J’aime le sperme et le bukkake

J’ai longtemps hésité avant de raconter ce qu’est ma vie sexuelle. Je sais que beaucoup ne me comprendront pas, mais je suis comme ça, et je jouis je pense bien plus que la moyenne des femmes, y compris des libertines, qui, parfois, sont bien plus coincées qu’on ne l’imagine.

Moi, mon truc, c’est le bukkake. Vous ne savez pas ce que c’est ? Je vous explique. Dans les temps anciens, au Japon, quand une femme était convaincue d’adultère, on la mettait nue sur la place du village, et les hommes venaient se branler sur elle et giclaient leur sperme sur elle. L’humiliation intégrale.

Maintenant, le bukkake, la douche de sperme si vous préférez, est devenue une pratique érotique, porno, si vous préférez. Et bien moi, ça me fait fantasmer. Rien que de vous écrire ces lignes, j’ai la chatte toute trempée.

Déjà, j’adore être le centre des attentions : avoir 10, 20 ou 50 hommes rien que pour moi, ça m’excite terriblement. Ensuite, j’adore sucer des bites. C’est pour moi plus jouissif que de me faire limer le sexe ou l’anus. Enfin, et c’est là la clé, j’aime être humiliée, traitée comme une pute, et servir de vide-couilles à tous les hommes.

Et quand je dis « tous les hommes », ça n’est pas qu’une façon de parler. Je ne fais aucune sélection : les beaux, les jeunes, les noirs, les blancs, les gros et les moches, tous ont droit de se faire sucer, de me peloter, de m’insulter et de gicler sur moi. C’est même ça qui est excitant.

J’aime sucer des bites

Quant aux bites, c’est pareil. J’aime les grosses raides, bien sûr, mais je ne refuse pas non plus de pomper une petite molle, du moment qu’elle est propre. Et que les hygiénistes se rassurent, je n’ai jamais eu le moindre pépin de santé, à part une aphte, un jour.

Je fais ça dans les clubs échangistes, lors des soirées gangbang, dans un cinéma porno vers chez moi ou dans des parkings, des parcs, la nuit. Je m’habille sexy, dans une robe achetée dans un sexshop, avec un large décolleté qui met bien valeur mes gros nibards et je commence à allumer tout le monde.

En général un gars commence à me peloter. Je me mets à genoux, je sors sa bite et je le suce. Très vite, il y a un attroupement. Quand il y a assez de bites autour de moi, je dis : « traitez-moi comme une salope ». Ces quelques mots suffisent à déclencher l’hystérie de ces messieurs. Ils se mettent à me baiser la gorge, à me peloter de façon rude, à m’insulter…

C’est à ce moment là que je commence à me masturber. Et je jouis plusieurs fois pendant une séance. En général, quand un homme plus généreux que les autres en foutre m’arrose les nichons ou le visage. Je ne me fais pas baiser, mais je les branle, je les lèche, je les sucer et je les astique entre mes seins.

Et, parfois, je vais beaucoup plus loin. L’excitation et les orgasmes successifs aidant, je perds totalement le contrôle de moi-même. La dernière fois que je suis allée sur un parking, vers 1 heure du matin, j’ai croisé la route de quelques-uns de mes habitués.

Après le bukkake, ils me pissent dessus !

J’ai pompé des bites pendant des heures. Il en venait de tous les côtés. Certains appelaient des potes depuis leurs portables, d’autres faisaient passer le mot, sur les réseaux sociaux, pour dire qu’une grosse salope suçait gratis sur l’aire d’autoroute.

Je ne sais pas combien j’ai reçu d’éjaculations ce soir-là. Peut-être 50. ce que je sais, c’est que j’ai eu quatre orgasmes. Et, au bout du troisième, j’avais perdu toute retenue. Si bien que je les ai regardés, tous ces mecs autour de moi et je leur ai demandé : « pissez-moi dessus, s’il vous plait ».

Ils n’ont pas hésité longtemps. Et toute cette pisse chaude qui est tombée sur moi m’a lavée du sperme qui commençait à s’agglutiner sur ma peau. Et ces salauds en profitaient, en me traitant de tous les mots. « Salope, vide-couilles, éponge à foutre, chienne ! », j’ai eu droit à tout.

Sauf qu’à la fin, je devais sentir fort le sperme et l’urine, si bien que plus personne ne voulait jouer avec moi. Alors, je me suis masturbée, là, nue, à genoux sur le bitume. C’est là que le quatrième orgasme est venu, violent. J’ai cru que j’allais m’évanouir tellement c’était bon !

Vous pensez que je suis une folle, une tarée incapable de jouir normalement ? Alors demandez-vous si votre femme a autant d’orgasmes qu’elle le prétend. Si c’est aussi bon que ça, le sexe à la papa. Et demandez-vous surtout si mes fantasmes sont si éloignés des siens, quand, dans sa petite tête de femme rangée, elle se rêve entourée d’une forêt de bites à son entière disposition.

Je n’ai pas osé lui sucer la bite de ce bisexuel

Patrice, 41 ans.

Ma femme et moi formons un couple heureux, libre et libertin. D’aussi loin que je me souvienne, nous avons toujours pratiqué ensemble l’échangisme, le mélangisme, la partouze et la partie-carrée.Vous me direz, avec une vie sexuelle aussi bien remplie, ce gars-là va avoir des tas de choses à nous raconter.

Pourtant, c’est juste un épisode de notre vie échangiste que je vais vous raconter. Nous sommes dans une région où il existe tout un tas de clubs libertins, de saunas mixtes et autres établissements échangistes. A tel point que, en douze ans de pratiques libertines, nous n’avons même pas eu le temps de les visiter tous.

Il faut dire que nous avons nos chouchous, ces clubs où on sait que l’ambiance est chaude. Néanmoins, quand un couple d’amis échangistes nous a conseillé un sauna libertin situé à seulement 40 km de chez nous, ça nous a fait envie. Nous sommes donc allés sur le site de l’établissement en question pour savoir à quelle sauce nous allions être mangés !


Hélas ! L’agenda du sauna indiquait, pour le samedi soir suivant : soirée bisexualité. Pour ma femme, pas de souci : c’est sa bisexualité qui l’a conduite à devenir libertine. Mais moi, franchement, je n’ai pas plus envie que ça de rouler des pelles à des garçons. Je n’ai jamais rien eu contre les gays, mais pas au point de le devenir moi-même.

J’étais déjà sur le point de fermer le site, d’avoir voir le programme des autres clubs de la région, quand ma femme s’est mise à essayer de me persuader. Il faut vous dire qu’elle a toujours fantasmé sur moi suçant la bite d’un autre homme. « Après tout, tu ne seras obligé de rien… Allez, on essaie, on verra bien ! ».

Le samedi soir, nous arrivons sur place. Le sauna est naturiste. On y trouve que des couples. On va dans le jacuzzi. Là, deux couples se font des mamours. Les hommes et les femmes, les femmes entre elles, rien que de très classique… mais aussi les hommes entre eux. Rien de hard, mais tout de même ! Je suis un peu choqué, surtout que ni ces dames, ni a fortiori ces messieurs, ne me tentent.

Plus tard dans la soirée, nous sommes abordés par un jeune couple, de 25 ou peut-être 30 ans. Elle est extrêmement jolie, lui un peu moins. Je me demande comment il a fait pour dégoter une telle bombe. Je baisse les yeux jusqu’à sa bite et je comprends. Le jeune homme est monté comme un mulet ! Sa queue est impressionnante, d’autant qu’elle est retenue par un cockring rouge fluo du meilleur effet.

Bref, après quelques papouilles dans le hammam, nous décidons de les suivre dans un des nombreux coins-câlins de l’établissement qui, effectivement est très sympathique. Là s’ensuivent les premiers préliminaires. Je lèche la demoiselle, monsieur fait de même avec la chatte de ma femme, puis ce sont des fellations, des 69… Jusqu’à ce que ces dames coquinent un peu ensemble.

Chouette, Maryline (c’est le prénom de la demoiselle) est une bi « active », comme on dit dans le milieu libertin : une nana qui aime vraiment le sexe entre femmes, pas juste pour faire plaisir à son mari. Ma femme doit être contente… Mais qu’est-ce qui se passent ? Alors que je regardais les deux gouines s’amuser ensemble, Alex (c’est son prénom à lui) a pris ma bite en main, et le voici qui me suce !

Je ne peux pas dire, je bande comme un âne. Mais il aurait quand même pu me demander mon avis. Du coin de l’œil, sortant un peu sa tête des cuisses de Maryline, ma femme admire le spectacle. C’est que, en plus, il suce bien ce petit cochon. Et il se branle tout en me taillant une pipe en gorge profonde. Moi, j’essaie de me concentrer sur le spectacle saphique mais rien à faire : mes yeux filent vers l’énorme bite d’Alex, qui se paluche sans complexe en creusant les joues sur mon sexe.

Les femmes se rapprochent. Une partouze à quatre comme je les aime : Alex baise ma femme, Maryline vient s’empaler sur ma bite, après y avoir placé une capote, on s’embrasse, on se lèche, on se suce. La queue d’Alex est vraiment très impressionnante : pas seulement grosse et longue, mais belle, j’ose le mot !

Bisexuel : il suce ma bite et la chatte de ma femme !

Et il n’a aucun problème avec la bisexualité. Il passe des seins de sa meuf au con de ma femme, puis à mon gland comme si de rien n’était. Et moi, je suis là, un peu con. Alors que tout le monde a déjà joui, plusieurs fois pour ma femme, je me retrouve avec mon sexe planté dans la bouche d’Alex, tandis que les deux femmes se roulent des pelles sur mes couilles !

Ça y est : je gicle au fond de la gorge du jeune libertin. Et dire que moi, de mon côté, je n’ai même pas osé le sucer, alors que j’en avais envie. La prochaine, c’est certain, je ne ferai pas ma chochotte !

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

J’aime tailler des queues

En amour, ce que j’aime par-dessus tout, c’est tailler des queues, enfourner une bonne bite dans ma bouche et la sucer longuement, vicieusement, jusqu’à ce qu’elle crache tout son bon jus dans ma gorge ou sur mon visage, au gré des fantaisies de mes partenaires.

Les hommes adorent ma bouche et je suce des habitués qui reviennent fréquemment me voir rien que pour ça. Je le fais tout à fait gracieusement, je ne suis pas une pute. A vrai dire, mes hommes me rendent bien souvent la politesse et j’y trouve moi aussi mon compte.

Ma première pipe date de mes 15 ans mais je ne vous en parlerai pas car elle n’est pas restée dans les annales. C’était comme un galop d’essai mais après cette première expérience je n’avais qu’une envie, recommencer au plus vite pour sentir à nouveau la douce sensation d’être utilisée comme objet sexuel par un mâle en rut. Ce que j’apprécie avant tout dans la pratique de la fellation, c’est bien de me sentir soumise, agenouillée devant une grosse queue à servir et de belles couilles à vider.

J’ai dû attendre un peu avant de remettre le couvert. En attendant je regardai des films pornos de suceuses en me masturbant et c’est là que j’ai perfectionné ma technique, d’une façon toute théorique.  Puis, je suis enfin repassée à la pratique, avec un prof du lycée, alors que j’étais en terminale, à 18 ans.

C’était le soir, après les cours. Je venais d’avoir mon anniversaire. Ce que j’ai fait ce jour là, je ne voulais pas le faire plus tôt car je ne voulais pas mettre monsieur Meunier dans l‘embarras.

J’avais eu une mauvaise note et j’en ai pris prétexte pour obtenir un entretien à la fin du cours. Le prof a vite compris ce que je désirais car je suis allée fermer la porte à clef de l’intérieur avant de m’approcher de lui. Une fois arrivée devant son bureau, je me suis agenouillée et j’ai passé ma main sur la bosse de sa bite puis j’ai ouvert son pantalon sans lui laisser le temps de réagir. Son membre est apparu devant moi et s’est mis à bander très vite. C’est un peu normal. Je me suis jetée dessus avec voracité tellement ça faisait longtemps que j’attendais ce moment.

Vidéo porno du récit J’aime tailler des queues

Les leçons apprises auprès des plus grandes stars du X, et des meilleures suceuses ont porté leurs fruits. Je crois bien que j’ai pompé la queue du prof comme personne ne le lui avait jamais fait. A aucun moment il n’a protesté. Mes lèvres enveloppaient sa tige veineuse, ma langue flattait son gros gland d’où s’écoulait un filet de liquide séminal au goût délicieux. En même temps, je massais ses belles couilles bien poilues et, de temps à autre, je glissais un doigt plus loin, entre ses fesses, comme je l’avais vu faire par les actrices pornos les plus vicieuses.

Mon seul regret est que monsieur Meunier a joui un peu trop vite. J’ai senti son chibre se raidir et la sève monter du tréfonds de ses couilles jusqu’au sommet de sa pine avant de venir s’éclater sur mon palais puis de glisser voluptueusement dans ma gorge. Je peux vous dire que j’ai adoré avaler tout ce bon lait d’homme.

Depuis cette expérience, j’ai sucé des dizaines de mecs, de tous âges, beaux, laids, mince, forts. Leur physique m’importe peu, tout ce que je veux, c’est sentir dans ma bouche la vigueur de leur queue et la saveur de leur foutre.

Ma première pipe

Ca y est, c’est fait. Cela faisait longtemps que j’en rêvais mais l’occasion ne s’était jamais présentée jusqu’alors. Il faut dire que je suis encore jeune. Je viens tout juste d’avoir 19 ans. Je suis mignonne et attirante mais pas forcément toujours très à l’aise avec les garçons. J’ai eu peu de petits copains dans mon adolescence,  deux ou trois tout au plus et nous ne sommes jamais allés bien loin en matière de sexe.  Quelques caresses, des petites soirées câlines assez sages finalement, jusqu’à mon récent dépucelage par Thomas, un maître assistant de la fac où j’étudie depuis un an.

Thomas, c’est aussi un très bon professeur de baise. Doux mais ferme il sait ce qu’il veut et ce dont j’ai besoin. De nous deux, c’est toujours lui qui dirige la manœuvre et j’en suis satisfaite car il sait comment me faire jouir. J’ai déjà beaucoup appris avec lui et je suis sûre qu’il a encore beaucoup de choses à me faire découvrir. En tout cas, il en est une pour laquelle l’affaire est entendue. Ce soir j’ai taillé ma première pipe.

Nous étions chez Thomas, en train de nous caresser sur le canapé de son salon. La soirée s’annonçait torride mais elle le fut en fait bien au-delà de mes attentes. Nous étions déjà presque entièrement dévêtus quand Thomas se leva brusquement, prit la télécommande posée sur la table basse et alluma sa télé. Aussitôt, une vidéo démarra.

On y voyait une fille, agenouillée devant un homme assis dans un fauteuil. Ils étaient entièrement nus tous les deux. La nana caressait d’un geste précis et enveloppant le gros membre dressé de l’homme. Thomas me demanda de me placer comme elle mais de telle manière que je puisse continuer à regarder les images qui défilaient à l’écran. Puis, il exigea que j’applique à son sexe le même traitement que la jeune vicieuse faisait subir à celui de son partenaire. Je compris où il voulait en venir en voyant la fille poser ses lèvres sur le bout du gland de l’homme. Je m’exécutai avec douceur et application puis je me mis à répliquer ce que je voyais sur la télé.

Vidéo porno du récit Ma première pipe

Ma bouche s’ouvrit pour laisser passer la tête de la queue. Avec mes mains je caressais les boules velues de Thomas, comme le faisait la fille avec les couilles de son amant.  Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de passer ma langue sur le bout du vit de mon prof. Je ne voyais pas à l’intérieur de la bouche de l’actrice porno mais j’imaginais qu’elle en faisait autant de son côté. Le liquide qui s’écoulait lentement de la verge excitée de Thomas avait bon goût. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire.

C’est alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres le long de la hampe veineuse qui me remplissait.  Thomas me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de lui. Je voulais le faire jouir, sans penser à moi. En élève appliquée, je savais qu’il me rendrait au centuple le plaisir que j’allais lui donner.

Thomas devait être fort excité par la situation aussi. Il savait que j’étais novice en la matière car je le lui avais avoué peu de temps auparavant. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir. Bonne fille, je me forçai à garder sa semence en bouche puis à l’avaler.

Nous avons recommencé encore deux fois ce petit jeu dans la soirée. Thomas, un peu plus maître de ses émotions se montra charmant et un excellent professeur. Il m’apprit comment bien faire jouir un homme avec la bouche et je crois que j’ai pris goût à la fellation.

Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

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Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.