Coup de foudre pendant une partouze

Par Axel, 25 ans – Peut-on tomber amoureux pendant une partouze ? A priori, non, c’est même très fortement déconseillé. C’est pourtant bien ce qui m’est arrivé, l’été dernier, au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste de tous les vices.

J’étais en goguette dans la capitale de l’échangisme avec  » ma pote de partouzes  » – nous aimons nous appeler ainsi – la jolie Salima, une copine de fac avec qui je traîne les clubs échangistes. Rien de sérieux entre nous : elle n’aime pas aller en club libertin seule, je préfère y aller accompagné d’une demoiselle. A vrai dire, c’est elle qui freine des quatre fers pour que notre relation ne prenne pas un tour trop sérieux.

Donc, disais-je, au Cap d’Agde, le club le plus célèbre organise tout l’été des après-midis  » mousse « . Imaginez un peu : des couples entièrement nus, tous libertins, se trémoussent au son de la techno dans de la mousse. Vous voyez un peu l’ambiance que ça peut donner ?

Nous étions donc là, Salima et moi, à fricoter avec tout ceux et toutes celles qui voulaient s’échanger quelques caresses, quelques baisers et un peu de volupté. Debout, sous le cagnard, le corps plein de mousse, j’ai caressé des seins, des fesses, des minous, on m’a branlé la bite de toutes les façons imaginables. Quand Salima et moi allons à cette fête, nous ne  » trions  » pas. Les jeunes, les vieux, les moches et les beaux couples, peu importe, du moment qu’on s’amuse et qu’on se fait du bien.

Sauf que, au bout d’une heure de ce traitement, je suis épuisé. Contrairement à d’autres mecs, je peux bander longtemps, mais une fois que j’ai joui, c’est fini pour moi pour quelques heures. On alterne donc entre le bain de mousse et de sexe et le repos au bar du club.

C’est là que l’événement s’est produit. Je venais de me faire sucer en gorge profonde par une belle plante suédoise ou danoise – je ne sais pas – et j’ai proposé à Salima de faire une pause. Nous étions donc en train de quitter la piste de danse pleine de mousse quand, tout à coup, une main s’est agrippée à la mienne. Je me suis retourné, sûr et certain de reconnaître une ancienne camarade de jeux érotiques.

Elle se tenait là, nue comme un ver, belle comme le jour, plus jeune que moi sans doute, avec un serre-tête en forme de lapin playboy dans les cheveux. Elle m’a roulé une pelle langoureuse. Je l’ai regardé dans les yeux. Elle avait un air heureux sur le visage, un bonheur mêlé de timidité. Elle m’a embrassé à nouveau, m’a caressé le dos et le torse, d’une manière plus tendre que sexuelle.

Je me suis collé à elle, à sa jolie poitrine plutôt menue. Elle m’a parlé à l’oreille, en français, mais avec un fort accent. Elle m’a dit qu’elle s’appelait Kristina, qu’elle était venue seule et qu’elle m’avait repéré depuis longtemps dans la mousse. Salima nous a rejoint, a commencé à caresser les seins de la donzelle, qui lui a rendu sa caresse.

Tous les trois, nous nous sommes longuement embrassés dans la mousse. Nous sommes pelotés, masturbés réciproquement, avec une fougue qui contrastait avec la lascivité ambiante. Puis nous sommes sortis de la mousse pour nous rendre sur un des lits où partouzait une bonne demi-douzaine de couples.

L’amour dans la partouze !

Malgré la promiscuité de la partouze, nous étions comme dans une sorte de bulle, isolés tous les trois du reste du monde. A trois, on le sait, les possibilités sont multiples, mais je crois bien que nous les avons toutes épuisées – ou presque – cet après-midi là. Salima a tout de même profité d’un moment de répit pour me demander si je connaissais déjà Kristina avant. Je lui ai dit ce qu’il en était, elle n’a pas eu l’air de mon croire.

Car ma complicité érotique avec la jolie libertine était évidente, comme naturelle. Je savais quand elle avait envie que je la prenne, quand elle voulait plutôt des caresses joueurs ou tendres. De toute façon, j’avais envie des mêmes choses qu’elle au même moment. Tant et si bien que Salima a fini par se sentir de trop et est partie coquiner avec un autre couple, non loin de là.

Lors d’un orgasme, Kristina a lâché un « je t’aime », dans un français approximatif. Mais j’avais bien compris, et j’étais d’accord. Toute la semaine suivante, nous sommes restés tous les trois, Salima qui s’amusait de notre idylle et en profitait pour partouzer avec des hommes seuls et d’autres couples.

Me voilà maintenant comme un ado attardé qui attend l’été suivant dans l’impatience de revoir son amour de vacances. Elle reviendra en août. Et partouze ou pas, j’y serai !

Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

>> Un plan cul rapide avec une bonne salope ? <<

Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.