La maîtresse de mon fils

Mon fiston vient d’avoir 6 ans. L’âge de tous les possibles. Il apprend à compter, à lire, à écrire, il se fait de nouveaux copains et de nouvelles copines à l’école. Mais surtout, il a une maîtresse très gentille, très douée pour l’enseignement et, surtout, très canon… A mes yeux en tout cas.

Madame Martineau doit avoir la trentaine – ou quelque chose comme ça – et elle enseigne au CP depuis ses débuts (c’est elle qui me l’a dit) dans l’Education Nationale (on comprendra ici que j’ai changé son nom, pour préserver son anonymat). Estelle, c’est son prénom, est une petite rousse aux yeux verts, qui ne se dépare jamais d’un chemisier blanc et d’une jupe noire que tous les papas, comme moi, ont bien du mal à quitter des yeux.

Il faut dire que la maîtresse a des jambes splendides, malgré sa relative petite taille. Quant à sa poitrine, je n’en parle pas ! Ou plutôt si : deux magnifiques obus qui tirent sur le tissu de son chemisier blanc et qui, on le verra plus tard, ont même un peu tendance à faire sauter un bouton ou deux à l’endroit même où c’est intéressant, si vous voyez ce que je veux dire.

C’est à la première réunion parents / professeurs que je me suis rendu compte de la beauté de l’institutrice. J’étais placé légèrement en biais face à elle, et ma femme m’a trouvé incroyablement concentré sur ce qui se disait. En réalité, je n’ai pas retenu un traître mot de la réunion. J’étais fasciné par le petit trou, formé par un bouton défectueux, dans le chemisier de madame Martineau, et qui me laissait contempler le haut de sa poitrine, rehaussée par un soutien-gorge blanc.

Quand la question s’est posée d’élire les représentants de parents d’élèves, je me suis vu lever la main, à la grande surprise de mon épouse, et de moi-même. J’ai été élu (les volontaires ne se bousculent pas au portillon), ce qui me permet de passer du temps avec la belle rousse.

Depuis quelques temps, nous nous rapprochions, réunion après réunion. Et que je te bouscule dans l’embrasure d’une porte, et que je te frôle dans les couloirs de l’école, etc… Mais ce qui est arrivé mardi dernier, alors que nous étions tous les deux dans sa classe, avec mon rejeton, m’a laissé sans voix.

Oui, la prof de mon gosse me faisait des avances, à peine dissimulées !
C’est rare de voir un papa si impliqué dans la vie de l’école. Pour tout dire, je trouve ça très séduisant, chez un homme. Dommage que mon mari ne soit pas aussi impliqué que ça dans l’éducation de nos enfants.
J’ai tenté de bredouiller quelque chose. Il en est ressorti, bien malgré moi, que, avec une institutrice aussi belle, on ne pouvait que se sentir impliqué.

Madame Martineau a embrayé, alors même qu’elle rougissait de mes compliments :
Si vous voulez des précisions sur mes méthodes d’apprentissage de la lecture, je serais ravie de vous voir en tête-à-tête, peut-être chez vous, quand votre enfant est au centre de loisirs ?
Que vouliez-vous que je réponde ? J’ai accepté, étant libre le mercredi après-midi.

Rendez-vous coquin avec la maîtresse de classe

Le lendemain donc, Estelle s’est pointée à la maison. Elle n’était pas en tenue de travail. Elle avait troqué son chemisier et sa jupe contre un jean et t-shirt. Je me suis vite aperçu qu’il n’y avait pas de soutif en dessous, car ses tétons pointaient.

De but en blanc, elle a attaqué. Affirmant qu’elle était une épouse fidèle, qu’il n’était pas dans ses habitudes de coucher avec les parents de ses élèves… Ses intentions étaient claires. Les miennes aussi. Et pourtant, nous avons eu bien du mal à nous lancer. C’est là qu’elle a proposé un jeu. Elle m’a donné des exercices de maths à faire, à l’oral. Pour chaque bonne réponse, elle retirait un vêtement, pour chaque mauvaise, c’était à moi de me déshabiller.

Les exercices étaient du niveau CM2, autant vous dire qu’elle s’est retrouvée à poil avant moi. J’ai pu regarder à loisir le pubis poilu, et roux, de l’institutrice. Une beauté. Puis, je me suis lancé à l’assaut, dévorant son con odorant et humide.

Elle a fini de me déshabiller et nous avons baisé toute l’après-midi. J’ai adoré ce moment. J’avais envie de la revoir. Mais la belle maîtresse n’avait pas les mêmes intentions que moi. Elle m’a donné une photo d’elle entièrement nue, dans une position salace et m’a dit ceci :
Je préfère que nous en restions là. C’était super, je ne veux rien gâcher avec de la routine. Je te demande de rester discret sur ce qui s’est passé, et de ne plus chercher à me voir seul à seule.
J’étais tout penaud.

Ce week-end, un papa de CE2 m’a dit qu’il possédait une photo de la maîtresse de CP qui ne me laisserait pas de marbre. Elle m’avait menti, et utilisé.

La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est que même les profs s’y mettent !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est quand même une prof s’y met !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

Une maman très protectrice

Par Ahmed, 30 ans

A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.

Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.

Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.

Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.

C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.

« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.

Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.

Branlé par cette maman aux gros nibards

Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.

Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».

Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.

Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.

C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».

Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.

Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

>> Clique ici pour de bonnes cochonnes qui ont envie de sexe <<

Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.