La belle bite de mon gendre

Je suis une femme de 56 ans divorcée depuis longtemps. J’ai une fille unique, en couple avec mon gendre, un jeune homme très attirant. Je lorgne sur lui depuis des mois sans oser faire le premier pas, sans doute retenue par la morale. Mais un jour, je lui ai demandé de passer à la maison pour m’aider à déplacer un meuble. J’ai décidé de tenter le coup et de me lâcher. Il sonna à la porte. J’étais stressée mais je suis allée lui ouvrir en tenue légère.

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Nous étions enfin seuls tous les deux, sans ma fille. Je me trouvais en face de lui. J’ai commencé à le fixer en glissant mon doigt dans l’ouverture de mon peignoir, pour finir par l’ouvrir complètement. Il n’en revenait pas que la mère de sa femme s’offre à lui de la sorte. J’avais honte de faire ça à ma progéniture, mais j’en avais si envie que je ne pouvais pas me retenir. « Dis moi que je te fais bander, s’il te plaît ».

Un gros engin rien que pour moi !

Il ne dit pas un mot et se rapprocha de moi pour me rouler une grosse pelle. Il plongea sa langue au fond de ma bouche et je fis de même. J’ai tout de suite senti sa grosse queue durcir contre moi. j’ai posé ma main dessus pour la masser. Je n’avais pas tâté un tel engin depuis des lustres. J’ai ouvert la braguette pour en déloger le monstre que j’ai tout de suite commencé à branler avec engouement.

Sa hampe pleine de veine était si épaisse que j’avais du mal à en faire le tour avec mes petits doigts. Je continuais de rouler des pelles à mon beau-fils lorsqu’il a enfin décidé de me démonter. Il m’a posé sur la table comme une vulgaire chose, de telle manière que ma raie complète et mes orifices se trouvaient à sa merci. Il a tout de choisi entre mon cul et ma chatte, car j’ai senti son gros gland se frayer un chemin dans mon derrière. Comme un soldat plantant un drapeau sur une motte de terre, il enfourna son glaive dans ma grotte jusqu’au fondement et commença à me labourer l’arrière-train avec force et vigueur.

Enculée par la bite de mon gendre !

Il me tenait par le coup, fermement, mais son étreinte me permettait encore de respirer convenablement. Je retenais mes cris. La bite de mon gendre dans mon fion était si bonne, l’interdit me rend folle. Il m’encula ainsi sans fioriture, alternant les périodes douces et les moments de bourrinage intensif. Je n’en pouvais plus. je l’ai supplié d’en finir. J’avais joui plusieurs fois déjà, et je n’attendais qu’une chose, qu’il se vide en moi, qu’il répande son sperme dans le petit cul mature et timide de sa belle maman. Il le fit, avec force et volume. Mon rectum était plein du foutre de mon gendre. Il se retira et des paquets de sa semence coulèrent le long de mes cuisses pour se répandre sur le sol. Voilà, c’était fait, je venais de me faire enculer par mon beau-fils. Je venais de tromper ma propre fille. Quelle honte, mais quel bonheur en même temps…

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Une pute indienne m’offre son cul

Je ne suis pas fier de vous avouer ça, mais je vais souvent aux putes. Je suis pourtant marié, ma femme est bien et tout, mais bon, je suis faible. Lorsque je sors du boulot tard le soir, je passe par le quartier des prostitués. C’est sur mon chemin, et à force de voir tous ces petits culs se dandiner, je n’ai pas pu m’empêcher de m’arrêter un soir. Je suis devenu complètement addict. J’y vais régulièrement, au moins une fois par semaine. Ça me coûte assez cher, mais je m’en fiche, je suis cadre et je gagne très bien ma vie. J’ai toujours l’habitude de me faire une petite Roumaine, ou encore une Polonaise. Les filles de l’Est sont vraiment des grosses chiennes.

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Elles sucent divinement bien et savent vous faire juter comme il faut. Mais la semaine dernière, alors que je tournais pour chercher une pute qui me convienne, je me suis rendu compte que les habituées n’étaient pas là. Soit elles avaient déjà des clients, ou alors elles étaient en congé. Bref, je prends le chemin pour rentrer lorsque je tombe sur le dernier arrêt de bus. Je ralentis et je vois une fille aux cheveux noirs, longs, un peu ondulés, le regard sombre et la peau très foncée. Je n’ai jamais vu ce type de gonzesse ici, et je suis étonné. Je décide donc de la prendre. Elle monte dans la voiture, et une odeur de curry s’installe progressivement.

Superbe indienne bien bandante

La belle m’indique être d’origine indienne. Elle porte une sorte de gomette entre les deux yeux. Je trouve ça mignon, elle commence à m’exciter. Je me gare dans un coin sombre et je sors ma queue. je veux juste me faire sucer pour commencer, mais sans capote. Elle accepte et commence son travail. Elle bosse bien la pute indienne! Je bande en moins d’une minute. Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

 

Sa bouche est chaude et j’ai le gland qui picote un peu, certainement à cause de son dernier repas aux épices d’Asie qui lui colle encore aux chicots. C’est pas désagréable, bien au contraire. Je ferme les yeux et me fais pomper par cette belle hindoue. Elle monte et descend sur ma tige en me baisant littéralement avec son museau. Je lui prends les cheveux et imprime le mouvement avec elle pour accentuer la chose. Elle arrive à enfourner mon sexe bien au fond de la gorge sans manifester le moindre signe de nausée. J’apprécie vraiment ce travail de pro. Je me suis fait pomper des centaines de fois par des jolies filles, et il m’en faut plus pour me vider les couilles. Je lui demande si elle accepte de se faire péter le fion. Elle est d’accord. Je lui file 50 balles et elle vient se visser le trou du cul sur ma queue, face à moi.

Je prends le cul de cette pute indienne

J’adore cette position, mais je dois un peu reculer le siège passager pour pouvoir en apprécier toute la dimension. Son cul est assez serré pour celui d’une pute. Elle ne doit pas souvent accepter la sodomie. Par contre, j’ai dû enfiler une capote, et j’ai beaucoup moins de sensation. Mais je prends tout de même du plaisir à ramoner ce petit cul d’Indienne. Je lui ordonne de monter et descendre plus fort et plus vite. Je l’aide en la tenant par les hanches. Je donne également du rythme en levant mon bassin à chaque fois que la belle descend, ce qui a pour effet de faire claquer mes couilles sur ses fesses noires. Je sens que ça vient. Putain, je remplie la capote à ras-bord. C’était un peu chero, mais ça valait le coup pour me taper ma première Indienne!

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Intello sodomisée au musée…

Je ne pensais pas pouvoir un jour raconter un truc du genre. Et pourtant, ça m’est bien arrivée, à moi, la grosse intello de service. Je me vois comme intelligente, mais je pense que j’ai mon charme. Je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, autant dire que mon expérience sexuelle est très basique, et que je n’ai jamais rien fait dans un lieu autre que mon lit.

> Tu veux te faire une intello ? <

Je suis une femme de 31 ans tout à fait classique qui adore passer son temps dans les expositions d’art. J’adore la peinture, la sculpture et tout ce qui touche aux arts de la Renaissance. Une intello on va dire ! Il y avait une exposition ce jour-là dans un musée pas très loin de mon travail. En sortant du bureau, je me suis rendue sur les lieux. J’ai pas mal tourné pour trouver une place de parking, puis je me suis garée, j’ai remis un peu de rouge à lèvres, et je me suis dirigée vers l’entrée. Un gardien type agent de sécurité black et bien musclé était posté là. Il fouillait les sacs des visiteurs, vigipirate oblige. En croisant son regard, j’ai tout de suite senti un frisson me remonter le long des cuisses et des petits papillons dans le bas-ventre. Je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, je fantasmais sur les blacks depuis pas mal de temps, mais une fille dans mon genre n’ose jamais faire le premier pas, encore moins dans un lieu public et avec un agent de sécurité en poste. J’ai lâché un petit sourire niais en lui présentant mon sac à main. Il n’a bien entendu rien trouvé de suspect, et je suis rentrée. C’est à ce moment que j’ai cru sentir une main épaisse me frôler les fesses. Je n’avais pas rêvé, le vigile venait de me toucher le cul. Quel pervers.
Il devait avoir une sacrée queue, aussi imposante que sa musculature, eh oui tout de suite, le fantasme et les stéréotypes ! Je me plaisais à m’imaginer des ébats avec lui tout en flânant dans les galeries pour observer les tableaux. Ma fesse était encore chaude tellement cette main m’avait serré le cul. Je sentais bien que ça me faisait mouiller. A force de penser à ça et d’essayer de cacher mon excitation, je me suis complètement égarée dans les nombreux couloirs du musée. J’étais maintenant dans une section du bâtiment assez sombre, loin de l’exposition ouverte aux visiteurs. Je commençais à flipper, car j’étais vraiment perdu, quand tout à coup, je me suis retrouvée plaquée contre le mur par une force puissante.

Intello enculée au musée !

Mon coeur a démarré à fond à cause de la peur, mais en tournant légèrement la tête, je me suis rendue compte que c’était le vigile qui m’avait tout simplement suivi et qui allait maintenant faire de moi sa petite chose. Personne ne pouvait nous surprendre dans cet endroit reculé. C’était une sorte d’agression sexuelle, car il ne m’a rien demandé, mais j’ai décidé de me laisser totalement faire, parce que c’est ce dont j’avais envie tout au fond de moi: me faire bourriner par un black à grosse bite. Il a vite fait de me baisser le pantalon et le tanga pour que je me retrouve cul nu contre ce mur. J’ai senti un gros machin se faufiler dans ma raie. Ça devait être son gourdin. Il était chaud et large. Il n’a même pas pris le temps de me chauffer un peu qu’il enfonça sa torpille dans mon fondement. Ouch! Quel enfoiré, il est là à m’enculer contre un mur comme si je n’étais qu’une petite pute. Il commence des va-et-vient longs et puissants. Il m’encule comme un sagouin et moi je prends mon pied. Je sens ses lourdes burnes pleines de sperme me claquer sur les fesses à chaque coup de reins. Mais j’ai le fion si serré que le grand black forceur ne peut pas tenir très longtemps avant de cracher sa semence. Je sens rapidement mon trou du cul se remplir de jus chaud et collant. Il sort son sexe de mes entrailles et disparaît aussitôt, me laissant là, le cul plein de foutre et le froc baissé jusqu’aux chevilles.
Quel goujat !

Chinoise et bonne baiseuse !

Rencontre une asiatique bien coquine…

La saison touristique chinoise ouverte, je me munissais d’un écriteau pour accueillir un groupe de touristes chinois à Roissy. Parlant correctement Mandarin, nous communiquions sans aucune difficulté et je puis me rendre compte que le groupe n’était constitué que de jeunes femmes au nombre de 8. Je les conduisais à leur hôtel, en compagnie du chauffeur.

Pendant tout le trajet qui mène à l’hôtel, elles étaient émerveillée par le paysage, les édifices, et prenaient des photos à tout bout de champs. Plus tard, nous fîmes un briefing du parcours touristique que nous ferions durant leur séjour d’une semaine. Dès le lendemain, nous allions donc entamer la visite de la capitale de l’Hexagone en commençant par la très célèbre Tour Eiffel.

Quatre jours avant leur départ, alors que nous avions bouclé notre parcours touristique, les jolies demoiselles désiraient à présent connaître les coins les plus festifs de Paris, pour s’y amuser et rencontrer si possible des mecs. Nous allions dans une discothèque très prisée dans le 11ème arrondissement le premier soir, puis dans une autre le jour d’après. Tous s’amusaient sans complexe, certaines c’étaient même envoyées en l’air avec des dragueurs subversifs, mais une seule d’entre elles, ne semblait pas vouloir s’amuser, elle me paraissait bien coincée du cul et triste.
Essayant de comprendre ce qui lui arrivait ce soir en boite, je l’invitais à me rejoindre à l’extérieur pour que nous puissions discuter une minute au calme. Elle me confiait qu’elle était hyper timide et qu’elle avait honte de danser en public, avant d’ajouter qu’elle aimerait comme les autres faire un plan sexe avec un jeune français avant de partir mais elle n’a malheureusement pas le courage qu’elles ont. Elle ajouta d’autres trucs qui me mirent dans un état de profonde empathie, d’autant plus qu’elle pleurait. Je la pris dans mes bras pour la consoler et à ma grande surprise, elle m’embrassa sur la bouche.

Sucé en boite par cette chinoise !

J’étais mal à l’aise, elle avait très mal interprété mon geste, mais je ne voulais pas non plus la mettre encore plus mal qu’elle ne l’était déjà. Alors je répondais favorablement à son baiser. Au passage, elle embrassait tellement bien qu’elle avait réussie à m’exciter et à me chauffer la bite. A la suite de cet échange langoureux, elle arborait un sourire extrêmement joyeux, comme d’une personne qui avait gagné au loto. Et moi, j’avais maintenant envie de lui casser la chatte, de lâcher les chiens, bref, la baiser quoi ! Les toilettes hommes me semblaient parfaites pour cette expérience.
Assis sur une lunette de toilette rabaissées, elle se mit à me sucer le manche, et aussi étonnant que cela puisse paraître, sa timidité s’était envolé, j’avais en face de moi une nana totalement déchaînées et chaude comme la braise. Elle s’empala ensuite sur mon zob avant de se mettre à me chevaucher. Cette baise était plutôt rapide, moins de dix minutes au chrono. J’étais plus ou moins resté sur ma faim et ma baiseuse chinoise aussi.

La chinoise s’en prend plein le cul

En fin de soirée, je la déposais avec les autres à l’hôtel lorsqu’elle m’invitait à la rejoindre dans sa chambre. C’était reparti pour un second round ! D’une voie douce, elle me demanda ce qui me plairait. Sans hésiter je lui dis une sodomie, sur le coup, elle farfouille dans un de ses sacs et sort des boules de geisha qu’elle se fourre dans le fion pour bien le préparer à la tempête anale que je lui réserve. Avant que sa rondelle ne soit prête, j’enfile une capote et me mets à lui défoncer la chatte au quart de tour. Cette nana est tellement souple qu’elle me propose des positions de contorsionnistes. Peu après, elle retire les boules de geisha laissant un gros cratère dans son cul, je me mets alors à la pénétrer et bon sang que c’était agréable. J’avais la sensation de planer, son cul était doux, si bon…Nous passâmes la nuit à avoir un enchaînement d’orgasmes.
Le jour de leur départ, je les raccompagnais à l’aéroport, elle me fit un baiser d’adieu en présence du reste du groupe. Après cela, ces compagnons de groupe s’exaltait puis Ly leur dit en mandarin :  » je vous avais bien dit que je réussirais à me le faire « … Je m’étais bien fait avoir.

 

Une jumelle prête à tout pour saboter le couple de sa sœur

Depuis que Vanessa s’était mise en couple avec un charmant jeune homme, Jessica, sa sœur jumelle (monozygote), en était jalouse. Car, cela signifiait qu’elle devait se séparer de son binôme avec qui elle partageait tout, même des moments d’intimités incestueux !
Décidée à ne pas laisser partir son âme sœur, Jessica, se lança dans une vaste campagne visant à faire rompre le couple qui semblait vraiment heureux. Elle commença par persuader Vanessa mais, visiblement amoureuse, elle n’accorda aucun crédit à son discours de désunion.
Vanessa, pourquoi vouloir vivre avec cet idiot de Tom ? Tu m’avais pourtant promis qu’entre vous ce n’était qu’une affaire de plan cul.
C’était vraiment un plan cul mais sans le vouloir je suis tombée amoureuse de lui. Et j’ai vraiment envie de construire ma vie avec lui, c’est très sérieux.
Alors que fais tu de moi. Ce que nous vivions n’était pas assez bien pour toi, c’est ça ?
Non ça n’a rien à voir, nous sommes avant tout sœur, et une liaison incestueuse ne nous mènera nulle part et tu le sais très bien. Il est temps de mettre fin à ce petit jeu et de construire nos vies…regarde nous, nous avons déjà 26 ans…
Moi, je voudrai encore qu’on s’amuse…et puis t’aurais dû m’en parler. Tom n’est qu’un salaud qui veux juste te fourrer, il n’est pas bon pour toi, j’ai le sentiment qu’il te fera souffrir.

J’en doute, il est trop gentil pour me faire le moindre mal.
Nous verrons bien !
Dans un dernier geste de désespoir, Jessica tenta d’embrasser sur la bouche celle qu’elle appelait tendrement sa jumelle Vanou, mais elle la repoussa.
Ce râteau fut de très mauvais goût pour Jess qui allait ainsi passer à la vitesse supérieure pour saboter au mieux cette relation qu’elle méprisait désormais de toutes ces forces.
Un samedi matin, soit deux jours après leur petite conversation, alors que la jolie Vanessa s’apprêtait à sortir faire son shopping habituel, sa sœur dissimula son téléphone portable sans qu’elle n’ait le temps de s’en rendre compte.

Il encule la jumelle de sa copine !

Une fois partie, Jessica écrivit un message MMS ultra coquin à Tom en se faisant, bien évidemment, passer pour Vanessa :
– Mon chéri, j’ai une folle envie de toi maintenant, je voudrai que tu m’encules profondément, et je ne cache pas que je suis en train de me masturber… regarde ces images pour t’en convaincre… rejoins moi rapidement, je t’attends à la maison et je suis toute seule. 
– waouh, c’est incroyablement excitant de voir ta chatte si pleine de cyprine et ton fion dilatée… Je pensais que tu n’aimais pas la sodomie, j’espère que tu ne plaisante pas
– Je suis prête, si tu veux me la mettre en pleine lucarne, c’est maintenant ou jamais !
– Donne-moi une demi-heure et je suis à toi.
Involontairement, Jessica venait de découvrir que Tom aimait la sodomie, tout comme elle, mais que Vanessa, fleur bleue, ne l’appréciait pas du tout. De son côté, Tom enthousiasmé par cette rondelle dilatée qu’il avait vu en image, fit aussi vite qu’il put pour rejoindre celle qu’il croyait être sa dulcinée.
Arrivée à la maison, Jessica l’accueillait directement à poil en lui roulant une pelle bien goulue et, pressé de satisfaire sa libido, il ne se rendit même pas compte de l’usurpation.
Jessica s’agenouilla au pied de Tom, et commença à lui sucer la bite intensément en gorge profonde.
Oh oui, chérie ! C’est tellement bon, va s’y, Oh, j’adore !
La cochonne, interrompit cette fellation torride pour présenter en levrette son fion au chaud lapin. Le gaillard s’y enfonça à sec comme un taureau avant d’activer des coups de butoirs d’une brutalité mêlant excitation et ardeur.
Vas-y coquin, plus fort ! Défonce-moi comme une chienne !
Jessica glissa son index gauche sur son clitoris pendant que son fion se faisait dévaster par la grosse trique de Tom.
Puis, Tom s’allongea sur le dos, et Jessica vint s’empaler par le trou du cul sur sa bite pour la chevaucher avec frénésie. Les positions lascives s’enchaînaient intensifiant davantage le plaisir.
Au cœur de ce moment sexe hard, Tom, suant à grosse goutte, avec la bite entièrement enfoncée dans le cul de Jessica, sentit la présence d’une personne dans la pièce, lorsqu’il leva les yeux en direction de la porte, il vit Vanessa en larme… A cet instant, il comprit qu’il c’était fait avoir comme un débutant. Il courut auprès de Vanessa pour lui expliquer… mais elle lui assénait une belle claque qui avait plus de sens que des mots….Jessica, sa salope de jumelle,  avait enfin obtenu sa vengeance !

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !

Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !

Paysan pervers pour couple exhib

A l’époque, j’étais en couple avec une meuf qui répondait au doux prénom de Natacha ! Ah, Natacha ! Jolie comme un cœur, gentille et douce ! Et surtout, salope comme on ne peut pas l’imaginer !

C’est bien simple, avec elle, il y avait toujours une nouvelle idée ! Un plan cul dont vous n’auriez osé rêver si elle ne vous l’avait pas proposé. Dans la vie quotidienne, elle avait l’air sage, mais quand il s’agissait de sexe, quelle libertine c’était ! Son imagination érotique était sans bornes, et, surtout, elle ne se refusait rien.

Un week-end, elle m’a parlé d’une clairière, pas très loin d’un parking sauvage, où elle avait entendu dire que des couples exhibitionnistes venaient baiser devant des voyeurs. Bien entendu, elle voulait s’y rendre. On programma le plan pour le samedi suivant : la météo s’annonçait bonne.

La météo, oui, mais pas les règles de ma Natacha, qui tombèrent pile poil ce jour-là. Sauf que la coquine avait tout prévu. Elle avait acheté en ligne des tampons spécial sexe, des trucs qui vous permettent de baiser même quand vous êtes indisposée.

Du coup, on a filé vers la fameuse clairière. Sur place, personne. Natacha était déçue, moi plutôt soulagé. Je pouvais la baiser sans la gêne de quelques voyeurs. Et c’est ce que j’ai fait. Elle s’est appuyée sur le capot de la bagnole, je l’ai troussée et pan ! Dans le minou. Au passage, je tiens à vous dire que son gadget anti-ragnagna était très au point. Comme si de rien n’était…

C’était trop beau. J’étais en train de besogner ma copine tout en matant son joli popotin quand un vieux gars tout moisi a débarqué, la bite à la main. Il s’est approché de nous. Il faisait des commentaires paillards pendant que je tronchais Natacha et qu’il branlait sa demi-molle.

Tripoté par le paysan pervers !

J’ai essayé de continuer, comme s’il n’était pas là, mais il était tellement proche que sa présence me gênait vraiment ! Alors, forcément, quand il a commencé à vouloir peloter le joli cul de ma libertine, ça m’a gonflé. J’ai repoussé sa main, en lui disant de rester à sa place.

Natacha s’est retournée et m’a dit : « mais non, chéri, laisse faire monsieur, il a bien droit à un petit plaisir ». Elle a retiré son t-shirt, dévoilant sa poitrine nue, généreuse, magnifique. Elle a tendu un nichon au papy qui s’est mis à lui téter. Le paysan grognait, Natacha était aux anges. L’air de rien, cette salope m’avait fait rebander, avec ses idées cochonnes.

Natacha s’est assise au milieu du sentier et s’est mise à nous sucer tous les deux. Le paysan faisait de plus en plus de commentaires graveleux, mais ça semblait plaire à la coquine. Elle suçait tant et si bien que, non seulement elle m’a rendue une gaule plus qu’honorable, mais le papy aussi s’est mis à bander raide.

On a changé de position. Moi par terre, à la tringler en levrette, elle qui pompait le dard du vieux, debout devant elle. Je voyais tout ce qu’elle lui faisait, comment elle creusait les joues, comment elle faisait coulisser la petite bite entre ses lèvres, comment elle lui suçait les burnes.

Et plus elle était vicieuse, plus je la tringlais comme un forcené. Et plus je la tronchais, plus elle devenait perverse. Le cercle vicieux, c’est le cas de le dire.

Là, le paysan s’est mis à grogner de plus en plus fort. Puis a gueulé comme un dingue « salope ! salope ! petite pute ! ». Il a déchargé à gros jets sur le visage d’ange de Natacha, jusque dans ses cheveux. Elle s’est retournée vers moi, la face pleine de foutre et m’a souri. J’étais estomaqué.

Mais le papy n’en avait pas fini. Il s’est essuyé la pine et a recommencé à se branler. Il s’est placé à côté de moi pour voir en gros plan la pénétration : « elle est bonne ta salope, tu l’encules, des fois ? ». Je me cherchais une contenance, mais le type n’arrêtait pas. A un moment, alors que ma queue ressortait de la chatte dégoulinante de mouille de Natacha, il a carrément pris mon sexe dans sa main, et l’a dirigé vers la rondelle de ma libertine. Elle, elle s’est contentée d’écarter les fesses et je me suis introduit dans l’anus de la belle.

Sans réfléchir, je lui ai déglingué le cul, jusqu’à gicler à mon tour dans son dos, jusqu’à ses cheveux, qui étaient maintenant trempés de sperme.

Le cul de la petite blackette

Dans mon immeuble, il y a une étudiante, une petite blackette qui suit des cours de médecine, qui me fait totalement fantasmer. Elle un de ces culs, je ne vous dis que ça. Le genre petite meuf, avec des belles rondeurs, des gros seins, et surtout des fesses super rebondies. Un vrai cul de blackette, quoi.

Pendant un temps, l’ascenseur a été en panne. Comme on rentrait de la fac autour des mêmes heures, je m’arrangeais toujours pour la suivre dans les escaliers. Ses fesses, toujours moulées dans un pantalon hyper serré, roulaient devant moi, un vrai bonheur !

Mais, maintenant que l’ascenseur est réparé, j’y trouve quelques avantages aussi. Ne serait-ce que les moments passés dans la même cabine qu’elle, presque corps contre corps. Vendredi dernier, nous sommes arrivés dans l’immeuble. Elle m’a fait un grand bonjour, sourire aux lèvres, limite à me taper la bise.

De la bombe, cette nana, je vous jure ! On a donc pris l’ascenseur en même temps et là, comme un signe du destin, la panne ! Elle était toute paniquée, elle m’a dit qu’elle était claustro, qu’elle suffoquait. Moi, pas con, je l’ai réconfortée en la prenant dans mes bras, en lui tenant des propos apaisants, en lui disant de respirer bien profondément.

J’avais sa poitrine presque à hauteur de ma braguette et, malgré la situation délicate, je n’arrivais pas à m’empêcher de bander. Je ne sais pas si elle l’a senti, toujours est-il qu’elle m’a roulé une pelle en me disant :  » t’es gentil, toi… « . Tu parles que j’étais gentil, j’avais surtout envie de me la faire !


Les secours sont arrivés, nous avons été sortis de là. Elle m’a invité à prendre un verre chez elle,  » pour me remercier « . J’ai sauté sur l’occasion, à défaut de pouvoir sauter sur autre chose. Bam ! Un rhum arrangé, puis un autre. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, il est surtout dangereux pour les petits culs de blackettes !

Après avoir vidé presque à elle seule la bouteille et s’être remise de ses émotions, elle s’est mise à m’allumer, tant et si bien que je me suis vite retrouvé derrière elle, à la niquer en levrette. Je reluquais ses magnifiques fesses rondes et charnues tout en lui faisant du bien. Elle tortillait du fion comme une reine, elle me massait la tige avec sa chatte et m’offrait un spectacle fabuleux, en prime !

Au bout d’un quart d’heure de limage, elle a planté sa tête dans l’oreiller, a pris chacun des deux globes de son cul dans ses mains et m’a supplié, d’une voix à la fois plaintive et excitée :  » tu veux bien me prendre par là, s’il te plaît ? « . Tu parles qu’il me  » plaisait « . J’ai craché un coup sur sa rondelle, pour lubrifier son petit trou, et j’ai massé un peu.

Je craignais de lui faire mal, d’autant que je ne suis pas trop mal monté, mais j’ai posé mon gland sur son anus. J’ai fait coulisser un peu ma tige entre ses deux énormes fesses, puis j’ai tenté la pénétration. Elle a gueulé de douleur. J’ai arrêté.  » Non, vas-y, continue, j’ai envie « .

J’ai retenté ma chance et là, ma bite a été comme engloutie par le petit trou de la blackette, qui haletait maintenant comme une petite chienne. Je me suis planté au fond de son cul, et j’ai arrêté de bouger. C’est elle qui a finalement repris les mouvements de bassin, comme pour sentir encore mieux mon sexe en elle.

De mon côté, j’avais la bite comme enveloppée d’un écrin de soie. J’étais bien serré dans son cul. En plus de la vue imprenable que j’avais sur son popotin, je vivais ma toute première sodomie, mon premier enculage, dans les plus belles fesses que je n’avais jamais vues, ces fesses sur lesquelles je fantasmais depuis près d’un an !

Au bout d’un moment, la blackette s’est retournée. J’étais un peu déçu. J’avais encore envie de l’enculer. Mais, ni une, ni deux, elle a basculé ses genoux au dessus de ses épaules, m’ouvrant à nouveau la voie de son anus. Je m’y suis replongé avec délectation. La vue avait changé, mais ses nichons aussi valaient le coup d’œil.

Après une nuit de baise intense, nous avons pris le café ensemble. Elle m’a alors avoué qu’elle avait un mec, et qu’il la tannait pour pouvoir la sodomiser, mais qu’elle n’osait pas, vu la taille de l’engin du gars en question. En gros, je lui avais dépucelé le cul pour ouvrir le passage à son fiancé.

Moi, dès qu’il s’agit de rendre service aux amoureux…