Ma première sodomie

Il y avait dans l’atmosphère de la chambre quelque chose de troublant, un parfum d’interdit, qui me mettait dans tous mes états. Je sentais son souffle court qui sifflait à mes oreilles. Il a saisi mes petits tétons entre ses pouces et, de l’autre main, a bloqué mon épaule pour la ramener vers lui. Je ne sentais plus que sa bite, qui me paraissait tout à coup énorme, glisser le long de ma raie culière.
J’allais vivre ma première sodomie. J’étais à la fois morte de peur et terriblement excitée à cette idée. Toujours aussi brusque, il me fit basculer en avant, lui tendant ainsi mes deux fesses, offertes, femelles, fragiles, prêtes à la sodomie…

Il ne se départait jamais de cette froideur, que ne trahissait que sa respiration mal maîtrisée, excité qu’il devait être à l’idée de dépuceler un jeune anus. Je sentis un doigt humide s’insinuer dans ma raie, pour venir masser mon petit trou en guise de préparatif à la sodomie. Il m’ouvrait un peu, et surtout il lubrifiait mon cul. Il me fit mettre à quatre pattes et posa sa longue queue sur mon boule. D’une main, il la dirigea vers l’entrée de mon cul. La brûlure fut intense, brutale, insupportable. J’avais l’impression qu’il me déchirait, que je ne m’appartenais plus à moi-même. Mais cette sensation ne dura pas bien longtemps.

Il s’enfonça d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur avait disparu. Elle avait été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sentais bien. Mieux que bien, j’avais le sentiment d’avoir attendu ce moment toute ma vie.
Il resta un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à sa pine dans mon cul. Pas de doute, cet inconnu qui me faisait vivre ma première sodomie n’en était pas, lui, à sa première expérience anale. Il savait y faire. Et quand il commença ses mouvements de piston entre mes fesses, ce fut presque un soulagement pour moi. J’en avais envie. J’en avais besoin. Tout en me niquant, avec des mouvements amples – et profonds – de ses reins, il me saisit par les fesses, pelotant, malaxant et caressant mes deux doudounes.

Puis il accéléra le rythme, m’arrachant de petits gémissements incontrôlables, qui s’échappaient de ma gorge par à-coup, et qui couvraient ses propres râles de bête en rut. Il revint à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accéléra de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul.
Il me fit me retourner. Là, il avait pleine vue sur mes petits seins, qu’il tritura un long moment avant de planter à nouveau sa queue entre mes fesses. J’appréhendais cette nouvelle intromission, je craignais qu’elle ne me déchire à nouveau. Mais l’inconnu savait ce qu’il faisait. Il entra dans mon anus sans coup férir.

Une fois bien au fond de moi, il saisit mes jambes, pour les placer au dessus de ses épaules. Dans cette position, l’angle ouvert, sa sodomie se faisait plus profonde encore. Cette fois, il n’était plus question de m’épargner.  L’inconnu se mit à me baiser, comme le rustre qu’il était. Sous lui, je pouvais voir son visage se déformer, je pouvais constater le plaisir qui l’envahissait. J’avais devant moi un animal sauvage venu chercher son du.
Et j’aimais ça. Alors, je fus presque déçue quand il se retira à nouveau. La bite tendue vers moi comme une arme menaçante, il lâcha à longs jets son sperme, qui vint atterrir sur mes seins, et même sur mon visage. Je devais avoir l’air de la pire des garces ainsi maculée, les cuisses ouvertes et le cul béant, dévasté par la sodomie…

Il se releva, s’habilla prestement et s’en alla comme il était venu. Je n’ai plus jamais entendu parler de lui.

Une couguar très chaude me suce en boite

Je bascule la tête en arrière et ferme les yeux pour mieux ressentir les mouvements de langue de ma pompeuse sur ma verge raide. Sucé par une couguar : la situation pourrait me faire rire intérieurement si je n’étais pas aussi chaleureusement et bien tété. Je suis dans les chiottes du club, et je suis aux anges. Je ne pense même plus à mes potes qui se sont foutus de ma gueule quand elle a commencé à me draguer.

Elle : une mère de famille a priori respectable venue s’encanailler le temps d’une soirée avec quelques copines de son âge. Elle doit avoir quarante-cinq ans, soit vingt de plus que moi. Je pourrais presque être son fils ! Un cul bien rond, à peine flasque, des grosses mamelles légèrement tombantes, un sourire qui dit braguette.

Moi, c’est bien simple, elle m’a fait bander immédiatement. Je ne cours pas spécialement après les vieilles cochonnes, mais celle-ci a du talent pour la pipe, c’est le moins qu’on puisse dire. Et peu importe si ça fait marrer la bande, moi, au moins, je vais prendre mon pied ce soir. Pas comme certains.

Pendant que la couguar me suce, je fléchis un peu les genoux pour avoir les mains à portée de ses grosses doudounes. Sa peau est élastique et plutôt douce. J’introduit mes doigts dans son chemisier. Ses seins pointent dangereusement. Elle en veut la coquine, et elle fait un bruit d’enfer en se gavant de ma bite.

Etre sucé par une couguar présente un autre avantage : les années aidant, elle sait y faire, et elle se montre très gourmande de mon vit vigoureux. Et que je salive sur ton gland, et que je te prends en fond de gorge, et que je te titille les couilles avec la main. Je peux vous dire que c’est autre chose que les pompiers par les greluches étudiantes dont j’ai l’habitude.

A tel point que, si elle continue, je ne vais pas tarder à décharger dans sa bouche sans autre forme de procès. Mais la belle couguar mature a de l’expérience. Elle a senti que j’allais rendre les armes. La voici qui recrache ma bite et lève des yeux suppliants vers moi. Elle a tiré un étui de capote de son sac à main. Je lui souris, en essayant de paraître aussi gentil qu’il est possible quand on a la bite à l’air, trempée de salive.

C’est parti, la mère au foyer infidèle déroule le préservatif sur mon membre. Elle semble ravie. Je n’ai plus qu’à m’asseoir sur la lunette des chiottes rabaissée, et à attendre que ma chaude couguar ne vienne s’empaler sur mon chibre. Et elle a tôt fait de se jeter sur mon pieu. Sa chatte est dégoulinante de cyprine, l’introduction se déroule sans problème. Me voilà maintenant avec ses énormes loches à hauteur de visage.

Autant en profiter. Et, tandis qu’elle s’agite comme une nonne qui aurait découvert la bite sur ma queue bandée au maximum, je gode ses deux gros mamelons à tour de rôle, les aspirant bien au fond de ma bouche, tout en glissant ma main jusqu’à sa fente, pour en caresser vigoureusement le petit bouton.

Elle est épilée de près : la couguar est sortie pour tromper son mari, elle s’est préparée comme il se devait. Elle braille à en ameuter toute la discothèque et réclame que je lui suce encore les seins. Je ne me prive pas, jusqu’à ce que les mouvements du bassin de ma couguar ne s’accélère, m’arrachant un orgasme dévastateur.

Elle jouit, en même temps que moi, et me hurle des mots d’amour tout en plaquant sa poitrine contre mon visage. Je suis tremblant de plaisir, et la couguar aussi.

Infidèle, je le suis devenue…

Il s’en est fallu de peu. A quelques minutes près, mon mari débarquait dans la chambre et me retrouvait en train de me faire tringler en levrette par Henri. Infidèle… Si on m’avait dit ça… Si on m’avait dit que j’allais vivre ce genre d’aventures, genre théâtre de boulevard avec amant dans le placard et tout le toutim…

Pourtant, j’ai craqué. Et même pas pour un beau mec. Car Henri est tout sauf un Apollon. Moi, la fidèle, la prude, j’ai été touchée par ses compliments récurrents, toujours bien sentis, toujours fins. Henri est un collègue de bureau. Il doit avoir quinze ans de plus que moi.

Il faut que je vous explique. Depuis quelques temps, mon homme me délaissait sur le plan sexuel. Oh, je sais, ça n’est pas une excuse, mais quand, de l’autre côté, un autre vous couvre de petites attentions et de remarques toutes plus gentilles les unes que les autres, une femme a vite fait de perdre pied.

Alors, je l’ai invité, après le boulot, à prendre un verre à la maison. Je savais bien ce qui allait se passer, et lui aussi. Je lui ai proposé le fauteuil, en face de moi, mais il a choisi de s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Il ne lui a pas fallu cinq minutes pour poser une main sur ma cuisse laissée nue par une jupe à peine courte.

Dingue, l’effet qu’il me fait. Peut-être ce mélange de délicatesse et d’assurance, cette assurance qui a fait remonter sa main sous ma jupe, à l’orée de mon intimité. Mon mari était retenu au bureau pour toute la soirée, je ne voyais – à ce moment précis – aucune raison valable de ne pas céder aux avances de mon collègue.

 rencontres entre infidèles

Il s’est penché vers moi, m’a volé un baiser et a collé une main contre ma poitrine palpitante. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux sur le lit conjugal, la langue d’Henri sur mon petit bouton, le sexe d’Henri entre mes lèvres brûlantes.

Je l’ai laissé faire, tout simplement. Je l’ai laissé m’installer à quatre pattes sur le couvre-lit, je l’ai laissé prendre un préservatif dans sa poche, je l’ai laissé me prendre. Me défoncer en fait. Car Henri avait été gâté par la nature. Une énorme bite que son physique de comptable chauve et un peu bedonnant n’aurait jamais laissé soupçonner.

Sa queue tapait au fond de moi, dure, épaisse et longue, et je trouvais refuge en plantant mon visage dans les draps, comme si ça n’avait pas été vraiment moi. Pas vraiment moi qui me faisait bourrer comme une femme infidèle, pas vraiment moi qui couchait avec ce monstre de sexe qui allait bientôt me faire jouir de ses coups de queue toujours plus virils et décidés.

Puis, j’ai entendu une voiture dans l’allée. Je savais bien que c’était lui, mon mari, qui rentrait plus tôt que prévu. Mais le plaisir que me procurait la bite d’Henri au fond de moi m’empêchait – physiquement ! – de lui demander d’arrêter. Infidèle encore…

Henri a joui – et moi aussi – quand la porte de l’entrée s’est ouverte. Nous nous sommes rhabillés en quelques secondes et il a pris la fuite par la fenêtre. Il devait être habitué à ce genre de situations. Pas moi. Quand je descendis pour rejoindre ma moitié, j’avais l’impression que tout en moi trahissait mon infidélité.

Mon meilleur ami est bi !

La nouvelle nous a fait l’effet d’une bombe. A Sandra comme à moi. Félix, mon meilleur ami, le pote viril et même un peu macho, fan de rugby et de jolies meufs, était bisexuel. Il était assis là, devant moi, devant Sandra, et il nous racontait comment il avait découvert les plaisirs entre mecs.

Je jetais un regard à ma chérie, qui restait stupéfaite. Elle qui ne m’avait jamais caché son attirance pour Félix, son corps d’athlète de haut niveau, ses beaux yeux noirs et profonds, son sourire de séducteur, elle devait avoir autant de mal que moi à l’imaginer en train de pomper la bite d’un autre homme.

Puis, elle se reprit. D’un ton enjoué, elle lui demanda des détails croustillants sur cette première aventure bisexuelle. Tout cela semblait l’exciter. Et puis, elle lâcha : « oh, tu sais, Pierre aussi va de temps en temps sur des sites homos ». Je piquais un fard.

Félix prit la balle au bond. Je le reconnaissais bien là : peur de rien, toujours l’esprit provocateur au coin du sourire. Il nous raconta comment il avait aimé les caresses entre hommes, comment il avait apprécié de sentir une bite dure et raide dans sa bouche.

Sandra ne cachait rien de son excitation. Elle m’avait toujours dit qu’elle voulait vivre un trio entre nous et un mec, et me voir sucer une bite à mon tour. Choisir une nana plutôt libertine a ses avantages, et aussi ses inconvénients.

Et Félix avait bien noté l’excitation de ma petite amie. Ils avaient toujours été complices ces deux là, surtout pour me faire tourner en bourrique. Sandra s’est penchée vers moi : « moi, ça me fait mouiller ces histoires de pipes entre mecs, pas toi, mon chéri ? ».

Je bredouillais, guettant l’air amusé de Félix, qui était au spectacle. Sandra posa sa main sur ma braguette : « mais oui, ça te fait bander, mon cochon ! ». Et c’était vrai : l’attitude de Sandra, comme le récit de Félix, m’avait excité, et je bandais. Mais ma petite amie ne comptait pas en rester là. Tout en descendant mon zip, elle demanda à Félix : « toi qui aime les belles bites, tu as déjà vu celle de Pierre ? Elle est magnifique ».

J’étais comme paralysé. Sandra profita de mon absence passagère pour extraire ma queue de son antre, et commença à me branler, là, devant Félix, qui n’en perdait pas une miette. Elle me prit même en bouche, faisant glisser ma bite entre ses lèvres, exactement comme j’aimais. Puis elle se redressa et retira son haut, dévoilant ses seins nus : « mais tu aimes encore les filles, Félix, rassure-moi ? ».

Mon meilleur ami se leva et fit mine de s’approcher de nous. Un court instant, il chercha dans mon regard une marque de désapprobation. Un signe, un mot de moi, et tout se serait arrêté net. Mais j’en étais incapable. La queue entre les doigts fins et habiles de Sandra, j’allais me laisser faire.

Félix se trouva à notre hauteur et sortit à son tour sa bite, que Sandra prit entre ses lèvres, avant de me la tendre : « viens Pierre, viens goûter la bite de Félix, elle est très bonne ».

Première fois avec la meilleure amie de ma mère

La meilleure amie de ma mère m’a toujours fait bander. D’aussi loin que je me souvienne, ses gros nichons, son beau cul bien rond et ses lèvres pulpeuses ont fait fantasmé l’adolescent que j’étais. Maintenant que j’ai dix-huit ans, que je suis étudiant, j’ai l’impression qu’elle me prend toujours pour un gamin qu’il faudrait pouponner. Il faut dire que je suis toujours puceau. Ah, si elle savait comme elle me fout la gaule !

Nous avions prévu, en cet été, des soirées cinéphiles tous les vendredis soirs, entre ma mère, la meilleure amie de ma mère, donc, Inès, et moi. Je suis étudiant en cinéma, et je devais les guider dans les choix des films. Mais, ce soir, ma mère a du s’absenter pour des raisons professionnelles. Elle nous a donc laissé tous les deux sur le canapé, à visionner un vieux classique.

Inès porte une jolie robe bain de soleil. il faut dire qu’il fait encore horriblement chaud en ce début de soirée. Oh, rien de trop impudique, mais cette petite tenue me laisse loucher sur sa grosse poitrine un peu tombante et je me régale vraiment du spectacle.

Elle est absorbée par le film, elle le suit avec passion. Mais moi, je l’ai déjà vu dix fois, et ses grosses doudounes me tiennent bien plus en éveil que le scénario. Avec Inès, les choses sont simples, elle se comporte avec moi comme elle se comporterait avec son propre fils.

Elle a étendu ses longues jambes encore fines sur la table basse, et sa robe remonte un peu le long de ses cuisses. J’adore les grains de beauté qui parsèment sa peau, comme autant d’invitations à venir les embrasser. Le film est triste mais moi, je bande.

Inès est venue se lover contre moi, en toute innocence. Il faut que je me dégage, sinon elle va comprendre dans quel état d’excitation elle me met, d’autant que je ne porte qu’un petit short plutôt moulant qui va trahir mon érection. Trop tard.

Elle a jeté un coup d’œil à mon entrejambe, elle a du s’apercevoir de quelque chose. Déjà, elle se redresse sur le canapé, avec un air gêné. Elle a tout compris. La meilleure amie de ma mère sait qu’elle m’excite terriblement. Quelle honte !

Et puis, après tout, au point où j’en suis, si j’essayais de profiter un peu de la situation ? Démasqué pour démasqué. Subrepticement, ma main file sur la toile du canapé, direction, les cuisses de la belle quadragénaire. Son attention semble être retournée au film, elle ne remarque rien.

Le bout de mes doigts effleurent déjà sa peau. Je suis en transe, j’ai l’impression que mon short va exploser. Inès ne dit rien, n’ébauche même un geste pour échapper à mes doigts. Ça y est, cette fois, main est sur sa cuisse, l’air de rien, comme un fait du hasard.

Inès me parle. Mais pas de mes attouchements, non, juste de la scène que nous sommes en train de voir, sa préférée. La voilà qui bouge, elle veut m’échapper. Non, elle se penche juste vers la table basse pour y saisir son verre, me laissant reluquer son splendide décolleté. Est-il possible qu’elle n’ait rien remarqué.

Elle se love de nouveau contre moi, sa cuisse est sous ma main. Je suis en sueur. Je sens son odeur de femme : elle aussi, elle transpire. J’ai les yeux rivés sur les siens, qui se posent maintenant sur moi. Un coup d’œil à sa cuisse, que je pelote maintenant ostensiblement.

Elle sourit, puis se penche. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle a sorti ma gaule de mon short pour la prendre immédiatement dans sa bouche. Surexcité, je jouis, très vite, au fond de sa gorge. « Pas un mot à ta mère, bien sûr » me lance-t-elle dans un sourire, en se redressant, après avoir avalé tout mon foutre.

Je me gouine avec ma meilleure amie

Jamais je n’aurais pu imaginer que c’était aussi doux, une chatte. Louison est avachie sur moi, ses deux cuisses collées à mes oreilles, offrant son minou velouté à mes caresses inexpérimentées. Pendant ce temps, elle a plongé le visage entre les miennes, de cuisses, et goûte mon clito avec une gourmandise que je ne lui soupçonnais pas. Je me gouine avec ma meilleure amie, et j’adore ça.

Il faut dire que depuis que Franck m’a quittée, il y a six mois, je n’ai eu strictement aucune relation sexuelle. Je cherche le mec parfait, le mec fidèle, le gars stable avec qui faire des enfants. J’ai bientôt trente-cinq ans, il faut que je m’y mette, c’est comme ça.

Mais pour l’heure, je ne pense pas du tout à ça. Je pense au plaisir qui m’envahit, à la chaleur sourde qui grandit dans mon bas-ventre sous les coups de langue de Louison. Je sens contre ma peau tout son corps de femme collé contre moi, et je trouve cette sensation douce, aussi douce qu’il est possible.

Je ne suis pas gouine, non, et pourtant je baise avec ma meilleure amie, comme ça, sur son lit, après une longue discussion où elle a tenté de me consoler de mon chagrin d’amour. Elle a, à un moment donné, porté sa main sur mon épaule et, dans un geste qui m’a paru durer une éternité, a approché ses lèvres des miennes. Je n’ai pas refusé son baiser, tendre, déposé timidement dans un sourire.

Elle s’est ensuite redressée, m’a dit à quel point elle me trouvait belle et j’ai adoré entendre ses mots. C’est à mon tour que je l’ai embrassée, bien plus fougueusement, caressant sa langue de la mienne, respirant son parfum de femme. Et, je ne sais comment, nous nous retrouvées toutes deux entièrement nues sur ce lit.

Très tôt, sa main a filé vers ma chatte, qu’elle a caressé avec vigueur, me démontrant, s’il en était besoin, que ce n’était sans doute pas une première pour elle. Puis elle m’a léché le con, me faisant jouir une première fois. C’est moi qui ai pris l’initiative de ce 69 entre femmes, elle dessus, moi dessous, désirant plus que tout au monde lui rendre la pareille.

Maintenant, j’ai son joli cul potelé au dessus de mes yeux, tandis que ma langue s’enfonce de plus en plus profondément dans sa chatte, trempée de ma salive et de sa mouille. J’admire ce cul, tellement plus beau, tellement plus sensuel qu’aucun cul masculin et je prends tout mon plaisir à le voir s’agiter de spasmes de plaisir, ce plaisir que je lui procure en lui dévorant le minou.

Je me gouine avec ma meilleure amie, oui, mais je n’en conçois aucune honte. J’ai plutôt honte de celle que j’ai été, autrefois : il y a quelque minutes, après tout. Celle qui ne voulait rien essayer de nouveau, qui se contentait de l’amour à la papa, des galipettes hétérosexuelles bien classiques. Comment ais-je pu rater ça ?

La caresse buccale de Louison s’interrompt un moment. Elle se redresse et je sens tout son poids venir m’étouffer. J’aime ça. Elle me dit, dans un soupir fébrile : « viens, je t’en prie, ma chérie, je vais jouir ». Ses mots sont tellement tendres, tellement agréables, sa faiblesse passagère tellement excitante que je redouble d’effort à fouiller chaque recoin de son vagin du bout de ma langue. Je la fais pointer vers le haut, vers les petits picots qui ornent son point G et je tourne, de plus en plus vite. J’attrape les deux globes de son cul à pleine main et les malaxe.

Elle gueule : « wow, je pars, oui ». Elle hurle :  » oui, c’est bon, je t’aime ». Elle jouit et des jets de cyprine entrent dans ma bouche. Je les avale comme, avant, j’avalais le foutre de mon compagnon.

Comment je me suis soumise…

Je n’ai pas voulu cela. A vrai dire, je ne sais pas du tout comment je me suis retrouvée là, soumise, en compagnie de cet inconnu, qui m’a fait mettre à quatre pattes, entièrement nue, le cul tendu vers lui, qui s’est assis sur son lit. J’ai rencontré cet homme dans une boîte, il est venu me draguer, je me suis laissée faire. Et voilà.

Voilà comment je suis maintenant offerte à la perversité de ce salaud. Voilà comment maintenant j’y prends du plaisir. Voilà comment il se croit autorisé à me traiter de salope et de chienne. Et il a raison, car je ne suis plus guère que ça, à ce moment précis où je me tourne vers lui pour lui offrir ma bouche.

Il a sorti son membre de sa braguette et reste là, assis sur son lit. Il ordonne. « Viens lécher petite pute ». Il ordonne et moi, j’obéis. Je tends ma langue vers son gland, je m’applique à la passer tout le long de sa verge longue et fine, je titille généreusement le frein.


J’y mets tout mon cœur et tout mon dévouement. Et ça ne suffit pas. Clac ! Un premier coup sur mes fesses vient de m’arracher un gémissement. Je dois prendre gare à ne pas blesser sa queue. Il guide son membre dans ma bouche. Clac ! C’est l’autre fesse qui prend, maintenant.

Ce type est un pervers, comment ais-je pu me laisser entraîner dans cette aventure ? Pour l’instant, je le suce, je fais de mon mieux, mais ce n’est pas assez. A mesure que je lui pompe la bite, il fait rougir mes fesses d’une fessée à la fois rude et délicate. Il alterne savamment entre coups portés et caresses maîtrisées.

A aucun moment ne m’est venue l’idée de refuser ses jeux sadiques. Juste au début, quand il est venu me draguer. Je l’ai pris pour un petit macho, qui roulait des mécaniques. Je me suis dit : « mon coco, tu vas bientôt savoir qui décide ».

Me voilà bien. C’est lui qui décide, sans l’ombre d’un doute. Il a fiché sa longue tige veinée et raide au fond de ma gorge et, du bout du doigt, joue avec mon anus qui s’ouvre involontairement du fait de ma position : à quatre pattes.

Qu’est-ce que vous croyez ? Bien sûr que je ne vais pas lui dire que je n’accepte habituellement pas ce genre de caresses, que je n’aime pas la sodomie, que je ne la pratique jamais et que mon cul, c’est chasse-gardée ! Non. Je creuse les joues pour lui donner un maximum de plaisir, tandis que son majeur s’insinue dans mon petit trou.

Ce que je préfère, ce sont les mots crus qu’il me sert comme d’autres disent des mots d’amour : « putain, chienne, cochonne, vide-couilles ». Et moi je pompe, tandis qu’un deuxième doigt s’enfonce dans mon intimité. Il sait y faire ce salaud. Il est venu patiemment, pas à pas, à cette situation.

Il a commencé par présenter ça comme un jeu. Puis les ordres se sont faits plus précis. Il a maintenant à sa disposition un objet sexuel totalement consacré à son plaisir et à la réalisation de ses fantasmes les plus incongrus. Cet objet, c’est moi.

Il faut bien dire qu’il sait parfaitement ce qu’il fait. A mesure qu’il prend possession de mon cul, son torse bascule vers moi et sa queue, du même coup, s’enfonce davantage dans ma gorge. Il a désormais trois doigts dans mon anus et deux dans mon sexe.

C’est comme cela qu’il me tient. Comme s’il avait trouvé deux poignées pour manipuler un jouet. Et il me travaille les deux orifices, toujours en m’insultant copieusement, agissant sur mon corps pour imprimer à ma fellation le rythme qui lui conviendra.

Mon mari me demande de l’enculer

La vie sexuelle de notre couple ronronnait doucement. Cela fait 15 ans que nous sommes mariés, Yves et moi. Nous étions encore tout jeunes quand nous nous sommes unis, jeunes et plein de fougue. Avec les années, la fougue s’est transformée en habitude et la passion qui rendait nos nuits chaudes et intenses a peu à peu laissé place à des étreintes répétitives et de moins en moins troublantes. Il m’arrivait fréquemment de m’ennuyer en faisant l’amour et, même si nous n’en parlions jamais ouvertement, je sentais bien que c’était la même chose pour mon époux. Un jour, j’ai pris mon courage à deux mains et nous avons abordé le sujet de nos fantasmes respectifs puis pris la décision de nous montrer enfin plus inventifs en amour. A ce moment là, je ne pensais pas me retrouver si vite en train d’enculer mon mari.

Nous avons fait chacun de notre côté des emplettes dans le catalogue d’un sex-shop en ligne. Je suis restée très raisonnable, achetant principalement de la lingerie (pour exciter mon homme) et un ou deux sex-toys bien innocents (plutôt pour moi, je l’avoue). Nous avons expérimenté assez rapidement les quelques fantaisies nouvelles offertes par mes achats, puis ce fut au tour d’Yves de révéler sa surprise. Celle-ci était de taille. Je ne compris pas tout de suite où mon mari voulait en venir quand il sorti de sous le lit un gode-ceinture de belle facture. Je m’attendais presque à voir entrer dans notre chambre une autre femme et je trouvais que c’était pousser le bouchon un peu loin que de vouloir m’imposer une relation bisexuelle trioliste.

Mais ce n’était pas ce qu’attendait mon mari, il m’expliqua que d’avoir parlé ensemble de nos difficultés lui avait permis de franchir enfin les limites qui l’empêchaient de me demander ce qu’il attendait de moi depuis des années. Pour finir, il me dit simplement  « Chérie, je voudrais que tu me prennes comme si j’étais ta petite femme. Encule-moi s’il te plaît ! ».

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A cet instant, tout aurait pu arriver. L’espace d’une seconde, j’ai hésité, j’étais sur le point de tout foutre en l’air et de me fâcher pour de bon. Mais devant le regard implorant qu’il me lançait, je compris qu’il avait eu bien du mal à exprimer ses pulsions les plus intimes. Je le trouvais aussi un peu pitoyable et c’est ce qui me décida à m’emparer de l’engin pour me harnacher. De me voir dans le miroir du placard qui faisait face à notre lit, montée comme un homme, mon mari attendant en haletant que je le fourre, à quatre pattes sur le pieu, me donna l’élan nécessaire.

Quelques instants plus tard, je me retrouvai en train de limer les fesses de mon époux. Celui-ci haletait et gémissait effectivement comme une petite pute. Je me sentais forte, dominatrice et perverse. Yves avait pensé à moi et il avait choisi un modèle muni d’une double bite. L’une était fichée dans son cul et le ramonait allègrement, l’autre remplissait ma chatte et me donnait beaucoup de plaisir à chaque fois que mon ventre venait buter contre le cul de mon mari.

Nous avons joui ensemble comme des fous. Je bénis encore aujourd’hui le jour où nous avons décidé de prendre en main le destin sexuel de notre couple. Cela nous a complètement libérés et  nous sommes aujourd’hui redevenus les jeunes amants  insouciants que nous étions à nos débuts.

Travesti par ma femme

J’aime ma femme et je ne lui refuse rien. Quand ce jour là elle m’a demandé si j’étais près à tout pour lui offrir une belle journée, j’ai dit oui, comme d’habitude. Je n’ai pas eu à le regretter, même si, par biens des aspects, la journée a été parfois éprouvante.

Marianne m’a transformé en travesti. Elle avait tout prévu, une tenue excitante et un programme bien défini. D’abord elle m’a habillé et maquillé, dans notre chambre. Pour mieux m’humilier, elle l’a fait devant le miroir du grand placard qui meuble la pièce. Elle m’a enfilé des habits de cochonne ; comme si ça ne lui suffisait pas de me voir en femme, elle a tout fait pour que je ressemble à une traînée, presque à une pute.

En sortant de la maison, je marchais tant bien que mal sur les talons déjà hauts qu’elle avait choisis pour moi. Je portais une robe assez courte qui laissait voir mes jambes bien au-dessus des genoux. La robe était fendue sur le côté si bien que, lorsque je m’asseyais, le haut de mes cuisses apparaissait et les curieux pouvaient voir le début de mon slip de femme. En haut, un décolleté plongeant du plus bel effet complétait le tableau. Un chemisier cachait mes bras mais son col était suffisamment ouvert pour que l’on puisse voir la naissance de mes seins, des postiches  fixés sur un soutien-gorge dont on pouvait deviner le liseré de dentelle.

Nous sommes allés faire des courses ensemble dans un supermarché d’un quartier populaire. J’avais honte de me sentir observé à chaque instant, dévisagé, scruté de la tête aux pieds. Dans la lumière crue des néons, nul ne pouvait ignorer ma condition de travesti. J’ai trouvé ce moment de la journée tellement humiliant.

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A midi nous avons mangé au restaurant, sur une terrasse. C’est là que des hommes mataient mes cuisses. Je tirais de temps à autre sur ma robe pour cacher ce qui pouvait l’être, mais aussitôt que je lâchais le tissu, mes cuisses réapparaissaient. Je crois que j’ai troublé plus d’un voyeur au cours du repas et que certains ont dû passer une bonne soirée avec leur femme.

L’après-midi nous avons fait du shopping. Le pire moment pour moi a été celui où ma femme m’a entraîné dans une boutique pour y acheter de la lingerie. La vendeuse n’a rien osé dire et nous a laissé nous amuser dans la cabine d’essayage. J’ai essayé des sous-vêtements terriblement sexy et ça m’a excité énormément. A un moment Marianne a appelé la jeune femme pour qu’elle nous conseille. A sa demande la fille s’est hasardée à passer ses doigts le long de la culotte de dentelle que je portais. Ce n’est pas allé plus loin mais j’ai trouvé ça si troublant que je bandais comme un cerf dans le petit slip.

En début de soirée, nous nous sommes arrêtés dans un bar à cocktails. Là, dans la pénombre, je me suis fait draguer par deux jeunes hommes qui pensaient sincèrement avoir à faire à deux cochonnes en manque de sexe. Marianne a finalement mis fin à ce jeu qui devenait risqué en leur dévoilant la supercherie. Ils se sont enfuis presque en courant.

En sortant du bar, ma femme avait encore une idée derrière la tête. Pour ma part, je n’avais qu’une seule envie : rentrer chez nous et la baiser comme jamais. Ca ne s’est pas passé comme ça. Je vous raconterai ma nuit de travesti avec Marianne prochainement.

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

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Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.