J’aime tailler des queues

En amour, ce que j’aime par-dessus tout, c’est tailler des queues, enfourner une bonne bite dans ma bouche et la sucer longuement, vicieusement, jusqu’à ce qu’elle crache tout son bon jus dans ma gorge ou sur mon visage, au gré des fantaisies de mes partenaires.

Les hommes adorent ma bouche et je suce des habitués qui reviennent fréquemment me voir rien que pour ça. Je le fais tout à fait gracieusement, je ne suis pas une pute. A vrai dire, mes hommes me rendent bien souvent la politesse et j’y trouve moi aussi mon compte.

Ma première pipe date de mes 15 ans mais je ne vous en parlerai pas car elle n’est pas restée dans les annales. C’était comme un galop d’essai mais après cette première expérience je n’avais qu’une envie, recommencer au plus vite pour sentir à nouveau la douce sensation d’être utilisée comme objet sexuel par un mâle en rut. Ce que j’apprécie avant tout dans la pratique de la fellation, c’est bien de me sentir soumise, agenouillée devant une grosse queue à servir et de belles couilles à vider.

J’ai dû attendre un peu avant de remettre le couvert. En attendant je regardai des films pornos de suceuses en me masturbant et c’est là que j’ai perfectionné ma technique, d’une façon toute théorique.  Puis, je suis enfin repassée à la pratique, avec un prof du lycée, alors que j’étais en terminale, à 18 ans.

C’était le soir, après les cours. Je venais d’avoir mon anniversaire. Ce que j’ai fait ce jour là, je ne voulais pas le faire plus tôt car je ne voulais pas mettre monsieur Meunier dans l‘embarras.

J’avais eu une mauvaise note et j’en ai pris prétexte pour obtenir un entretien à la fin du cours. Le prof a vite compris ce que je désirais car je suis allée fermer la porte à clef de l’intérieur avant de m’approcher de lui. Une fois arrivée devant son bureau, je me suis agenouillée et j’ai passé ma main sur la bosse de sa bite puis j’ai ouvert son pantalon sans lui laisser le temps de réagir. Son membre est apparu devant moi et s’est mis à bander très vite. C’est un peu normal. Je me suis jetée dessus avec voracité tellement ça faisait longtemps que j’attendais ce moment.

Vidéo porno du récit J’aime tailler des queues

Les leçons apprises auprès des plus grandes stars du X, et des meilleures suceuses ont porté leurs fruits. Je crois bien que j’ai pompé la queue du prof comme personne ne le lui avait jamais fait. A aucun moment il n’a protesté. Mes lèvres enveloppaient sa tige veineuse, ma langue flattait son gros gland d’où s’écoulait un filet de liquide séminal au goût délicieux. En même temps, je massais ses belles couilles bien poilues et, de temps à autre, je glissais un doigt plus loin, entre ses fesses, comme je l’avais vu faire par les actrices pornos les plus vicieuses.

Mon seul regret est que monsieur Meunier a joui un peu trop vite. J’ai senti son chibre se raidir et la sève monter du tréfonds de ses couilles jusqu’au sommet de sa pine avant de venir s’éclater sur mon palais puis de glisser voluptueusement dans ma gorge. Je peux vous dire que j’ai adoré avaler tout ce bon lait d’homme.

Depuis cette expérience, j’ai sucé des dizaines de mecs, de tous âges, beaux, laids, mince, forts. Leur physique m’importe peu, tout ce que je veux, c’est sentir dans ma bouche la vigueur de leur queue et la saveur de leur foutre.

Ma première pipe

Ca y est, c’est fait. Cela faisait longtemps que j’en rêvais mais l’occasion ne s’était jamais présentée jusqu’alors. Il faut dire que je suis encore jeune. Je viens tout juste d’avoir 19 ans. Je suis mignonne et attirante mais pas forcément toujours très à l’aise avec les garçons. J’ai eu peu de petits copains dans mon adolescence,  deux ou trois tout au plus et nous ne sommes jamais allés bien loin en matière de sexe.  Quelques caresses, des petites soirées câlines assez sages finalement, jusqu’à mon récent dépucelage par Thomas, un maître assistant de la fac où j’étudie depuis un an.

Thomas, c’est aussi un très bon professeur de baise. Doux mais ferme il sait ce qu’il veut et ce dont j’ai besoin. De nous deux, c’est toujours lui qui dirige la manœuvre et j’en suis satisfaite car il sait comment me faire jouir. J’ai déjà beaucoup appris avec lui et je suis sûre qu’il a encore beaucoup de choses à me faire découvrir. En tout cas, il en est une pour laquelle l’affaire est entendue. Ce soir j’ai taillé ma première pipe.

Nous étions chez Thomas, en train de nous caresser sur le canapé de son salon. La soirée s’annonçait torride mais elle le fut en fait bien au-delà de mes attentes. Nous étions déjà presque entièrement dévêtus quand Thomas se leva brusquement, prit la télécommande posée sur la table basse et alluma sa télé. Aussitôt, une vidéo démarra.

On y voyait une fille, agenouillée devant un homme assis dans un fauteuil. Ils étaient entièrement nus tous les deux. La nana caressait d’un geste précis et enveloppant le gros membre dressé de l’homme. Thomas me demanda de me placer comme elle mais de telle manière que je puisse continuer à regarder les images qui défilaient à l’écran. Puis, il exigea que j’applique à son sexe le même traitement que la jeune vicieuse faisait subir à celui de son partenaire. Je compris où il voulait en venir en voyant la fille poser ses lèvres sur le bout du gland de l’homme. Je m’exécutai avec douceur et application puis je me mis à répliquer ce que je voyais sur la télé.

Vidéo porno du récit Ma première pipe

Ma bouche s’ouvrit pour laisser passer la tête de la queue. Avec mes mains je caressais les boules velues de Thomas, comme le faisait la fille avec les couilles de son amant.  Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de passer ma langue sur le bout du vit de mon prof. Je ne voyais pas à l’intérieur de la bouche de l’actrice porno mais j’imaginais qu’elle en faisait autant de son côté. Le liquide qui s’écoulait lentement de la verge excitée de Thomas avait bon goût. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire.

C’est alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres le long de la hampe veineuse qui me remplissait.  Thomas me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de lui. Je voulais le faire jouir, sans penser à moi. En élève appliquée, je savais qu’il me rendrait au centuple le plaisir que j’allais lui donner.

Thomas devait être fort excité par la situation aussi. Il savait que j’étais novice en la matière car je le lui avais avoué peu de temps auparavant. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir. Bonne fille, je me forçai à garder sa semence en bouche puis à l’avaler.

Nous avons recommencé encore deux fois ce petit jeu dans la soirée. Thomas, un peu plus maître de ses émotions se montra charmant et un excellent professeur. Il m’apprit comment bien faire jouir un homme avec la bouche et je crois que j’ai pris goût à la fellation.

Excitée par l’amie de ma mère

Ma mère est lesbienne et vit depuis peu en couple avec Maryse, son amie depuis 15 ans. J’ai 18 ans et je n’ai pas connu mon père. Je crois que maman a toujours été gouine mais qu’elle a viré définitivement sa cuti peu après ma naissance. Aujourd‘hui elle a 40 ans, deux ans de moins que Maryse. Je connais cette dernière depuis longtemps mais assez peu finalement puisqu’avec maman elles menaient jusque là des vies séparées, se retrouvant quand elles le souhaitaient, loin de moi, peut-être pour me préserver.

Ça a changé depuis que je suis majeure. Maryse est venue vivre à la maison, ça fait deux mois. Pour ma part je ne suis pas lesbienne, j’ai même un petit copain depuis plus d’un an. Mais depuis hier, je me pose des questions.

J’étais à la maison, avec ma mère et son amie. Maman prenait sa douche. Elle passe toujours un temps fou dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparais des carottes pour le repas du soir. Maryse s’est approchée de moi et elle a commencé à jouer avec un des légumes. Je trouvais qu’elle exagérait et je me demandais même ce qu’une lesbienne pouvait trouver de si amusant à tripoter une carotte comme une femme normale l’aurait fait d’une bite.

Le pire, c’est quand Maryse est venue se coller dans mon dos après avoir posé la carotte au bas de son ventre. C’était tellement fou que je me suis demandé si elle n’avait pas un peu bu avec maman avant que je n’arrive. Elle a fait remonter le bout du légume entre mes jambes, je le sentais qui frôlait mes cuisses en soulevant ma jupe. Je commençais à me sentir excitée malgré moi. Je n’avais pas fait l’amour avec Julien, mon copain, depuis deux longues semaines.

Maryse a dû sentir que j’étais troublée,  elle a passé une main devant moi et l’a posée sur ma poitrine. Je sentais ses doigts qui, comme par hasard, se trouvaient sur l’un de mes tétons. J’avais honte car elle ne pouvait pas ignorer que celui-ci était tout dur. Et j’étais encore plus honteuse de sentir peu à peu couler le jus de ma chatte au fond de mon slip.

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La carotte s’était mise à glisser lentement entre mes cuisses. Je me surpris à écarter légèrement les genoux pour lui permettre de remonter toujours plus haut vers mon sexe. Maryse en profita immédiatement pour porter le simulacre de sexe contre ma petite fente. Ses doigts s’étaient mis à jouer ouvertement avec mon téton et d’ailleurs elle avait glissé sa main dans l’échancrure de mon chemisier.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de maman résonner dans le couloir qui séparait la pièce d’eau de la cuisine où nous nous trouvions.  Nous eûmes juste le temps de nous rajuster et de reprendre comme si de rien n’était nos occupations, Maryse et moi.

Aujourd’hui je ne sais plus que penser. Je me suis masturbée dans mon lit en repensant à cet épisode mais je ne veux pas faire de mal à ma mère en la trahissant avec sa maîtresse.

Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
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Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.

Masturbée par mon oncle

J’ai un peu honte de vous raconter cette histoire mais je ne peux plus me taire. Il faut que j’en fasse part à quelqu’un. Comme je ne peux décemment pas me confier à une personne de ma famille ou de mon entourage sans passer pour une traînée, j’ai décidé de l’écrire et de vous la livrer à vous, lecteurs anonymes et compréhensifs.
C’est arrivé la semaine dernière et depuis je ne dors plus. J’espère que cette confession me permettra de retrouver la quiétude et le sommeil.
Le mari de ma tante, la sœur de ma mère, m’a masturbée. J’ai 18 ans et il pourrait être mon père. Ce n’est pas un homme très beau, il est même plutôt grassouillet et légèrement chauve. J’avoue qu’il a cependant un petit charme, sans doute car il est toujours très à l’aise en société.
Ça s’est passé dans les WC de notre maison de campagne. J’étais assise sur la cuvette pour faire un petit pipi et me caresser comme je le fais souvent mais j’avais oublié de tirer le loquet de la porte. Mon oncle a ouvert et s’est trouvé face à moi, qui n’en menais pas large, la main passée entre mes cuisses, les doigts dans la chatte.
Il a tout de suite compris ce qui se passait et au lieu de faire demi-tour, il est entré et à fermé la porte. Je ne savais pas comment réagir mais de toute manière il ne m’a guère laissé de temps. En souriant, il s’est avancé et a pris mon poignet dans sa main. Il a lentement commencé à le faire bouger.
J’étais toujours incapable de la moindre réaction et je me suis laissé faire. C’était un peu comme dans un rêve mais comme j’avais honte j’ai fermé les yeux tout le long de la branlette de mon oncle.
Il faisait maintenant aller et venir mes doigts dans ma chattoune. J’entendais le clapotis que ça faisait et lui aussi devait l’entendre. Je sentais mes joues qui rougissaient et j’ai encore eu plus honte quand de mes lèvres est sorti un petit gémissement que je n’ai pas pu retenir.
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La tête légèrement renversée en arrière, les cuisses ouvertes, j’ai senti passer l’autre main de mon oncle entre mes jambes. Elle est venue se joindre à la mienne et peu à peu investir mon intimité. Mon oncle a commencé à écarter mes petites lèvres et son gros pouce s’est posé sur mon clitoris qui était extrêmement sensible. Il s’est mis à le frotter doucement puis a introduit son index et son majeur dans ma fente. J’avais quatre doigts dans mon trou, les deux siens et deux des miens. C’était plus que je n’en avais jamais fourré dedans en me masturbant.
J’ai mis quelques dizaines de secondes pour jouir, pas plus. C’était bien trop excitant pour que je puisse me retenir. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, de peur d’alerter le reste de ma famille qui ne se trouvait pas très loin.
Mon oncle est sorti sans un mot mais avec un sourire que je ne parviens pas à oublier depuis, celui-là même qui m’empêche de dormir. Je n’ose imaginer le moment où je me retrouverai de nouveau face à lui.

Sexe dans l’ascenseur

Je suis bien, prise par la bite d’Alain, mon amant, dans cet ascenseur. Il m’enfile bien, je sens sa queue qui me remplit le ventre. Ce qu’il y a de bien avec lui, c’est qu’il est un peu plus petit que moi. Il est des femmes qui sont gênées à l’idée de sortir avec un homme moins grand qu’elles, je ne suis pas de celles-là car je sais combien cela facilite les choses quand il s’agit d’être prise debout, contre un mur, dans la position que j’occupe actuellement. Il est alors très simple de se laisser retomber sur le manche et de le prendre au plus profond de son être.
Bien posée sur mes pieds, je peux ainsi masser la pine de mon partenaire en ondulant des fesses et du ventre. Ça me fait autant de bien à moi qu’à lui car je sens à chaque mouvement mon gros clito qui appuie sur la colonne de chair qui me remplit. C’est terriblement jouissif comme est jouissive l’impression de défier la moral en niquant ainsi dans un espace public et même si je sais que nous ne risquons pas grand-chose à bloquer ainsi l’appareil en plein milieu de la nuit, dans un immeuble majoritairement occupé par des retraités esseulés.
Vidéo porno du récit Sexe dans un ascenseur
On ne risque pas de nous entendre puisque nous sommes au deuxième sous-sol. Je peux laisser libre cours à mon exubérance sexuelle. Quand je baise, je gémis fort. Je sais que ça excite mes amants qui redoublent alors d’ardeur et de vigueur. Je ne le fais pas exprès mais j’ai toujours énormément de mal à contenir mes émotions et, tout compte fait, je trouve beaucoup d’avantages à me laisser aller de la sorte.
La pine de mon amant va et vient dans ma cramouille. Mes gémissements et mes soupirs couvrent le bruit de ma mouille qui clapote au fond de mon trou à chaque nouveau coup de boutoir. Alain m’embrasse, me fourre la langue au fond de la bouche. Il me masse aussi les miches d’une main, me malaxe le cul de l’autre. Mes grosses fesses l’excitent autant que mes nibards de femme ronde. Je suis pulpeuse à souhait et il aime ça. J’adore jouer de mes rondeurs pour troubler les hommes.
La verge d’Alain est de plus en plus grosse. Elle me comble de bonheur ; je glisse une main entre nous, aventure mes doigts vers ses couilles que je pétris. Je veux les sentir se vider quand il jouira. Je les serre dans ma main, glisse un doigt par-dessous, caresse le renflement de son périnée. Je sais qu’il aime ça, d’ailleurs, il écarte légèrement les jambes en pliant les genoux pour m’ouvrir le passage. Je descends un peu mon bassin pour l’accompagner et ne pas quitter le contact intime avec son vit.
Bien m’en prend, Alain se libère subitement en moi, lâchant des flots de foutre dans mes entrailles. Comme prévu, je sens le sperme sortir de ses couilles, traverser son mandrin jusqu’au gland et finir par s’écraser contre ma matrice. Mes jambes se dérobent sous mon corps et je pars moi aussi vers le septième ciel, sans ascenseur.

Enculé par ma maîtresse

Ça fait longtemps que je trompe ma femme avec des maîtresses de passage. Je n’ai jamais voulu me lier véritablement avec l’une d’entre elles, préférant expérimenter avec chacune des sensations nouvelles. J’en change à peu près tous les 6 mois, quand j’ai fait le tour de leurs possibilités. Ça fait partie du « contrat » dès le départ. Je ne cherche pas le grand amour, que je connais déjà  avec mon épouse, juste des moments d’une rare intensité sexuelle, ceux qu’elle ne peut pas me donner, la faute sans doute à son éducation. Les femmes que je déniche par petites annonces ou sur des sites de rencontre le savent et, croyez-moi, ça me permet de vivre des expériences inoubliables.

Sandrine a 42 ans, dix ans de plus que mes 32 ans. J’aime les femmes plus âgées que moi car elles sont sexuellement épanouies, surtout celles que je vise. Avec Sandrine j’ai été gâté. L’autre jour, grâce à elle, j’ai pu découvrir combien j’aimais jouir par le cul, bien rempli par le gode fixé à ses hanches.

Je savais déjà que j’étais sensible de l’anus car j’adore quand une femme y fait passer le bout de ses doigts, voire y entre une ou deux phalanges. J’aime aussi quand les plus perverses me lèchent le trou avec leur langue douce et vicieuse. Mais avec Sandrine j’ai franchi un nouveau palier.

Elle m’a fait jouir comme jamais en me prenant par derrière. Non contente de me pistonner à grands coups de gode-ceinture, elle m’insultait, me traitant d’enculé et de petite pute. Je ne sais pas des mouvements coulissants du manche de plastique dans mon rectum ou des mots orduriers qu’elle prononçait ce qui m’a le plus fait jouir.

Déjà en la voyant se préparer, ferme et déterminée, je bandais comme un âne. Elle m’avait prévenu que j’aurais droit à un traitement de faveur ce jour là. J’ignorais de quoi elle voulait parler jusqu’au moment où elle a sorti la bite artificielle du petit sac de cuir où elle se trouvait. Ma queue s’est redressée en un éclair. Il faut dire qu’elle m’avait longuement préparé le cul avant ça et que je n’avais pas complètement débandé en attendant qu’elle recommence à s’occuper de moi.

Vidéo porno du récit Prise par un trio de vicieux » target= »_blank »>Vidéo porno du récit Enculé par ma maitresse

D’un geste autoritaire elle m’a fait comprendre que je devais m’agenouiller devant le lit de la petite chambre d’hôtel que nous occupions. Elle a glissé un coussin sous mes genoux, s’est mise devant moi pour me faire sucer la queue qui allait me prendre.  Revenue derrière moi, elle a vérifié avec ses doigts si mon petit trou était encore assez humide des caresses buccales qu’elle lui avait prodiguées juste avant.  Puis elle a posé le gland factice sur mon œillet et s’est mise à pousser lentement mais fermement pour m’ouvrir.

L’introduction du gode a pris quelques instants. Ça n’a pas été aussi douloureux que je le craignais. Pour me détendre, Sandrine flattait ma queue qui était toujours plus raide sous mon ventre. J’avais l’impression d’être une chienne prise par son mâle.  Ce sentiment troublant devint encore plus fort quand le membre de plastique fut tout entier logé en moi et que ma maîtresses entama le long mouvement de va-et-vient qui me fit tant jouir.

Je suis maintenant devenu un adepte convaincu de la sodomie passive. A tel point que je suis prêt à satisfaire tous les caprices de mon amante. Demain, je dois être offert à son mari et, pour ma plus grande honte, je bande rien que d’y penser.

Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

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Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.

Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

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Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.