Les pieds de la japonaise

Avant toute chose – et avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée tout récemment – je tiens à dire que je n’ai jamais trompé ma femme. Pour dire vrai, je lui ai même tout raconté de cet épisode étrange de ma vie et je dois dire qu’elle a eu bien du mal à me croire. Pour finir, elle m’a dit qu’elle ne voyait pas comment un homme hétéro normalement constitué, surtout un peu fétichiste des pieds comme je le suis moi-même, aurait pu résister.

L’histoire se déroule donc il y a quelques semaines. Il faut vous dire que je suis consultant en entreprise. Au gré des demandes de séminaires, je suis donc appelé à travers toute la France, la Belgique et la Suisse, et je voyage en train : c’est plus reposant et ça limite l’empreinte carbone. Cette fois, je partais pour le sud de la France.

A mon départ, le train était presque vide. J’ai donc pu m’installer tranquillement dans une de ces places où quatre sièges se font face. Je me suis placé dans le sens de la marche, côté fenêtre. J’adore voir notre beau pays défiler sous mes yeux. Las ! A la gare suivante, une nuée de touristes japonais s’est emparée du wagon. N’allez pas voir dans mes propos quoi que ce soit de raciste, mais ils faisaient, tous ensemble, l’effet d’une nuée d’oiseaux.

Se sont installées à mes côtés quatre gamines nipponnes. Quand je dis  » gamines « , elles devaient avoir la vingtaine. Toutes très jolies, du genre qu’on voit dans les films X japonais, vous voyez ? Bref. Finie ma belle tranquillité. On s’échange quelques sourires polis, elles ne semblent pas parler un traître mot de français, d’allemand ou d’anglais. Le voyage va être long, je m’assoupis.


C’est une étrange sensation qui me réveille. Quelque chose semble être posé sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux et j’aperçois les jambes nues de la jolie japonaise placée en face de moi qui s’étendent jusqu’à mon siège. Je ne suis pas repéré, je vais en profiter pour voir ce qu’elle fait exactement. Oui, elle me masse la bite au travers du pantalon.

Je fais mine de me réveiller. Elle retire à toute vitesse sa jambe. Je me redresse et je vois que ses pieds sont nus. Deux petits petons magnifiques, très sensuels. Les trois filles s’échangent des sourires rieurs, puis se mettent à rire ostensiblement. La japonaise devant moi est le centre des attentions. Elle a fait ça aux vues et aux sus de ses compagnes de voyage !

J’arrive à attraper son regard. Je veux lui faire sentir que je sais ce qu’elle a fait pendant mon sommeil. Je crois que le message est passé, elle se met à rougir. Un silence relatif s’installe autour de nous. Les nanas semblent gênées. Je repars dans la contemplation du paysage qui défile.

Cinq minutes passent. Les japonaises ont repris une conversation fiévreuse. De temps à autre, mon regard repart vers les pieds, toujours nu, de ma voisine d’en face. C’est vrai qu’ils sont beaux. On a envie de les caresser. On traverse une ville, je cherche des yeux ses monuments les plus célèbres.

Le pied de la japonaise

Le pied de la japonaise me tire de ma rêverie. Un air de défi dans le regard, elle me fixe de ses yeux noirs. Ses copines assistent à la scène, comme pétrifiées. De ses orteils, elle tente de me branler à travers le tissu du pantalon. Je décide de changer d’attitude : je prends son pied, dans l’idée de le repousser vigoureusement.

Mais je suis surpris par la douceur de sa peau et, au lieu de me rebeller, me voici en train de caresser son superbe peton. Les autres japonaises s’envoient des sourires complices. Je me décide à la laisser faire. Avec une habileté incroyable, elle entreprend de baisser ma braguette en attrapant la tirette avec deux orteils ! Elle y parvient sans difficulté. Son pied est maintenant en contact presque direct avec mon sexe.

Je saisis ma veste pour la placer sur mes genoux car, ne l’oublions pas, nous sommes dans un train bondé. Incroyable ! La fille arrive à sortir ma queue tendue de sa cachette, à glisser son autre pied sous ma veste et commence à me branler magnifiquement. Ma voisine de gauche, elle, se penche de plus en plus vers moi. Tant qu’elle finit par se coller à moi. Je sens sa poitrine menue sur mon épaule.

Et l’autre qui me masturbe avec ses pieds. C’est trop ! Je pose la main sur le sein de ma voisine, qui me caresse maintenant les cheveux. Mes jambes se tendent. Mon souffle est court. La branleuse a accéléré le mouvement. Je jouis en serrant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir.

La jeune japonaise retire ses pieds. Ils sont plein de sperme. Elle s’essuie avec une lingette, puis, dans un sourire, m’en tend une autre. Je fais de mon mieux, sous ma veste, pour me laver le sexe. Le train ralentit. Nouvelle gare. L’équipe de touristes japonais est arrivée à destination.

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