Baiser une beurette ? Ca c’est fait :)

Je n’ai pas la prétention de dire que j’enchaîne les meufs et que je suis un niqueur hors pair, mais cette histoire vraie est un peu une sorte d’encouragement pour tous les mecs qui on envie de baiser une beurette. N’ayez pas peur de vous prendre un vent, ces petites arabes sont de vraies chiennes en chaleur. Samia est une collègue de travail. Une petite stagiaire qui a débarqué dans mon bureau il y a un mois. J’ai tout de suite flanché en voyant son gros boule bien bombé.

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Elle faisait des manières de fille prude et innocente, mais j’ai vite vu qu’elle observait souvent ma bite dans mon jean. Ça fait longtemps que j’ai envie de baiser une beurette, et j’ai vu là une occasion en or de réaliser mon fantasme. Un soir, alors que tout le monde était déjà parti des locaux, il ne restait que moi et Samia. Je prétexte un retard sur un dossier important pour lui demander une demi-heure de son temps. Elle accepte. Elle portait comme à son habitude un petit legging noir qui lui moulait parfaitement le bas du corps. Je pouvais bien deviner sa chatte joufflue et toute sa raie du cul. Elle portait un voile, mais ça ne m’empêchait pas de bander pour elle. Je crois d’ailleurs que c’est comme ça que tout a commencé, elle s’est aperçue de la grosse bosse de mon jean. Elle a fait les gros yeux en me demandant ce que c’était. Je lui ai dit que j’allais lui montrer si elle me promettait de ne rien dire à ses frères.

Elle accepta en rigolant du cliché raciste que je venais de faire. J’ai alors fermé la porte à clé, et j’ai déballé ma queue. Je n’ai pas une bite énorme, mais quand je bande, je bande! Ma queue dure et pleine de veines lui a tapé dans l’oeil. Elle s’est jetée dessus, pour mon plus grand plaisir. J’étais étonné que cette beurette pratiquante accepte si facilement de me pomper, au bureau en plus, mais elle m’a avoué qu’elle était grave en manque de cul. Elle a commencé à me sucer maladroitement, mais je sentais que ce n’était pas la première queue qu’elle avait en bouche. Je sens encore sa langue me longer la tige des couilles jusqu’au casque. Putain quel bonheur de se faire bien piper par Samia la beurette musulmane. Elle me suce la queue tout en gardant son niqab, comme dans les films de cul. Je prends mon pied et savoure le moment. Elle fait des bruits de succion et me bouffe complètement l’engin. Je suis déjà à deux doigts de gicler et lui demande de se calmer.

Enfin je baise une beurette !!

Je veux baiser une beurette sur mon bureau, le fantasme absolu. Je lui demande de se foutre dessus en levrette. Je lui baisse le legging et la culotte d’un seul coup. Son boule énorme mais ferme est là, devant moi. Je prends ma queue en main, bien à la base, puis je plaque mon gland sur l’entrée de sa petite chatte sans poil. Sa peau bronzée et son odeur me font bander encore plus dur. Je pousse un grand coup et me retrouve complètement fiché en elle, jusqu’à la garde. Il n’y a que mes burnes qui sont dehors. Je sens bien qu’elle mouille et je commence à la limer fermement en la maintenant par les hanches. Son gros fion fait des vagues à mesure que je la pilonne. Mais l’excitation l’emporte, et après seulement 5 minutes de baise, je lui lâche tout au fond de la grotte. Elle me remercie pour cette baise rapide, réajuste son voile et son legging puis quitte le bureau d’un air naturel. Quelle salope!

Jeune beurette doublement baisée en bord de mer

Marseillaise, Fatima est née en Tunisie, c’est une jeune beurette comme on dit. Ça fait déjà un mois qu’elle a soufflé sa vingtième bougie et, elle est plus belle que jamais.
Cette universitaire aime bien les balades au bord de la mer. Quand elle n’est pas avec une bande de copains, c’est aux côtés de sa meilleure amie Julie qu’elle se promène. Elle adore marcher pieds nus pour profiter du sable chaud, il n’y qu’en été qu’on peut ressentir ça et, nous sommes justement au mois de Juin.
Cette année, elle a trouvé du travail à temps partiel sur une plage, un boulot qui lui plaît bien car, telle une sirène, elle adore les bruits des vagues, observer le coucher du soleil et le vent estival.
Un samedi matin, la jolie plagiste de 20 ans, dans son maillot de bain, installe le matériel, aidée par d’autres jeunes dynamiques, enjoués et insouciants qui travaillent avec elle. Ils s’amusent bien, font des blagues et parlent sans tabou. Pas très loquace sur sa vie intime, elle cache à tout le monde ses fantasmes, elle en a un peu honte.
En effet, Fatima rêve de faire l’amour avec deux mecs musclés dans une cabane près de la mer. Déjà qu’elle est très coincée, comment fera-t-elle pour se retrouver avec deux keums, toute seule ?

Jeune beurette avide de sensations

La jeune beurette Elle a un petit ami qui n’est vraiment pas son genre. C’est juste pour passer le temps, un mec sympa, boulanger, peu élégant et aussi coincé qu’elle. Même s’ils « font l’amour » souvent, elle n’a jamais droit aux préliminaires, pourtant, elle adore le cunnilingus. Et quand elle propose de lui faire une pipe ? Le mec devient tout rouge, oppose un refus, ce qui offusque souvent Fatima.
Sa vie de couple n’est donc pas un rêve mais, elle ne songe jamais aller voir ailleurs car, c’est une magrébine respectueuse des principes religieux.
Sa tenue de travail est un maillot de bain deux pièces, putain ce qu’elle est bandante dans cet uniforme composé d’un haut super mini et d’un boxer bien moulant. Ses fesses se dessinent à la perfection et sa poitrine, 85B, a l’air de prendre du volume chaque seconde qui passe.

Ce jour de week-end, Fatima vient de prendre sa pause, il est 11 heures et, elle siffle un jus de coco, les pieds croisés, assise sur une table. Elle porte des lunettes de soleil et elle regarde ses collègues, nager, marcher papillonner et draguer.
Ses écouteurs aux oreilles, la musique retentit à fond quand elle sent une main chaude toucher son épaule. L’effet de surprise la fait sursauter et, lorsqu’elle se retourne, notre jolie maghrégine remarque une ombre imposante érigée devant elle. Elle ôte ses lunettes et, c’est un beau black qui a l’air d’avoir avalé une armoire, qu’elle aperçoit.

Elle se lève pour le contempler de la tête aux pieds, il est vraiment impressionnant, ce n’est pas son type mais, toutes les femmes rêvent d’un homme aussi robuste, même pour une minute de plaisir.
Elle lui demande alors ce qu’il veut et, le jeune coquin de lui dire qu’il la trouve très jolie et qu’il aimerait discuter avec elle.
Continuant la conversation, il confie à Fatima qu’il est photohraphe et qu’il aimerait bien la prendre pour model. Il continue en disant qu’il avait loué un appartement du côté est de la plage et qu’il voulait bien lui faire faire un casting, moyennant quelques euros, bien sûr !

La jeune beurette phocéenne réfléchit quelques instants avant d’accepter.
Ils marchèrent alors pour regagner le côté est où était confortablement installé notre coquin.
Aucune trace ne montre que c’est un professionnel de la photo, Fatima soupçonne un traquenard, se pose quelques questions avant de lui dire qu’elle n’était plus intéressée.
Le mec la supplie de rester, avouant qu’il avait juste envie d’être avec elle et, d’ailleurs, pour lui montrer sa bonne foi, il sort une liasse d’Euros qu’il met dans la main de la maghrégine.
Ces espèces sonnantes la désarment.

Fatima : Maintenant, on fait quoi ?
Gérard : Je veux juste te voir nue, que tu me fasses un striptease.

Beurette vénale

Tous ces billets méritaient bien une petite gâterie !
Alors qu’elle commençait à se déhancher, le mec a pris son smartphone pour filmer. En plus, il a mis en fond sonore, une musique chaude pour la motiver. La jeune beurette commence à se déchaîner jusqu’à ce que la sonnerie retentisse.

Gérard : C’est certainement le concierge, ne bouge pas je reviens tout de suite.

Entre alors un autre beau mec, métis, musclé, torse nu. Toute honteuse, Fatima ne peut cacher les billets qu’elle tient dans sa main.
Mais ces mecs sont des pros, ils ont l’air de ne pas être à leur premier coup. En effet, Gérard va proposer un nouveau deal à son invitée : « Maintenant que nous sommes deux, on peut t’ajouter de l’argent pour te regarder, ça ne fera pas de mal « .
Se sentant humiliée mais excitée en même temps, la beurette de 20 ans n’a pas dit non. La musique relancée, elle va recommencer ses déhanchements façon orientale.

Les deux coquins se levèrent pour demander gentiment à Fatima de sucer leurs bites. A cet instant, elle pensa à son fantasme en se demandant pourquoi ne pas en profiter pour le réaliser.

Une bonne partouze avec des doubles pénétrations et du sperme à bouffer pour la rebeu.

Beurette et libertine

En général, quand moi, jeune beurette, j’annonce à des amis ou à des collègues que je suis libertine, tout le monde tombe des nues. Déjà, je pense que ça en étonne plus d’un et plus d’une. D’autre part, les gens ne s’attendent pas à ce qu’une femme « avoue » aimer le sexe, et le sexe en groupe en particulier. Surtout que personne n’imagine réellement ce qui se passe vraiment dans le monde échangiste, à part les libertins eux-mêmes.

Par ailleurs, je dois bien dire que, étant beurette, le fait que ça vienne de moi bouscule pas mal de clichés actuels. Il y a un siècle, tout le monde m’aurait imaginée tortillant du cul en faisant une danse du ventre. Aujourd’hui, on s’imagine qu’une fille arabe et d’origine musulmane, c’est forcément super sage.

Mon mec, Momo, est beur lui aussi. Et comme il a un certain esprit provoc’, il lui arrive de se laisser un peu pousser la barbe. Ça fait parler les cons, qu’il dit. Je ne vous explique pas notre touche quand on part en club libertin, lui avec sa barbe, moi avec une jupe ras la touffe.

Justement, l’histoire que je voulais vous raconter se passe justement en club, lors d’une soirée couples, un samedi soir. On est tranquille au bar, en train de siroter un cocktail et de reluquer les autres couples pour voir avec qui on a envie de partouzer, quand débarque une nana, la quarantaine provocante, flanquée d’un type quelconque.

La vache, mais je la connais cette salope ! Elle bosse dans le bureau à côté du mien ! Une connasse de première : raciste, homophobe, coincée du derche au dernier degré. Et la voilà qui débarque dans une boite à partouzes connue pour être fréquentée par des antillais, des africains, des rebeus ! Je suis morte de rire ! Y en a qui manque pas de culot !

Je raconte tout à Momo, qui me pose une main sur l’épaule. Il me connaît, je suis capable d’aller lui mettre sa misère, à cette pute ! Elle passe devant moi. Elle ne m’a pas reconnue. Pour ces gens-là, une arabe en vaut bien une autre. Le couple part s’asseoir sur un canapé, après avoir fait la bise à un autre duo d’échangistes, blancs de blancs aussi.

Qu’on me comprenne bien : moi, je baise avec tout le monde, pas de racisme chez moi. Mais venir dans une telle boite échangiste pour se taper ses alter-ego, je trouve ça pitoyable. Enfin, bref. J’ai repéré un couple asiatique un peu timide qui me branche bien.

Non, mais j’hallucine ! Le mec de Chantal – appelons la comme ça pour simplifier – n’arrête pas de me reluquer. Moi, je fais mon allumeuse et je fonce sur la piste de danse pour m’exhiber un peu devant lui. Pas de bol pour la connasse, les deux gaulois qui discutaient avec eux se sont fait alpaguer par une belle blackette et son mec et partent avec eux vers les alcôves. Chantal fait la moue : ça doit la débecter.

Moi, j’en rajoute une couche et j’invite carrément le mec de ma collègue à venir danser avec moi, sous l’œil effaré de Momo. Il est subjugué par mon petit haut transparent qui laisse voir mes seins mieux que si j’étais topless. En dix minutes, je le convaincs de me suivre vers les coins-câlins, avec mon mec,… et sa meuf !

Quelle partie de baise ça a été ! Je lui ai fait la totale au gars : branlette, pipe, fond de gorge, branlette espagnole, il a eu droit à tout, une vraie beurette salope ! Et quand il s’est retrouvé sur moi en train de me limer, il avait l’air de ne pas en revenir. Il était au paradis, le gars !

De temps en temps, je jetais un coup d’œil vers Momo et Chantal. C’est qu’elle n’avait pas l’air d’être si dégoûtée que ça, la garce ! Elle s’était empalée sur la bite de mon mec, qui lui palpait ses grosses mamelles comme un petit fou.

Et ma Chantal qui gueulait de plaisir. Elle avait l’air de prendre encore plus son pied que son homme qui, pourtant, me disait des tas de mots doux dans le creux de l’oreille. Lui, il baisait sa première beurette. Elle, elle se faisait limer par la bite d’un arabe !

Pompé par une beurette libertine

Quand il fut bien à point, je me suis mise à pomper la queue de son gaillard, qui a joui à grands flots dans ma bouche. Il est tombé, limite évanouissement. Puis il s’est repris et a voulu me faire un câlin. Pendant que Momo tronchait sa grosse comme un barbare, il m’a dit qu’il n’avait jamais couché avec une fille « comme moi », que ça avait toujours été son fantasme, que j’étais merveilleuse et tout le baratin.

Au total, Chantal a du jouir trois fois entre la langue de Momo et ses coups de queue magiques. Ça valait bien la peine de dire autant de mal des arabes.