Je trompe mon mari via un sextoy

Par Lison, 40 ans.

Oui, je suis une femme fidèle. Et pourtant, depuis quelques temps maintenant, j’entretiens une relation extra-conjugale avec un collègue de bureau. Mais cet homme ne m’a jamais touchée, en tout cas pas depuis que nous sommes amants adultérins. Vous ne comprenez pas ? Je vais vous expliquer.

Voici maintenant dix ans que je suis mariée. Je file le parfait amour avec mon époux. Il me comble de bonheur, m’a fait deux enfants magnifiques. Bref, je n’ai jamais eu envie  » d’aller voir ailleurs « , comme on dit vulgairement.

Sauf que, il y a trois mois, un nouveau venu a fait son apparition dans ma vie, et singulièrement dans ma vie professionnelle. Il se prénomme Jacques, il a le même âge que moi et nous avons fréquenté la même université. C’est mon amour de jeunesse. Nous avons été amants, et même bien plus que ça, pendant deux longues années, à l’âge où une relation d’un mois ressemble déjà à un engagement.

Quand il a été engagé par mon supérieur hiérarchique direct pour m’épauler dans mes tâches quotidiennes, j’ai été littéralement bouleversée. Et la suite m’a montré que lui aussi. Nous ne pouvions pas nous croiser sans éprouver une profonde gêne, mêlée d’attirance et de culpabilité. Plusieurs fois, nos mains se sont frôlées. Semant le trouble dans nos têtes.

Au fur et à mesure des semaines qui s’écoulaient, il est apparu évident que nous ne pourrions pas tenir plus longtemps, sans que nos corps n’aient trop envie l’un de l’autre. Jacques est marié, tout comme moi, et je sais qu’il tient à rester droit, tout comme moi. C’est là qu’il a eu une idée merveilleuse, quoi que, à bien y réfléchir, plus que dangereuse.


Un jour, j’ai trouvé dans le tiroir de mon bureau un petit coffret. Je l’ai ouvert, aussi discrètement qu’il m’était possible, comme si je sentais qu’il y avait là matière à s’alarmer. J’y ai trouvé un petit objet rose parme, en forme d’œuf. J’ai cherché du regard Jacques dans la pièce, qui m’a souri légèrement, avec un air entendu.

Une fois rentrée à la maison, j’ai pu inspecter la chose. Ça m’avait tout l’air d’être un de ces sextoys auxquels je ne connaissais rien. J’ai poursuivi mon inspection, pour m’apercevoir qu’il devait s’agir d’un œuf vibrant. Après une recherche sur internet, je me suis même aperçue qu’il s’agissait d’un œuf vibrant, télécommandable à distance.

Le lendemain, une fois mon mari parti au travail, je suis parvenue à m’introduire le dit sextoy dans mon intimité. Je suis partie au bureau ainsi, me demandant ce qui allait advenir de moi. La matinée s’est passée, sans que rien ne se produise. Puis l’heure du déjeuner est arrivée. Certains collègues se sont dirigés vers la cafétéria de l’entreprise.

Le sextoy télécommandé me fait jouir

Jacques a prétexté un travail à finir d’urgence, j’ai prétendu ne pas avoir faim, être un peu indisposée. Malheureusement, un stagiaire de l’open space avait lui aussi du pain sur la planche. Ça n’a pas empêché Jacques d’oser. D’un coup, d’un seul, l’œuf s’est mis à vibrer entre mes cuisses. Entre le mouvement de l’engin en moi et le fait de savoir qui le commandait, je me suis sentie toute chose.

Une sensation de bien-être s’est emparée de mon bas-ventre. J’ai tenté de dissimuler mon émoi, car j’étais précisément en face du poste de travail du jeune étudiant. Rien n’y a fait, l’orgasme est monté progressivement de mon vagin à mon ventre, s’est emparé de mes seins, de mon cerveau lui-même et j’ai joui, aussi silencieusement qu’il était possible.

Pendant tout ce temps, Jacques m’a observée. Et il semble y avoir trouvé son bonheur puisque, régulièrement, à n’importe quel moment de la journée, je suis prise de tremblements dans mon ventre. Je m’isole alors comme je peux, et je jouis de la main même de mon amant, qui ne me touche pas.

Ce petit objet, ce « sextoy », a instauré une gigantesque complicité entre nous et même si nous ne consommons pas notre relation, je sais que nous sommes amants. Mais je n’en ressens plus aucune culpabilité. Ou plutôt si, une : j’ai envie d’aller plus loin avec Jacques, voici de quoi je parlais s’agissant de la dangerosité de ce jeu.

Désormais, je ne suis plus certaine de rien et certainement pas de résister à l’appel des sens qui se manifeste au plus profond de moi (le sextoy ;)) depuis que mon amour de jeunesse est réapparu dans ma vie. Bien entendu, mon mari ignore tout de mes agissements, et c’est peut-être bien cet état de fait qui me procure le plus de plaisir.

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

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