Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

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Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Mon mari m’offre une expérience lesbienne

Cela faisait trois semaines maintenant qu’il me promettait une surprise pour mon anniversaire. j’avais tout imaginé, sauf cela : un voyage à Venise, un beau bijou, ou encore une très belle robe. Mais là, vraiment, j’étais sur le cul. Pour mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience lesbienne.

Elle est exactement comme je l’ai toujours fantasmée : petite, plutôt gironde, une jolie blonde aux yeux clairs dont les seins sont moulés dans un petit haut trop serré pour elle, deux belles grosse ogives appétissantes à souhait. Gilles me connaît bien. Il sait que j’ai eu quelques expériences lesbiennes au lycée, puis à la fac, et que j’ai toujours eu un faible pour ce genre de nana, moi la grande gigue brune, plate, sans formes.

Elle se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres. Elle me dit :  » il paraît que je suis ton cadeau d’anniversaire ». Elle n’est pas très sûre d’elle. Elle se demande encore si tout cela n’est pas qu’une mauvaise plaisanterie. Un mari qui offre une expérience lesbienne à sa femme, ça ressemble tout de même beaucoup à un plan drague à deux ronds.

Gilles nous touche l’épaule, à chacune d’entre nous, et me dépose un baiser tendre sur les lèvres : « je vous laisse ». Il prend son manteau, et quitte l’appartement. Me voilà seule avec ma jolie blonde lesbienne, qui doit avoir cinq ou six ans de moins que moi. Et pourtant, c’est elle qui prend l’initiative. Il faut dire que je suis comme plantée, là, debout devant elle.

Elle s’approche, passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore embrasser une autre femme. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans la pièce. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de la jeune gouine à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Elle me prend finalement par la main, et m’attire vers notre chambre à coucher. Elle me fait assoir sur le lit conjugal et, devant moi, entame un strip-tease dont je peux vous garantir que je me souviendrai longtemps. Elle dévoile ses seins insolents qui pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Je reste comme interdite.

Alors c’est elle qui me déshabille, elle qui agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice, elle qui retire ma jupe, puis mon string. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses gros seins glisser contre ma poitrine plus androgyne, de prendre à pleines mains les deux beaux globes de ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

La voici qui descend le long de mon corps de femme, qui embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits nichons puis mon ventre. Je sais qu’elle va vouloir me lécher. J’ai un peu peur, mais j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Ma première expérience lesbienne…

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Elle sait y faire, c’est une vraie lesbienne, qui a l’habitude de faire plaisir à une autre femme. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler.

A peine remise, je veux lui rendre la pareille. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures. Je pose la tête entre ses deux belles doudounes. Il ne me reste plus qu’à me laisser aller, et à profiter de mon cadeau.

La toubib lesbienne aux petits nichons

Par Claire, 32 ans.

A chacun – et chacune – son fétichisme. Moi je fantasme sur les docteurs. Tous les docteurs. Le seul cabinet médical où mon imagination ne me joue jamais des tours, c’est chez le gynéco. Là, la situation est trop glauque pour émoustiller ma libido. Mais sinon, n’importe quel toubib qui me drague a ses chances.

Ce que j’ignorais, c’est que je mouillais aussi pour les doctoresses. Je suis pourtant libertine depuis une dizaine d’années et, en dehors de quelques papouilles entre nanas, je n’ai jamais rien fait avec une autre femme. Jusqu’à ce jour étrange où j’avais rendez-vous avec mon médecin généraliste. Rien de grave, juste une visite de routine et quelques petits bobos.

J’y vais donc, le cœur plein d’entrain et la foufoune en délire. Attention, je n’ai jamais rien fait avec lui, ni avec aucun médecin dans l’exercice de ses fonctions, mais rien que l’idée, le fantasme, suffisent à me mettre en joie. Sauf que là, patatra ! La secrétaire médicale m’annonce que le docteur est en congés et qu’il sera remplacé par son ancienne interne,  » une jeune femme très bien  » m’assure-t-elle.

Contre mauvaise fortune bon cœur, je m’installe dans la salle d’attente, pleine à craquer. J’essaie de tromper l’ennui avec une pile de magazine, mais rien n’y fait. D’autant que je suis très déçue de ne pas voir mon médecin préféré.

Au bout de plus d’une heure, c’est à mon tour. La secrétaire me conduit jusqu’au cabinet où m’attend une grande meuf brune, très élancée, plutôt timide, mais assez belle tout de même. Elle n’a pas trente ans. Elle m’invite à m’asseoir.

Après quelques minutes d’entretien, elle me dit :  » déshabillez-vous, s’il vous plaît « . Habituellement, cette simple phrase me fait mouiller. Là, attendez voir… Oui, ça fonctionne toujours ! Je me mets en petite tenue et elle m’ausculte. Elle a les mains très douces, elle est très délicate. Mais c’est qu’elle m’exciterait, la coquine ! Surtout quand elle se penche vers moi : sa blouse baille et me laisse voir ses petits nichons, car elle n’a pas de soutien-gorge.

Je suis en feu. Je suis encore plus excitée qu’avec lui. Moi qui n’aime pas vraiment les femmes, ça me fait bizarre. Et pourtant, j’ai envie d’elle. Je décide de jouer mon va-tout. Je me plains de douleurs aux seins, ce qui est vrai. Elle prend un air sérieux, presque grave.

 » Vous pourriez retirer votre soutien-gorge, si ça ne vous dérange pas ? « . Tu parles, que ça ne me dérange pas ! C’est parti, elle me palpe les nichons, à la recherche d’une quelconque anomalie. Au bout de cinq minutes, qui m’ont fait pointer les tétons, elle semble rassurée.  » Non, je ne constate rien d’anormal. Je peux vous prescrire une mammographie, mais je n’en vois pas l’utilité, sincèrement… « .

Elle me demande si j’ai ses douleurs depuis longtemps. Depuis toujours, en fait, par périodes.  » Ça arrive souvent chez les femmes qui ont une belle poitrine comme la vôtre ! « . Je la remercie du compliment. Elle ajoute, en baissant la tête vers sa blouse :  » moi, je n’ai pas ce genre de problèmes, malheureusement… « . Elle rigole.

La bonne blague ! Si elle savait à quel point, à cet instant précis, j’ai envie de lui téter, ses petits bonbons. Et elle, il me semble qu’elle reluque mes tétons tout pointus. Puis elle me fait signe de me rhabiller. Elle me prescrit deux-trois broutilles homéopathiques, une pommade pour mes seins et on se quitte bonnes amies, si je puis dire.

Toute la semaine suivante, je n’ai cessé de penser à cette visite médicale, aux petits seins de la doctoresse, à sa blagounette sexy en diable. J’en ai même parlé à une amie libertine, qui m’a posé tout un tas de questions sur la fameuse toubib. Comment elle était physiquement, son âge, la couleur de ses yeux… Au bout de l’interrogatoire, elle s’exclame :  » ah ! Mais oui ! C’est Anna ! « . Je regarde ma copine avec des yeux de merlan frit.

Elle m’explique qu’elle la connaît bien, que c’est une gouine, une de ces filles un peu déjantées qui traînent les clubs échangistes à la recherche de couple dont le mari est candauliste et qui veut voir sa chérie baiser avec une autre femme.

Je n’en crois pas mes oreilles. Alors, ces allusions, sa blague, sa douceur à caresser mes seins ? D’urgence, il faut que je reprenne rendez-vous, non pas avec mon médecin habituel, mais avec elle ! Je vais appeler le cabinet, expliquer que mes énormes nibards me font horriblement souffrir, que je veux voir une femme-docteur, que c’est intime et tout ça.

Et là, c’est certain, on va s’envoyer en l’air entre femmes sur la table d’auscultation !







Epouse modèle pour mari infidèle

Ma meilleur amie m’a avoué que mon mari n’arrêtait pas, en soirée, de lui faire du plat, moi, son épouse modèle… Pire ! Elle m’a dit aussi, les yeux dans les yeux, qu’elle lui avait fixé un rendez-vous chez elle, pour le vendredi suivant, à 18h, à l’heure où je vais à ma séance de yoga. Mon sang n’a fait qu’un tour. Mais elle m’a vite rassurée : c’était pour tendre un piège au coquin, qui, décidément, a bien du mal à garder son pénis dans sa braguette !

Le jour dit, j’ai donc annulé le prof de yoga, et je suis allée, vers 17h, chez elle, pour préparer le guet-apens en sa compagnie. Il faut dire, à ce stade, que Danièle est une bombe sexuelle. Belle brune, grande, élancée, mais avec des formes généreuses, alors que je suis plutôt jolie, blonde, fine, mais pas très « sexe ». Comment cela allait-il se dérouler ? Danièle avait un plan : « je le reçois, je le laisse me draguer, je l’entraine jusque dans ma chambre, où tu attendras tranquillement sur le lit ».

Je tenais ma revanche, même si j’espérais, en mon for intérieur, qu’il ne vienne pas. Mais à 18h pétantes, la sonnette de l’appartement de mon amie a retenti. Je me suis dissimulée dans la chambre. C’était bien lui. J’entendais sa voix, mais je ne parvenais pas à savoir ce qu’ils se disaient. Quand ils ont fait irruption dans la pièce, ils se roulaient des pelles à pleine bouche, tant et si bien qu’il a mis bien du temps à s’apercevoir de ma présence sur le lit.

Danièle était déjà seins nus. J’étais fascinée par l’opulence de sa poitrine, lourde, brune, appétissante. J’en oubliais presque la raison de ma présence. Au détour d’un baiser dans le cou de ma meilleure amie, mon homme m’a vue. Il s’est figé instantanément. Danièle est partie dans un fou-rire : « tu verrais ta tête, petit cochon ! Tu ne croyais quand même pas que j’allais faire cocu ma meilleure amie avec toi ? ».

Là, j’ai eu presque pitié de lui. Il était livide, ses genoux tremblaient. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis levée du lit, j’ai adressé un tendre sourire à mon mari et je me suis blottie dans les bras de Danièle. Au début, elle a du croire que j’étais morte de tristesse, qu’il fallait me consoler. Mais je me suis mise à caresser son dos nu, puis à embrasser ses épaules.

Moi l’épouse modèle, je deviens complètemement sexe…

Mon mari a regardé la scène, incrédule. Danièle, elle aussi, a eu bien du mal à comprendre de quoi il retournait, jusqu’à ce que je l’embrasse à mon tour à pleine bouche. Je me suis retournée vers lui : « la prochaine fois que tu as envie d’une femme, préviens-moi… et on partage ! ». Mon mari est resté coit, comme s’il n’était pas certain d’avoir bien entendu. Danièle, elle, est devenue comme folle. Elle m’a embrassée à nouveau, sensuellement, fougueusement, et avant d’avoir eu le temps de réagir, je me suis retrouvée à mon tour seins nus.

Nous étions là, poitrine contre poitrine, à nous gouiner devant lui. Il ne bougeait pas. Quand il a voulu nous rejoindre, Danièle l’a arrêté d’un simple geste de la main, plein d’autorité : « non, aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Ça t’apprendra à vouloir être infidèle. La prochaine fois, tu joueras avec nous, si tu es très sage ».

Danièle a retiré ma jupe, puis ma culotte, et m’a fait m’allonger sur lit. Elle a embrassé l’intérieur de mes cuisses, puis m’a léché carrément le sexe. J’ai joui en moins d’une minute. J’ai alors tété ses beaux gros seins, puis je lui ai rendu la pareille. Sans expérience, j’ai été longue à obtenir son orgasme, mais, quand il est venu, quel festival ça a été !

Mon mari est resté là, sagement, à nous regarder. Je le devinais ivre de désir pour chacune d’entre nous. J’étais ravie. La vengeance ne pouvait être plus douce. Depuis, nous nous sommes revus tous les trois. Parfois, un amant de passage de Danièle nous rejoint pour une partie à quatre, et ma meilleure amie adore me voir me faire pénétrer par un autre homme devant mon mari infidèle. Il serait bien mal placé pour protester.

Ce jour-là, nos relations ont changé du tout au tout. Avec ma meilleure amie, bien sûr, qui est devenue mon amante, mais surtout avec mon mari. Il me fait partager tous ses plans cul. Quant à lui, il préfère ignorer mes amants, puisque maintenant, je m’autorise quelques extras. Mais tout de même, ne suis-je pas une épouse exemplaire mais d’un nouveau modèle ?







Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

Vidéo porno du récit Prise au gode-ceinture en public

Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Gouine et soumise

« Avance, rampe à nos pieds ! Oui, comme ça, c’est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. »

Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd’hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c’est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l’occurrence.

« Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite ! »

Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l’autre jouant avec ses seins.

J’étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l’entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu’à ma chatte. La brune gironde s’est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras. Je savais ce qu’elle attendait de moi et j’ai devancé son appel en allant coller mes lèvres à la fente juteuse de son sexe. La rousse à la peau laiteuse s’est glissée sous moi et a commencé à me sucer les seins alternativement. Je crois que la blonde, de sa main demeurée libre, lui fouillait la vulve car j’entendais des clapotis obscènes dans mon dos.

« C’est bien, qu’elle vous fasse jouir, c’est pour ça que je l’entretiens. Et faites-moi jouir aussi avec votre spectacle excitant de gouines en chaleur. Ca me fait couler entre les cuisses. »

Ma maîtresse aimait bien dire des saletés en se branlant. J’en rajoutai un peu de mon côté, contente de lui faire plaisir avec mes mots crus :

« Ah maîtresse, merci de me donner ainsi à vos amies. J’aime qu’elles se servent de mon gros cul de gouine, qu’elles touchent ma chatte et mes seins. Mais ce que j’aime le plus, c’est goûter ce bon jus chaud qui me coule dans la gueule. »

Vidéo porno du récit Gouine et soumise

Je ne mentais pas, j’adorais sentir sous ma langue et sur mes lèvres la mouille de la brune. Celle-ci avait pris ma tête entre ses mains et tirait dessus comme si elle avait voulu se l’entrer toute entière dans le vagin.

Tout à coup, j’ai senti quelque chose d’humide se poser entre mes fesses. C’était la langue de la blonde qui me lapait tout le long de la fente. De mon clito jusqu’à mon petit anneau. Un peu plus tard, elle s’est concentrée sur mon cul en me fourrant un godemichet dans la chatte puis, peu après, elle a fait l’inverse. Ça me rendait folle.

Pendant qu’elle me taraudait la vulve, la rousse y a mis sa bouche. Le gode me pistonnait, m’écartait les lèvres et les lèvres de la rouquine me tétaient le bouton. C’était divin.

Quand ma maîtresse a joui la première fois, ça a été le signal de l’orgasme pour tout le monde. Le salon était empli de gémissements et de petits cris plaintifs mais ce n’était qu’un début, une sorte de mise en condition. Ma maîtresse reprit rapidement ses esprits et la maîtrise de la situation :

« Bon, maintenant qu’elle a joui une première fois, cette gouinasse va pouvoir s’occuper de nous correctement. Il faut quand même qu’elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n’en a pas fini avec nous… »

Excitée par l’amie de ma mère

Ma mère est lesbienne et vit depuis peu en couple avec Maryse, son amie depuis 15 ans. J’ai 18 ans et je n’ai pas connu mon père. Je crois que maman a toujours été gouine mais qu’elle a viré définitivement sa cuti peu après ma naissance. Aujourd‘hui elle a 40 ans, deux ans de moins que Maryse. Je connais cette dernière depuis longtemps mais assez peu finalement puisqu’avec maman elles menaient jusque là des vies séparées, se retrouvant quand elles le souhaitaient, loin de moi, peut-être pour me préserver.

Ça a changé depuis que je suis majeure. Maryse est venue vivre à la maison, ça fait deux mois. Pour ma part je ne suis pas lesbienne, j’ai même un petit copain depuis plus d’un an. Mais depuis hier, je me pose des questions.

J’étais à la maison, avec ma mère et son amie. Maman prenait sa douche. Elle passe toujours un temps fou dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparais des carottes pour le repas du soir. Maryse s’est approchée de moi et elle a commencé à jouer avec un des légumes. Je trouvais qu’elle exagérait et je me demandais même ce qu’une lesbienne pouvait trouver de si amusant à tripoter une carotte comme une femme normale l’aurait fait d’une bite.

Le pire, c’est quand Maryse est venue se coller dans mon dos après avoir posé la carotte au bas de son ventre. C’était tellement fou que je me suis demandé si elle n’avait pas un peu bu avec maman avant que je n’arrive. Elle a fait remonter le bout du légume entre mes jambes, je le sentais qui frôlait mes cuisses en soulevant ma jupe. Je commençais à me sentir excitée malgré moi. Je n’avais pas fait l’amour avec Julien, mon copain, depuis deux longues semaines.

Maryse a dû sentir que j’étais troublée,  elle a passé une main devant moi et l’a posée sur ma poitrine. Je sentais ses doigts qui, comme par hasard, se trouvaient sur l’un de mes tétons. J’avais honte car elle ne pouvait pas ignorer que celui-ci était tout dur. Et j’étais encore plus honteuse de sentir peu à peu couler le jus de ma chatte au fond de mon slip.

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La carotte s’était mise à glisser lentement entre mes cuisses. Je me surpris à écarter légèrement les genoux pour lui permettre de remonter toujours plus haut vers mon sexe. Maryse en profita immédiatement pour porter le simulacre de sexe contre ma petite fente. Ses doigts s’étaient mis à jouer ouvertement avec mon téton et d’ailleurs elle avait glissé sa main dans l’échancrure de mon chemisier.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de maman résonner dans le couloir qui séparait la pièce d’eau de la cuisine où nous nous trouvions.  Nous eûmes juste le temps de nous rajuster et de reprendre comme si de rien n’était nos occupations, Maryse et moi.

Aujourd’hui je ne sais plus que penser. Je me suis masturbée dans mon lit en repensant à cet épisode mais je ne veux pas faire de mal à ma mère en la trahissant avec sa maîtresse.