Prends-moi par le cul !

Chéri fais-moi jouir ce soir ! Je t’écris du magasin et j’espère que tu liras mon mail avant de rentrer. J’ai trop envie de baiser depuis que tu m’as caressée ce matin, avant de partir au travail. Tu m’as laissée toute mouillée et j’ai dû me toucher avant de quitter la maison. J’ai joui en pensant à tes doigts, à ta langue, à ta queue et à tes grosses bourses bien pleines que j’adore vider.

Fais-moi plaisir ce soir, prends-moi par le cul ! Défonce-moi le derrière, mon gros cul bien bandant que tu aimes tellement caresser, lécher, doigter…  J’ai envie de te sentir dans moi, d’avaler ta bite avec mes fesses et de te faire jouir en serrant ta queue avec mes globes si charnus.

D’abord tu me prépareras, longtemps, très lentement. Tu caresseras mes seins, tu suceras mes bouts. Pendant ce temps je te tripoterai la verge et les couilles comme tu aimes, je glisserai mes doigts dans ta raie et tu banderas comme un dieu. Moi, je mouillerai, je coulerai comme une fontaine. Un peu de mon jus ira beurrer mon trou du cul, ce sera une bonne mise en condition.

Tu me toucheras aussi la chatte, je guiderai ta main pour que tu prennes de ma mouille et que tu m’en tartines l’œillet. Si tu fais ça bien, je te sucerai jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche. Ne te méprends pas, si je le fait, c’est d’abord pour te purger, pour vider tes couilles du trop plein de ton foutre et te libérer d’une excitation trop forte qui te ferai jouir trop vite dans mon ventre une fois que tu m’auras prise comme je le veux. Une fois vidangé, tu tiendras plus longtemps dans mon cul. Ça n’en sera que meilleur.

Vidéo porno du récit Prends-moi par le cul

Il  te faudra un peu de temps pour te remettre, tu en profiteras pour me préparer avec ta langue et tes doigts. Tu m’ouvriras, tu me lubrifieras de ta salive. Mon trou sera bien dilaté pour t’accueillir, pour prendre ton membre redevenu dur et chaud.

Je m’installerai alors sur le lit, à genoux, la tête sur mon oreiller, le ventre posé sur le tien, les fesses bien remontées et les genoux écartés. Tu ne pourras pas résister et tu glisseras ton vit dans mon fourreau douillet, celui qui te fera tellement jouir.

Je jouirai aussi sous tes assauts, sous les coups de boutoir de ton dard. Ton ventre claquera contre mon gros cul, la chambre résonnera du bruit de nos ébats et des gémissements que je pousserai pour t’exciter. Tu caresseras mon gros clito, tu le trairas comme une petite bite, tu malaxeras mes nichons pendants de grosse salope.

Quand tu seras prêt, tu te videras en moi. Je serrerai mon anneau autour de ton manche en jouissant, en te gueulant des obscénités comme tu aimes que je le fasse en jouissant. Les contractions de ta bite me feront redoubler de plaisir et tu t’affaleras sur moi, vaincu par le cul délicieux de ta petite pute.

Rentre-vite et prends-moi par le cul !

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

Vidéo porno du récit Première expérience lesbienne à 50 ans

Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Il m’a donnée à ses copains

« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous ».

Karim s’en va, il me laisse à ses copains, deux gaillards de son immeuble que je connais un peu car ils sont toujours fourrés ensemble tous les trois. Il vient de me baiser et me laisse encore dégoulinante de son foutre, sur le sol de sa chambre.

Brandon et Mourad s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une étudiante de bonne famille venue de la ville voisine.

J’ai trop joui avec Karim pour me révolter. Je suis un sac à foutre et j’ai encore envie d’être baisée comme une chienne, soumise, humiliée et possédée. Je relève mon cul comme pour inviter les deux mecs à me prendre. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds.

Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul, celui-là même que Karim vient de quitter. Il prend un peu du foutre qui s’en écoule, le mélange à ma mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin.

Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe, très large mais un peu court. Il me distend complètement la bouche, me fouille dans tous les recoins.

Vidéo porno du récit Il m’a donnée à ses copains

J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Karim tout à l’heure. J’espère que mon enculeur sera tout de même assez à l’étroit pour bien jouir. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue.

Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que le jouet des deux copains de Karim, leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.

Arrive un moment où Mourad quitte ma bouche pour venir se coller sous moi. Il enfile sa verge dans ma chatte. Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration est une nouveauté pour moi et m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la chambre de Karim et doivent parvenir jusqu’aux oreilles des voisins à travers les minces cloisons de l’appartement. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les deux amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.

A moitié évanouie, je  ne peux m’empêcher de remercier en pensée le gentil Karim qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

Vidéo porno du récit Prise au gode-ceinture en public

Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Exhibée à la webcam par mon mari

Je suis prête à tout pour garder l’amour de mon mari. Richard est beaucoup plus âgé que moi et il me comble à tous les niveaux, matériellement, intellectuellement, sexuellement. J’ai 24 ans, c’est vrai que je pourrais être sa fille. Blonde, les cheveux mi-longs, je prends soin de mon corps pour pouvoir le satisfaire encore longtemps. Mais surtout, quand il est question de sexe je cède à tous ses caprices de mâle pervers.

C’est pour ça que je suis devant cette webcam ce soir. C’est plus qu’une webcam d’ailleurs. Richard a un ordinateur dernier cri équipé du meilleur matériel. La qualité obtenue est bluffante. Ce doit être un vrai régal pour les voyeurs qui m’observent depuis leur salon, la bite à la main.

Sur les conseils de Richard, sur son ordre devrais-je dire, j’ai quitté mes vêtements. Je porte une simple combinaison de nylon trouée aux fesses et  à la chatte. Deux autres petits orifices laissent passer les tétines de mes seins, percées chacune d’un anneau, une autre concession aux exigences de mon homme.

 Ca fait déjà une demi-heure que je suis devant la caméra à me tripoter pour des gens que je ne vois pas. Richard me l’a interdit. Il dit que comme ça c’est plus excitant. J’ai juste le droit d’entendre les remarques des hommes, mais aussi des femmes qui me matent.

« Vas-y suce le bout de tes seins, tire dessus avec tes lèvres, mords-les un peu ! » me lance une voix plus toute jeune.

Je m’exécute alors qu’une autre m’ordonne de me caresser la chatte. Je dois me lever, mettre un pied sur la table où est posé l’ordinateur et écarter mes lèvres vulvaires  pour que le gars puisse « voir à l’intérieur ». Puis je dois y mettre un doigt, deux, trois, presque la main entière.

Une femme me demande de me tourner, de faire voir au public « mon gros popotin ». C’est vrai que mes fesses sont amples et que ma taille fine les fait bien ressortir. Je me tourne, exhibe mon cul.

Vidéo porno du récit Exhibée à la webcam par mon mari

« Maintenant, mets-un doigt dedans ! » me lance la même voix féminine. J’entends des hommes qui ricanent. « Oui, oui, doigte-toi le cul ! »

C’est facile, ma main vient juste de sortir de ma chatte, elle est toute trempée et, pour être honnête, mon cul a l’habitude de ce genre de visite, et même de bien d’autres calibres. Pour faire plaisir à mes voyeurs et voyeuses, je tire sur une de mes fesses avec ma main restée libre, je m’ouvre du mieux que je peux pour qu’ils puissent voir mon trou. Mon doigt tourne d’abord autour de ma rondelle, je reprends du jus à la source de ma chatte, m’en oint l’anus. Mon doigt entre, je fais du zèle, j’en mets deux ; ils entrent, ils sortent, ils entrent, ils sortent… Ca me fait jouir, c’est la première fois de la soirée mais sans doute pas la dernière. Richard me l’a dit, ce soir il a donné rendez-vous à tout son carnet d’adresse pour voir « Sa petite salope qui se touche gratuitement sur le web. »

Une étudiante bien vicieuse

Je me prénomme Laura et je suis une jeune étudiante de 19 ans, en première année de fac de droit. Je dois vous avouer que les études ne sont pas ma préoccupation principale dans la vie. Personnellement, ce que j’apprécie plus que tout, c’est le sexe. Déjà bien plus jeune je matais des films pornos sur l’ordinateur familial en cachette, quand mes parents n’étaient pas là. Le soir, dans ma chambre, il m’arrivait de regarder des DVD cochons pour m’exciter et je me masturbais parfois pendant des heures dans mon petit lit avant de finir par trouver le sommeil.

L’époque où je me faisais jouir toute seule est terminée, maintenant  je ne manque pas de partenaires sexuels. Je fais l’amour avec des hommes, avec des femmes, parfois même avec les deux en même temps. Si vous êtes d’accord, je vais vous raconter quelques-uns de mes souvenirs de baise les plus inoubliables. Je reviendrai de temps à autres pour vous tenir au courant de mes aventures sexuelles. Il m’en arrive tant et de tellement variées. Quand elles ne se produisent pas toutes seules, je m’arrange pour les susciter.

Avant d’être majeure, je baisais déjà avec des petits copains, mais pas si tôt que ça quand même. J’ai été déviergée juste avant mes 17 printemps par un copain de mon frère du même âge que moi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais vraiment eu envie de multiplier les aventures avec des hommes plus âgés que moi mais j’avais décidé, à contrecœur d’être raisonnable car j’avais un peu peur de les embarrasser si leurs relations avec une fille mineure venaient à être connues dans leur entourage.

Alors, je laissais libre cours à mes fantasmes en m’imaginant faire l’amour avec des amis de mon père ou des professeurs et je me masturbais toute seule en imaginant la grosse bite qu’ils cachaient sous leur pantalon. Ca me faisait toujours beaucoup mouiller de m’imaginer agenouillée devant l’un d’eux, occupée à téter leur gros bout tout en leur flattant les couilles comme je l’avais vu si souvent faire par des actrices pornos dans les vidéos  que je matais dans le secret de ma chambre comme une étudiante bien vicieuse…

Vidéo porno du récit Une étudiante bien vicieuse

Ma défloration s’est déroulée le plus naturellement du monde et dans les meilleures conditions. En fait, pour être honnête, je n’étais déjà plus réellement pucelle, le beau godemichet que je m’étais fait livrer par correspondance en profitant des congés de mes parents pour le recevoir discrètement avait déjà fait le travail depuis un bon moment.  J’adorais me l’enfourner dans la chatte, le faire glisser longuement entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il me fasse jouir. Je le mettais moins souvent dans mon cul, mais c’était toujours en feuilletant une revue pornographique cachée sous les draps. Je le faisais coulisser longtemps  dans mes orifices jusqu’à ce qu’il me fasse enfin jouir dans un long feulement de bonheur.

Antoine, le garçon qui m’a niquée pour la toute première fois était loin d’être un amant exceptionnel, mais c’est une chose que j’ai réalisée seulement bien plus tard, en baisant avec des hommes d’expérience, ceux-là même qui nourrissaient mes fantasmes de lycéenne puis d’étudiante depuis plusieurs années.  Je lui suis tout de même reconnaissante de m’avoir fait l’amour en y mettant autant de sensualité que de conviction et. Et oui, vous verrez, il m’arrive parfois d’être plus romantique qu’on ne pourrait le croire au premier abord.

Après le passage de ce cap nécessaire, j’ai encore fait l’amour quelque fois avec Antoine mais ce n’était décidement pas mon type d’homme et notre histoire s’est arrêtée assez vite.

Ensuite, j’ai  connu deux autres jeunes camarades de lycée, tous mineurs comme moi. J’avais hâte de ne plus être limitée dans le choix de mes partenaires. Dès que mes 18 ans ont été là, je me suis mise à rechercher des partenaires plus mûrs, plus disposés à assouvir avec passion mes fantasmes et mes désirs les plus inavouables de jeune fille. Ca a été le début d’une période faste pour moi, période qui se prolonge encore aujourd’hui et dont je viendrai vous conter les péripéties à l’occasion si vous le voulez bien.

Ma belle-mère me tripote la bite

Ma belle-mère est une vieille cochonne. Je m’en doutais depuis longtemps mais j’en ai maintenant acquis la certitude.  Déjà quand elle avait un petit coup dans le nez et qu’elle se laissait aller en paroles je soupçonnais ses penchants pour le sexe, mais aujourd’hui, après le comportement qu’elle a eu envers moi, le doute n’est plus permis, c’est une bonne salope.

C’était il y a une semaine environ. La famille était réunie pour la communion de ma nièce, la filleule de ma femme. Nous étions à table et le repas était déjà bien avancé. Nous nous apprêtions à prendre le fromage. J’étais assis à côté de ma belle-mère, face à ma femme.

Avant de continuer, un petit mot tout de même pour vous présenter Laurette, la fameuse belle-mère en question. C’est une femme de 55 ans (j’en ai 42), encore très bien conservée. Ce qui frappe tout de suite chez elle, c’est sa poitrine opulente et son joli cul perché sur de longues jambes bien dessinées. C’est une femme élégante, une petite bourgeoise mais qui s’entretient.

Une fois le fromage servi, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse droite. De la façon dont ça se passait, ce ne pouvait qu’être celle de Laurette. Je n’y ai pas porté particulièrement attention sur le moment, mettant ce geste sur le compte d’une marque d’affection, alors qu’elle continuait à parler avec mon beau-frère, comme si de rien n’était.

Pourtant, au fil des minutes, la main de ma belle-mère se faisait de plus en plus insistante. Et puis, elle frottait aussi son pied contre le bas de ma jambe. Ca commençait à faire beaucoup. J’étais un peu gêné mais je me voyais mal lui faire une remarque devant tout le monde. Alors j’ai pris son poignet et j’ai posé sa main vers sa propre cuisse. Quelques instants plus tard, elle était de retour.

Vidéo porno du récit Ma belle-mère me tripote la bite

Cette fois-ci Laurette ne se contenta pas de simplement laisser reposer ses doigts sur ma cuisse, ces derniers frottaient ma peau à travers le pantalon et se rapprochaient dangereusement de la bosse qui, dans mon slip, s’était peu à peu formée malgré moi. Je fus stupéfait lorsque la main de Laurette se fit enveloppante autour de mon membre et me le serra délicatement mais tout de même avec une certaine fermeté. Inutile de préciser que pendant ce temps, son pied continuait son manège sous la table.

Je bandais maintenant sans retenue. C’était impossible de me retenir d’ailleurs. Ma belle-mère avait ouvert la braguette de mon pantalon de costume et flattait ma queue à travers le tissu de mon slip. Elle me branlait littéralement, faisant glisser ses doigts le long de la hampe puis revenant jouer avec son puce sur mon gland. J’avais mouillé l’étoffe de mon slip à ce niveau et c’était délicieux de sentir le gras du doigt qui me massait le bout.

Vous comprendrez que, dans ces conditions, j’ai fini par éjaculer sous la table du repas familial. A aucun moment mes yeux n’ont croisé le regard de Laurette. Au moment de se dire au revoir, en fin de journée, celle-ci à cependant insisté plus que de coutume en me disant « A bientôt ! ».

J’aime tailler des queues

En amour, ce que j’aime par-dessus tout, c’est tailler des queues, enfourner une bonne bite dans ma bouche et la sucer longuement, vicieusement, jusqu’à ce qu’elle crache tout son bon jus dans ma gorge ou sur mon visage, au gré des fantaisies de mes partenaires.

Les hommes adorent ma bouche et je suce des habitués qui reviennent fréquemment me voir rien que pour ça. Je le fais tout à fait gracieusement, je ne suis pas une pute. A vrai dire, mes hommes me rendent bien souvent la politesse et j’y trouve moi aussi mon compte.

Ma première pipe date de mes 15 ans mais je ne vous en parlerai pas car elle n’est pas restée dans les annales. C’était comme un galop d’essai mais après cette première expérience je n’avais qu’une envie, recommencer au plus vite pour sentir à nouveau la douce sensation d’être utilisée comme objet sexuel par un mâle en rut. Ce que j’apprécie avant tout dans la pratique de la fellation, c’est bien de me sentir soumise, agenouillée devant une grosse queue à servir et de belles couilles à vider.

J’ai dû attendre un peu avant de remettre le couvert. En attendant je regardai des films pornos de suceuses en me masturbant et c’est là que j’ai perfectionné ma technique, d’une façon toute théorique.  Puis, je suis enfin repassée à la pratique, avec un prof du lycée, alors que j’étais en terminale, à 18 ans.

C’était le soir, après les cours. Je venais d’avoir mon anniversaire. Ce que j’ai fait ce jour là, je ne voulais pas le faire plus tôt car je ne voulais pas mettre monsieur Meunier dans l‘embarras.

J’avais eu une mauvaise note et j’en ai pris prétexte pour obtenir un entretien à la fin du cours. Le prof a vite compris ce que je désirais car je suis allée fermer la porte à clef de l’intérieur avant de m’approcher de lui. Une fois arrivée devant son bureau, je me suis agenouillée et j’ai passé ma main sur la bosse de sa bite puis j’ai ouvert son pantalon sans lui laisser le temps de réagir. Son membre est apparu devant moi et s’est mis à bander très vite. C’est un peu normal. Je me suis jetée dessus avec voracité tellement ça faisait longtemps que j’attendais ce moment.

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Les leçons apprises auprès des plus grandes stars du X, et des meilleures suceuses ont porté leurs fruits. Je crois bien que j’ai pompé la queue du prof comme personne ne le lui avait jamais fait. A aucun moment il n’a protesté. Mes lèvres enveloppaient sa tige veineuse, ma langue flattait son gros gland d’où s’écoulait un filet de liquide séminal au goût délicieux. En même temps, je massais ses belles couilles bien poilues et, de temps à autre, je glissais un doigt plus loin, entre ses fesses, comme je l’avais vu faire par les actrices pornos les plus vicieuses.

Mon seul regret est que monsieur Meunier a joui un peu trop vite. J’ai senti son chibre se raidir et la sève monter du tréfonds de ses couilles jusqu’au sommet de sa pine avant de venir s’éclater sur mon palais puis de glisser voluptueusement dans ma gorge. Je peux vous dire que j’ai adoré avaler tout ce bon lait d’homme.

Depuis cette expérience, j’ai sucé des dizaines de mecs, de tous âges, beaux, laids, mince, forts. Leur physique m’importe peu, tout ce que je veux, c’est sentir dans ma bouche la vigueur de leur queue et la saveur de leur foutre.

L’exhibition indécente de ma tante

Cette année, nous avons passé les vacances d’été en famille, mes parents, mes frangins, mon oncle, ma tante, mes cousins et moi. J’ai 18 ans et avant les congés je pensais que ce serait la dernière fois que je partirai avec eux tous mais maintenant que nous sommes rentrés je n’en suis plus très sûr. C’est la faute de ma tante, une sacrée vicieuse.

C’est la seconde femme de mon oncle, le frère de mon père. Ils sont ensemble depuis un an environ. Elle doit avoir 40 ou 45 ans mais elle est encore très  bien conservée pour son âge. Personne ne peut l’ignorer dans la famille car dès le premier jour de nos vacances elle est sortie se mettre au bord de la piscine dans une tenue qui ne cachait pas grand-chose. J’ai trouvé ça très indécent, mais aussi vraiment excitant.

J’étais sur un transat, occupé à lire un bouquin de SF quand elle est arrivée, dans son bikini de salope. On ne peut pas dire autrement tellement il était petit. La culotte n’était pas un string mais c’était presque pire car quand ma tante marchait le slip bâillait à l’entrejambe. Le pire, c’est quand elle s’est allongée dans le transat qui me faisait face. Je pouvais voir les lèvres de son sexe qui apparaissaient sur les bords. J’ai tout de suite mis une serviette sur mes jambes pour que personne ne voie que je bandais dans mon maillot. J’aurais eu trop honte que ça se remarque.

Vidéo porno du récit L’exhibition indécente de ma tante

J’étais embêté parce que j’étais presque sûr que ma tante avait vu mon regard se poser sur son entrecuisse. Elle avait pris de la crème solaire et s’en mettait partout sur le torse. Sa main rentrait dans les deux petits triangles qui avaient bien du mal à cacher les deux gros nibards qu’elle avait. En fait, je crois qu’ils ne servaient qu’à abriter ses tétons mais guère plus. Et puis, ce n’était une protection que contre le soleil, parce que pour ce qui était du regard, on ne pouvait pas les louper, ses belles tétines qui distendaient les bonnets du maillot. On aurait dit qu’elle bandait des seins tellement elles étaient grosses. Je crois que ça l’excitait de se masser avec la crème juste sous mes yeux.

Le plus terrible, c’est quand ses mains enduites de lotion solaire sont descendues sur son ventre puis sur ses cuisses dont elle s’est mit à tartiner l’intérieur. Elle a vraiment fait durer l’application plus que de raison. De temps en temps je voyais ses mains qui frottaient  les babines de son sexe qui dépassaient du maillot. J’étais sûr qu’elle le faisait exprès. Je bandais toujours plus fort et à un moment donné c’est venu tout seul, j’ai juté dans mon maillot. J’ai eu bien du mal à rester assez calme pour que personne ne se rende compte de ça. Enfin, quand je dis personne, il me semble que ma tante ne fait pas partie du lot. J’espère me tromper car sans cela se serait vraiment trop la honte pour moi.