Moi, mariée, devenue femme infidèle lors d’une partouze au bureau

Nous sommes lundi matin et je me trouve dans mon bureau, toute en larme et animée par un sentiment de souillure, de trahison et d’humiliation, moi femme mariée, moi femme infidèle.. Je ferme les yeux et je revois la scène qui s’est passée le vendredi, en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi retrouver ma famille. Mon époux avait réservée une surprise pour mon anniversaire et j’avais hâte de rentrer pour voir ce qu’il avait concocté pour mes 40 ans.

Mariée à l’âge de 25 ans avec Julien, qui en avait 32 à l’époque, je lui avais promis fidélité éternelle, amour et soutien, contre vents et marées, pour le meilleur comme pour le pire. Nous avons toujours vécu dans l’entente et l’amour, nous avions surmonté des hauts et des bas et, il faut souligner que les « bas » étaient bien rares.

Quelques mois après mon mariage, je fus embauchée comme assistance de direction dans la société dirigée par le meilleur ami de mon époux, Henry. Sous sa houlette, j’ai toujours eu des traitements de faveur qui rendaient parfois jaloux mes collègues.

Henry et moi discutions beaucoup, quand on n’est pas planché sur un dossier épineux de l’entreprise où il prêtait toujours une attention particulière aux conseils et suggestions que je lui faisais, nous rigolions, parlions de tout et de rien et surtout, aimions chambrer mon Julien qui est le roi des bourdes.

Cette entente était amicale et courtoise, il m’a fait aimer l’entreprise, mon intégration a été tellement facile que j’ai eu l’impression, dès les premiers mois, d’y avoir toujours travaillée.
Henry n’était pas marié, il était juste en couple avec Mélanie, une fille qui n’aimait que s’amuser, elle ne songeait pas à fonder une famille. Cette situation le rendait instable et, il me demandait conseil à chaque fois, ma réponse était toujours catégorique :  » tu devrais aller voir ailleurs « .

Cependant, Henry ne pouvait pas se passer d’elle, elle était enjouée, belle, avait un humour inégalable et toujours opportune ; sa personnalité attachante et instable était comme une drogue pour ceux qui l’approchaient, elle était une mauvaise  » fréquentation  » mais irrésistible.

Femme infidèle baisée en trio au bureau

Un soir alors qu’on dînait tous les trois ( mon époux étant en voyage ), cette diablesse fit des suggestions qui m’ont gênées au plus haut point, j’étais tellement embarrassée que j’en devenais toute rouge.

En effet, elle suggérait une soirée arrosée qui finirait par une partouze. Diantre! Moi la super catho, moi dont on a toujours enseignée la vertu, comment pouvait-elle oser ?
En face, je voyais le regard tout aussi gêné d’Henry qui a tout fait ensuite pour réinstaurer une ambiance moins crispée.

Cette suggestion déclencha une envie de trahison, mais, je repoussais cette idée qui me hantait désormais mais qui faisait mouiller ma petite culotte. Il suffit que je ferme un oeil pour commencer à penser, à imaginer des scènes horriblement érotiques où Mélanie me caresse la chatte tandis qu’Henry m’embrasse avec ses lèvres fines. Quand je revenais à moi, le sentiment de culpabilité m’envahissait et, je jurais d’éteindre à jamais ce fantasme sordide qu’avait stimulée cette sotte.

Revenons à ce vendredi après-midi en entreprise. Il faisait assez tard, presque tout le monde était parti, Henry et Mélanie m’avaient fait une petite surprise en venant me rejoindre dans mon bureau, une bouteille de champagne et trois verres en mains, pendant que Julien m’attendait à la maison.

Je me laisse aller à une baise en trio

Mélanie fit éclater le champagne, s’approcha de moi et me roula une pelle par surprise. C’était tellement agréable que je l’embrassa aussi, sous le regard coupable et endiablé d’Henry. Me prenaient-ils pour une femme infidèle ?

C’était parti, allais-je atteindre le point du non retour ? Mélanie avait, en tout cas, l’air de s’y connaître. Je ne sais pas comment ses doigts ont fait pour toute atterrir dans mon vagin qu’elle titillait pendant qu’Henry avait déjà déboutonné ma chemise, je sentais ses mains douces sur mes seins qui durcissaient.

Moi, j’ai participé en dézippant la braguette d’Henry pour lui faire une branlette, puis une fellation, pendant que sa copine ne cessait de faire passer sa langue entre mes cuisses.
Nous avons baisé pendant une trentaine de minutes avant qu’ils ne m’abandonnent toute seule au bureau. En larmes, en pensant à mon Julien. J’étais devenue une femme infidèle…

Je dresse les femmes infidèles

Les sites de rencontres de sexe, c’est tout un poème. Trop d’hommes, pas assez de femmes infidèles, pas évident de s’y faire une place au soleil quand on est comme moi, ni beau, ni moche. Mais j’ai développé une technique de drague qui correspond assez à ma personnalité et à mes fantasmes et qui, je dois dire, a plutôt porté ses fruits jusqu’à présent. Bien sûr, je me prends quelques râteaux, plus souvent qu’à mon tour, à vrai dire, mais j’ai un certain succès, surtout auprès des femmes mariées infidèles (sans doute le résultat d’un sentiment de culpabilité).

Je vous donne mon truc  ? Allez, c’est parti, mais je vous préviens, il faut quand même oser. Alors que, comme tout le monde, à mes débuts sur ce genre de sites, je me la jouais homme respectueux des envies de ces dames, à l’écoute de leurs désirs, en tout bien tout honneur et tout le tralala, j’ai décidé d’adopter une attitude beaucoup plus direct. Je leur dis  : «  je cherche une femme à transformer en salope, qui soit prête à devenir ma chienne, pour un plan cul ou pour une relation suivie  ».

Et évidemment, plus d’une m’envoie bouler, me blackliste, me traite de tous les noms… Ce sont les risques. Certaines même préviennent leurs copines que je suis infréquentable. Ce qu’elles ne savent pas, c’est que, ce faisant, elles jouent plutôt les rabatteuses pour moi. Ça n’arrivait jamais avant, mais j’ai maintenant des demandes spontanées de tchat.

Pendant le dialogue, je dis à la femme, ou à la fille (j’en ai rencontré de moins de 25 ans, majeures, je précise!) ce que j’attends d’elle. Une parfaite docilité. S’il y a des choses qu’elle refuse (sodomie, douleurs,…), elle doit me le préciser d’emblée car, ensuite, si nous nous rencontrons, elle devient ma chose. Croyez-le ou non, mais ça marche  !

Je me suis acheté une panoplie de parfait dominateur  : menottes, cravache, gag-ball… Et je reçois ces dames – ou je vais chez elle – en tenue de maître BDSM. Récemment, je suis allé chez une jeune femme mariée de 29 ans, une superbe rousse, gaulée comme un top-model, qui s’apprêtait à tromper son cher et tendre pour la première fois. J’ai exigé qu’elle m’attende entièrement nue, à quatre pattes, le cul tourné vers la porte d’entrée.

J’ai sonné à l’interphone, elle m’a ouvert. J’ai pris l’ascenseur, et, une fois sur le palier, j’ai poussé la porte de son appartement. Elle était effectivement en position de levrette, les fesses tendues vers moi. J’ai exigé  : «  écarte plus les cuisses, je ne vois pas assez ton cul  ». Elle a obtempéré. Je l’ai félicitée en lui collant une bonne claque sur la fesse gauche. Elle m’a dit merci. J’ai claqué la fesse droite.

J’ai joué ensuite avec son boule, sa chatte et même ses seins. Elle râlait de honte et de plaisir mêlés. J’avais une de ces triques. Du coup, j’ai sorti ma bite de la braguette, et je lui ai enfoncé au fond de la gorge. Elle a sucé, péniblement certes, mais docilement.

«  C’est la première fois que tu fais ça, salope  ?  ». Elle a fait oui de la tête. «  Ton mari ne risque pas de rentrer  ?  ». Non. Je l’ai fait e relever, tout en lui indiquant de poser ses mains sur sa tête. Ses yeux étaient embués de larmes, dues à la succion en fond de gorge. J’avais ses jolis petits nibards à ma disposition. Je les ai tirés, pincés, claqués et elle me laissait faire.

J’ai passé mes doigts entre ses lèvres du bas. Elle était trempée. Il était temps pour moi de prendre ce qui m’appartenait  : sa chatte  ! Je l’ai faite se retourner et je l’ai baisée ainsi, debout, elle appuyée contre le mur. Quand l’envie m’en a pris, j’ai changé d’orifice et j’ai tenté de lui prendre l’anus. Mais elle a eu trop mal, elle m’a supplié d’arrêter.

Dresseur de salopes infidèles

Je ne suis pas un vrai sadique, et encore moins un violeur. Je suis retourné dans sa chatte, mais je l’ai sautée encore plus sauvagement qu’auparavant. Elle gueulait comme une chienne, sans se soucier du bruit pour les voisins. Tout en la ramonant, j’ai attrapé son entrecuisse pour jouer avec le clitoris. A un moment, n’y tenant plus, ses jambes se sont dérobées et elle est tombée au sol. J’en ai profité pour lui offrir une petite douche de sperme à ma façon.

Celle-ci me recontacte régulièrement pour que je vienne la démonter. D’autres se contentent d’une fois. D’autres encore voudraient être mes salopes infidèles régulières. Voilà donc comment un mec moyen s’est constitué un petit harem de chiennes en chaleur. Je ne vous dis pas de reproduire cette méthode, à chacun son trip. Mais sachez-le, messieurs, les fantasmes féminins sont souvent plus enfouis que les nôtres.

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

Epouse modèle pour mari infidèle

Ma meilleur amie m’a avoué que mon mari n’arrêtait pas, en soirée, de lui faire du plat, moi, son épouse modèle… Pire ! Elle m’a dit aussi, les yeux dans les yeux, qu’elle lui avait fixé un rendez-vous chez elle, pour le vendredi suivant, à 18h, à l’heure où je vais à ma séance de yoga. Mon sang n’a fait qu’un tour. Mais elle m’a vite rassurée : c’était pour tendre un piège au coquin, qui, décidément, a bien du mal à garder son pénis dans sa braguette !

Le jour dit, j’ai donc annulé le prof de yoga, et je suis allée, vers 17h, chez elle, pour préparer le guet-apens en sa compagnie. Il faut dire, à ce stade, que Danièle est une bombe sexuelle. Belle brune, grande, élancée, mais avec des formes généreuses, alors que je suis plutôt jolie, blonde, fine, mais pas très « sexe ». Comment cela allait-il se dérouler ? Danièle avait un plan : « je le reçois, je le laisse me draguer, je l’entraine jusque dans ma chambre, où tu attendras tranquillement sur le lit ».

Je tenais ma revanche, même si j’espérais, en mon for intérieur, qu’il ne vienne pas. Mais à 18h pétantes, la sonnette de l’appartement de mon amie a retenti. Je me suis dissimulée dans la chambre. C’était bien lui. J’entendais sa voix, mais je ne parvenais pas à savoir ce qu’ils se disaient. Quand ils ont fait irruption dans la pièce, ils se roulaient des pelles à pleine bouche, tant et si bien qu’il a mis bien du temps à s’apercevoir de ma présence sur le lit.

Danièle était déjà seins nus. J’étais fascinée par l’opulence de sa poitrine, lourde, brune, appétissante. J’en oubliais presque la raison de ma présence. Au détour d’un baiser dans le cou de ma meilleure amie, mon homme m’a vue. Il s’est figé instantanément. Danièle est partie dans un fou-rire : « tu verrais ta tête, petit cochon ! Tu ne croyais quand même pas que j’allais faire cocu ma meilleure amie avec toi ? ».

Là, j’ai eu presque pitié de lui. Il était livide, ses genoux tremblaient. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis levée du lit, j’ai adressé un tendre sourire à mon mari et je me suis blottie dans les bras de Danièle. Au début, elle a du croire que j’étais morte de tristesse, qu’il fallait me consoler. Mais je me suis mise à caresser son dos nu, puis à embrasser ses épaules.

Moi l’épouse modèle, je deviens complètemement sexe…

Mon mari a regardé la scène, incrédule. Danièle, elle aussi, a eu bien du mal à comprendre de quoi il retournait, jusqu’à ce que je l’embrasse à mon tour à pleine bouche. Je me suis retournée vers lui : « la prochaine fois que tu as envie d’une femme, préviens-moi… et on partage ! ». Mon mari est resté coit, comme s’il n’était pas certain d’avoir bien entendu. Danièle, elle, est devenue comme folle. Elle m’a embrassée à nouveau, sensuellement, fougueusement, et avant d’avoir eu le temps de réagir, je me suis retrouvée à mon tour seins nus.

Nous étions là, poitrine contre poitrine, à nous gouiner devant lui. Il ne bougeait pas. Quand il a voulu nous rejoindre, Danièle l’a arrêté d’un simple geste de la main, plein d’autorité : « non, aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Ça t’apprendra à vouloir être infidèle. La prochaine fois, tu joueras avec nous, si tu es très sage ».

Danièle a retiré ma jupe, puis ma culotte, et m’a fait m’allonger sur lit. Elle a embrassé l’intérieur de mes cuisses, puis m’a léché carrément le sexe. J’ai joui en moins d’une minute. J’ai alors tété ses beaux gros seins, puis je lui ai rendu la pareille. Sans expérience, j’ai été longue à obtenir son orgasme, mais, quand il est venu, quel festival ça a été !

Mon mari est resté là, sagement, à nous regarder. Je le devinais ivre de désir pour chacune d’entre nous. J’étais ravie. La vengeance ne pouvait être plus douce. Depuis, nous nous sommes revus tous les trois. Parfois, un amant de passage de Danièle nous rejoint pour une partie à quatre, et ma meilleure amie adore me voir me faire pénétrer par un autre homme devant mon mari infidèle. Il serait bien mal placé pour protester.

Ce jour-là, nos relations ont changé du tout au tout. Avec ma meilleure amie, bien sûr, qui est devenue mon amante, mais surtout avec mon mari. Il me fait partager tous ses plans cul. Quant à lui, il préfère ignorer mes amants, puisque maintenant, je m’autorise quelques extras. Mais tout de même, ne suis-je pas une épouse exemplaire mais d’un nouveau modèle ?







Infidèle, je le suis devenue…

Il s’en est fallu de peu. A quelques minutes près, mon mari débarquait dans la chambre et me retrouvait en train de me faire tringler en levrette par Henri. Infidèle… Si on m’avait dit ça… Si on m’avait dit que j’allais vivre ce genre d’aventures, genre théâtre de boulevard avec amant dans le placard et tout le toutim…

Pourtant, j’ai craqué. Et même pas pour un beau mec. Car Henri est tout sauf un Apollon. Moi, la fidèle, la prude, j’ai été touchée par ses compliments récurrents, toujours bien sentis, toujours fins. Henri est un collègue de bureau. Il doit avoir quinze ans de plus que moi.

Il faut que je vous explique. Depuis quelques temps, mon homme me délaissait sur le plan sexuel. Oh, je sais, ça n’est pas une excuse, mais quand, de l’autre côté, un autre vous couvre de petites attentions et de remarques toutes plus gentilles les unes que les autres, une femme a vite fait de perdre pied.

Alors, je l’ai invité, après le boulot, à prendre un verre à la maison. Je savais bien ce qui allait se passer, et lui aussi. Je lui ai proposé le fauteuil, en face de moi, mais il a choisi de s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Il ne lui a pas fallu cinq minutes pour poser une main sur ma cuisse laissée nue par une jupe à peine courte.

Dingue, l’effet qu’il me fait. Peut-être ce mélange de délicatesse et d’assurance, cette assurance qui a fait remonter sa main sous ma jupe, à l’orée de mon intimité. Mon mari était retenu au bureau pour toute la soirée, je ne voyais – à ce moment précis – aucune raison valable de ne pas céder aux avances de mon collègue.

 rencontres entre infidèles

Il s’est penché vers moi, m’a volé un baiser et a collé une main contre ma poitrine palpitante. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux sur le lit conjugal, la langue d’Henri sur mon petit bouton, le sexe d’Henri entre mes lèvres brûlantes.

Je l’ai laissé faire, tout simplement. Je l’ai laissé m’installer à quatre pattes sur le couvre-lit, je l’ai laissé prendre un préservatif dans sa poche, je l’ai laissé me prendre. Me défoncer en fait. Car Henri avait été gâté par la nature. Une énorme bite que son physique de comptable chauve et un peu bedonnant n’aurait jamais laissé soupçonner.

Sa queue tapait au fond de moi, dure, épaisse et longue, et je trouvais refuge en plantant mon visage dans les draps, comme si ça n’avait pas été vraiment moi. Pas vraiment moi qui me faisait bourrer comme une femme infidèle, pas vraiment moi qui couchait avec ce monstre de sexe qui allait bientôt me faire jouir de ses coups de queue toujours plus virils et décidés.

Puis, j’ai entendu une voiture dans l’allée. Je savais bien que c’était lui, mon mari, qui rentrait plus tôt que prévu. Mais le plaisir que me procurait la bite d’Henri au fond de moi m’empêchait – physiquement ! – de lui demander d’arrêter. Infidèle encore…

Henri a joui – et moi aussi – quand la porte de l’entrée s’est ouverte. Nous nous sommes rhabillés en quelques secondes et il a pris la fuite par la fenêtre. Il devait être habitué à ce genre de situations. Pas moi. Quand je descendis pour rejoindre ma moitié, j’avais l’impression que tout en moi trahissait mon infidélité.