Ma première pipe

Ca y est, c’est fait. Cela faisait longtemps que j’en rêvais mais l’occasion ne s’était jamais présentée jusqu’alors. Il faut dire que je suis encore jeune. Je viens tout juste d’avoir 19 ans. Je suis mignonne et attirante mais pas forcément toujours très à l’aise avec les garçons. J’ai eu peu de petits copains dans mon adolescence,  deux ou trois tout au plus et nous ne sommes jamais allés bien loin en matière de sexe.  Quelques caresses, des petites soirées câlines assez sages finalement, jusqu’à mon récent dépucelage par Thomas, un maître assistant de la fac où j’étudie depuis un an.

Thomas, c’est aussi un très bon professeur de baise. Doux mais ferme il sait ce qu’il veut et ce dont j’ai besoin. De nous deux, c’est toujours lui qui dirige la manœuvre et j’en suis satisfaite car il sait comment me faire jouir. J’ai déjà beaucoup appris avec lui et je suis sûre qu’il a encore beaucoup de choses à me faire découvrir. En tout cas, il en est une pour laquelle l’affaire est entendue. Ce soir j’ai taillé ma première pipe.

Nous étions chez Thomas, en train de nous caresser sur le canapé de son salon. La soirée s’annonçait torride mais elle le fut en fait bien au-delà de mes attentes. Nous étions déjà presque entièrement dévêtus quand Thomas se leva brusquement, prit la télécommande posée sur la table basse et alluma sa télé. Aussitôt, une vidéo démarra.

On y voyait une fille, agenouillée devant un homme assis dans un fauteuil. Ils étaient entièrement nus tous les deux. La nana caressait d’un geste précis et enveloppant le gros membre dressé de l’homme. Thomas me demanda de me placer comme elle mais de telle manière que je puisse continuer à regarder les images qui défilaient à l’écran. Puis, il exigea que j’applique à son sexe le même traitement que la jeune vicieuse faisait subir à celui de son partenaire. Je compris où il voulait en venir en voyant la fille poser ses lèvres sur le bout du gland de l’homme. Je m’exécutai avec douceur et application puis je me mis à répliquer ce que je voyais sur la télé.

Vidéo porno du récit Ma première pipe

Ma bouche s’ouvrit pour laisser passer la tête de la queue. Avec mes mains je caressais les boules velues de Thomas, comme le faisait la fille avec les couilles de son amant.  Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de passer ma langue sur le bout du vit de mon prof. Je ne voyais pas à l’intérieur de la bouche de l’actrice porno mais j’imaginais qu’elle en faisait autant de son côté. Le liquide qui s’écoulait lentement de la verge excitée de Thomas avait bon goût. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire.

C’est alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres le long de la hampe veineuse qui me remplissait.  Thomas me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de lui. Je voulais le faire jouir, sans penser à moi. En élève appliquée, je savais qu’il me rendrait au centuple le plaisir que j’allais lui donner.

Thomas devait être fort excité par la situation aussi. Il savait que j’étais novice en la matière car je le lui avais avoué peu de temps auparavant. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir. Bonne fille, je me forçai à garder sa semence en bouche puis à l’avaler.

Nous avons recommencé encore deux fois ce petit jeu dans la soirée. Thomas, un peu plus maître de ses émotions se montra charmant et un excellent professeur. Il m’apprit comment bien faire jouir un homme avec la bouche et je crois que j’ai pris goût à la fellation.

Gouine et soumise

« Avance, rampe à nos pieds ! Oui, comme ça, c’est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. »

Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd’hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c’est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l’occurrence.

« Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite ! »

Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l’autre jouant avec ses seins.

J’étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l’entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu’à ma chatte. La brune gironde s’est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras. Je savais ce qu’elle attendait de moi et j’ai devancé son appel en allant coller mes lèvres à la fente juteuse de son sexe. La rousse à la peau laiteuse s’est glissée sous moi et a commencé à me sucer les seins alternativement. Je crois que la blonde, de sa main demeurée libre, lui fouillait la vulve car j’entendais des clapotis obscènes dans mon dos.

« C’est bien, qu’elle vous fasse jouir, c’est pour ça que je l’entretiens. Et faites-moi jouir aussi avec votre spectacle excitant de gouines en chaleur. Ca me fait couler entre les cuisses. »

Ma maîtresse aimait bien dire des saletés en se branlant. J’en rajoutai un peu de mon côté, contente de lui faire plaisir avec mes mots crus :

« Ah maîtresse, merci de me donner ainsi à vos amies. J’aime qu’elles se servent de mon gros cul de gouine, qu’elles touchent ma chatte et mes seins. Mais ce que j’aime le plus, c’est goûter ce bon jus chaud qui me coule dans la gueule. »

Vidéo porno du récit Gouine et soumise

Je ne mentais pas, j’adorais sentir sous ma langue et sur mes lèvres la mouille de la brune. Celle-ci avait pris ma tête entre ses mains et tirait dessus comme si elle avait voulu se l’entrer toute entière dans le vagin.

Tout à coup, j’ai senti quelque chose d’humide se poser entre mes fesses. C’était la langue de la blonde qui me lapait tout le long de la fente. De mon clito jusqu’à mon petit anneau. Un peu plus tard, elle s’est concentrée sur mon cul en me fourrant un godemichet dans la chatte puis, peu après, elle a fait l’inverse. Ça me rendait folle.

Pendant qu’elle me taraudait la vulve, la rousse y a mis sa bouche. Le gode me pistonnait, m’écartait les lèvres et les lèvres de la rouquine me tétaient le bouton. C’était divin.

Quand ma maîtresse a joui la première fois, ça a été le signal de l’orgasme pour tout le monde. Le salon était empli de gémissements et de petits cris plaintifs mais ce n’était qu’un début, une sorte de mise en condition. Ma maîtresse reprit rapidement ses esprits et la maîtrise de la situation :

« Bon, maintenant qu’elle a joui une première fois, cette gouinasse va pouvoir s’occuper de nous correctement. Il faut quand même qu’elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n’en a pas fini avec nous… »

Mon petit copain est un pervers

Je sors avec Mike depuis bientôt 3 mois. J’ai 19 ans et il a 3 ans de plus mais c’est déjà un sacré vicieux. Moi je suis novice en matière de sexe mais avec lui j’apprends vite. Parfois je me demande où il va chercher toutes les idées qui lui traversent l’esprit et qu’il n’hésite pas à me confier.

Pour le moment, il se contente un peu de parler. Nous faisons l’amour presque depuis le début et c’est vrai qu’il sait se montrer imaginatif lors de nos ébats, mais ce n’est rien à côté des fantasmes qu’il évoque continuellement.

Nous commençons souvent la soirée en écoutant ses délires sexuels. En voici quelques-uns que je vous livre pour que vous puissiez vous en faire une idée.

« Un jour, je partirai au boulot en te laissant nue attachée sur le lit et tu m’attendras jusqu’au soir. Je t’aurais fixé un gode dans la chatte avec un harnais et tu m’imploreras de te baiser à mon retour. Je le ferai avant de te détacher puis nous recommencerons toute la nuit. »

« Une autre fois, je t’obligerai à aller au boulot avec un plug dans le cul. Tu devras serrer les fesses pour le garder tout au long de la journée, même en marchant mais ce ne sera pas trop difficile, on prendra une culotte en latex avec le gode bien fixé au fond comme ça il ne pourra pas sortir. »

« Peut-être que je ferai venir ma cousine. Elle est un peu gouine sur les bords et ça devrait lui faire plaisir de baiser avec nous. Je l’ai déjà niquée il y a deux ans, c’est une bonne baiseuse. Je sais qu’elle fantasme sur les couples où la femme est bisexuelle. Je pense qu’elle saura bien te faire jouir. »

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« Et puis un jour on ira au bois derrière chez mon pote Kevin. Il y a toujours des obsédés qui y traînent à la recherche d’un bon coup, des hommes seuls mais aussi des couples. Tu mettras une tenue de pute et on ira les allumer. Tu verras, ça va t’exciter grave. Soit on baisera sur place, soit on rentrera à la maison après une petite exhib et on niquera comme des bêtes. »

« Ce qui serait bien aussi, c’est que je fasse venir deux ou trois potes et qu’ils te montrent ce que c’est qu’une bonne bourre de groupe, un petit gang-bang comme dans les films de cul. Je suis sûr que ça te fais envie de sentir en toi deux ou trois bites à la fois. »

Le pire, c’est que ça m’excite toujours très fort d’entendre les saloperies qu’il me dit. Quand il démarre comme ça je ne sais jamais si c’est juste pour nous préparer une bonne soirée ou s’il le pense vraiment. Au fond de moi je crois bien que j’aimerais un jour passer à l’acte, même si certaines de ses propositions me font un peu peur quand même, comme lorsqu’il m’a dit qu’il voulait m’emmener sucer des bites de vieux dans des chiottes publics.

Excitée par l’amie de ma mère

Ma mère est lesbienne et vit depuis peu en couple avec Maryse, son amie depuis 15 ans. J’ai 18 ans et je n’ai pas connu mon père. Je crois que maman a toujours été gouine mais qu’elle a viré définitivement sa cuti peu après ma naissance. Aujourd‘hui elle a 40 ans, deux ans de moins que Maryse. Je connais cette dernière depuis longtemps mais assez peu finalement puisqu’avec maman elles menaient jusque là des vies séparées, se retrouvant quand elles le souhaitaient, loin de moi, peut-être pour me préserver.

Ça a changé depuis que je suis majeure. Maryse est venue vivre à la maison, ça fait deux mois. Pour ma part je ne suis pas lesbienne, j’ai même un petit copain depuis plus d’un an. Mais depuis hier, je me pose des questions.

J’étais à la maison, avec ma mère et son amie. Maman prenait sa douche. Elle passe toujours un temps fou dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparais des carottes pour le repas du soir. Maryse s’est approchée de moi et elle a commencé à jouer avec un des légumes. Je trouvais qu’elle exagérait et je me demandais même ce qu’une lesbienne pouvait trouver de si amusant à tripoter une carotte comme une femme normale l’aurait fait d’une bite.

Le pire, c’est quand Maryse est venue se coller dans mon dos après avoir posé la carotte au bas de son ventre. C’était tellement fou que je me suis demandé si elle n’avait pas un peu bu avec maman avant que je n’arrive. Elle a fait remonter le bout du légume entre mes jambes, je le sentais qui frôlait mes cuisses en soulevant ma jupe. Je commençais à me sentir excitée malgré moi. Je n’avais pas fait l’amour avec Julien, mon copain, depuis deux longues semaines.

Maryse a dû sentir que j’étais troublée,  elle a passé une main devant moi et l’a posée sur ma poitrine. Je sentais ses doigts qui, comme par hasard, se trouvaient sur l’un de mes tétons. J’avais honte car elle ne pouvait pas ignorer que celui-ci était tout dur. Et j’étais encore plus honteuse de sentir peu à peu couler le jus de ma chatte au fond de mon slip.

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La carotte s’était mise à glisser lentement entre mes cuisses. Je me surpris à écarter légèrement les genoux pour lui permettre de remonter toujours plus haut vers mon sexe. Maryse en profita immédiatement pour porter le simulacre de sexe contre ma petite fente. Ses doigts s’étaient mis à jouer ouvertement avec mon téton et d’ailleurs elle avait glissé sa main dans l’échancrure de mon chemisier.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de maman résonner dans le couloir qui séparait la pièce d’eau de la cuisine où nous nous trouvions.  Nous eûmes juste le temps de nous rajuster et de reprendre comme si de rien n’était nos occupations, Maryse et moi.

Aujourd’hui je ne sais plus que penser. Je me suis masturbée dans mon lit en repensant à cet épisode mais je ne veux pas faire de mal à ma mère en la trahissant avec sa maîtresse.

Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
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Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.

Masturbée par mon oncle

J’ai un peu honte de vous raconter cette histoire mais je ne peux plus me taire. Il faut que j’en fasse part à quelqu’un. Comme je ne peux décemment pas me confier à une personne de ma famille ou de mon entourage sans passer pour une traînée, j’ai décidé de l’écrire et de vous la livrer à vous, lecteurs anonymes et compréhensifs.
C’est arrivé la semaine dernière et depuis je ne dors plus. J’espère que cette confession me permettra de retrouver la quiétude et le sommeil.
Le mari de ma tante, la sœur de ma mère, m’a masturbée. J’ai 18 ans et il pourrait être mon père. Ce n’est pas un homme très beau, il est même plutôt grassouillet et légèrement chauve. J’avoue qu’il a cependant un petit charme, sans doute car il est toujours très à l’aise en société.
Ça s’est passé dans les WC de notre maison de campagne. J’étais assise sur la cuvette pour faire un petit pipi et me caresser comme je le fais souvent mais j’avais oublié de tirer le loquet de la porte. Mon oncle a ouvert et s’est trouvé face à moi, qui n’en menais pas large, la main passée entre mes cuisses, les doigts dans la chatte.
Il a tout de suite compris ce qui se passait et au lieu de faire demi-tour, il est entré et à fermé la porte. Je ne savais pas comment réagir mais de toute manière il ne m’a guère laissé de temps. En souriant, il s’est avancé et a pris mon poignet dans sa main. Il a lentement commencé à le faire bouger.
J’étais toujours incapable de la moindre réaction et je me suis laissé faire. C’était un peu comme dans un rêve mais comme j’avais honte j’ai fermé les yeux tout le long de la branlette de mon oncle.
Il faisait maintenant aller et venir mes doigts dans ma chattoune. J’entendais le clapotis que ça faisait et lui aussi devait l’entendre. Je sentais mes joues qui rougissaient et j’ai encore eu plus honte quand de mes lèvres est sorti un petit gémissement que je n’ai pas pu retenir.
Vidéo porno du récit Masturbée par mon oncle
La tête légèrement renversée en arrière, les cuisses ouvertes, j’ai senti passer l’autre main de mon oncle entre mes jambes. Elle est venue se joindre à la mienne et peu à peu investir mon intimité. Mon oncle a commencé à écarter mes petites lèvres et son gros pouce s’est posé sur mon clitoris qui était extrêmement sensible. Il s’est mis à le frotter doucement puis a introduit son index et son majeur dans ma fente. J’avais quatre doigts dans mon trou, les deux siens et deux des miens. C’était plus que je n’en avais jamais fourré dedans en me masturbant.
J’ai mis quelques dizaines de secondes pour jouir, pas plus. C’était bien trop excitant pour que je puisse me retenir. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, de peur d’alerter le reste de ma famille qui ne se trouvait pas très loin.
Mon oncle est sorti sans un mot mais avec un sourire que je ne parviens pas à oublier depuis, celui-là même qui m’empêche de dormir. Je n’ose imaginer le moment où je me retrouverai de nouveau face à lui.

Il s’est trompé de trou

C’est la première fois que ça lui arrive et pour moi aussi ça a été une première. Hier soir, mon mari s’est trompé de trou et je l’ai laissé faire.
Nous étions au lit depuis quelques minutes. Mon mari, Thibaut, est venu se serrer contre moi comme il le fait presque chaque soir. Je dors sur le côté, tournée vers l’extérieur du lit. Thibaut s’est collé contre mon dos et m’a prise dans ses bras. J’aime sentir son large torse derrière moi et ses bras qui me protègent. Nous nous endormons souvent dans cette position. Ce soir là les choses se sont passées un peu différemment.
Thibaut ne tenait pas en place. Ses mains posées sur ma poitrine jouaient négligemment avec mes seins mais ça suffisait à me faire de l’effet. Peu à peu, j’ai commencé à sentir des frissons courir sous ma peau. J’ai posé ma main sur sa cuisse et je me suis mise à la caresser, d’abord sur le dessus, puis à l’intérieur. Imperceptiblement, il a écarté ses jambes. En même temps, je sentais sa queue qui durcissait contre mes fesses.
Il jouait maintenant ostensiblement avec mes nichons. Je n’ai pas de très gros seins mais de belles pointes qui raidissent bien quand on les tripote. Thibaut passait aussi ses doigts sur mon ventre et descendait de plus en plus bas vers ma fourche. De mon côté, je lui caressais les couilles. Je sais qu’il adore ça.
Nous commencions à haleter tous les deux. La bite de mon mari s’était logée entre mes fesses. Je passai alors la main entre mes cuisses pour la guider vers mon entrejambe. C’est là que tout a basculé. Notre position ne devait pas être idéale pour une baise classique et Thibaut se trompa de trou.
Au début, je fus surprise de sentir son gland appuyer sur mon petit anus. S’il nous arrivait à tous les deux de pratiquer des caresses anales sur le trou du cul de l’autre, jamais nous n’avions abordé la question de la sodomie et il ne me semblait pas que mon mari était tenté par cette pratique.
Vidéo porno du récit Il s’est trompé de trou
Pourtant, il fallait que je me rende à l’évidence, Thibaut était en train d’entrer dans mes fesses. Il poussait, poussait et peu à peu son gland perforait ma rondelle. J’étais trop excitée pour le détromper et, d’ailleurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Le pauvre devait penser que ma position, couchée contre lui, rendait ma petite chatte plus serrée que jamais.
Il me prit comme un fou et je crois qu’il ne réalisa être dans mon cul que lorsque je me redressai et me mit à quatre pattes sur le lit. En fait, je ne suis même pas sûre qu’il s’en est rendu compte car il n’en parla pas, ni pendant ni après notre cavalcade. Pour ma part, je connus l’un des orgasmes les plus violents de ma vie sexuelle. Je fus même traversée d’une seconde série de spasmes lorsque Thibaut décula lentement.
Aujourd’hui je ne sais que penser. Dois-je aborder le sujet avec mon mari ou, au contraire, me taire à tout jamais ? J’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à cette expérience et j’aimerais la renouveler, mais je n’ose le lui dire ouvertement. Dans notre couple, il est des discussions encore largement taboues.

Sexe dans l’ascenseur

Je suis bien, prise par la bite d’Alain, mon amant, dans cet ascenseur. Il m’enfile bien, je sens sa queue qui me remplit le ventre. Ce qu’il y a de bien avec lui, c’est qu’il est un peu plus petit que moi. Il est des femmes qui sont gênées à l’idée de sortir avec un homme moins grand qu’elles, je ne suis pas de celles-là car je sais combien cela facilite les choses quand il s’agit d’être prise debout, contre un mur, dans la position que j’occupe actuellement. Il est alors très simple de se laisser retomber sur le manche et de le prendre au plus profond de son être.
Bien posée sur mes pieds, je peux ainsi masser la pine de mon partenaire en ondulant des fesses et du ventre. Ça me fait autant de bien à moi qu’à lui car je sens à chaque mouvement mon gros clito qui appuie sur la colonne de chair qui me remplit. C’est terriblement jouissif comme est jouissive l’impression de défier la moral en niquant ainsi dans un espace public et même si je sais que nous ne risquons pas grand-chose à bloquer ainsi l’appareil en plein milieu de la nuit, dans un immeuble majoritairement occupé par des retraités esseulés.
Vidéo porno du récit Sexe dans un ascenseur
On ne risque pas de nous entendre puisque nous sommes au deuxième sous-sol. Je peux laisser libre cours à mon exubérance sexuelle. Quand je baise, je gémis fort. Je sais que ça excite mes amants qui redoublent alors d’ardeur et de vigueur. Je ne le fais pas exprès mais j’ai toujours énormément de mal à contenir mes émotions et, tout compte fait, je trouve beaucoup d’avantages à me laisser aller de la sorte.
La pine de mon amant va et vient dans ma cramouille. Mes gémissements et mes soupirs couvrent le bruit de ma mouille qui clapote au fond de mon trou à chaque nouveau coup de boutoir. Alain m’embrasse, me fourre la langue au fond de la bouche. Il me masse aussi les miches d’une main, me malaxe le cul de l’autre. Mes grosses fesses l’excitent autant que mes nibards de femme ronde. Je suis pulpeuse à souhait et il aime ça. J’adore jouer de mes rondeurs pour troubler les hommes.
La verge d’Alain est de plus en plus grosse. Elle me comble de bonheur ; je glisse une main entre nous, aventure mes doigts vers ses couilles que je pétris. Je veux les sentir se vider quand il jouira. Je les serre dans ma main, glisse un doigt par-dessous, caresse le renflement de son périnée. Je sais qu’il aime ça, d’ailleurs, il écarte légèrement les jambes en pliant les genoux pour m’ouvrir le passage. Je descends un peu mon bassin pour l’accompagner et ne pas quitter le contact intime avec son vit.
Bien m’en prend, Alain se libère subitement en moi, lâchant des flots de foutre dans mes entrailles. Comme prévu, je sens le sperme sortir de ses couilles, traverser son mandrin jusqu’au gland et finir par s’écraser contre ma matrice. Mes jambes se dérobent sous mon corps et je pars moi aussi vers le septième ciel, sans ascenseur.

Prise par un trio de vicieux

« Oh les gars, ce que vous me faites jouir ! Allez-y, prenez-moi, tous les trois, maintenant ! »
Je ne sais plus ce que je dis, je ne me retiens plus, je n’ai plus aucune pudeur. Depuis que j’ai rencontré ces trois salopards dans cette soirée, je ne suis plus moi-même. Ou plutôt, je suis celle que j’ai toujours rêvé d’être, une bonne cochonne qui se donne sans limite et sans tabou.
Peut-être bien que j’ai pris un ou deux verres de trop mais je ne suis pas saoule, juste complètement désinhibée. Les trois mecs s’en rendent compte. Mes mains touchent leurs bites, soupèsent leurs couilles, caressent leurs culs. Ils m’excitent grave. Ils sont jeunes, plus jeunes que moi et qu’est-ce qu’ils sont bien montés. Ma main a du mal à faire le tour de la queue que je branle. Ma bouche est complètement distendue par celle que je suce et je n’ose imaginer comment mon cul va bientôt être rempli.
Je suis à quatre pattes maintenant. Je pompe toujours le dard qui me fouille la gueule. Je m’arrête seulement pour laper les couilles bien rondes du gars qui me fait face. Il en profite pour me matraquer le visage avec son gourdin. Les deux autres types ont répondu à mon appel.
Vidéo porno du récit Prise par un trio de vicieux
L’un des deux est passé sous moi. J’ai écarté les genoux pour le laisser s’installer. Il m’a saisie par les hanches et m’a fait descendre sur sa verge où ma petite chatte est venue s’empaler vicieusement. J’ai tout de suite commencé à onduler dans tous les sens pour bien le sentir.
L’autre mec, un solide gaillard d’une vingtaine d’années s’est glissé derrière moi. Derrière mon cul plus précisément. Je le sens qui écarte mes fesses. Il crache sur mon trou puis le prépare avec ses doigts sans délicatesse excessive ni brutalité exagérée. Il a déjà de l’expérience, tant mieux. Quand il pose son gland sur mon œillet brun, c’est moi qui pousse mes fesses en arrière pour le prendre. Sa bite est longue et forte, elle met un peu de temps à passer entièrement. Je ne m’étais pas trompée en m’imaginant être enculée peu auparavant.
Nous bougeons en cadence, nous ne faisons plus qu’un tous les quatre. Je suis la chose des trois queutards et ça me plaît, leur objet sexuel, leur petite pute docile et perverse. Ils me laminent, me bourrent bien à fond, me tringlent la vulve, me ramonent le cul. C’est bon, terriblement bon.
Quand le premier sort de ma bouche pour me juter sur la figure, c’en est trop pour moi. Je jouis en gueulant comme une traînée. Je n’ai pas besoin de simuler, tant mon orgasme est intense. Mes genoux se dérobent sous mon corps mais heureusement les deux obsédés qui me remplissent sont là pour me retenir, je ne touche plus le sol, au propre comme au figuré. Lorsque je pense avoir fini de jouir, une deuxième salve se déclenche car les grosses bites qui me prennent se contractent pour lâcher deux flots de sperme dans mes entrailles de femelle en chaleur.

Enculé par ma maîtresse

Ça fait longtemps que je trompe ma femme avec des maîtresses de passage. Je n’ai jamais voulu me lier véritablement avec l’une d’entre elles, préférant expérimenter avec chacune des sensations nouvelles. J’en change à peu près tous les 6 mois, quand j’ai fait le tour de leurs possibilités. Ça fait partie du « contrat » dès le départ. Je ne cherche pas le grand amour, que je connais déjà  avec mon épouse, juste des moments d’une rare intensité sexuelle, ceux qu’elle ne peut pas me donner, la faute sans doute à son éducation. Les femmes que je déniche par petites annonces ou sur des sites de rencontre le savent et, croyez-moi, ça me permet de vivre des expériences inoubliables.

Sandrine a 42 ans, dix ans de plus que mes 32 ans. J’aime les femmes plus âgées que moi car elles sont sexuellement épanouies, surtout celles que je vise. Avec Sandrine j’ai été gâté. L’autre jour, grâce à elle, j’ai pu découvrir combien j’aimais jouir par le cul, bien rempli par le gode fixé à ses hanches.

Je savais déjà que j’étais sensible de l’anus car j’adore quand une femme y fait passer le bout de ses doigts, voire y entre une ou deux phalanges. J’aime aussi quand les plus perverses me lèchent le trou avec leur langue douce et vicieuse. Mais avec Sandrine j’ai franchi un nouveau palier.

Elle m’a fait jouir comme jamais en me prenant par derrière. Non contente de me pistonner à grands coups de gode-ceinture, elle m’insultait, me traitant d’enculé et de petite pute. Je ne sais pas des mouvements coulissants du manche de plastique dans mon rectum ou des mots orduriers qu’elle prononçait ce qui m’a le plus fait jouir.

Déjà en la voyant se préparer, ferme et déterminée, je bandais comme un âne. Elle m’avait prévenu que j’aurais droit à un traitement de faveur ce jour là. J’ignorais de quoi elle voulait parler jusqu’au moment où elle a sorti la bite artificielle du petit sac de cuir où elle se trouvait. Ma queue s’est redressée en un éclair. Il faut dire qu’elle m’avait longuement préparé le cul avant ça et que je n’avais pas complètement débandé en attendant qu’elle recommence à s’occuper de moi.

Vidéo porno du récit Prise par un trio de vicieux » target= »_blank »>Vidéo porno du récit Enculé par ma maitresse

D’un geste autoritaire elle m’a fait comprendre que je devais m’agenouiller devant le lit de la petite chambre d’hôtel que nous occupions. Elle a glissé un coussin sous mes genoux, s’est mise devant moi pour me faire sucer la queue qui allait me prendre.  Revenue derrière moi, elle a vérifié avec ses doigts si mon petit trou était encore assez humide des caresses buccales qu’elle lui avait prodiguées juste avant.  Puis elle a posé le gland factice sur mon œillet et s’est mise à pousser lentement mais fermement pour m’ouvrir.

L’introduction du gode a pris quelques instants. Ça n’a pas été aussi douloureux que je le craignais. Pour me détendre, Sandrine flattait ma queue qui était toujours plus raide sous mon ventre. J’avais l’impression d’être une chienne prise par son mâle.  Ce sentiment troublant devint encore plus fort quand le membre de plastique fut tout entier logé en moi et que ma maîtresses entama le long mouvement de va-et-vient qui me fit tant jouir.

Je suis maintenant devenu un adepte convaincu de la sodomie passive. A tel point que je suis prêt à satisfaire tous les caprices de mon amante. Demain, je dois être offert à son mari et, pour ma plus grande honte, je bande rien que d’y penser.