Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

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Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Il m’a donnée à ses copains

« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous ».

Karim s’en va, il me laisse à ses copains, deux gaillards de son immeuble que je connais un peu car ils sont toujours fourrés ensemble tous les trois. Il vient de me baiser et me laisse encore dégoulinante de son foutre, sur le sol de sa chambre.

Brandon et Mourad s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une étudiante de bonne famille venue de la ville voisine.

J’ai trop joui avec Karim pour me révolter. Je suis un sac à foutre et j’ai encore envie d’être baisée comme une chienne, soumise, humiliée et possédée. Je relève mon cul comme pour inviter les deux mecs à me prendre. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds.

Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul, celui-là même que Karim vient de quitter. Il prend un peu du foutre qui s’en écoule, le mélange à ma mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin.

Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe, très large mais un peu court. Il me distend complètement la bouche, me fouille dans tous les recoins.

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J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Karim tout à l’heure. J’espère que mon enculeur sera tout de même assez à l’étroit pour bien jouir. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue.

Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que le jouet des deux copains de Karim, leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.

Arrive un moment où Mourad quitte ma bouche pour venir se coller sous moi. Il enfile sa verge dans ma chatte. Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration est une nouveauté pour moi et m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la chambre de Karim et doivent parvenir jusqu’aux oreilles des voisins à travers les minces cloisons de l’appartement. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les deux amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.

A moitié évanouie, je  ne peux m’empêcher de remercier en pensée le gentil Karim qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?

Une étudiante bien vicieuse

Je me prénomme Laura et je suis une jeune étudiante de 19 ans, en première année de fac de droit. Je dois vous avouer que les études ne sont pas ma préoccupation principale dans la vie. Personnellement, ce que j’apprécie plus que tout, c’est le sexe. Déjà bien plus jeune je matais des films pornos sur l’ordinateur familial en cachette, quand mes parents n’étaient pas là. Le soir, dans ma chambre, il m’arrivait de regarder des DVD cochons pour m’exciter et je me masturbais parfois pendant des heures dans mon petit lit avant de finir par trouver le sommeil.

L’époque où je me faisais jouir toute seule est terminée, maintenant  je ne manque pas de partenaires sexuels. Je fais l’amour avec des hommes, avec des femmes, parfois même avec les deux en même temps. Si vous êtes d’accord, je vais vous raconter quelques-uns de mes souvenirs de baise les plus inoubliables. Je reviendrai de temps à autres pour vous tenir au courant de mes aventures sexuelles. Il m’en arrive tant et de tellement variées. Quand elles ne se produisent pas toutes seules, je m’arrange pour les susciter.

Avant d’être majeure, je baisais déjà avec des petits copains, mais pas si tôt que ça quand même. J’ai été déviergée juste avant mes 17 printemps par un copain de mon frère du même âge que moi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais vraiment eu envie de multiplier les aventures avec des hommes plus âgés que moi mais j’avais décidé, à contrecœur d’être raisonnable car j’avais un peu peur de les embarrasser si leurs relations avec une fille mineure venaient à être connues dans leur entourage.

Alors, je laissais libre cours à mes fantasmes en m’imaginant faire l’amour avec des amis de mon père ou des professeurs et je me masturbais toute seule en imaginant la grosse bite qu’ils cachaient sous leur pantalon. Ca me faisait toujours beaucoup mouiller de m’imaginer agenouillée devant l’un d’eux, occupée à téter leur gros bout tout en leur flattant les couilles comme je l’avais vu si souvent faire par des actrices pornos dans les vidéos  que je matais dans le secret de ma chambre comme une étudiante bien vicieuse…

Vidéo porno du récit Une étudiante bien vicieuse

Ma défloration s’est déroulée le plus naturellement du monde et dans les meilleures conditions. En fait, pour être honnête, je n’étais déjà plus réellement pucelle, le beau godemichet que je m’étais fait livrer par correspondance en profitant des congés de mes parents pour le recevoir discrètement avait déjà fait le travail depuis un bon moment.  J’adorais me l’enfourner dans la chatte, le faire glisser longuement entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il me fasse jouir. Je le mettais moins souvent dans mon cul, mais c’était toujours en feuilletant une revue pornographique cachée sous les draps. Je le faisais coulisser longtemps  dans mes orifices jusqu’à ce qu’il me fasse enfin jouir dans un long feulement de bonheur.

Antoine, le garçon qui m’a niquée pour la toute première fois était loin d’être un amant exceptionnel, mais c’est une chose que j’ai réalisée seulement bien plus tard, en baisant avec des hommes d’expérience, ceux-là même qui nourrissaient mes fantasmes de lycéenne puis d’étudiante depuis plusieurs années.  Je lui suis tout de même reconnaissante de m’avoir fait l’amour en y mettant autant de sensualité que de conviction et. Et oui, vous verrez, il m’arrive parfois d’être plus romantique qu’on ne pourrait le croire au premier abord.

Après le passage de ce cap nécessaire, j’ai encore fait l’amour quelque fois avec Antoine mais ce n’était décidement pas mon type d’homme et notre histoire s’est arrêtée assez vite.

Ensuite, j’ai  connu deux autres jeunes camarades de lycée, tous mineurs comme moi. J’avais hâte de ne plus être limitée dans le choix de mes partenaires. Dès que mes 18 ans ont été là, je me suis mise à rechercher des partenaires plus mûrs, plus disposés à assouvir avec passion mes fantasmes et mes désirs les plus inavouables de jeune fille. Ca a été le début d’une période faste pour moi, période qui se prolonge encore aujourd’hui et dont je viendrai vous conter les péripéties à l’occasion si vous le voulez bien.

Ma belle-mère me tripote la bite

Ma belle-mère est une vieille cochonne. Je m’en doutais depuis longtemps mais j’en ai maintenant acquis la certitude.  Déjà quand elle avait un petit coup dans le nez et qu’elle se laissait aller en paroles je soupçonnais ses penchants pour le sexe, mais aujourd’hui, après le comportement qu’elle a eu envers moi, le doute n’est plus permis, c’est une bonne salope.

C’était il y a une semaine environ. La famille était réunie pour la communion de ma nièce, la filleule de ma femme. Nous étions à table et le repas était déjà bien avancé. Nous nous apprêtions à prendre le fromage. J’étais assis à côté de ma belle-mère, face à ma femme.

Avant de continuer, un petit mot tout de même pour vous présenter Laurette, la fameuse belle-mère en question. C’est une femme de 55 ans (j’en ai 42), encore très bien conservée. Ce qui frappe tout de suite chez elle, c’est sa poitrine opulente et son joli cul perché sur de longues jambes bien dessinées. C’est une femme élégante, une petite bourgeoise mais qui s’entretient.

Une fois le fromage servi, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse droite. De la façon dont ça se passait, ce ne pouvait qu’être celle de Laurette. Je n’y ai pas porté particulièrement attention sur le moment, mettant ce geste sur le compte d’une marque d’affection, alors qu’elle continuait à parler avec mon beau-frère, comme si de rien n’était.

Pourtant, au fil des minutes, la main de ma belle-mère se faisait de plus en plus insistante. Et puis, elle frottait aussi son pied contre le bas de ma jambe. Ca commençait à faire beaucoup. J’étais un peu gêné mais je me voyais mal lui faire une remarque devant tout le monde. Alors j’ai pris son poignet et j’ai posé sa main vers sa propre cuisse. Quelques instants plus tard, elle était de retour.

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Cette fois-ci Laurette ne se contenta pas de simplement laisser reposer ses doigts sur ma cuisse, ces derniers frottaient ma peau à travers le pantalon et se rapprochaient dangereusement de la bosse qui, dans mon slip, s’était peu à peu formée malgré moi. Je fus stupéfait lorsque la main de Laurette se fit enveloppante autour de mon membre et me le serra délicatement mais tout de même avec une certaine fermeté. Inutile de préciser que pendant ce temps, son pied continuait son manège sous la table.

Je bandais maintenant sans retenue. C’était impossible de me retenir d’ailleurs. Ma belle-mère avait ouvert la braguette de mon pantalon de costume et flattait ma queue à travers le tissu de mon slip. Elle me branlait littéralement, faisant glisser ses doigts le long de la hampe puis revenant jouer avec son puce sur mon gland. J’avais mouillé l’étoffe de mon slip à ce niveau et c’était délicieux de sentir le gras du doigt qui me massait le bout.

Vous comprendrez que, dans ces conditions, j’ai fini par éjaculer sous la table du repas familial. A aucun moment mes yeux n’ont croisé le regard de Laurette. Au moment de se dire au revoir, en fin de journée, celle-ci à cependant insisté plus que de coutume en me disant « A bientôt ! ».

L’exhibition indécente de ma tante

Cette année, nous avons passé les vacances d’été en famille, mes parents, mes frangins, mon oncle, ma tante, mes cousins et moi. J’ai 18 ans et avant les congés je pensais que ce serait la dernière fois que je partirai avec eux tous mais maintenant que nous sommes rentrés je n’en suis plus très sûr. C’est la faute de ma tante, une sacrée vicieuse.

C’est la seconde femme de mon oncle, le frère de mon père. Ils sont ensemble depuis un an environ. Elle doit avoir 40 ou 45 ans mais elle est encore très  bien conservée pour son âge. Personne ne peut l’ignorer dans la famille car dès le premier jour de nos vacances elle est sortie se mettre au bord de la piscine dans une tenue qui ne cachait pas grand-chose. J’ai trouvé ça très indécent, mais aussi vraiment excitant.

J’étais sur un transat, occupé à lire un bouquin de SF quand elle est arrivée, dans son bikini de salope. On ne peut pas dire autrement tellement il était petit. La culotte n’était pas un string mais c’était presque pire car quand ma tante marchait le slip bâillait à l’entrejambe. Le pire, c’est quand elle s’est allongée dans le transat qui me faisait face. Je pouvais voir les lèvres de son sexe qui apparaissaient sur les bords. J’ai tout de suite mis une serviette sur mes jambes pour que personne ne voie que je bandais dans mon maillot. J’aurais eu trop honte que ça se remarque.

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J’étais embêté parce que j’étais presque sûr que ma tante avait vu mon regard se poser sur son entrecuisse. Elle avait pris de la crème solaire et s’en mettait partout sur le torse. Sa main rentrait dans les deux petits triangles qui avaient bien du mal à cacher les deux gros nibards qu’elle avait. En fait, je crois qu’ils ne servaient qu’à abriter ses tétons mais guère plus. Et puis, ce n’était une protection que contre le soleil, parce que pour ce qui était du regard, on ne pouvait pas les louper, ses belles tétines qui distendaient les bonnets du maillot. On aurait dit qu’elle bandait des seins tellement elles étaient grosses. Je crois que ça l’excitait de se masser avec la crème juste sous mes yeux.

Le plus terrible, c’est quand ses mains enduites de lotion solaire sont descendues sur son ventre puis sur ses cuisses dont elle s’est mit à tartiner l’intérieur. Elle a vraiment fait durer l’application plus que de raison. De temps en temps je voyais ses mains qui frottaient  les babines de son sexe qui dépassaient du maillot. J’étais sûr qu’elle le faisait exprès. Je bandais toujours plus fort et à un moment donné c’est venu tout seul, j’ai juté dans mon maillot. J’ai eu bien du mal à rester assez calme pour que personne ne se rende compte de ça. Enfin, quand je dis personne, il me semble que ma tante ne fait pas partie du lot. J’espère me tromper car sans cela se serait vraiment trop la honte pour moi.

Ma première pipe

Ca y est, c’est fait. Cela faisait longtemps que j’en rêvais mais l’occasion ne s’était jamais présentée jusqu’alors. Il faut dire que je suis encore jeune. Je viens tout juste d’avoir 19 ans. Je suis mignonne et attirante mais pas forcément toujours très à l’aise avec les garçons. J’ai eu peu de petits copains dans mon adolescence,  deux ou trois tout au plus et nous ne sommes jamais allés bien loin en matière de sexe.  Quelques caresses, des petites soirées câlines assez sages finalement, jusqu’à mon récent dépucelage par Thomas, un maître assistant de la fac où j’étudie depuis un an.

Thomas, c’est aussi un très bon professeur de baise. Doux mais ferme il sait ce qu’il veut et ce dont j’ai besoin. De nous deux, c’est toujours lui qui dirige la manœuvre et j’en suis satisfaite car il sait comment me faire jouir. J’ai déjà beaucoup appris avec lui et je suis sûre qu’il a encore beaucoup de choses à me faire découvrir. En tout cas, il en est une pour laquelle l’affaire est entendue. Ce soir j’ai taillé ma première pipe.

Nous étions chez Thomas, en train de nous caresser sur le canapé de son salon. La soirée s’annonçait torride mais elle le fut en fait bien au-delà de mes attentes. Nous étions déjà presque entièrement dévêtus quand Thomas se leva brusquement, prit la télécommande posée sur la table basse et alluma sa télé. Aussitôt, une vidéo démarra.

On y voyait une fille, agenouillée devant un homme assis dans un fauteuil. Ils étaient entièrement nus tous les deux. La nana caressait d’un geste précis et enveloppant le gros membre dressé de l’homme. Thomas me demanda de me placer comme elle mais de telle manière que je puisse continuer à regarder les images qui défilaient à l’écran. Puis, il exigea que j’applique à son sexe le même traitement que la jeune vicieuse faisait subir à celui de son partenaire. Je compris où il voulait en venir en voyant la fille poser ses lèvres sur le bout du gland de l’homme. Je m’exécutai avec douceur et application puis je me mis à répliquer ce que je voyais sur la télé.

Vidéo porno du récit Ma première pipe

Ma bouche s’ouvrit pour laisser passer la tête de la queue. Avec mes mains je caressais les boules velues de Thomas, comme le faisait la fille avec les couilles de son amant.  Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de passer ma langue sur le bout du vit de mon prof. Je ne voyais pas à l’intérieur de la bouche de l’actrice porno mais j’imaginais qu’elle en faisait autant de son côté. Le liquide qui s’écoulait lentement de la verge excitée de Thomas avait bon goût. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire.

C’est alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres le long de la hampe veineuse qui me remplissait.  Thomas me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de lui. Je voulais le faire jouir, sans penser à moi. En élève appliquée, je savais qu’il me rendrait au centuple le plaisir que j’allais lui donner.

Thomas devait être fort excité par la situation aussi. Il savait que j’étais novice en la matière car je le lui avais avoué peu de temps auparavant. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir. Bonne fille, je me forçai à garder sa semence en bouche puis à l’avaler.

Nous avons recommencé encore deux fois ce petit jeu dans la soirée. Thomas, un peu plus maître de ses émotions se montra charmant et un excellent professeur. Il m’apprit comment bien faire jouir un homme avec la bouche et je crois que j’ai pris goût à la fellation.

Excitée par l’amie de ma mère

Ma mère est lesbienne et vit depuis peu en couple avec Maryse, son amie depuis 15 ans. J’ai 18 ans et je n’ai pas connu mon père. Je crois que maman a toujours été gouine mais qu’elle a viré définitivement sa cuti peu après ma naissance. Aujourd‘hui elle a 40 ans, deux ans de moins que Maryse. Je connais cette dernière depuis longtemps mais assez peu finalement puisqu’avec maman elles menaient jusque là des vies séparées, se retrouvant quand elles le souhaitaient, loin de moi, peut-être pour me préserver.

Ça a changé depuis que je suis majeure. Maryse est venue vivre à la maison, ça fait deux mois. Pour ma part je ne suis pas lesbienne, j’ai même un petit copain depuis plus d’un an. Mais depuis hier, je me pose des questions.

J’étais à la maison, avec ma mère et son amie. Maman prenait sa douche. Elle passe toujours un temps fou dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparais des carottes pour le repas du soir. Maryse s’est approchée de moi et elle a commencé à jouer avec un des légumes. Je trouvais qu’elle exagérait et je me demandais même ce qu’une lesbienne pouvait trouver de si amusant à tripoter une carotte comme une femme normale l’aurait fait d’une bite.

Le pire, c’est quand Maryse est venue se coller dans mon dos après avoir posé la carotte au bas de son ventre. C’était tellement fou que je me suis demandé si elle n’avait pas un peu bu avec maman avant que je n’arrive. Elle a fait remonter le bout du légume entre mes jambes, je le sentais qui frôlait mes cuisses en soulevant ma jupe. Je commençais à me sentir excitée malgré moi. Je n’avais pas fait l’amour avec Julien, mon copain, depuis deux longues semaines.

Maryse a dû sentir que j’étais troublée,  elle a passé une main devant moi et l’a posée sur ma poitrine. Je sentais ses doigts qui, comme par hasard, se trouvaient sur l’un de mes tétons. J’avais honte car elle ne pouvait pas ignorer que celui-ci était tout dur. Et j’étais encore plus honteuse de sentir peu à peu couler le jus de ma chatte au fond de mon slip.

Vidéo porno du récit Excitée par l’amie de ma mère

La carotte s’était mise à glisser lentement entre mes cuisses. Je me surpris à écarter légèrement les genoux pour lui permettre de remonter toujours plus haut vers mon sexe. Maryse en profita immédiatement pour porter le simulacre de sexe contre ma petite fente. Ses doigts s’étaient mis à jouer ouvertement avec mon téton et d’ailleurs elle avait glissé sa main dans l’échancrure de mon chemisier.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de maman résonner dans le couloir qui séparait la pièce d’eau de la cuisine où nous nous trouvions.  Nous eûmes juste le temps de nous rajuster et de reprendre comme si de rien n’était nos occupations, Maryse et moi.

Aujourd’hui je ne sais plus que penser. Je me suis masturbée dans mon lit en repensant à cet épisode mais je ne veux pas faire de mal à ma mère en la trahissant avec sa maîtresse.

Sexe dans l’ascenseur

Je suis bien, prise par la bite d’Alain, mon amant, dans cet ascenseur. Il m’enfile bien, je sens sa queue qui me remplit le ventre. Ce qu’il y a de bien avec lui, c’est qu’il est un peu plus petit que moi. Il est des femmes qui sont gênées à l’idée de sortir avec un homme moins grand qu’elles, je ne suis pas de celles-là car je sais combien cela facilite les choses quand il s’agit d’être prise debout, contre un mur, dans la position que j’occupe actuellement. Il est alors très simple de se laisser retomber sur le manche et de le prendre au plus profond de son être.
Bien posée sur mes pieds, je peux ainsi masser la pine de mon partenaire en ondulant des fesses et du ventre. Ça me fait autant de bien à moi qu’à lui car je sens à chaque mouvement mon gros clito qui appuie sur la colonne de chair qui me remplit. C’est terriblement jouissif comme est jouissive l’impression de défier la moral en niquant ainsi dans un espace public et même si je sais que nous ne risquons pas grand-chose à bloquer ainsi l’appareil en plein milieu de la nuit, dans un immeuble majoritairement occupé par des retraités esseulés.
Vidéo porno du récit Sexe dans un ascenseur
On ne risque pas de nous entendre puisque nous sommes au deuxième sous-sol. Je peux laisser libre cours à mon exubérance sexuelle. Quand je baise, je gémis fort. Je sais que ça excite mes amants qui redoublent alors d’ardeur et de vigueur. Je ne le fais pas exprès mais j’ai toujours énormément de mal à contenir mes émotions et, tout compte fait, je trouve beaucoup d’avantages à me laisser aller de la sorte.
La pine de mon amant va et vient dans ma cramouille. Mes gémissements et mes soupirs couvrent le bruit de ma mouille qui clapote au fond de mon trou à chaque nouveau coup de boutoir. Alain m’embrasse, me fourre la langue au fond de la bouche. Il me masse aussi les miches d’une main, me malaxe le cul de l’autre. Mes grosses fesses l’excitent autant que mes nibards de femme ronde. Je suis pulpeuse à souhait et il aime ça. J’adore jouer de mes rondeurs pour troubler les hommes.
La verge d’Alain est de plus en plus grosse. Elle me comble de bonheur ; je glisse une main entre nous, aventure mes doigts vers ses couilles que je pétris. Je veux les sentir se vider quand il jouira. Je les serre dans ma main, glisse un doigt par-dessous, caresse le renflement de son périnée. Je sais qu’il aime ça, d’ailleurs, il écarte légèrement les jambes en pliant les genoux pour m’ouvrir le passage. Je descends un peu mon bassin pour l’accompagner et ne pas quitter le contact intime avec son vit.
Bien m’en prend, Alain se libère subitement en moi, lâchant des flots de foutre dans mes entrailles. Comme prévu, je sens le sperme sortir de ses couilles, traverser son mandrin jusqu’au gland et finir par s’écraser contre ma matrice. Mes jambes se dérobent sous mon corps et je pars moi aussi vers le septième ciel, sans ascenseur.

Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

>> Un plan cul rapide avec une bonne salope ? <<

Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.