bout de quelques secondes qui me paraissent des heurs, elle finit par se dégager, m’offrant un bol d’air bienvenu.

Elle est tranquille, heureuse, et se fiche totalement de ma crise de panique. Voilà comment tout ceci a commencé pour moi, comment ma femme a découvert le smothering, et comment elle a fini par m’y initier.

Le smothering, ou le face-sitting (ce qui revient au même), c’est quand une femme s’assoit sur le visage de son partenaire presque jusqu’à l’étouffement. Croyez-moi, ça a un côté humiliant, parfois même angoissant ou inquiétant, et ma chérie adore ça. Certaines femmes utilisent cette pratique dans des jeux purement SM. Ma femme, elle, en profite pour se faire lécher le con par son soumis, à savoir moi.

Smothering, soumis à sa chatte

Désormais, elle varie les pratiques. Elle se laisse pousser les poils de la chatte pour que ce soit irritant, et encore un peu plus humiliant. Elle joue avec mes couilles tout en se faisant lécher la chatte. Un jour, elle a même pissé dans ma bouche et j’ai bien failli m’y noyer.

Le pire dans tout ça, c’est qu’elle a découvert du même coup une forme plus avancée de son plaisir. Me chevaucher ainsi la met en transe sexuelle, littéralement. C’est vrai que ça m’excite et que ça me fait bander. Mais elle, c’est encore autre chose. La voici devenue femme-fontaine depuis qu’elle a découvert ses penchants sadiques.

Oui, vous avez bien compris : smothering + femme-fontaine, voilà un cocktail détonnant. Elle se place au dessus de moi, et je dois titiller son clitoris du bout de la langue. Puis, sans prévenir, bien entendu, elle s’assoit un peu mieux, couvrant ma bouche et mon nez de sa grosse moule déjà trempée de cyprine. Là, je ne peux respirer que l’intérieur de son vagin.

Elle me baise avec son cul

Puis, elle me tend son anus à lécher. Je fais de mon mieux, j’essaie d’insérer le bout de ma langue dans son anus, sans pour autant la pénétrer. C’est elle qui domine, hors de question pour elle de se faire sodomiser !

Ensuite, elle revient le sexe sur mon visage. Je dois bien la pénétrer, jusqu’à ce qu’elle décide que son bouton en veut encore. A ce moment là, je suis rougi par la chaleur et le manque d’air. Et à ce moment, en général, que survient son orgasme. Elle m’attrape par les couilles, qu’elle a préalablement coincées dans un cockring, me faisant brailler de douleur, et elle jouit.

Les grands jours, ce sont des litres de cyprine qui s’abattent sur mon visage et, quand elle est vraiment en forme, elle en profite pour me donner des ordres : « vas-y, avale tout mon jus, petite salope ». Et, de fait, je suis bien obligé de prendre en bouche une bonne partie de la mouille qu’elle crache abondamment par la chatte.

Mais quand a fini, elle ne me libère pas pour autant. En général, elle reste assise sur moi jusqu’à ce que je sois au bord de l’évanouissement et de l’anoxie. Puis elle me laisse enfin respirer. Parfois, par contre, elle en veut encore et me le fait comprendre en tortillant du popotin.

Le smothering est devenu une vraie passion chez elle, au point de s’inscrire sur un forum BDSM où elle a fait la connaissance de vraies dominatrices. Un jour, elle me l’a promit, elle offrira ma bouche de suceur à toutes ses nouvelles copines BDSM. Je devrai toutes les lécher, une par une.

Je m’en fais une joie, par avance.

Nounou prise pour cible par un papa sadomaso

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

A l’époque où j’étais étudiante, j’arrondissais mes fins de mois en faisant du nounou et l’escorte girl quand cela était nécessaire, parfois les deux.
Un soir, je reçus une proposition de nounou d’un père célibataire dans le 16ème arrondissement qui devait s’absenter pour la nuit.
Je prenais mon service de nounou à 20 h et nous avions à peine échangé car il semblait en retard à sa soirée.

En rentrant vers deux heures du matin, son rejeton était endormi, lui était sous l’effet de l’alcool mais conscient de ses actes. Au lieu de rentrer chez moi de suite, je fis le choix de rester pour le séduire histoire de faire d’une pierre deux coups. Je fis exprès d’entamer une discussion sur le sexe qui me révéla qu’il n’avait pas touché de femme depuis au moins quatre mois. Ce qui me laissait penser qu’il devait être en manque.
Telle une fauve à l’affût de sa proie, je m’approchais de lui de sorte à ce qu’il n’y ait plus de distance, je créais ensuite un contact physique avant de l’embrasser.
Ce baiser nous poussa à aller loin, très loin, en moins de cinq minutes, j’avais son pénis au fond de la gorge. Il me demanda réellement si j’avais envie de faire l’amour avec lui avant de m’intimer de le suivre à sa chambre.

De nounou à esclave sexuel

Il sortit d’un placard, un sac de sport dans lequel il y avait un nombre incalculable d’accessoires sadomaso. Et me dit :
– Maintenant nous allons faire les choses à ma façon petite chienne.
Je ne vous cache pas que je flippais un max car si je n’avais que peu d’expériences comme nounou, j’en avais encore moins dans le sexe SM, et l’air autoritaire qu’il arborait me foutait les jetons. Mais ce fût le prix à payer pour ma provocation, il fallait que je l’assume.
Il me fit asseoir sur une chaise, m’attachais les mains dans le dos, et les pieds aux pieds de la chaise. Je ne pouvais pas bouger. Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Dès qu’il eut terminé, il se branlait la teub pour la faire durcir et quand elle atteignit sa taille maximale, il se mit à me désarçonner la bouche. Son sexe arrivait au fond de ma gorge et je perdais mon souffle à chaque coup de bites violent qu’il me portait. Malgré mes agitations pour lui faire comprendre qu’il allait trop fort, ce gros matons, n’en faisait pas cas, il me mettait bien profond et avec une violence incroyable. A ces yeux, je n’étais désormais qu’une esclave !

La nounou s’en prend plein les trous

Après avoir morflé un max à la pipe sauvage, j’allais ensuite avoir droit à la pluie de cire de bougie sur le torse, c’était une sensation agréable. A la suite de cela, il m’attacha à nouveau d’une manière si compliqué que je ne pourrais correctement la décrire, mais je sais juste que je me suis retrouvé les avant-bras attaché aux cuisses avec les jambes ouvertes de sorte à ne pas pouvoir se fermer même si je le voulais.
Dans cette position de soumission, j’allais encaisser une série de cravache sur le popotin, elle était plus ou moins douloureuse, heureusement qu’il avait pris soin de me bâillonner, car mes hurlements se seraient fait entendre à des kilomètres.
Il m’enfila un plug anal dans le cul et se mit à me l’enfoncer à sa guise. Des minutes plus tard, il me défonçait la chatte avec un vibromasseur, avant de le remplacer par sa bite qui allait me fourrer brutalement au point de m’en laisser des lésions vaginales importantes.
Le traitement infligé par ce bourreau me fit couler des larmes à certain moment, néanmoins j’en éprouvais un plaisir intense. Il me fit ensuite avaler tout son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il me paya généreusement…le corps tout endolori, je me tapais un petit roupillon chez lui avant de m’en aller en douce comme une nounou bien obéissante…