Une pute indienne m’offre son cul

Je ne suis pas fier de vous avouer ça, mais je vais souvent aux putes. Je suis pourtant marié, ma femme est bien et tout, mais bon, je suis faible. Lorsque je sors du boulot tard le soir, je passe par le quartier des prostitués. C’est sur mon chemin, et à force de voir tous ces petits culs se dandiner, je n’ai pas pu m’empêcher de m’arrêter un soir. Je suis devenu complètement addict. J’y vais régulièrement, au moins une fois par semaine. Ça me coûte assez cher, mais je m’en fiche, je suis cadre et je gagne très bien ma vie. J’ai toujours l’habitude de me faire une petite Roumaine, ou encore une Polonaise. Les filles de l’Est sont vraiment des grosses chiennes.

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Elles sucent divinement bien et savent vous faire juter comme il faut. Mais la semaine dernière, alors que je tournais pour chercher une pute qui me convienne, je me suis rendu compte que les habituées n’étaient pas là. Soit elles avaient déjà des clients, ou alors elles étaient en congé. Bref, je prends le chemin pour rentrer lorsque je tombe sur le dernier arrêt de bus. Je ralentis et je vois une fille aux cheveux noirs, longs, un peu ondulés, le regard sombre et la peau très foncée. Je n’ai jamais vu ce type de gonzesse ici, et je suis étonné. Je décide donc de la prendre. Elle monte dans la voiture, et une odeur de curry s’installe progressivement.

Superbe indienne bien bandante

La belle m’indique être d’origine indienne. Elle porte une sorte de gomette entre les deux yeux. Je trouve ça mignon, elle commence à m’exciter. Je me gare dans un coin sombre et je sors ma queue. je veux juste me faire sucer pour commencer, mais sans capote. Elle accepte et commence son travail. Elle bosse bien la pute indienne! Je bande en moins d’une minute. Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

 

Sa bouche est chaude et j’ai le gland qui picote un peu, certainement à cause de son dernier repas aux épices d’Asie qui lui colle encore aux chicots. C’est pas désagréable, bien au contraire. Je ferme les yeux et me fais pomper par cette belle hindoue. Elle monte et descend sur ma tige en me baisant littéralement avec son museau. Je lui prends les cheveux et imprime le mouvement avec elle pour accentuer la chose. Elle arrive à enfourner mon sexe bien au fond de la gorge sans manifester le moindre signe de nausée. J’apprécie vraiment ce travail de pro. Je me suis fait pomper des centaines de fois par des jolies filles, et il m’en faut plus pour me vider les couilles. Je lui demande si elle accepte de se faire péter le fion. Elle est d’accord. Je lui file 50 balles et elle vient se visser le trou du cul sur ma queue, face à moi.

Je prends le cul de cette pute indienne

J’adore cette position, mais je dois un peu reculer le siège passager pour pouvoir en apprécier toute la dimension. Son cul est assez serré pour celui d’une pute. Elle ne doit pas souvent accepter la sodomie. Par contre, j’ai dû enfiler une capote, et j’ai beaucoup moins de sensation. Mais je prends tout de même du plaisir à ramoner ce petit cul d’Indienne. Je lui ordonne de monter et descendre plus fort et plus vite. Je l’aide en la tenant par les hanches. Je donne également du rythme en levant mon bassin à chaque fois que la belle descend, ce qui a pour effet de faire claquer mes couilles sur ses fesses noires. Je sens que ça vient. Putain, je remplie la capote à ras-bord. C’était un peu chero, mais ça valait le coup pour me taper ma première Indienne!

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Une beauté indienne en appel une autre !

Tu cherches un plan cul avec une beauté de l’Inde ?

Priyanka 24 ans, était une beauté indienne, brune, à la chevelure soyeuse et aux yeux bleus troublants. Dès l’instant où je posais le regard sur elle, je sentis une alchimie se produire, je crois que ce fut un coup de foudre. Il y avait cette petite étincelle dans ces yeux qui traduisait autant qu’à moi un désir profond.

En quelques deux jours seulement, nous allions avoir notre premier rapport sexuel, chez moi. Ce fût la première fois que je fourrais ma queue dans un minou indien. C’était magique, d’autant plus que sa façon de niquer était au-delà de mes espérances. Comme elle était très calme, je m’attendais à découvrir une partenaire timide au lit, à la place j’eus droit à un cours d’illustration du Kamasoutra, des positions dont je ne soupçonnais pas l’existence m’ont été révélées avec des explications à l’appui. Sérieux, qui mieux des indiens peux maîtriser l’art du Kamasoutra. Toujours est-il que nous avions pris notre pied, moi en particulier.
Le lendemain de cette partie de jambes en l’air merveilleuse, Pry souhaitait me présenter à sa meilleure amie, une certaine Fanny qu’elle connaissait depuis l’Inde puisqu’elle était la fille du plus proche collaborateur de son père. Bref, cette rencontre s’organisait chez moi dans une ambiance très amicale. Fanny était une nana super sympa et surtout aussi belle que Pry sauf qu’elle était du genre très chaude. Peu avant la fin de l’aprèm Pry, prise d’un coup de fatigue alla faire une sieste en chambre et me laissais avec Fanny au salon.
Cette nana culottée me demandait sans gêne les détails du rapport sexuel que j’avais eu avec son amie. C’était complètement déplacé, je me refusais tout commentaire, lorsqu’elle commença à me balancer tout ce que Pry lui avait dit à ce sujet, y compris ma manière de gémir. Elle me confia que Pry, ma beauté indienne, avait kiffé mon pénis et qu’elle aussi voulait goûter à mon nectar. La salope me draguais direct, j’étais mal à l’aise et excité en même temps, elle était bonne et moi j’aimais bien les plans cul risqués. C’est ainsi qu’elle m’empoigna la bite pour la sucer sur le canapé. C’est tout ce que nous fîmes, je n’avais pas assez de courage pour la niquer sous le nez de Pry, alors on se fixait rendez vous pour plus tard dans la soirée aux alentours de 23 H à son appartement.

Pas au bout de mes surprises avec cette beauté indienne !

A 23H tapante, je me retrouvais à malaxer le cul de Fanny dans sa chambre. Je lui dérouillais un cunnilingus bien pimentée qui la fit trépigner de plaisir comme un serpent. Elle me propose qu’on se lèche mutuellement en 69, chose qui me plaît fort bien. Les préliminaires allaient bon train et nous étions sur le point de passer à la vitesse supérieure quand on entendit sonner. Fanny pris un peignoir, me dit alors de rester calme et de ne pas faire de bruit avant de m’inviter à me cacher derrière la porte de sa chambre. Sur le coup, j’ai commencé à imaginer le pire des scénarios… ma pression s’accentua quand j’entendis une voix féminine qui me semblait familière… c’était Pry.
Si elle me voyait là, entre nous c’est serait mort ! Pendant que je réfléchissais à trouver un moyen de me tirer de ce pétrin, je les entendis marcher en direction de la chambre, elles y entrèrent… Pry s’allongea sur le lit, et Fanny monta sur elle pour lui rouler une pelle de malade. Je n’en croyais pas yeux, ces deux là baisaient ensemble ! J’assistais caché à toute la scène lesbienne torride que ces deux indiennes me soumettaient. En plus Pry n’avait rien d’une douce cocotte, elle était active et très salope.
Pendant qu’elle s’éclatait comme des malades, Fanny me fit signe de les rejoindre. Pry ne fut même pas surprise de ma présence, elle et sa perverse de copine me firent une fellation démentielle. Mon excitation n’allait pas tarder à atteindre son apogée, je n’avais plus qu’une seule envie, les enfourner comme si c’était la dernière baise de ma vie. J’allais commencer par Pry, je lui assénais des va-et-vient sauvages pour la sanctionner d’avoir bien cachée son petit jeu de salope. Puis vint le tour de Fanny. Ces deux coquines m’épuisèrent à me faire enchaîner des positions du kamasoutra, j’avais l’impression que le kamasoutra intégrale était imprimé dans leur ADN. Je compris à la fin que ces deux gouinasses ne se cachaient rien, notre triolisme était l’aboutissement d’un plan commun.