Les touristes japonaises sont bandantes, la preuve !

Les touristes japonaises sont bandantes

C’est un des avantages à vivre dans une ville comme Paris. On y voit des filles de toute nationalité. Entre les étudiantes Erasmus et les touristes, on peut niquer des nanas de toute l’Europe, et du monde entier, quand on s’y prend bien ! De mon côté, après avoir fait l’union européenne avec ma bite, je me suis attaqué aux touristes japonaises, sans trop y croire au début, mais avec une certaine obstination.

J’avais essayé d’apprendre, pour le boulot, à la fin de mes études, quelques rudiments de japonais. En vain. Il faut croire que ma libido est toujours la plus forte car le projet d’aborder quelques touristes nipponnes dans les coins les plus fréquentés par elles dans la capitale m’a beaucoup plus motivé.

J’ai donc appris à dire « bonjour », « bonsoir », « merci », « je vous en prie », « bon appétit » et même « vous êtes très jolie, pourrais-je connaître votre prénom ? » et pas mal de niaiseries dans le genre. Pas de quoi tenir une conversation, je vous l’accorde, mais assez pour éveiller la curiosité des donzelles en goguette à Paris.

Ensuite, je suis parti sur les Champs-Elysées, puis au pied de la Tour Eiffel, sur la Butte Montmartre… et rien. Les Japonaises étaient amusées de mes tentatives, sans plus. J’allais presque abandonner quand je me suis retrouvé un soir, en rentrant du boulot, dans la même rame de métro qu’une bonne vingtaine de nippones.

Ah ! Avec leurs jupes plissées, leurs appareils photos toujours sur la qui-vive et leurs sourires émerveillés ! Elles étaient trop bandantes ! Et comme le métro était bondé, à cette heure de pointe, je me suis retrouvé coincé au beau milieu du groupe, frottant bien involontairement les cuisses nues, frôlant les seins. Je n’ai pas pu résister, j’ai tenté ma chance.

Et comme pour multiplier celle-ci, j’ai essayé d’aborder trois petites meufs, au lieu d’une seule, comme à mon habitude. Elles ont du se sentir plus en confiance, par effet de groupe, mais toujours est-il que deux d’entre elles ont accepté de me suivre dans un café aux allures très françaises pour boire un dernier verre.

Nozomi, grande bringue élancée au joli cul ferme et aux petits nichons était la meneuse. Plus timide, et plus ronde, avec deux beaux gros seins, Haruna semblait plutôt suivre son aînée. Je leur ai fait goûté au pastis, la boisson de ma région d’origine, qu’elles ont adoré. Au point d’être un peu pompettes, sans être non plus complètement bourrées.

L’heure avançait, et je ne savais pas avec laquelle tenter vraiment le coup. Pris d’un élan de témérité que l’alcool avait accentué, j’ai essayé d’avoir les deux, en leur proposant de découvrir d’autres spécialités françaises inconnues des Japonais… chez moi !

Ni une, ni deux, les deux copines ont accepté. Dans un premier temps, je me suis dit que c’était dans la poche. Puis je me suis rappelé des différences culturelles entre nos deux pays. Peut-être que d’accepter de suivre un garçon inconnu chez lui ne voulait rien dire, au Japon ?

Deux japonaises très bandantes !

Tu parles ! Je n’ai rien eu le temps de leur faire goûter, comme spécialité française. Mise à part ma bite… Je me suis retrouvé en moins d’une demi-heure entièrement nu sur mon lit, avec mes deux japonaises topless qui s’occupait de me tailler une turlutte à deux bouches rien moins que prodigieuse. De temps à autre, Nozomi lâchait un peu ma verge pour laisser sa copine Haruna m’offrir une branlette espagnole. Ou hispano-nipponne, devrais-je dire.

A ce stade, je veux évoquer la vieille légende selon laquelle les femmes japonaises ont un savoir-faire sexuel que devraient leur envier les Occidentales. Et bien : je confirme ! Alors, bien sûr, ce n’est pas bien difficile de faire grimper aux rideaux un queutard dans mon genre quand on lui offre un trio avec deux nanas, mais tout de même !

Pas bisexuelles pour deux sous (mon seul regret), les deux Japonaises ne se sont occupées que de moi, prenant manifestement leur plaisir à rivaliser de caresses avec leurs doigts, leurs bouches et même leurs vagins. Quand l’une me tendait son cul en levrette, la seconde prenait le relais en s’asseyant sur ma queue et en tortillant du cul pour me faire prendre un maximum de plaisir.

Et puis, tout à coup, sans prévenir, toutes les deux se sont mises à se masturber devant moi, réclamant par des mimiques que je leur colle ma bite dans la bouche. L’une a pris ma hampe entre ses lèvres, l’autre mes couilles, et elles ont sucé jusqu’à ce que je jouisse sur leurs visages, déclenchant chez elle un orgasme simultané.

Je ne sais pas si elles ont appris ça dans un livre ou dans un film porno, mais aucune nana européenne ne m’avait jamais fait ce coup là !

Les pieds de la japonaise

Avant toute chose – et avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée tout récemment – je tiens à dire que je n’ai jamais trompé ma femme. Pour dire vrai, je lui ai même tout raconté de cet épisode étrange de ma vie et je dois dire qu’elle a eu bien du mal à me croire. Pour finir, elle m’a dit qu’elle ne voyait pas comment un homme hétéro normalement constitué, surtout un peu fétichiste des pieds comme je le suis moi-même, aurait pu résister.

L’histoire se déroule donc il y a quelques semaines. Il faut vous dire que je suis consultant en entreprise. Au gré des demandes de séminaires, je suis donc appelé à travers toute la France, la Belgique et la Suisse, et je voyage en train : c’est plus reposant et ça limite l’empreinte carbone. Cette fois, je partais pour le sud de la France.

A mon départ, le train était presque vide. J’ai donc pu m’installer tranquillement dans une de ces places où quatre sièges se font face. Je me suis placé dans le sens de la marche, côté fenêtre. J’adore voir notre beau pays défiler sous mes yeux. Las ! A la gare suivante, une nuée de touristes japonais s’est emparée du wagon. N’allez pas voir dans mes propos quoi que ce soit de raciste, mais ils faisaient, tous ensemble, l’effet d’une nuée d’oiseaux.

Se sont installées à mes côtés quatre gamines nipponnes. Quand je dis  » gamines « , elles devaient avoir la vingtaine. Toutes très jolies, du genre qu’on voit dans les films X japonais, vous voyez ? Bref. Finie ma belle tranquillité. On s’échange quelques sourires polis, elles ne semblent pas parler un traître mot de français, d’allemand ou d’anglais. Le voyage va être long, je m’assoupis.


C’est une étrange sensation qui me réveille. Quelque chose semble être posé sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux et j’aperçois les jambes nues de la jolie japonaise placée en face de moi qui s’étendent jusqu’à mon siège. Je ne suis pas repéré, je vais en profiter pour voir ce qu’elle fait exactement. Oui, elle me masse la bite au travers du pantalon.

Je fais mine de me réveiller. Elle retire à toute vitesse sa jambe. Je me redresse et je vois que ses pieds sont nus. Deux petits petons magnifiques, très sensuels. Les trois filles s’échangent des sourires rieurs, puis se mettent à rire ostensiblement. La japonaise devant moi est le centre des attentions. Elle a fait ça aux vues et aux sus de ses compagnes de voyage !

J’arrive à attraper son regard. Je veux lui faire sentir que je sais ce qu’elle a fait pendant mon sommeil. Je crois que le message est passé, elle se met à rougir. Un silence relatif s’installe autour de nous. Les nanas semblent gênées. Je repars dans la contemplation du paysage qui défile.

Cinq minutes passent. Les japonaises ont repris une conversation fiévreuse. De temps à autre, mon regard repart vers les pieds, toujours nu, de ma voisine d’en face. C’est vrai qu’ils sont beaux. On a envie de les caresser. On traverse une ville, je cherche des yeux ses monuments les plus célèbres.

Le pied de la japonaise

Le pied de la japonaise me tire de ma rêverie. Un air de défi dans le regard, elle me fixe de ses yeux noirs. Ses copines assistent à la scène, comme pétrifiées. De ses orteils, elle tente de me branler à travers le tissu du pantalon. Je décide de changer d’attitude : je prends son pied, dans l’idée de le repousser vigoureusement.

Mais je suis surpris par la douceur de sa peau et, au lieu de me rebeller, me voici en train de caresser son superbe peton. Les autres japonaises s’envoient des sourires complices. Je me décide à la laisser faire. Avec une habileté incroyable, elle entreprend de baisser ma braguette en attrapant la tirette avec deux orteils ! Elle y parvient sans difficulté. Son pied est maintenant en contact presque direct avec mon sexe.

Je saisis ma veste pour la placer sur mes genoux car, ne l’oublions pas, nous sommes dans un train bondé. Incroyable ! La fille arrive à sortir ma queue tendue de sa cachette, à glisser son autre pied sous ma veste et commence à me branler magnifiquement. Ma voisine de gauche, elle, se penche de plus en plus vers moi. Tant qu’elle finit par se coller à moi. Je sens sa poitrine menue sur mon épaule.

Et l’autre qui me masturbe avec ses pieds. C’est trop ! Je pose la main sur le sein de ma voisine, qui me caresse maintenant les cheveux. Mes jambes se tendent. Mon souffle est court. La branleuse a accéléré le mouvement. Je jouis en serrant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir.

La jeune japonaise retire ses pieds. Ils sont plein de sperme. Elle s’essuie avec une lingette, puis, dans un sourire, m’en tend une autre. Je fais de mon mieux, sous ma veste, pour me laver le sexe. Le train ralentit. Nouvelle gare. L’équipe de touristes japonais est arrivée à destination.