Elle trompe son mec sauvagement à Ibiza

L’été, Gérard, Julien et Cédric, trois marseillais, ont décidé d’aller jeter leur gourme à Ibiza. Ils ont tous 20 ans, ils sont insouciants et, ils ont fait de grosses économies toute l’année pour que ces moments soient inoubliables. Il est temps de casser la tirelire pour s’amuser à fond.

Nos trois mousquetaires on rempli leurs valises de vêtements légers, des maillots de bain aussi sexy les uns que les autres. Ils ont l’intention de draguer sur les plages ou dans des boites de nuit, de picoler et fourrer comme des malades.

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De l’autre côté, au sud de Lyon, un groupe de jeunes demoiselles préparent le voyage pour la même destination. Elles sont quatre et parmi elles, Pernelle, 22 ans, une sainte ni touche amoureuse de son petit ami dont elle a promis fidélité quelles que soit les circonstances. Elle file le parfait amour avec ce mécanicien de 24 ans qui a juré sur tout ce qu’il a de plus cher d’être l’époux le plus attentionné et le plus aimant au monde. D’ailleurs, avant de voyager, les deux tourtereaux ont passé une semaine dans l’appartement du mec, pour s’amouracher et resserer leurs liens. Philippe ( le mécano ) a d’ailleurs offert une chaînette à Pernelle qui n’a pas le droit de l’enlever durant tout son voyage.

Trois jours après que les mecs soient arrivés, voilà le vol des nanas qui se pose sur le sol d’Ibiza. Direction l’hôtel pour un petit moment de repos. Elles sont toutes chaudes, ont fait quelques emplettes pour l’occasion.

Partageant une même chambre, Pernelle, Emilie et Rose sont toutes belles, bien foutues et elles aiment s’amuser. Une seule pourra faire tâche, c’est Pernelle qui a promis ne pas faire de bêtise. Elle est juste là pour danser, se pavaner sur les belles plages et prendre des photos.

Le soir de leur arrivée, elles vont prendre la direction d’un quartier se trouvant tout juste à côté, où l’on retrouve plusieurs boites.

Elles choisissent d’en visiter la moitié et, c’est une ambiance de folie qu’elles trouvent dans chacun des clubs où elles mettent les pieds. Alcool, musique, Emilie et Rose n’hésitent pas à flirter avec le premier mec qu’elles croisent sur leur chemin. Pendant ce temps, Pernelle prend soin de ne pas abuser de l’alcool pour garder la tête sur les épaules. Comme des félines affamées, nos lyonnaises s’amusent à la folie.

Il fait 6 heures du matin, le soleil se lève et les coquines décident de rentrer. Une première soirée pas très prolifique pour Emilie et Rose qui cherchaient une partie de jambes en l’air.

En dormant jusqu’à 3 heures de l’après-midi, les coquines se réveillent et, elles ont du peps. Place à de nouvelles aventures ! Elles prennent un bain, leurs maillots super sexy et quelques provisions puis, direction les jolies plages.

Le soleil est au zénith, il y a un monde fou et, les trois amies décident de ne pas se séparer. Elles parcourent les lieux quand elles tombent sur des transats libres. Youpi ! Elles peuvent enfin profiter du beau temps, sortir la liqueur et quelques verres pour trinquer.

Ca va baiser sévère !!

Alors que tout le monde parlait espagnol ou anglais, elles entendent des mecs sympas et charmants s’exprimant en français, ils passent dans le coin. C’est l’occasion d’échanger avec le sexe opposé alors, Emilie, la plus chaude, prend son courage et les interpelle. C’est Gérard, Julien et Cédric.

Toute chaude, Emilie leur fait signe et propose un verre avant de rouler une pelle à chacun. Elle annonce les couleurs et, les zigotos n’ont pas l’air de déprécier !

Trois mecs pour trois nanas, le compte est bon, à part un hic, Pernelle qui fait sa coincée, elle n’est pas venue pour baiser, juste pour s’amuser ; c’est une fille fidèle. Mais, c’est sans compter sur le charme de Cédric, réputé tombeur de ces dames.

Chacune flirte avec le mec de son choix tandis que Pernelle et Cédric causent naturellement. Ayant compris qu’il était en présence d’une coincée, la stratégie de Cédric fut de de jouer les désintéressés, afin de mieux appâter Pernelle. Il en a déjà baisée pas mal depuis quatre jours mais, une de plus, ça fait toujours du bien.

Les mecs proposent à leurs nouvelles copines d’aller faire plus amplement connaissance dans la chambre. Pernelle hésite mais, après tout, il n’y a rien de mal à causer avec des inconnus super sympatiques.

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Le piège se referme petit à petit. Lorsque les six entrent dans la chambre, l’ambiance se surchauffe. Les deux copines poussent le flirt un peu loin pendant que Pernelle rougit dans son coin. Profitant de la situation, Cédric ne lâche rien, il s’approche et caresse les cheveux, puis les cuisses de Pernelle avant de l’embrasser. Elle ne le repousse pas !

Perdue dans cette ambiance endiablée, elle lâche du lest et, pendant qu’elle galoche avec Cédric, elle jette un coup d’oeil du côté où se trouvent ses amies. Diantre ! Elles sont entrain de sucer ces mecs ! Cette fois, elle ne peut pas reculer et casser l’ambiance. Elle laisse Cédric retirer le haut de son maillot, lui bouffer les nibards et, c’est tellement excitant qu’elle se laisse pénétrer sans résister.

Ça gémit de partout et, c’est loin d’être fini ! Ces coquines décident de se mélanger. Le cul de Pernelle est tellement beau que Gérard décide de rejoindre Cédric pour une double pénétration.

Une aventure qui restera entre les meufs.

Ma première baise dans un club libertin

Mon mari me chauffe depuis des semaines avec son idée de faire de l’échangisme. Je ne suis pas trop pour ce genre de plan, mais à force de me répéter la même chose tous jours, il a réussi à exciter ma curiosité. Ce soir, c’est le grand soir. Il a réservé une table dans un club et me promet une soirée d’enfer. Je sors ma lingerie fine, mes porte-jarretelles, ma robe de soirée et mes talons hauts. Il me complimente sur ma tenue et nous montons en voiture. Sur le chemin, nous faisons une petite pause coquine. J’ai soudainement envie de pomper mon homme pour me déstresser un peu. Il sort son sexe et je me charge rapidement de le purger. J’avale tout et je me remets du rouge à lèvres puis nous reprenons la route.

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Nous sommes enfin au club et je repère tout de suite un grand black. Mon mari me fait signe que c’est ok pour lui. Je n’ose pas faire le premier pas, mais le black voit bien que je le reluque et il débarque à la table. Mon mari quitte la scène et monte à l’étage. Je suis seul avec ce bel étalon, mais je perds un peu mes moyens. Le vicelard a déjà une main sous ma jupe et il passe son gros doigt le long de ma fente. Si ses doigts sont si imposants, son noeud doit être bien pire. Je pose ma main sur son paquet pour en avoir le coeur net, et la bosse est juste impressionnante. Mon mari est un enfant à côté de ce truc. Je passe sous la table et je tente de le sucer, mais j’ai du mal. Je dois presque me déboîter les mâchoires pour avaler l’engin. Je me contente de lui piper le gland, c’est déjà pas mal. Des voyeurs sont déjà autour de la table avec d’autres couples, et tout le monde se masturbe. Je suis l’attraction de la soirée, la petite nouvelle qui va en prendre plein les trous.

Empalé comme une salope…

Je me sens souillée et salope. Le black me dit que mon mari est en train de baiser une jeunette à l’étage. Je lui grimpe alors dessus j’écarte mon string et je m’assois sur sa perche. Il y a au moins dix personnes qui se branlent autour de nous. J’adore ça, je découvre de nouvelles sensations et je mouille grave. Je m’étonne d’arriver à rentrer complètement sa verge dans ma chatte, mais ça glisse bien et je coulisse dessus comme une chienne en chaleur. Je me pose parfois sur ses grosses couilles pour récupérer un peu tout en lui roulant des pelles, puis je le rebaise à nouveau. Je sens des mains d’inconnus se poser sur mon cul, et même des doigts me rentrer dans l’anus. Je suis livrée à tous ses pervers et j’aime être l’objet sexuel d’une foule en manque.

Baise déchainée dans le club libertin

Plusieurs mecs se branlent bien et me gicle sur les fesses. C’est à cet instant que je jouis pour la première fois. On change ensuite de position. Je me mets en levrette contre la table et je suce des mecs dans la pénombre pendant que le black se cale dans ma raie. Il m’encule fort et j’ai un peu mal, mais je m’accroche à la moindre queue qui passe devant ma bouche pour détourner mon attention du lampadaire planté dans mon derrière. La soirée se finit en douche de sperme et je peux mettre ma belle robe à la poubelle! C’est dommage mais ça valait vraiment le coup de vivre cette expérience.

Moi, mariée, devenue femme infidèle lors d’une partouze au bureau

Nous sommes lundi matin et je me trouve dans mon bureau, toute en larme et animée par un sentiment de souillure, de trahison et d’humiliation, moi femme mariée, moi femme infidèle.. Je ferme les yeux et je revois la scène qui s’est passée le vendredi, en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi retrouver ma famille. Mon époux avait réservée une surprise pour mon anniversaire et j’avais hâte de rentrer pour voir ce qu’il avait concocté pour mes 40 ans.

Mariée à l’âge de 25 ans avec Julien, qui en avait 32 à l’époque, je lui avais promis fidélité éternelle, amour et soutien, contre vents et marées, pour le meilleur comme pour le pire. Nous avons toujours vécu dans l’entente et l’amour, nous avions surmonté des hauts et des bas et, il faut souligner que les « bas » étaient bien rares.

Quelques mois après mon mariage, je fus embauchée comme assistance de direction dans la société dirigée par le meilleur ami de mon époux, Henry. Sous sa houlette, j’ai toujours eu des traitements de faveur qui rendaient parfois jaloux mes collègues.

Henry et moi discutions beaucoup, quand on n’est pas planché sur un dossier épineux de l’entreprise où il prêtait toujours une attention particulière aux conseils et suggestions que je lui faisais, nous rigolions, parlions de tout et de rien et surtout, aimions chambrer mon Julien qui est le roi des bourdes.

Cette entente était amicale et courtoise, il m’a fait aimer l’entreprise, mon intégration a été tellement facile que j’ai eu l’impression, dès les premiers mois, d’y avoir toujours travaillée.
Henry n’était pas marié, il était juste en couple avec Mélanie, une fille qui n’aimait que s’amuser, elle ne songeait pas à fonder une famille. Cette situation le rendait instable et, il me demandait conseil à chaque fois, ma réponse était toujours catégorique :  » tu devrais aller voir ailleurs « .

Cependant, Henry ne pouvait pas se passer d’elle, elle était enjouée, belle, avait un humour inégalable et toujours opportune ; sa personnalité attachante et instable était comme une drogue pour ceux qui l’approchaient, elle était une mauvaise  » fréquentation  » mais irrésistible.

Femme infidèle baisée en trio au bureau

Un soir alors qu’on dînait tous les trois ( mon époux étant en voyage ), cette diablesse fit des suggestions qui m’ont gênées au plus haut point, j’étais tellement embarrassée que j’en devenais toute rouge.

En effet, elle suggérait une soirée arrosée qui finirait par une partouze. Diantre! Moi la super catho, moi dont on a toujours enseignée la vertu, comment pouvait-elle oser ?
En face, je voyais le regard tout aussi gêné d’Henry qui a tout fait ensuite pour réinstaurer une ambiance moins crispée.

Cette suggestion déclencha une envie de trahison, mais, je repoussais cette idée qui me hantait désormais mais qui faisait mouiller ma petite culotte. Il suffit que je ferme un oeil pour commencer à penser, à imaginer des scènes horriblement érotiques où Mélanie me caresse la chatte tandis qu’Henry m’embrasse avec ses lèvres fines. Quand je revenais à moi, le sentiment de culpabilité m’envahissait et, je jurais d’éteindre à jamais ce fantasme sordide qu’avait stimulée cette sotte.

Revenons à ce vendredi après-midi en entreprise. Il faisait assez tard, presque tout le monde était parti, Henry et Mélanie m’avaient fait une petite surprise en venant me rejoindre dans mon bureau, une bouteille de champagne et trois verres en mains, pendant que Julien m’attendait à la maison.

Je me laisse aller à une baise en trio

Mélanie fit éclater le champagne, s’approcha de moi et me roula une pelle par surprise. C’était tellement agréable que je l’embrassa aussi, sous le regard coupable et endiablé d’Henry. Me prenaient-ils pour une femme infidèle ?

C’était parti, allais-je atteindre le point du non retour ? Mélanie avait, en tout cas, l’air de s’y connaître. Je ne sais pas comment ses doigts ont fait pour toute atterrir dans mon vagin qu’elle titillait pendant qu’Henry avait déjà déboutonné ma chemise, je sentais ses mains douces sur mes seins qui durcissaient.

Moi, j’ai participé en dézippant la braguette d’Henry pour lui faire une branlette, puis une fellation, pendant que sa copine ne cessait de faire passer sa langue entre mes cuisses.
Nous avons baisé pendant une trentaine de minutes avant qu’ils ne m’abandonnent toute seule au bureau. En larmes, en pensant à mon Julien. J’étais devenue une femme infidèle…

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Beurette et libertine

En général, quand moi, jeune beurette, j’annonce à des amis ou à des collègues que je suis libertine, tout le monde tombe des nues. Déjà, je pense que ça en étonne plus d’un et plus d’une. D’autre part, les gens ne s’attendent pas à ce qu’une femme « avoue » aimer le sexe, et le sexe en groupe en particulier. Surtout que personne n’imagine réellement ce qui se passe vraiment dans le monde échangiste, à part les libertins eux-mêmes.

Par ailleurs, je dois bien dire que, étant beurette, le fait que ça vienne de moi bouscule pas mal de clichés actuels. Il y a un siècle, tout le monde m’aurait imaginée tortillant du cul en faisant une danse du ventre. Aujourd’hui, on s’imagine qu’une fille arabe et d’origine musulmane, c’est forcément super sage.

Mon mec, Momo, est beur lui aussi. Et comme il a un certain esprit provoc’, il lui arrive de se laisser un peu pousser la barbe. Ça fait parler les cons, qu’il dit. Je ne vous explique pas notre touche quand on part en club libertin, lui avec sa barbe, moi avec une jupe ras la touffe.

Justement, l’histoire que je voulais vous raconter se passe justement en club, lors d’une soirée couples, un samedi soir. On est tranquille au bar, en train de siroter un cocktail et de reluquer les autres couples pour voir avec qui on a envie de partouzer, quand débarque une nana, la quarantaine provocante, flanquée d’un type quelconque.

La vache, mais je la connais cette salope ! Elle bosse dans le bureau à côté du mien ! Une connasse de première : raciste, homophobe, coincée du derche au dernier degré. Et la voilà qui débarque dans une boite à partouzes connue pour être fréquentée par des antillais, des africains, des rebeus ! Je suis morte de rire ! Y en a qui manque pas de culot !

Je raconte tout à Momo, qui me pose une main sur l’épaule. Il me connaît, je suis capable d’aller lui mettre sa misère, à cette pute ! Elle passe devant moi. Elle ne m’a pas reconnue. Pour ces gens-là, une arabe en vaut bien une autre. Le couple part s’asseoir sur un canapé, après avoir fait la bise à un autre duo d’échangistes, blancs de blancs aussi.

Qu’on me comprenne bien : moi, je baise avec tout le monde, pas de racisme chez moi. Mais venir dans une telle boite échangiste pour se taper ses alter-ego, je trouve ça pitoyable. Enfin, bref. J’ai repéré un couple asiatique un peu timide qui me branche bien.

Non, mais j’hallucine ! Le mec de Chantal – appelons la comme ça pour simplifier – n’arrête pas de me reluquer. Moi, je fais mon allumeuse et je fonce sur la piste de danse pour m’exhiber un peu devant lui. Pas de bol pour la connasse, les deux gaulois qui discutaient avec eux se sont fait alpaguer par une belle blackette et son mec et partent avec eux vers les alcôves. Chantal fait la moue : ça doit la débecter.

Moi, j’en rajoute une couche et j’invite carrément le mec de ma collègue à venir danser avec moi, sous l’œil effaré de Momo. Il est subjugué par mon petit haut transparent qui laisse voir mes seins mieux que si j’étais topless. En dix minutes, je le convaincs de me suivre vers les coins-câlins, avec mon mec,… et sa meuf !

Quelle partie de baise ça a été ! Je lui ai fait la totale au gars : branlette, pipe, fond de gorge, branlette espagnole, il a eu droit à tout, une vraie beurette salope ! Et quand il s’est retrouvé sur moi en train de me limer, il avait l’air de ne pas en revenir. Il était au paradis, le gars !

De temps en temps, je jetais un coup d’œil vers Momo et Chantal. C’est qu’elle n’avait pas l’air d’être si dégoûtée que ça, la garce ! Elle s’était empalée sur la bite de mon mec, qui lui palpait ses grosses mamelles comme un petit fou.

Et ma Chantal qui gueulait de plaisir. Elle avait l’air de prendre encore plus son pied que son homme qui, pourtant, me disait des tas de mots doux dans le creux de l’oreille. Lui, il baisait sa première beurette. Elle, elle se faisait limer par la bite d’un arabe !

Pompé par une beurette libertine

Quand il fut bien à point, je me suis mise à pomper la queue de son gaillard, qui a joui à grands flots dans ma bouche. Il est tombé, limite évanouissement. Puis il s’est repris et a voulu me faire un câlin. Pendant que Momo tronchait sa grosse comme un barbare, il m’a dit qu’il n’avait jamais couché avec une fille « comme moi », que ça avait toujours été son fantasme, que j’étais merveilleuse et tout le baratin.

Au total, Chantal a du jouir trois fois entre la langue de Momo et ses coups de queue magiques. Ça valait bien la peine de dire autant de mal des arabes.

Coup de foudre pendant une partouze

Par Axel, 25 ans – Peut-on tomber amoureux pendant une partouze ? A priori, non, c’est même très fortement déconseillé. C’est pourtant bien ce qui m’est arrivé, l’été dernier, au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste de tous les vices.

J’étais en goguette dans la capitale de l’échangisme avec  » ma pote de partouzes  » – nous aimons nous appeler ainsi – la jolie Salima, une copine de fac avec qui je traîne les clubs échangistes. Rien de sérieux entre nous : elle n’aime pas aller en club libertin seule, je préfère y aller accompagné d’une demoiselle. A vrai dire, c’est elle qui freine des quatre fers pour que notre relation ne prenne pas un tour trop sérieux.

Donc, disais-je, au Cap d’Agde, le club le plus célèbre organise tout l’été des après-midis  » mousse « . Imaginez un peu : des couples entièrement nus, tous libertins, se trémoussent au son de la techno dans de la mousse. Vous voyez un peu l’ambiance que ça peut donner ?

Nous étions donc là, Salima et moi, à fricoter avec tout ceux et toutes celles qui voulaient s’échanger quelques caresses, quelques baisers et un peu de volupté. Debout, sous le cagnard, le corps plein de mousse, j’ai caressé des seins, des fesses, des minous, on m’a branlé la bite de toutes les façons imaginables. Quand Salima et moi allons à cette fête, nous ne  » trions  » pas. Les jeunes, les vieux, les moches et les beaux couples, peu importe, du moment qu’on s’amuse et qu’on se fait du bien.

Sauf que, au bout d’une heure de ce traitement, je suis épuisé. Contrairement à d’autres mecs, je peux bander longtemps, mais une fois que j’ai joui, c’est fini pour moi pour quelques heures. On alterne donc entre le bain de mousse et de sexe et le repos au bar du club.

C’est là que l’événement s’est produit. Je venais de me faire sucer en gorge profonde par une belle plante suédoise ou danoise – je ne sais pas – et j’ai proposé à Salima de faire une pause. Nous étions donc en train de quitter la piste de danse pleine de mousse quand, tout à coup, une main s’est agrippée à la mienne. Je me suis retourné, sûr et certain de reconnaître une ancienne camarade de jeux érotiques.

Elle se tenait là, nue comme un ver, belle comme le jour, plus jeune que moi sans doute, avec un serre-tête en forme de lapin playboy dans les cheveux. Elle m’a roulé une pelle langoureuse. Je l’ai regardé dans les yeux. Elle avait un air heureux sur le visage, un bonheur mêlé de timidité. Elle m’a embrassé à nouveau, m’a caressé le dos et le torse, d’une manière plus tendre que sexuelle.

Je me suis collé à elle, à sa jolie poitrine plutôt menue. Elle m’a parlé à l’oreille, en français, mais avec un fort accent. Elle m’a dit qu’elle s’appelait Kristina, qu’elle était venue seule et qu’elle m’avait repéré depuis longtemps dans la mousse. Salima nous a rejoint, a commencé à caresser les seins de la donzelle, qui lui a rendu sa caresse.

Tous les trois, nous nous sommes longuement embrassés dans la mousse. Nous sommes pelotés, masturbés réciproquement, avec une fougue qui contrastait avec la lascivité ambiante. Puis nous sommes sortis de la mousse pour nous rendre sur un des lits où partouzait une bonne demi-douzaine de couples.

L’amour dans la partouze !

Malgré la promiscuité de la partouze, nous étions comme dans une sorte de bulle, isolés tous les trois du reste du monde. A trois, on le sait, les possibilités sont multiples, mais je crois bien que nous les avons toutes épuisées – ou presque – cet après-midi là. Salima a tout de même profité d’un moment de répit pour me demander si je connaissais déjà Kristina avant. Je lui ai dit ce qu’il en était, elle n’a pas eu l’air de mon croire.

Car ma complicité érotique avec la jolie libertine était évidente, comme naturelle. Je savais quand elle avait envie que je la prenne, quand elle voulait plutôt des caresses joueurs ou tendres. De toute façon, j’avais envie des mêmes choses qu’elle au même moment. Tant et si bien que Salima a fini par se sentir de trop et est partie coquiner avec un autre couple, non loin de là.

Lors d’un orgasme, Kristina a lâché un « je t’aime », dans un français approximatif. Mais j’avais bien compris, et j’étais d’accord. Toute la semaine suivante, nous sommes restés tous les trois, Salima qui s’amusait de notre idylle et en profitait pour partouzer avec des hommes seuls et d’autres couples.

Me voilà maintenant comme un ado attardé qui attend l’été suivant dans l’impatience de revoir son amour de vacances. Elle reviendra en août. Et partouze ou pas, j’y serai !

Ma belle-soeur est une salope

Par Gérard, 48 ans.

Mon frère cadet a épousé une belle femme, ma belle-soeur donc. Le genre de nana qu’on remarque tout de suite, tant par son physique avantageux que par sa gouaille, qui est devenue légendaire dans la famille. Christine est une grande gueule, pas le genre à se laisser marcher sur les pieds, pas le genre non plus à se laisser impressionner par qui que ce soit.

N’empêche… Un jour que je devais passer apporter pour mon frère un colis qui m’avait été livré par erreur, j’ai frappé à sa porte. Personne n’a répondu. J’ai collé mon oreille, pour entendre si quelqu’un était là. Et j’ai entendu les cris d’une femme – Christine – qui gueulait de plaisir. Mon frère était au boulot, ça ne pouvait pas être lui avec elle.

J’ai décidé d’entrer dans la maison. En montant les escaliers qui conduisent à l’étage, vers la chambre de mon frère et de ma belle-sœur, je me suis tout imaginé : le facteur, un beau black, un petit gros. Tout, sauf ça.

Là, devant mes yeux, se tenait un énorme gangbang. Ils étaient bien une douzaine à sauter Christine, cette salope, qui prenait son pied comme une dingue, un plug anal planté dans le fondement. En me voyant, un des gars a du croire que j’étais un des invités. Il m’a fait signe de rentrer plus avant, en me disant : « mieux vaut un bon coup à dix qu’un mauvais coup tout seul ! ».

J’étais éberlué, d’autant que Christine n’avait toujours pas remarqué ma présence, trop occupée à pomper en fond de gorge une énorme bite tout en se faisant ramoner le vagin – et maintenant le cul – en double-pénétration. J’ai même pu m’éclipser avant qu’elle ne se rende compte de ma présence.

Mais je suis revenu le lendemain. Cette fois, Christine était seule. Sereine, elle m’a invité à rentrer. A peine assis sur le canapé, impatient de triompher de cette salope infidèle, je lui ai tout dit de ce que j’avais vu la veille. Elle eut l’air d’être choquée par mes révélations, mais pas plus que ça, en fait. Elle m’écoutait, en se penchant vers moi, découvrant ses deux appâts à mon regard.

Ni une, ni deux, je lui ai fait comprendre qu’il fallait me faire plaisir si elle ne voulait pas que je raconte tout à mon propre frère. Nous sommes montés à l’étage et là, une partie de baise intense m’attendait.

Je l’ai prise par tous les trous. D’abord la bouche : elle m’a montré ses talents pour la gorge profonde. Ensuite la chatte : elle m’a prouvé qu’elle n’était pas si large que ça, malgré les énormes membres qu’elle engloutissait parfois. Enfin le cul : elle s’est mise à quatre pattes devant moi, en me suppliant de lui faire mal et de la bourrer comme la dernière des putes.

Belle-soeur et véritable chienne de baise

Pour finir, Christine m’a pris en bouche et m’a pompé le dard jusqu’à ce que je lui éjacule au fond de la gorge. Elle a tout avalé. Une vraie traînée… Et puis, on a remis ça, chaque jour, pendant presque une semaine. Jusqu’au jour où je ne l’ai pas trouvée seule. Encore une fois, cette chienne se faisait démonter en gangbang, mais par trois mecs seulement.

Elle a voulu que je participe et j’ai accepté. Elle me faisait tellement bander. Elle a même exigé de moi et d’un de ses amants que nous la baisions en double pénétration anale, son cul étant bien ouvert par le port régulier du plug. Une première pour moi, peut-être pas pour elle.

Quand tous ses amants sont repartis, après s’être vidés les couilles dans la bouche de ma belle-sœur, elle m’a pris à part et a ouvert un petit tiroir de la table de nuit, du côté du lit manifestement dévolu à mon frère. Elle en a sorti une pile de photos de cul, du genre hyper pornographique, qui prouvaient sans l’ombre d’un doute que non seulement son mari savait tout de ses partouzes en pleine journée, mais qu’il y participait lui aussi, parfois.

« Tu vois, nous sommes libertins et ton frère me laisse baiser avec qui je veux, quand je veux… par contre, ce qu’il ne sait pas, c’est que son propre frère essaie d’abuser de sa femme… ». Je fus pris de panique. Elle a continué : « ne t’inquiètes pas comme ça, je ne vais rien lui dire, à condition que, à ton tour, tu fasses tout ce que je te demande. Je te sonne, tu viens, tu me baises quand je veux, dans la position que je veux, et où je veux ! ».

J’étais coincé. Comment avouer à mon frangin que je baisais sa femme ? Comment avouer le chantage que je lui avais fait ? Depuis, j’accepte tout de la part de Christine, les moindres délires, les moindres envies, les pires cochonneries. Voilà comment je suis devenu l’objet sexuel, l’esclave érotique de ma salope de belle-sœur.