Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

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Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.