En amour, ce que j’aime par-dessus tout, c’est tailler des queues, enfourner une bonne bite dans ma bouche et la sucer longuement, vicieusement, jusqu’à ce qu’elle crache tout son bon jus dans ma gorge ou sur mon visage, au gré des fantaisies de mes partenaires.
Les hommes adorent ma bouche et je suce des habitués qui reviennent fréquemment me voir rien que pour ça. Je le fais tout à fait gracieusement, je ne suis pas une pute. A vrai dire, mes hommes me rendent bien souvent la politesse et j’y trouve moi aussi mon compte.
Ma première pipe date de mes 15 ans mais je ne vous en parlerai pas car elle n’est pas restée dans les annales. C’était comme un galop d’essai mais après cette première expérience je n’avais qu’une envie, recommencer au plus vite pour sentir à nouveau la douce sensation d’être utilisée comme objet sexuel par un mâle en rut. Ce que j’apprécie avant tout dans la pratique de la fellation, c’est bien de me sentir soumise, agenouillée devant une grosse queue à servir et de belles couilles à vider.
J’ai dû attendre un peu avant de remettre le couvert. En attendant je regardai des films pornos de suceuses en me masturbant et c’est là que j’ai perfectionné ma technique, d’une façon toute théorique. Puis, je suis enfin repassée à la pratique, avec un prof du lycée, alors que j’étais en terminale, à 18 ans.
C’était le soir, après les cours. Je venais d’avoir mon anniversaire. Ce que j’ai fait ce jour là, je ne voulais pas le faire plus tôt car je ne voulais pas mettre monsieur Meunier dans l‘embarras.
J’avais eu une mauvaise note et j’en ai pris prétexte pour obtenir un entretien à la fin du cours. Le prof a vite compris ce que je désirais car je suis allée fermer la porte à clef de l’intérieur avant de m’approcher de lui. Une fois arrivée devant son bureau, je me suis agenouillée et j’ai passé ma main sur la bosse de sa bite puis j’ai ouvert son pantalon sans lui laisser le temps de réagir. Son membre est apparu devant moi et s’est mis à bander très vite. C’est un peu normal. Je me suis jetée dessus avec voracité tellement ça faisait longtemps que j’attendais ce moment.
Les leçons apprises auprès des plus grandes stars du X, et des meilleures suceuses ont porté leurs fruits. Je crois bien que j’ai pompé la queue du prof comme personne ne le lui avait jamais fait. A aucun moment il n’a protesté. Mes lèvres enveloppaient sa tige veineuse, ma langue flattait son gros gland d’où s’écoulait un filet de liquide séminal au goût délicieux. En même temps, je massais ses belles couilles bien poilues et, de temps à autre, je glissais un doigt plus loin, entre ses fesses, comme je l’avais vu faire par les actrices pornos les plus vicieuses.
Mon seul regret est que monsieur Meunier a joui un peu trop vite. J’ai senti son chibre se raidir et la sève monter du tréfonds de ses couilles jusqu’au sommet de sa pine avant de venir s’éclater sur mon palais puis de glisser voluptueusement dans ma gorge. Je peux vous dire que j’ai adoré avaler tout ce bon lait d’homme.
Depuis cette expérience, j’ai sucé des dizaines de mecs, de tous âges, beaux, laids, mince, forts. Leur physique m’importe peu, tout ce que je veux, c’est sentir dans ma bouche la vigueur de leur queue et la saveur de leur foutre.