Il y avait dans l’atmosphère de la chambre quelque chose de troublant, un parfum d’interdit, qui me mettait dans tous mes états. Je sentais son souffle court qui sifflait à mes oreilles. Il a saisi mes petits tétons entre ses pouces et, de l’autre main, a bloqué mon épaule pour la ramener vers lui. Je ne sentais plus que sa bite, qui me paraissait tout à coup énorme, glisser le long de ma raie culière.
J’allais vivre ma première sodomie. J’étais à la fois morte de peur et terriblement excitée à cette idée. Toujours aussi brusque, il me fit basculer en avant, lui tendant ainsi mes deux fesses, offertes, femelles, fragiles, prêtes à la sodomie…
Il ne se départait jamais de cette froideur, que ne trahissait que sa respiration mal maîtrisée, excité qu’il devait être à l’idée de dépuceler un jeune anus. Je sentis un doigt humide s’insinuer dans ma raie, pour venir masser mon petit trou en guise de préparatif à la sodomie. Il m’ouvrait un peu, et surtout il lubrifiait mon cul. Il me fit mettre à quatre pattes et posa sa longue queue sur mon boule. D’une main, il la dirigea vers l’entrée de mon cul. La brûlure fut intense, brutale, insupportable. J’avais l’impression qu’il me déchirait, que je ne m’appartenais plus à moi-même. Mais cette sensation ne dura pas bien longtemps.
Il s’enfonça d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur avait disparu. Elle avait été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sentais bien. Mieux que bien, j’avais le sentiment d’avoir attendu ce moment toute ma vie.
Il resta un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à sa pine dans mon cul. Pas de doute, cet inconnu qui me faisait vivre ma première sodomie n’en était pas, lui, à sa première expérience anale. Il savait y faire. Et quand il commença ses mouvements de piston entre mes fesses, ce fut presque un soulagement pour moi. J’en avais envie. J’en avais besoin. Tout en me niquant, avec des mouvements amples – et profonds – de ses reins, il me saisit par les fesses, pelotant, malaxant et caressant mes deux doudounes.
Puis il accéléra le rythme, m’arrachant de petits gémissements incontrôlables, qui s’échappaient de ma gorge par à-coup, et qui couvraient ses propres râles de bête en rut. Il revint à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accéléra de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul.
Il me fit me retourner. Là, il avait pleine vue sur mes petits seins, qu’il tritura un long moment avant de planter à nouveau sa queue entre mes fesses. J’appréhendais cette nouvelle intromission, je craignais qu’elle ne me déchire à nouveau. Mais l’inconnu savait ce qu’il faisait. Il entra dans mon anus sans coup férir.
Une fois bien au fond de moi, il saisit mes jambes, pour les placer au dessus de ses épaules. Dans cette position, l’angle ouvert, sa sodomie se faisait plus profonde encore. Cette fois, il n’était plus question de m’épargner. L’inconnu se mit à me baiser, comme le rustre qu’il était. Sous lui, je pouvais voir son visage se déformer, je pouvais constater le plaisir qui l’envahissait. J’avais devant moi un animal sauvage venu chercher son du.
Et j’aimais ça. Alors, je fus presque déçue quand il se retira à nouveau. La bite tendue vers moi comme une arme menaçante, il lâcha à longs jets son sperme, qui vint atterrir sur mes seins, et même sur mon visage. Je devais avoir l’air de la pire des garces ainsi maculée, les cuisses ouvertes et le cul béant, dévasté par la sodomie…
Il se releva, s’habilla prestement et s’en alla comme il était venu. Je n’ai plus jamais entendu parler de lui.
tu es vraiment une petite salope Sandrine 😉