Mamie salope ? C’est ma voisine !

Etudiant en mécanique, Albert est aussi un homme à tout faire. Son amour pour la bricole ne date pas d’hier, depuis qu’il est tout petit, ce jeune marseillais de 23 ans a toujours été intéressé par les petites réparations d’intérieur, c’est un peu le couteau suisse de son bahut. À chaque fois qu’un voisin a un souci de plomberie, d’électricité, de mécanique…, c’est vers lui qu’on se tourne. La main sur le coeur, il est toujours prompte à rendre service, moyennant quelques petits billets ou parfois gratuitement.

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Il est plutôt charmant, blond, musclé, sportif, il a une très belle envergure. En plus de son charme, il est de très bonne meurs, il dit toujours le mot qu’il faut, jamais déplacé dans son langage ou dans ce qu’il fait, il pousse le respect.
Ça fait trois mois qu’il fait de la plomberie chez Sylvie, une femme mûre âgée de 68 ans, visage sec, silhouette fine et regard provocant. Cette mature vit toute seule dans un appartement qu’elle a super bien aménagé. Ayant pourtant assez de moyens pour en finir avec ses problèmes fréquents de plomberie, elle préfère faire appel à Albert qui ne sait pas dire non.
Ce jeune homme honnête lui a pourtant conseillé de faire appel à un service spécialisé mais, que nenni, elle préfère, à chaque fois collemater, bidouiller dans sa cuisine et faire appel à Albert quand tout va mal. Est-ce pour un but inavoué ? Il le découvrira ce dimanche matin du 23 décembre.
Alors qu’elle lui avait expliqué un énième problème à la veille au téléphone, Albert se rend chez Sylvie avec sa boite à outils et son uniforme de bricolage.
Toujours aussi pontuel, il sonna à 10 heures pile et, Sylvie est tout de suite venue lui ouvrir la porte. Après deux bisous super chaleureux, elle l’a conduit à la cuisine, même s’il connaît la maison par coeur.

Albert : Ha Sylvie, je t’avais dit de faire appel à des spécialistes, tu vas toujours avoir des problèmes avec ta plomberie car, elle ne date d’hier et, elle avait été mal faite.
Sylvie : Oui, mais comme t’es là, je fais ma paresseuse.

Tout d’abord d’une peignoire vêtue, sylvie s’est éclipsée pendant que son plombier maison sortait son matériel pour faire un premier diagnostique. Elle a réapparu complètement changée, avec une nuisette super coquine qui laissait entrevoir ses formes. Elle était encore bien bonne la mamie !
Albert jeta un regard furtif avant de replonger dans son bricolage. Mais, Sylvie n’avait pas l’air d’être trop préoccupée par ses soucis de plomberie. Se rapprochant du jeune homme qui était à genoux, elle lui caressa les cheveux quand ce dernier se montra surpris.

Albert : Heu, Sylvie, tout va bien ?
Sylvie : Bien sûr, tu sais que tu me plais ? J’avais un peu honte de te le dire vu que je peux avoir l’âge de ta maman.
Albert : J’avais jamais remarqué.
Sylvie : Tu peux me prendre comme du veux… Moi j’ai envie de toi.
Albert : C’est que…

Mamie salope prend les commandes de la baise

Ne le laissant pas terminer la phrase, Sylvie lui roula une pelle bien chaude. Le jeune homme se laissa faire et, la mamie pris totalement les commandes. Elle embrassait si bien qu’Albert la laissa continuer, surtout qu’il ne souhaitait pas la vexer.
Elle ôta son uniforme pour le laisser tout nu. Une chaude fellation s’en suivit puis, sans même retirer sa nuisette, elle s’empala sur le pénis humide du jeune qui bandait bien dur comme elle aime.
À califourchon, elle savourait le pénis d’Albert qui la tenait par les reins pour maîtriser son agitation. Elle n’avait plus baisé depuis bien longtemps et, elle comptait en profiter au maximum. Après plusieurs minutes dans la même position, elle eu un orgasme avant de se détacher pour sucer la queue du jeune homme qui lui offra une belle éjaculation faciale.

Elle prit ensuite ses jambes à son coups, alla dans la chambre après avoir essoufflée à Albert :  » Que ça reste entre nous « .

Je dresse les femmes infidèles

Les sites de rencontres de sexe, c’est tout un poème. Trop d’hommes, pas assez de femmes infidèles, pas évident de s’y faire une place au soleil quand on est comme moi, ni beau, ni moche. Mais j’ai développé une technique de drague qui correspond assez à ma personnalité et à mes fantasmes et qui, je dois dire, a plutôt porté ses fruits jusqu’à présent. Bien sûr, je me prends quelques râteaux, plus souvent qu’à mon tour, à vrai dire, mais j’ai un certain succès, surtout auprès des femmes mariées infidèles (sans doute le résultat d’un sentiment de culpabilité).

Je vous donne mon truc  ? Allez, c’est parti, mais je vous préviens, il faut quand même oser. Alors que, comme tout le monde, à mes débuts sur ce genre de sites, je me la jouais homme respectueux des envies de ces dames, à l’écoute de leurs désirs, en tout bien tout honneur et tout le tralala, j’ai décidé d’adopter une attitude beaucoup plus direct. Je leur dis  : «  je cherche une femme à transformer en salope, qui soit prête à devenir ma chienne, pour un plan cul ou pour une relation suivie  ».

Et évidemment, plus d’une m’envoie bouler, me blackliste, me traite de tous les noms… Ce sont les risques. Certaines même préviennent leurs copines que je suis infréquentable. Ce qu’elles ne savent pas, c’est que, ce faisant, elles jouent plutôt les rabatteuses pour moi. Ça n’arrivait jamais avant, mais j’ai maintenant des demandes spontanées de tchat.

Pendant le dialogue, je dis à la femme, ou à la fille (j’en ai rencontré de moins de 25 ans, majeures, je précise!) ce que j’attends d’elle. Une parfaite docilité. S’il y a des choses qu’elle refuse (sodomie, douleurs,…), elle doit me le préciser d’emblée car, ensuite, si nous nous rencontrons, elle devient ma chose. Croyez-le ou non, mais ça marche  !

Je me suis acheté une panoplie de parfait dominateur  : menottes, cravache, gag-ball… Et je reçois ces dames – ou je vais chez elle – en tenue de maître BDSM. Récemment, je suis allé chez une jeune femme mariée de 29 ans, une superbe rousse, gaulée comme un top-model, qui s’apprêtait à tromper son cher et tendre pour la première fois. J’ai exigé qu’elle m’attende entièrement nue, à quatre pattes, le cul tourné vers la porte d’entrée.

J’ai sonné à l’interphone, elle m’a ouvert. J’ai pris l’ascenseur, et, une fois sur le palier, j’ai poussé la porte de son appartement. Elle était effectivement en position de levrette, les fesses tendues vers moi. J’ai exigé  : «  écarte plus les cuisses, je ne vois pas assez ton cul  ». Elle a obtempéré. Je l’ai félicitée en lui collant une bonne claque sur la fesse gauche. Elle m’a dit merci. J’ai claqué la fesse droite.

J’ai joué ensuite avec son boule, sa chatte et même ses seins. Elle râlait de honte et de plaisir mêlés. J’avais une de ces triques. Du coup, j’ai sorti ma bite de la braguette, et je lui ai enfoncé au fond de la gorge. Elle a sucé, péniblement certes, mais docilement.

«  C’est la première fois que tu fais ça, salope  ?  ». Elle a fait oui de la tête. «  Ton mari ne risque pas de rentrer  ?  ». Non. Je l’ai fait e relever, tout en lui indiquant de poser ses mains sur sa tête. Ses yeux étaient embués de larmes, dues à la succion en fond de gorge. J’avais ses jolis petits nibards à ma disposition. Je les ai tirés, pincés, claqués et elle me laissait faire.

J’ai passé mes doigts entre ses lèvres du bas. Elle était trempée. Il était temps pour moi de prendre ce qui m’appartenait  : sa chatte  ! Je l’ai faite se retourner et je l’ai baisée ainsi, debout, elle appuyée contre le mur. Quand l’envie m’en a pris, j’ai changé d’orifice et j’ai tenté de lui prendre l’anus. Mais elle a eu trop mal, elle m’a supplié d’arrêter.

Dresseur de salopes infidèles

Je ne suis pas un vrai sadique, et encore moins un violeur. Je suis retourné dans sa chatte, mais je l’ai sautée encore plus sauvagement qu’auparavant. Elle gueulait comme une chienne, sans se soucier du bruit pour les voisins. Tout en la ramonant, j’ai attrapé son entrecuisse pour jouer avec le clitoris. A un moment, n’y tenant plus, ses jambes se sont dérobées et elle est tombée au sol. J’en ai profité pour lui offrir une petite douche de sperme à ma façon.

Celle-ci me recontacte régulièrement pour que je vienne la démonter. D’autres se contentent d’une fois. D’autres encore voudraient être mes salopes infidèles régulières. Voilà donc comment un mec moyen s’est constitué un petit harem de chiennes en chaleur. Je ne vous dis pas de reproduire cette méthode, à chacun son trip. Mais sachez-le, messieurs, les fantasmes féminins sont souvent plus enfouis que les nôtres.

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?