Mon oncle m’a enculé et j’ai kiffé !

Je m’appelle Laura, j’ai 21 ans mon corps c’est mon plus grand problème car il est tellement beau. Je fais 1, 75 m sur 65 kilos ; il faudrait voir mon derrière, ma poitrine avec des seins en forme d’essaims. Je suis en un mot un pêché ambulant, une femme sexuellement admissible, une croque moi. Et je savais que je faisais effet à mon oncle policier Raymond qui est le cousin consanguin de ma mère. Quel bel homme ! Surtout en le voyant en uniforme. Un jour, pendant l’été, j’étais seule à la maison, ma mère rentrait toujours tard, j’entendis la sonnette. Je savais que c’était Oncle Raymond, j’ouvris la pour le laisser rentrer.

> Toi aussi tu veux baiser une jeune salope ? <

– Ça va Laura ?
– Oui ça va, tu me permets de prendre une douche.
– Oui vas-y
Il s’installa. J’avais une idée en tête, c’était de me faire baiser, je le rejoignis au salon en sous vêtement.
– Eh ! Laura tu vas devoir aller te rhabiller.
– Pourquoi le ferai-je, il fait chaud ?

Un silence total envahit la pièce de séjour, et je le regardais fixement, je marchais droit vers la porte pour la verrouiller.

– Qu’est ce qui ne va pas Laura ?
– Je veux que tu me baises répondis-je en m’approchant de lui.
– Non Laura ! Je ne peux pas le faire. Rhabilles toi de suite.
– Si tu ne me baises pas alors tu vas devoir considérer cela comme une tentative de viol, je vais crier.

Il resta immobile, j’ouvris son pantalon, sortis une belle bite au repos, que j’engloutis dans ma bouche chaude. Peu à Peu, elle commençait à durcir, prenant sa forme érectile, elle devint dure comme une barre de fer, je le déshabillais.

– Ici c’est moi qui commande lui dis-je !

Je commençais à sucer ses seins, je remarquais qu’il se laissait maintenant aller, promenant ma bouche partout sur lui, mes mains de même. Brusquement, il me souleva et me fit allonger sur le canapé, déchira mon string. Et entama un vrai rituel de caresses, mes orteils étaient dans sa bouche, il les suçait avec tendresse, j’étais aux anges, il poursuivit le long de mes cuisses avec des câlins, jusqu’à ce qu’il écarta mes pieds pour me faire le plus beau des cunnilingus, ma chatte mouillée n’attendait que sa bite raide.

Enculée par mon oncle

Il la fit entrer en moi, sa réception fut sans problème, il prit un rythme très doux, soudainement, il devint méchant, comme les vagues de la mer, il partait, revenait en moi avec une force majestueuse. Le plaisir atteignit son paroxysme, je le serrais fort au point de griffer son dos, parce que là mon orgasme était d’une force incroyable. Il se retira, sortit ses menottes, retourna mes mains, les mis sur elles. Il m’enculât avec violence, je criais dans tous les sens, j’avais mal, c’était le prix à payer.
Il me baisa avec une violence intrépide, mon petit trou n’en pouvait plus, il devenait de plus en plus humide, de la tête au pied, je sentais une décharge électrique. Je me sentais plusieurs en moi-même, il continuait à chevaucher mon anus, qui finit par se dilater encore plus. Je gémissais, je le suppliais, il était décidé à m’achever, il tapait sur mes fesses, il mordillait mes oreilles, mes épaules. Le désir s’attisait jusqu’à ce que je jouissais d’une façon tellement intense que je tremblais de plaisir. Oncle Raymond prenait son pied, l’anus doit être son truc, il me baisa encore et encore jusqu’à ce qu’il jouit en moi, il me serra tellement fort, prit une minute de silence avant de se retirer tout fatigué. Waouh ! C’était tellement beau, que je recommencerai.

Ma cousine est une cochonne

Par Steve, 24 ans

Ah, les obligations familiales, quelle plaie ! Invité au mariage de ma cousine (pas la cochonne, une autre ;)), j’ai du quitter mes potes et mes vacances pour aller à l’autre bout de la France faire la bise à toutes les vieilles et tous les vieux de ma famille… Mais, vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter.

Parmi les interminables présentations, les « si, souviens-toi, c’est la cousine du frère de la sœur de machin-chose », j’ai tout de même eu une bonne surprise. Parmi mes cousines se trouvait Erika, une splendide brune dont je ne me souvenais pas bien, à vrai dire.

Il faut dire qu’Erika a 9 ans de plus que moi, et que c’est une cousine issue de germain. Une grande gigue, pas loin du mètre 80, de beaux yeux noirs, une peau magnifique, de longs cheveux qui la rendent super sexy. Sans compter qu’elle porte, pour l’occasion, une superbe robe avec un décolleté plongeant qui met en valeur une poitrine opulente et rebondie.

Seule ombre au tableau : Erika est venue avec son mari. Ben oui, il y a toujours un mari dans ces cas-là. Un type sympa, ouvert, mais bon, j’aurais quand même préféré qu’il n’existe pas. On passe à la mairie, à l’église, tout le tralala, puis à table. Et là, coup de bol, je me retrouve assis à côté de ma jolie cousine.

Une fois l’apéro avalé, je m’aperçois qu’Erika se dandine bizarrement sur sa chaise. Je jette un coup d’œil rapide. Ce salaud de Thierry – c’est le prénom du mari – est en train de la peloter sous la table. De la peloter, voir même carrément de la masturber ! La vache, je bande comme un taureau en imaginant à quel point elle doit être en train de mouiller.

Merde ! Je suis repéré. Ils ont vu que je les ai vus. Et ils ne s’arrêtent pas de se tripoter, là, juste à côté de moi. L’entrée arrive : des huîtres. Putain ! Il faut la voir déguster ses coquillages, on dirait qu’elle bouffe une chatte ! J’en peux plus, j’ai la bite en feu. En plus, j’ai une vue plongeante sur ses deux grosses mamelles, à la cousine !

Je me lève. Il faut que j’aille aux toilettes, histoire de me calmer un peu. Cette salope d’Erika m’a mis dans tous mes états ! Je me demande si je ne vais pas carrément me branler, histoire de me retrouver plus serein. Je pousse la porte d’une cabine, j’entre, je ferme derrière moi. Ah ben non, quelqu’un pousse la porte à son tour, m’empêchant de fermer.

Quelqu’un, ou plutôt quelqu’une. Erika, évidemment ! Elle a un sourire pervers, des yeux brillants de cochonne en chaleur. Elle s’enferme avec moi et me met directement la main au paquet la cochonne… En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans ses nibards, elle a sorti ma bite tendue et me branle délicieusement.

Je veux lui rendre la pareille, je passe sous sa robe. Elle n’a pas de culotte. Attends, y a un fil qui dépasse de ta chatte, ma coquine ! Ah oui, ok, cette vicieuse a des boules de geïsha plantées dans la moule, c’est ça qui doit la transformer en chaudasse en manque !

Je fais de mon mieux pour lui faire du bien. Et ça marche, apparemment : elle se mord les lèvres pour retenir ses couinements de plaisir que, du coup, je suis le seul à pouvoir entendre. Et plus elle est proche de l’extase, plus elle me branle !

Je vais décharger, c’est sûr ! Pourvu que je ne salisse pas sa jolie robe. Non, la coquine a de l’expérience. Au moment où elle sent que je vais jouir, elle se fout à genoux, prend ma teub en bouche et avale tout, avec une gourmandise non dissimulée.

Erika se relève et quitte la cabine. Je tente de reprendre mes esprits. Je me lave un coup au lavabo puis je repars vers ma place à table. Merde ! Thierry a forcément du se rendre compte de quelque chose. Je vais me faire péter la gueule, c’est sûr.

Non, il est là, peinard, en train de boire du vin. Bien sûr, qu’il a tout compris. Pire ! C’est lui qui a manigancé tout ça, je le sens à l’air ravi qu’il prend quand il m’adresse la parole. Sur ce, la mère de la mariée vient nous voir. Elle est désolée, il y a eu un problème dans les réservations de chambres, à l’hôtel.

On va devoir, Erika, Thierry et moi, partager la même chambre pour la nuit. « Mais ça ne devrait pas poser de problèmes, entre cousins » lui répond du tac au tac Erika, avec son petit air habituel de Sainte-Nitouche, le joli masque de ma cousine cochonne préférée !

Je fantasme sur mon demi-frère

Vincent est, pour ainsi dire, mon demi-frère. Nous avons grandi ensemble. Il avait 11 ans, moi 10 ans, quand nos parents, veufs tous les deux, ont commencé à se fréquenter, puis ont aménagé ensemble. Si bien que je le considérais, il y a encore peu de temps, comme mon véritable frère, son père comme le mien, ma mère comme la sienne.

Mais la vie réserve parfois quelques surprises. Chez moi, tout s’est déclenché quand Vincent a commencé à sortir de façon régulière – et, dirais-je, sérieuse – avec une fille qui me ressemblait trait pour trait. Tout le monde, dans l’entourage de mon demi-frère remarquait cette ressemblance entre sa copine et moi. Certains me disaient que j’étais juste un peu plus jolie ce que – en toute humilité – je pensais au fond de moi.

Ainsi, Vincent s’était-il peut-être forgé un idéal féminin à partir de moi, comme modèle ? C’est là que j’ai commencé à fantasmer. De manière plus érotique que sentimentale, je dois bien l’avouer, et peut-être même de façon plus pornographique qu’érotique.

Mon demi-frère n’est pourtant pas très beau. Je veux dire que ce n’est pas un canon, même s’il a un certain charme et un assez joli palmarès en tant que séducteur. Et puis j’ai commencé à être jalouse de sa nouvelle copine qui, décidément, ne m’arrivait pas à la cheville, aux dires de beaucoup de nos amis.

Je les ai imaginé en train de faire l’amour dans tous les coins où je passais : dans le métro, dans une cabine d’essayage au grand magasin, au bureau, dans des toilettes publiques, au cinéma, bref, absolument partout. Où que j’aille, je les imaginais baisant comme des lapins.

Et puis, l’image de mes fantasmes est devenue plus floue, puis plus précise, au contraire : ce n’était plus elle, sa copine, qui le suçait sous la douche, c’était moi. Ce n’était plus elle qu’il tringlait en levrette dans les vestiaires sordides et puants de son club de foot, mais moi. Ce n’était plus elle qui le branlait lors d’un voyage en train, mais ma main qui finissait couverte du foutre chaud de Vincent.

Je me suis alors souvenue de nos jeux d’enfants, du docteur, de « action et vérité » et mes délires obsessionnels sont allés de plus en plus loin. Je n’arrivais plus à m’ôter de la tête l’image de sa grosse bite (je l’ai vu plusieurs fois tout nu, quand nous étions plus jeunes), l’envie de la lui sucer, de la prendre en moi. J’étais morte de honte à cause de ces fantasmes, mais je n’arrivais plus à lutter.

Alors, un jour où nous nous étions réservés une soirée rien que pour nous deux, alors que nous étions avachis sur le lit de sa chambre d’étudiant, je lui ai tout raconté. Je lui ai raconté comment il me faisait fantasmer, comment la vue de la bosse au niveau de sa braguette me faisait mouiller ma petite culotte.

Mais il n’a pas compris. Il a cru que je lui parlais du passé. Et s’est mis à son tour à se confier à moi. Il m’a avoué que, plus jeune, il avait percé un trou entre sa chambre et notre salle de bains pour pouvoir me voir, il m’a dit comment il se branlait régulièrement en pensant à mon corps. Oui, mais avant, quand nous étions jeunes et stupides.

A cette évocation, mes yeux se retrouvèrent embués de tristesse. Ma petite culotte aussi, pour d’autres raisons. Nous étions adultes, plus question de jouer au docteur ensemble. Quand je suis rentrée chez moi, ce soir-là, je me suis masturbée presque toute la nuit en m’imaginant dans ses bras.

Il fallait que je réagisse. Que je me sorte ces fantasmes honteux de la tête ou que je passe à l’acte ! Mais comment ? Il ne comprenait pas que c’était là, maintenant, que j’avais envie qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me fasse tout ce qui lui passait par la tête !

Un plan machiavélique m’est venu. J’ai dérobé le portable de sa copine. J’ai appelé Vincent en me faisant passer pour elle. Je lui ai dit que j’avais une surprise coquine pour lui, ce soir. Qu’il devait m’attendre dans l’obscurité, que j’arriverais à 22h. Il a tout gobé. Je tenais ma revanche sur la vie. Jamais il ne se rendrait compte que c’était moi, et pas elle, dans la chambre ! Enfin, j’allais pouvoir sucer Vincent, le prendre en moi et le faire jouir !

Le rendez-vous est fixé à 22h. A l’heure où j’écris ces lignes, il est 21h, et je ne sais pas encore bien que faire, je ne sais pas si je vais rejoindre mon demi-frère et mettre mon plan à exécution.