Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.

Ma cousine est une cochonne

Par Steve, 24 ans

Ah, les obligations familiales, quelle plaie ! Invité au mariage de ma cousine (pas la cochonne, une autre ;)), j’ai du quitter mes potes et mes vacances pour aller à l’autre bout de la France faire la bise à toutes les vieilles et tous les vieux de ma famille… Mais, vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter.

Parmi les interminables présentations, les « si, souviens-toi, c’est la cousine du frère de la sœur de machin-chose », j’ai tout de même eu une bonne surprise. Parmi mes cousines se trouvait Erika, une splendide brune dont je ne me souvenais pas bien, à vrai dire.

Il faut dire qu’Erika a 9 ans de plus que moi, et que c’est une cousine issue de germain. Une grande gigue, pas loin du mètre 80, de beaux yeux noirs, une peau magnifique, de longs cheveux qui la rendent super sexy. Sans compter qu’elle porte, pour l’occasion, une superbe robe avec un décolleté plongeant qui met en valeur une poitrine opulente et rebondie.

Seule ombre au tableau : Erika est venue avec son mari. Ben oui, il y a toujours un mari dans ces cas-là. Un type sympa, ouvert, mais bon, j’aurais quand même préféré qu’il n’existe pas. On passe à la mairie, à l’église, tout le tralala, puis à table. Et là, coup de bol, je me retrouve assis à côté de ma jolie cousine.

Une fois l’apéro avalé, je m’aperçois qu’Erika se dandine bizarrement sur sa chaise. Je jette un coup d’œil rapide. Ce salaud de Thierry – c’est le prénom du mari – est en train de la peloter sous la table. De la peloter, voir même carrément de la masturber ! La vache, je bande comme un taureau en imaginant à quel point elle doit être en train de mouiller.

Merde ! Je suis repéré. Ils ont vu que je les ai vus. Et ils ne s’arrêtent pas de se tripoter, là, juste à côté de moi. L’entrée arrive : des huîtres. Putain ! Il faut la voir déguster ses coquillages, on dirait qu’elle bouffe une chatte ! J’en peux plus, j’ai la bite en feu. En plus, j’ai une vue plongeante sur ses deux grosses mamelles, à la cousine !

Je me lève. Il faut que j’aille aux toilettes, histoire de me calmer un peu. Cette salope d’Erika m’a mis dans tous mes états ! Je me demande si je ne vais pas carrément me branler, histoire de me retrouver plus serein. Je pousse la porte d’une cabine, j’entre, je ferme derrière moi. Ah ben non, quelqu’un pousse la porte à son tour, m’empêchant de fermer.

Quelqu’un, ou plutôt quelqu’une. Erika, évidemment ! Elle a un sourire pervers, des yeux brillants de cochonne en chaleur. Elle s’enferme avec moi et me met directement la main au paquet la cochonne… En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans ses nibards, elle a sorti ma bite tendue et me branle délicieusement.

Je veux lui rendre la pareille, je passe sous sa robe. Elle n’a pas de culotte. Attends, y a un fil qui dépasse de ta chatte, ma coquine ! Ah oui, ok, cette vicieuse a des boules de geïsha plantées dans la moule, c’est ça qui doit la transformer en chaudasse en manque !

Je fais de mon mieux pour lui faire du bien. Et ça marche, apparemment : elle se mord les lèvres pour retenir ses couinements de plaisir que, du coup, je suis le seul à pouvoir entendre. Et plus elle est proche de l’extase, plus elle me branle !

Je vais décharger, c’est sûr ! Pourvu que je ne salisse pas sa jolie robe. Non, la coquine a de l’expérience. Au moment où elle sent que je vais jouir, elle se fout à genoux, prend ma teub en bouche et avale tout, avec une gourmandise non dissimulée.

Erika se relève et quitte la cabine. Je tente de reprendre mes esprits. Je me lave un coup au lavabo puis je repars vers ma place à table. Merde ! Thierry a forcément du se rendre compte de quelque chose. Je vais me faire péter la gueule, c’est sûr.

Non, il est là, peinard, en train de boire du vin. Bien sûr, qu’il a tout compris. Pire ! C’est lui qui a manigancé tout ça, je le sens à l’air ravi qu’il prend quand il m’adresse la parole. Sur ce, la mère de la mariée vient nous voir. Elle est désolée, il y a eu un problème dans les réservations de chambres, à l’hôtel.

On va devoir, Erika, Thierry et moi, partager la même chambre pour la nuit. « Mais ça ne devrait pas poser de problèmes, entre cousins » lui répond du tac au tac Erika, avec son petit air habituel de Sainte-Nitouche, le joli masque de ma cousine cochonne préférée !