Exhib dans les bois

Vous allez dire que je suis une garce et vous aurez bien raison. J’adore le sexe sous toutes ses formes et je ne me prive d’aucun des plaisirs qu’il peut m’apporter. J’aime jouir et faire jouir les hommes, parfois les femmes qui partagent ma couche ou des endroits plus insolites. J’ai de la chance car mon homme accepte toutes mes perversions, mieux, il les encourage. Il faut dire qu’il en profite aussi largement. Il n’est pas exclusif et aime me partager  à l’occasion. Je crois qu’au fond il aime bien me voir heureuse, en train de faire l’amour avec mes partenaires. C’est son petit plaisir à lui.

Vidéo porno du récit Exhib dans les bois

Nous avons une passion commune pour l’exhibitionnisme depuis le début de notre relation. Sans me vanter, je suis assez mignonne et les regards masculins se portent trop souvent sur moi pour que ce soit un hasard. J’ai des formes rebondies mais je ne suis pas grosse, j’ai juste le cul un peu rond et surtout de bons gros nichons qui plaisent aux hommes autant qu’aux femmes.

Hier soir nous sommes allés dans un petit bois que nous savons fréquenté par des voyeurs et des voyeuses. J’ai mis ma tenue la plus provocante. Je me faisais un peu l’effet d’une pute en me regardant dans le miroir, avec ce petit top très échancré, la mini-jupe assortie et les bas résilles qui habillaient mes jambes, terminées par deux bottines en cuir. Ça m’a presque donné envie de me caresser. J’étais déjà très chaude.

Arrivées en bordure du petit bois, nous sommes restés dans la voiture. Il y  avait déjà du monde et je craignais de déclencher une émeute en sortant dans mon accoutrement. Nous avons avancé le véhicule jusqu’à une petite clairière en empruntant un chemin boueux. Puis mon mari a coupé le moteur.

J’ai abaissé le dossier de mon siège et je me suis mise à me caresser, les pieds posés sur le tableau de bord, cuisses largement ouvertes. Puis j’ai commencé à me masturber doucement en poussant de petits gémissements sonores.  Mon homme était sorti du véhicule après avoir légèrement abaissé les deux fenêtres de sorte qu’on pouvait m’entendre à quelques mètres. Il s’est approché de deux ou trois gars et je le voyais à travers le pare-brise qui leur parlait en désignant notre voiture.

Très vite, trois hommes se sont approchés. L’un d’eux tenait une femme presque aussi provocante que moi par la main. Quand ils ont été assez près pour bien me voir, j’ai sorti un nichon par le col de mon haut et j’ai pris le téton dans ma bouche. J’ai sucé ma tétine vicieusement en relevant ma jupe pour bien leur montrer comme je me branlais.

Le petit groupe était tout près de la voiture et ne pouvait rien ignorer des attouchements que je me prodiguais. Les gars ont sorti leurs queues et ont commencé à se caresser. Celui qui était avec la fille l’a poussée sur le capot assez brutalement. Son visage était à quelques centimètres du mien. Elle a posé sa bouche sur la vitre en sortant la langue, comme pour m’exciter encore plus. L’homme s’était mis à la pistonner en levrette.

Mon mari a dû comprendre  que je n’aurai pas mon compte avec cette petite exhib rapide. Il s’est approché du véhicule, a ouvert toutes les portes et a lancé aux voyeurs :

« Allez-y, elle est à vous ! Cette grosse salope a besoin de se faire baiser. Elle est là pour vous faire jouir, profitez bien de son gros cul et de ses nichons ! »

Ivre, nue et partouzée

Je savais que ne devais pas boire autant, ça finit toujours par me jouer des tours. Mais c’est plus fort que moi, je me laisse aller et je dois ensuite en supporter les conséquences. Allez savoir, au fond, c’est peut-être que je les apprécie ?
Par exemple, là, je suis en train de baiser avec tout un groupe de personnes. La soirée était sympa jusque là, et plutôt clean. Je crois que ça va rester sympa mais bien moins clean. En fait j’en suis sûre, malgré les vapeurs d’alcool qui embrument un peu mon cerveau et qui ne m’empêchent pas de prendre du plaisir, au contraire.

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Une femme est sous moi et me mange la chatte en me caressant le cul. Sa langue est douce et ses lèvres avides de mon sexe. Elle boit ma mouille qui s’écoule lentement dans sa bouche. C’est une petite blonde un peu boulotte d’environ 45 ans. Ca doit lui paraître bizarre et excitant de faire un cuni à une jeune étudiante comme moi.
Devant moi, deux queues se présentent. Deux belles queues vraiment surdimensionnées, bien noueuses et le gland tendu à l’extrême. Je les lèche comme des boules de glace, c’est un peu amusant et l’alcool me fait rire à cette idée. Je reprends mes esprits quand les deux beaux nœuds forcent le passage de mes lèvres en même temps. Je dois ouvrir la bouche en grand mais j’arrive finalement à prendre les deux engins ensemble. Leurs propriétaires respectifs se mettent à me limer. Ils doivent être un peu bisexuels car ils semblent apprécier de frotter ainsi leurs membres l’un contre l’autre. Moi, je me contente de servir de réceptacle à leurs envies et de passer la langue sur leurs bouts.
Un autre homme s’est placé sous moi et me suce les seins comme un enfant tèterait les nichons de sa mère. On m’a rarement fait ça aussi bien. Il tire avec ses lèvres sur mes belles tétines brunes et longues qui pendent un peu dans cette position. Sa langue agace mes pointes. En tournant la tête, je peux voir une grosse femme aux fesses mafflues qui monte et descend sur sa bite, prise par le cul, tout en suçant la queue d’un gars bien plus jeune qu’elle, lui-même sodomisé par un vieux type. Je crois me souvenir qu’il s’agit du mari de la grosse femme.

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Subitement, je sens qu’on essaye de s’introduire dans mon cul. Ce n’est ni la langue ni la main de ma suceuse de chatte. Je lâche un moment les deux queues que je pompais pour jeter un œil en arrière. Un black viril avec un énorme membre s’apprête à m’enculer. Excitée comme une puce, je lui tends mon cul, je lui offre ma raie et il s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Il faut dire que j’ai été bien préparée par les caresses de la gouine qui s’est occupée de moi.
Râles et gémissements remplissent la grande pièce qui respire le sexe et la baise. Je suis bien, ivre, complètement nue et partouzée comme une chienne. J’adore !

Mon amant m’expose devant des pervers

Je suis nue, entièrement nue et perchée sur les escarpins que Jean-Louis m’a demandé d’enfiler en début de soirée. Il a bien précisé que je ne devais rien porter d’autres, à l’exception cependant de mes bijoux, une chaînette à la cheville droite et deux gros anneaux passés à travers les pointes de mes gros seins un peu pendants.

J’ai  48 ans et mon corps, même s’il n’est plus de prime jeunesse, reste désirable. Tout au plus le poids des ans a-t-il un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose dire, que Jean-Louis me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.

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Maintenant, je suis debout dans le salon. Jean-Louis est là, assis dans le canapé, accompagné de deux autres hommes que je ne connais pas, un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant les trois copains mais je sais que si je résiste, la colère de Jean-Louis sera terrible. Il faut dire aussi que je me sens un peu excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon homme prend la parole d’un ton qui n’admet aucune réplique :

« Tourne-toi pour montrer tes fesses à nos amis, qu’ils voient ton gros cul ! »

J’obtempère aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :

« T’as raison Jeannot, elle a un bon gros cul juste obscène ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »

Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me reluquant.

Jean-Louis se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’attrape par l’un des anneaux qui ornent ma poitrine et tire un peu dessus pour faire bouger mon sein.

« Et ça, vous le voyez, ce gros nichon à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »

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J’obéis encore, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le tétin pour le faire bien durcir. Quand j’arrête, il pointe outrageusement vers le duo de branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.

« Hé, regarde Jean-Louis, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »

Mon homme passe sa main entre mes jambes et les remonte vers sa bouche. Il suce ses doigts.

« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées. Approchez les gars, je crois qu’il va être temps de s’en occuper maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme jamais. »

Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

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Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.

Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

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Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.

Branlée en public

Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.

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Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.

Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.

Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.

Branlée dans le jardin public

A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.

La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.

En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…

Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.

La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.

Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant  à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.